994 resultados para CUFF REPAIR TECHNIQUES


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La déchirure de la coiffe des rotateurs est une des causes les plus fréquentes de douleur et de dysfonctionnement de l'épaule. La réparation chirurgicale est couramment réalisée chez les patients symptomatiques et de nombreux efforts ont été faits pour améliorer les techniques chirurgicales. Cependant, le taux de re-déchirure est encore élevé ce qui affecte les stratégies de réhabilitation post-opératoire. Les recommandations post-chirurgicales doivent trouver un équilibre optimal entre le repos total afin de protéger le tendon réparé et les activités préconisées afin de restaurer l'amplitude articulaire et la force musculaire. Après une réparation de la coiffe, l'épaule est le plus souvent immobilisée grâce à une écharpe ou une orthèse. Cependant, cette immobilisation limite aussi la mobilité du coude et du poignet. Cette période qui peut durer de 4 à 6 semaines où seuls des mouvements passifs peuvent être réalisés. Ensuite, les patients sont incités à réaliser les exercices actifs assistés et des exercices actifs dans toute la mobilité articulaire pour récupérer respectivement l’amplitude complète de mouvement actif et se préparer aux exercices de résistance réalisés dans la phase suivante de la réadaptation. L’analyse électromyographique des muscles de l'épaule a fourni des évidences scientifiques pour la recommandation de beaucoup d'exercices de réadaptation au cours de cette période. Les activités sollicitant les muscles de la coiffe des rotateurs à moins de 20% de leur activation maximale volontaire sont considérés sécuritaires pour les premières phases de la réhabilitation. À partir de ce concept, l'objectif de cette thèse a été d'évaluer des activités musculaires de l'épaule pendant des mouvements et exercices qui peuvent théoriquement être effectués au cours des premières phases de la réhabilitation. Les trois questions principales de cette thèse sont : 1) Est-ce que la mobilisation du coude et du poignet produisent une grande activité des muscles de la coiffe? 2) Est-ce que les exercices de renforcement musculaire du bras, de l’avant-bras et du torse produisent une grande activité dans les muscles de la coiffe? 3) Au cours d'élévations actives du bras, est-ce que le plan d'élévation affecte l'activité de la coiffe des rotateurs? Dans notre première étude, nous avons évalué 15 muscles de l'épaule chez 14 sujets sains par électromyographie de surface et intramusculaire. Nos résultats ont montré qu’avec une orthèse d’épaule, les mouvements du coude et du poignet et même quelques exercices de renforcement impliquant ces deux articulations, activent de manière sécuritaire les muscles de ii la coiffe. Nous avons également introduit des tâches de la vie quotidienne qui peuvent être effectuées en toute sécurité pendant la période d'immobilisation. Ces résultats peuvent aider à modifier la conception d'orthèses de l’épaule. Dans notre deuxième étude, nous avons montré que l'adduction du bras réalisée contre une mousse à faible densité, positionnée pour remplacer le triangle d’une orthèse, produit des activations des muscles de la coiffe sécuritaires. Dans notre troisième étude, nous avons évalué l'électromyographie des muscles de l’épaule pendant les tâches d'élévation du bras chez 8 patients symptomatiques avec la déchirure de coiffe des rotateurs. Nous avons constaté que l'activité du supra-épineux était significativement plus élevée pendant l’abduction que pendant la scaption et la flexion. Ce résultat suggère une séquence de plan d’élévation active pendant la rééducation. Les résultats présentés dans cette thèse, suggèrent quelques modifications dans les protocoles de réadaptation de l’épaule pendant les 12 premières semaines après la réparation de la coiffe. Ces suggestions fournissent également des évidences scientifiques pour la production d'orthèses plus dynamiques et fonctionnelles à l’articulation de l’épaule.

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La déchirure de la coiffe des rotateurs est une des causes les plus fréquentes de douleur et de dysfonctionnement de l'épaule. La réparation chirurgicale est couramment réalisée chez les patients symptomatiques et de nombreux efforts ont été faits pour améliorer les techniques chirurgicales. Cependant, le taux de re-déchirure est encore élevé ce qui affecte les stratégies de réhabilitation post-opératoire. Les recommandations post-chirurgicales doivent trouver un équilibre optimal entre le repos total afin de protéger le tendon réparé et les activités préconisées afin de restaurer l'amplitude articulaire et la force musculaire. Après une réparation de la coiffe, l'épaule est le plus souvent immobilisée grâce à une écharpe ou une orthèse. Cependant, cette immobilisation limite aussi la mobilité du coude et du poignet. Cette période qui peut durer de 4 à 6 semaines où seuls des mouvements passifs peuvent être réalisés. Ensuite, les patients sont incités à réaliser les exercices actifs assistés et des exercices actifs dans toute la mobilité articulaire pour récupérer respectivement l’amplitude complète de mouvement actif et se préparer aux exercices de résistance réalisés dans la phase suivante de la réadaptation. L’analyse électromyographique des muscles de l'épaule a fourni des évidences scientifiques pour la recommandation de beaucoup d'exercices de réadaptation au cours de cette période. Les activités sollicitant les muscles de la coiffe des rotateurs à moins de 20% de leur activation maximale volontaire sont considérés sécuritaires pour les premières phases de la réhabilitation. À partir de ce concept, l'objectif de cette thèse a été d'évaluer des activités musculaires de l'épaule pendant des mouvements et exercices qui peuvent théoriquement être effectués au cours des premières phases de la réhabilitation. Les trois questions principales de cette thèse sont : 1) Est-ce que la mobilisation du coude et du poignet produisent une grande activité des muscles de la coiffe? 2) Est-ce que les exercices de renforcement musculaire du bras, de l’avant-bras et du torse produisent une grande activité dans les muscles de la coiffe? 3) Au cours d'élévations actives du bras, est-ce que le plan d'élévation affecte l'activité de la coiffe des rotateurs? Dans notre première étude, nous avons évalué 15 muscles de l'épaule chez 14 sujets sains par électromyographie de surface et intramusculaire. Nos résultats ont montré qu’avec une orthèse d’épaule, les mouvements du coude et du poignet et même quelques exercices de renforcement impliquant ces deux articulations, activent de manière sécuritaire les muscles de ii la coiffe. Nous avons également introduit des tâches de la vie quotidienne qui peuvent être effectuées en toute sécurité pendant la période d'immobilisation. Ces résultats peuvent aider à modifier la conception d'orthèses de l’épaule. Dans notre deuxième étude, nous avons montré que l'adduction du bras réalisée contre une mousse à faible densité, positionnée pour remplacer le triangle d’une orthèse, produit des activations des muscles de la coiffe sécuritaires. Dans notre troisième étude, nous avons évalué l'électromyographie des muscles de l’épaule pendant les tâches d'élévation du bras chez 8 patients symptomatiques avec la déchirure de coiffe des rotateurs. Nous avons constaté que l'activité du supra-épineux était significativement plus élevée pendant l’abduction que pendant la scaption et la flexion. Ce résultat suggère une séquence de plan d’élévation active pendant la rééducation. Les résultats présentés dans cette thèse, suggèrent quelques modifications dans les protocoles de réadaptation de l’épaule pendant les 12 premières semaines après la réparation de la coiffe. Ces suggestions fournissent également des évidences scientifiques pour la production d'orthèses plus dynamiques et fonctionnelles à l’articulation de l’épaule.

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Pavement settlement occurring in and around utility cuts is a common problem, resulting in uneven pavement surfaces, annoyance to drivers, and ultimately, further maintenance. A survey of municipal authorities and field and laboratory investigations were conducted to identify the factors contributing to the settlement of utility cut restorations in pavement sections. Survey responses were received from seven cities across Iowa and indicate that utility cut restorations often last less than two years. Observations made during site inspections showed that backfill material varies from one city to another, backfill lift thickness often exceeds 12 inches, and the backfill material is often placed at bulking moisture contents with no Quality control/Quality Assurance. Laboratory investigation of the backfill materials indicate that at the field moisture contents encountered, the backfill materials have collapse potentials up to 35%. Falling Weight Deflectometer (FWD) deflection data and elevation shots indicate that the maximum deflection in the pavement occurs in the area around the utility cut restoration. The FWD data indicate a zone of influence around the perimeter of the restoration extending two to three feet beyond the trench perimeter. The research team proposes moisture control, the use of 65% relative density in a granular fill, and removing and compacting the native material near the ground surface around the trench. Test sections with geogrid reinforcement were also incorporated. The performance of inspected and proposed utility cuts needs to be monitored for at least two more years.

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Trench maintenance problems are caused by improper backfill placement and construction procedures. This report is part of a multiphase research project that aims to improve long-term performance of utility cut restoration trenches. The goal of this research is to improve pavement patch life and reduce maintenance of the repaired areas. The objectives were to use field-testing data, laboratory-testing data, and long-term monitoring (elevation survey and falling weight deflectometer testing) to suggest and modify recommendations from Phase I and to identify the principles of trench subsurface settlement and load distribution in utility cut restoration areas by using instrumented trenches. The objectives were accomplished by monitoring local agency utility construction from Phase I, constructing and monitoring the recommended trenches from Phase I, and instrumenting trenches to monitor changes in temperature, pressure, moisture content, and settlement as a function of time to determine the influences of seasonal changes on the utility cut performance.

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Objective:This study investigated the efficacy of different techniques for the union of fragments of a denture before repair and on the accuracy of the reposition.Materials and methods:For this study, 20 maxillary dentures made with Lucitone 550 heat-cured resin were used. Points were determined with a scanner on the cusp of the teeth, as a measurement of the segments. After digitisation, each model was exported to the AUTOCAD R 14 program and two-dimensional measurements of the distances between the marked points were made. After the initial analysis, the dentures were fractured into two segments using an impact test machine. For the repair, maxillary dentures were divided into two groups; in the first, the repair was carried out using Kerr's sticky wax and in the second group, Super Bonder was used to join the fragments, with subsequent inclusion of DENTSPLY((R)) Repair Material resin. After the repair, the points of the maxillary dentures were measured again. The numerical values obtained were tabulated to compare the measurements before fracture and after the repair. For statistical analysis, analysis of variance was employed, using a single factor and double factor, followed by the Tukey test with a reliability of 95%.Results:The results demonstrated a statistically significant difference between the materials used to join the dentures for repair, where the dentures were joined with sticky wax presented a larger variation in the distances between the points.Conclusion:The variation in distances between the points is influenced by the agent of repair.

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Surgical repair of the rotator cuff repair is one of the most common procedures in orthopedic surgery. Despite it being the focus of much research, the physiological tendon-bone insertion is not recreated following repair and there is an anatomic non-healing rate of up to 94%. During the healing phase, several growth factors are upregulated that induce cellular proliferation and matrix deposition. Subsequently, this provisional matrix is replaced by the definitive matrix. Leukocyte- and platelet-rich fibrin (L-PRF) contain growth factors and has a stable dense fibrin matrix. Therefore, use of LPRF in rotator cuff repair is theoretically attractive. The aim of the present study was to determine 1) the optimal protocol to achieve the highest leukocyte content; 2) whether L-PRF releases growth factors in a sustained manner over 28 days; 3) whether standard/gelatinous or dry/compressed matrix preparation methods result in higher growth factor concentrations. 1) The standard L-PRF centrifugation protocol with 400 x g showed the highest concentration of platelets and leukocytes. 2) The L-PRF clots cultured in medium showed a continuous slow release with an increase in the absolute release of growth factors TGF-β1, VEGF and MPO in the first 7 days, and for IGF1, PDGF-AB and platelet activity (PF4=CXCL4) in the first 8 hours, followed by a decrease to close to zero at 28 days. Significantly higher levels of growth factor were expressed relative to the control values of normal blood at each culture time point. 3) Except for MPO and the TGFβ-1, there was always a tendency towards higher release of growth factors (i.e., CXCL4, IGF-1, PDGF-AB, and VEGF) in the standard/gelatinous- compared to the dry/compressed group. L-PRF in its optimal standard/gelatinous-type matrix can store and deliver locally specific healing growth factors for up to 28 days and may be a useful adjunct in rotator cuff repair.

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Background: Through an experimental biomechanical study on rabbits, tendon reinsertion by means of trans-osseous suture on a spongy bone bed and suture anchor were evaluated comparatively at different phases of healing. Methods: Twenty-four New Zealand White rabbits were used: 2 as pilots, 4 as the control group, and 18 as the experimental group. These 18 animals underwent sectioning and reinsertion of the Achilles tendon bilaterally, using the technique of trans-osseous suture on 1 side and suture anchor on the other. All the pelvic limbs that underwent the procedure were then immobilized for 3 weeks. The experimental group was divided into 3 groups that were sacrificed, respectively, 3, 6, and 12 weeks later. The tendon-bone complex was subjected to biomechanical tests to evaluate the parameters of maximum strength, stiffness, and yield strength. Results: There was no statistically significant difference between the suture anchor group and the trans-osseous suture group, in relation to yield strength (3 weeks, P = .222; 6 weeks, P = .465; and 12 weeks, P = .200) or maximum strength (3 weeks, P = .222; 6 weeks, P = .076; and 12 weeks, P = .078). In relation to stiffness, the suture anchor group showed a statistically significant difference only at 3 weeks of healing ( P = .032) over the trans-osseous suture group. Conclusion: The technique of suturing with an anchor was shown to be similar to the technique of trans-osseous suture for the studied parameters. Level of evidence: Basic Science Study, In-Vitro Biomechanics Study. (C) 2010 Journal of Shoulder and Elbow Surgery Board of Trustees.

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Factors affecting outcome after arthroscopic rotator cuff repair are unclear and there is still insufficient evidence of efficacy of any treatment modality for rotator cuff tears. The purpose of the current study was to determine in a prospective randomized multicenter trial whether there is a difference in clinical outcome between three different treatment modalities in the treatment of degenerative, atraumatic supraspinatus tendon tear in elderly patients. 180 shoulders were randomized into three treatment groups: 1) physiotherapy, 2) arthroscopic acromioplasty and physiotherapy, 3) arthroscopic rotator cuff reconstruction, acromioplasty and physiotherapy. The objective of this study was also to evaluate retrospectively the effect of trauma, the size of the rotator cuff tear, smoking habits and glenohumeral osteoarthritis on the clinical treatment outcome after arthroscopic rotator cuff repair in a consecutively prospectively collected series of patients. The patient data was gathered to the electronic database. The Constant score was used as a primary outcome measure. The follow‐up time was one year. The main finding was that operative treatment did not provide benefit over conservative regimen in elderly patients with atraumatic supraspinatus tear. Trauma did not affect on the clinical outcome and there was neither difference in the age of patients with traumatic vs. non‐traumatic rotator cuff tears. The size of the rotator cuff tear correlated significantly with the clinical results. The outcome was significantly poorer in tears with infraspinatus involvement compared to anterosuperior tears. Operatively treated rotator cuff tear patients who smoked were significantly younger than non‐smokers, and smoking was associated with poorer clinical outcome. Concomitant osteoarthritis of the glenohumeral joint was found to be a relatively common finding in supraspinatus tear patients. Osteoarthritis of the glenohumeral joint in operatively treated supraspinatus tear patients predicted poorer clinical results comparing to patients without osteoarthritis.

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OBJETIVO: Comparar duas técnicas de tratamento da hérnia incisional em coelhos utilizando a tela de polipropileno apoiando um reforço peritônio - aponeurótico ou suturada nas bordas do anel herniário 'em ponte . MÉTODOS: Foram operados 60 coelhos para a produção de hérnia incisional, em uma incisão mediana de 4 centímetros. Após 30 dias, metade dos animais foram operados com o fechamento primário da parede, com colocação de uma tela de polipropileno apoiando o reforço e a outra metade dos animais com a colocação da tela suturada nas bordas do anel herniárioem ponte . Os animais foram avaliados com 30 (M1), 60 (M2)e 90 (M3) dias de pós-operatório. Os parâmetros analisados foram a evolução clínica, análise da força de ruptura da cicatriz, estudo macroscópico, análise microscópica e morfométrica. RESULTADOS: Não foram observadas diferenças significantes com relação a força de ruptura e estudos histológicos nos dois grupos e vários momentos estudados. Não houve diferença estatística com relação às complicações, embora os animais que receberam a telaem ponte tiveram aderências mais firmes e intensas à parede abdominal. CONCLUSÕES: As duas técnicas utilizadas para correção da hérnia incisional em coelhos não mostraram diferenças significantes quanto a força de ruptura, análise histológica e morfométrica. O número de complicações foi semelhante, porém a aderência de órgãos da cavidade abdominal à área de cicatriz foi muito mais intensa no grupo em que a tela foi colocadaem ponte .

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In 13 patients, the development of supraspinatus muscle atrophy and fatty infiltration after rotator cuff tendon repair was quantified prospectively via magnetic resonance imaging. Intraoperative electrical nerve stimulation at repair showed that the maximal supraspinatus tension (up to 200 N) strongly correlated with the anatomic cross-sectional muscle area and with muscle fatty infiltration (ranging from 12 N/cm(2) in Goutallier stage 3 to 42 N/cm(2) in Goutallier stage 0). Within 1 year after successful tendon repair (n = 8), fatty infiltration did not recover, and atrophy improved partially at best; however, if the repair failed (n = 5), atrophy and fatty infiltration progressed significantly. The ability of the rotator cuff muscles to develop tension not only correlates with their atrophy but also closely correlates with their degree of fatty infiltration. With current repair techniques, atrophy and fatty infiltration appear to be irreversible, despite successful tendon repair. Unexpectedly, not only weak but also very strong muscles are at risk for repair failure.

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HYPOTHESIS We hypothesized that arthroscopic rotator cuff repairs using leukocyte- and platelet-rich fibrin (L-PRF) in a standardized, modified protocol is technically feasible and results in a higher vascularization response and watertight healing rate during early healing. METHODS Twenty patients with chronic rotator cuff tears were randomly assigned to 2 treatment groups. In the test group (N = 10), L-PRF was added in between the tendon and the bone during arthroscopic rotator cuff repair. The second group served as control (N = 10). They received the same arthroscopic treatment without the use of L-PRF. We used a double-row tension band technique. Clinical examinations including subjective shoulder value, visual analog scale, Constant, and Simple Shoulder Test scores and measurement of the vascularization with power Doppler ultrasonography were made at 6 and 12 weeks. RESULTS There have been no postoperative complications. At 6 and 12 weeks, there was no significant difference in the clinical scores between the test and the control groups. The mean vascularization index of the surgical tendon-to-bone insertions was always significantly higher in the L-PRF group than in the contralateral healthy shoulders at 6 and 12 weeks (P = .0001). Whereas the L-PRF group showed a higher vascularization compared with the control group at 6 weeks (P = .001), there was no difference after 12 weeks of follow-up (P = .889). Watertight healing was obtained in 89% of the repaired cuffs. DISCUSSION/CONCLUSIONS Arthroscopic rotator cuff repair with the application of L-PRF is technically feasible and yields higher early vascularization. Increased vascularization may potentially predispose to an increased and earlier cellular response and an increased healing rate.