817 resultados para COORDINATION WITHIN UN SYSTEM
Resumo:
Foreword by Alicia Bárcena
Resumo:
The current study explored the perceptions of direct care staff working in Australian residential aged care facilities (RACFs) regarding the organizational barriers that they believe prevent them from facilitating decision making for individuals with dementia. Normalization process theory (NPT) was used to interpret the findings to understand these barriers in a broader context. The qualitative study involved semi-structured interviews (N = 41) and focus groups (N = 8) with 80 direct care staff members of all levels working in Australian RACFs. Data collection and analysis were conducted in parallel and followed a systematic, inductive approach in line with grounded theory. The perceptions of participants regarding the organizational barriers to facilitating decision making for individuals with dementia can be described by the core category, Working Within the System, and three sub-themes: (a) finding time, (b) competing rights, and (c)not knowing. Examining the views of direct care staff through the lens of NPT allows possible areas for improvement to be identified at an organizational level and the perceived barriers to be understood in the context of promoting normalization of decision making for individuals with dementia.
Resumo:
In Portugal, namely in municipal museums, the reduced percentage of museum professionals that have a stable administrative position imposes a high degree of polyvalence allowing them to coordinate, often by themselves, the quotidian activities at the museum(s) they run.
Resumo:
Although interest in crossbreeding within dairy systems has increased, the role of Jersey crossbred cows within high concentrate input systems has received little attention. This experiment was designed to examine the performance of Holstein-Friesian (HF) and Jersey x Holstein-Friesian (J x HF) cows within a high concentrate input total confinement system (CON) and a medium concentrate input grazing system (GRZ). Eighty spring-calving dairy cows were used in a 2 (cow genotype) x 2 (milk production system) factorial design experiment. The experiment commenced when cows calved and encompassed a full lactation. With GRZ, cows were offered diets containing grass silage and concentrates [70:30 dry matter (DM) ratio] until turnout, grazed grass plus 1.0 kg of concentrate/day during a 199-d grazing period, and grass silage and concentrates (75:25 DM ratio) following rehousing and until drying-off. With CON, cows were confined throughout the lactation and offered diets containing grass silage and concentrates (DM ratio; 40:60, 50:50, 40:40, and 75:25 during d 1 to 100, 101 to 200, 201 to 250, and 251 until drying-off, respectively). Full-lactation concentrate DM intakes were 791 and 2,905 kg/cow for systems GRZ and CON, respectively. Although HF cows had a higher lactation milk yield than J x HF cows, the latter produced milk with a higher fat and protein content, so that solids-corrected milk yield (SCM) was unaffected by genotype. Somatic cell score was higher with the J x HF cows. Throughout lactation, HF cows were on average 37 kg heavier than J x HF cows, whereas the J x HF cows had a higher body condition score. Within each system, food intake did not differ between genotypes, whereas full-lactation yields of milk, fat plus protein, and SCM were higher with CON than with GRZ. A significant genotype x environment interaction was observed for milk yield, and a trend was found for an interaction with SCM. Crossbred cows on CON gained more body condition than HF cows, and overall pregnancy rate was unaffected by either genotype or management system. In summary, milk and SCM yields were higher with CON than with GRZ, whereas genotype had no effect on SCM. However, HF cows exhibited a greater milk yield response and a trend toward a greater SCM yield response with increasing concentrate levels compared with the crossbred cows.
Resumo:
L’intensification des pratiques agricoles a été identifiée comme cause majeure du déclin de la biodiversité. Plusieurs études ont documenté l’impact de la fragmentation du paysage naturel et de l’agriculture intensive sur la diversité des espèces, mais très peu ont quantifié le lien entre la structure du paysage et les interactions trophiques, ainsi que les mécanismes d’adaptation des organismes. J’ai étudié un modèle biologique à trois niveaux trophiques composé d’un oiseau hôte, l’hirondelle bicolore Tachycineta bicolor, de mouches ectoparasites du genre Protocalliphora et de guêpes parasitoïdes du genre Nasonia, au travers d’un gradient d’intensification agricole dans le sud du Québec. Le premier objectif était de déterminer l’abondance des espèces de mouches ectoparasites et de leurs guêpes parasitoïdes qui colonisent les nids d’hirondelles dans la zone d’étude. La prévalence de nids infectés par Protocalliphora spp. était de 70,8% en 2008 et 34,6% en 2009. Le pourcentage de nids comprenant des pupes de Protocalliphora parasitées par Nasonia spp. était de 85,3% en 2008 et 67,2% en 2009. Trois espèces de Protocalliphora ont été observées (P. sialia, P. bennetti et P. metallica) ainsi que deux espèces de Nasonia (N. vitripennis et N. giraulti). Il s’agit d’une première mention de P. bennetti et de N. giraulti dans la province de Québec. Mon deuxième objectif était d’évaluer l’impact de l’intensification agricole et de la structure du paysage sur les relations tri-trophiques entre les organismes à l’étude. Les résultats révèlent que les réponses à la structure du paysage de l’hirondelle, de l’ectoparasite et de l’hyperparasite dépendantent de l’échelle spatiale. L’échelle spatiale fonctionnelle à laquelle les espèces répondent le plus varie selon le paramètre du paysage modélisé. Les analyses démontrent que l’intensification des pratiques agricoles entraîne une diminution des populations d’oiseaux, d’ectoparasites et d’hyperparasites. De plus, les populations de Protocalliphora et de Nasonia sont menacées en paysage intensif puisque la dégradation du paysage associée à l’intensification des pratiques agricoles agit directement sur leurs populations et indirectement sur les populations de leurs hôtes. Mon troisième objectif était de caractériser les mécanismes comportementaux permettant aux guêpes de composer avec la variabilité de la structure du paysage et de la qualité des hôtes. Nos résultats révèlent que les femelles Nasonia ajustent la taille de leur ponte en fonction de la taille de la pupe hôte et de l’incidence d’hyperparasitisme. Le seul facteur ayant une influence déterminante sur le ratio sexuel est la proportion de paysage dédié à l’agriculture intensive. Aucune relation n’a été observée entre la structure du paysage et la taille des filles et des fils produits par les femelles Nasonia fondatrices. Ce phénomène est attribué aux comportements d’ajustement de la taille de la ponte et du ratio sexuel. En ajustant ces derniers, minimisant ainsi la compétition entre les membres de leur progéniture, les femelles fondatrices sont capables de maximiser la relation entre la disponibilité des ressources et la valeur sélective de leur progéniture. En conclusion, ce travail souligne l’importance de considérer le contexte spatial des interactions trophiques, puisqu’elles influencent la biodiversité locale et le fonctionnement de l’écosystème.