346 resultados para Céramique - Carreaux décoratifs
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Abstract It was in the first decade of the twentieth century that the first white china Factory was implemented in Brazil. Fruit of the association between the Sao Paulo Aristocracy and the Italian Romeo Ranzini, this factory was responsible for producing significant amounts of crockery in industrial moulds in sao Paulo, Brazil. It was also the first factory to produce decorative tiles that would be part of the architecture of the public buildings built between 1919 and 1922 in Commemoration of the Centennial of the Brazilian Independence. Known as The Santa Catharina Factory, this factory was inaugurated in 1913 with the participation of Italian immigrants and German technologies for the development of its first manufacturing activities. As a result of a number of economic, political and social matters that started in the previous century in the city of Sao Paulo, The Santa Catharina factory played an important role in industrial development as regards the production of national white china and was used as a model for the construction of new ceramic factories in Sao Paulo. After acquired by Matarazzo industries in 1927, had closed their activities in 1937. This research is based on the identification and analysis of the first tiles produced in Brazil by the Santa Catharina Factory, which were part of the architectural decorations of the buildings built in Sao Paulo to the celebration of the Centennial of the Brazilian Independence. Designed by Victor Dubugras, The Largo da Memoria (located in the city of Sao Paulo) and the buildings located in the "Paths of the Sea" road marked the beginning of Brazilian industrialization and the emergence of Neocolonial Movement in architecture of Sao Paulo. Studies of the first national patterns of decorative tiles approach a subject poorly researched by experts in tiled studies in Brazil, although in this case these tiles have represented not only an important milestone in the national industrialization, but also have demarcated the significant changes in architectural and decorative practices in the country in the early twentieth century; RESUMÈ: C'est durant la premiere decennie du XXe siecle que la premiere usine de porcelaine blanche fut implant& au Bresil. Elle fut le fruit de l'association entre l'aristocratie de Sao Paulo et l'italien Romeo Ranzini. L'usine produisait une quantite signifiante de porcelaine sur le territoire industriel de Sao Paulo. Ce fut egalement la premiere usine a produire des carreaux decoratifs qui sont aujourd'hui visibles dans l'architecture des batiments publics construit entre 1919 et 1922, pour la commemoration du centenaire de l'independance bresilienne. Connue sous le nom de Santa Catharina, cette usine fut inaugure en 1912. Elle fut construite par des émigrés Italiens, et utilisa pour la technologie allemande pour so production. En tant que resultat d'un certain nombre de questions economiques, politiques et sociales qui ont &butes durant le siecle precedent dans la ville de Sao Paulo, l'usine Santa Catharina a joue un role important dans le developpement industriel de la production de porcelaine blanche nationale et a ete utilise comme modele pour la construction de nouvelles usines de ceramique a Sao Paulo. Apres avoir ete achete par l'industrie Matarazzo en 1927, elle cessa ses activites en 1937. Cette recherche est basee sur l'identification et l'analyse des premiers carreaux decoratifs fabriques au Bresil par l'usine Santa Catharina, qui etait une partie des decorations architecturales des batiments construits a Sao Paulo pour la celebration du centenaire de l'Independance Bresilienne. Connue par Victor Dubugras, le "Largo da Memoria" (situe dans la ville de Sao Paulo), et les batiments situes sur le "Path of the Sea", ont marque le debut de l'industrialisation bresilienne et l'emergence d'un mouvement neocolonialiste dans l'architecture de Sao Paolo. L'etude des premiers modeles nationaux de carreaux decoratifs est un sujet peut etudie par les experts bresiliens, bien qu'ils furent un jalon importante pour l'industrialisation nationale. Its ont egalement entrains des changements importants dans les pratiques architecturales, et decoratives au sein du pays au XXe siecle. Mots-cles: Ceramique - carreaux decoratifs — L'usine Santa Catharina, Bresil - Production de carreaux; RIASSUNTO: Nel primo decennio del Novecento vide luce la prima fabbrica di ceramica di porcellana in Brasile. Frutto dell'associazione tra l'aristocrazia Paulista e l'italiano Romeo Ranzini, questa fabbrica fu responsabile della produzione di notevoli quantita di ceramica di porcellana mediante stampi industriali nella citta di San Paolo, Brasile. Fu anche la prima fabbrica a produrre azulejos che avrebbero poi fatto parte dell'architettura degli edifici pubblici costruiti tra it 1919 ed it 1922, per la commemorazione del Centenario dell'indipendenza Brasiliana. Conosciuta come Fabbrica di Santa Catharina, questa fu inaugurata nel 1913, con la partecipazione di immigrati italiani e con l'impiego di tecnologie tedesche per lo sviluppo delle sue prime attivita produttive. Risultato di una serie di cambiamenti economici, politici e sociali, che ebbero inizio nel secolo precedente nella citta di San Paolo, la Fabbrica di Santa Catharina svolse un ruolo importante nello sviluppo industriale per quanto riguarda la produzione di ceramica di porcellana nazionale e fu adottata come modello per la costruzione di nuove fabbriche a San Paolo. Successivamente, fu acquisita dalle industrie Matarazzo nel 1927, vedendo poi chiudersi le sue attivita nel 1937. Questa ricerca si basa sull'identificazione e l'analisi dei primi azulejos prodotti in Brasile dalla Fabbrica di Santa Catharina che fecero parte delle decorazioni architettoniche degli edifici costruiti a San Paolo per la commemorazione del Centenario dell'indipendenza Brasiliana. Progettati da Victor Dubugras, it Largo da Mem(Via (situato nella citta di San Paolo) e gli edifici che si trovano nei Caminhos do Mar marcarono l'inizio dell'industrializzazione brasiliana e la nascita del Movimento Neocolonial dell'architettura Paulista. Gli studi dei primi modelli di azulejos nazionali affrontano un argomento poco studiato dagli esperti in azulejaria in Brasile, nonostante rappresentino un importante avvenimento dell'industrializzazione nazionale, ma segnano anche i cambiamenti di significative pratiche architettoniche e decorative nel Paese nel primo Novecento. Parole chiave: Ceramica - porcellana - La fabbrica di Santa Catharina - Produzione di ceramica .
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Résumé Le travail présenté est basé sur l'analyse systématique des 145'157 fragments de céramique émanant de 2137 ensembles recueillis entre 1976 et 2003 lors de la fouille de la cathédrale Saint-Pierre. Datés entre le Ier millénaire av. J-C. et le XIXe siècle, ils témoignent de l'ampleur et de la richesse des activités menées au sein de ce site phare de la ville de Genève. Les particularités observées pour les six premiers horizons reconnus, qui couvrent une période comprise entre le Ier millénaire av. J.-C. et 40 apr. J.-C., liées aux structures a priori énigmatiques mises en évidence lors de la fouille, ont orienté le champ d'étude vers une compréhension fine du mobilier recueilli dans ces strates anciennes. Ainsi cadrée, l'étude s'est concentrée sur 237 complexes céramiques ayant livré 23'129 fragments. La corrélation stratigraphique menée sur les 8000 m2 de terrain fouillé a permis de porter l'analyse sur la répartition spatiale du corpus considéré. Développée également sur le plan diachronique, cette démarche a largement contribué à la définition des activités menées sur le site. Ainsi, la concentration de fragments de panses d'amphore et de vaisselle de table importée de Campanie au pied d'un tertre mis en évidence sous le choeur de la cathédrale a conduit à reconnaître l'existence d'un banquet funéraire témoignant de l'ensevelissement sous tumulus d'un aristocrate allobroge décédé entre 120 et 70 av. J.-C. Réparties sur la totalité de la surface occupée par la nef de la cathédrale et des rues la flanquant, les quelques 1024 coupes à boire de La Tène finale mises au jour ont quant à elles permis d'identifier les surfaces de gravier qu'elles scellaient comme une aire de rassemblement ayant abrité des banquets tenus périodiquement. Le maintien de ces activités rituelles et collectives jusqu'au milieu du Ier siècle de notre ère conclut l'analyse diachronique. La mise en perspective historique des données recueillies sur le terrain souligne l'importance de l'antique oppidum extremum des Allobroges, dont le sort fut en 58 av. J.-C. à l'origine de la Guerre des Gaules.
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[Vente. Art. 1912-02-05. Paris]
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Cette étude porte sur les 1829 graffiti sur céramique d'époque gallo-romaine retrouvés sur le site d'Avenches. Ils offrent de précieux repères pour estimer les effets de la romanisation et les persistances des traditions indigènes. Soumis à un examen attentif combinant les approches linguistique, iconographique, céramologique, spatiale et chronologique, ils nous renseignent sur certains domaines, comme les pratiques religieuses, les modes de consommation, les usages commerciaux et le système de mesure employé, mais également sur la composition de la société, via les tendances onomastiques. Les dessins et les graffiti indéterminés, qui sont difficiles ou impossibles à comprendre, permettent néanmoins de susciter la réflexion sur plusieurs questions, comme la valeur des symboles et de certains dessins, le sens des graffiti équivoques. Les informations épigraphiques, la restitution des inscriptions et l'étude de l'alphabet fournissent également des renseignements importants sur l'écriture, la langue, l'éducation et le degré d'alphabétisation de la population. Se rapportant à une autre catégorie de la population d'Avenches, celle des artisans, les quelques graffiti ante cocturam livrent quant à eux des informations concernant l'organisation sociale et l'histoire des artisans. Combiner les résultats obtenus dans différents domaines est primordial pour comprendre le phénomène des graffiti à Avenches durant l'époque romaine. Deux questions reviennent systématiquement dans chacun de nos chapitres : l'identité des auteurs des graffiti et la signification du message gravé. Cette dernière est parfois limpide ; plus souvent elle donne lieu à diverses interprétations. Mais qui sont les scripteurs ? Certaines couches de la société sont-elles à exclure ou à privilégier ? On sait que l'élite des helvètes avait obtenu très tôt la citoyenneté romaine, mais les utilisateurs des récipients appartenaient-ils à cette élite ? En principe, tout un chacun avait la possibilité d'inscrire son nom sur un récipient, qu'il fût de basse extraction ou qu'il se trouvât au somment de la hiérarchie sociale de la cité. Ce sont les circonstances qui conduisent un individu à graver son nom sur un récipient : pour éviter de le perdre, pour qu'on ne l'utilise pas, ou pour le reconnaître à l'occasion d'une célébration, dans un cadre communautaire. Vu la prédominance des noms latins indigènes et gaulois, les nombreux noms grecs et la rareté des noms italiens, faut-il déduire que les scripteurs appartenaient aux couches basses et moyennes de la population ? Ce serait faire fi des mises en garde et des précautions appliquées tout au long de l'étude. D'un point de vue terminologique, il apparaît que la formule « marque de propriété » est une appellation générique se rapportant à un geste bien précis, mais réalisé dans des circonstances très variables. Les auteurs des graffiti ne composent en tout cas pas un groupe homogène. Des femmes, des hommes et peut-être des enfants ont laissé leurs traces sur les récipients. Leur statut, leur condition sociale et leur origine ne sont pas aisés à identifier. L'origine des noms révèle des tendances sur la mode onomastique, tandis que la forme qu'ils revêtent en relation avec le statut de la ville nous conduit à d'intéressantes constatations diachroniques sur l'onomastique de la population d'Avenches. La présence des indications chiffrées et des abréviations codifiées est à mettre en relation avec les besoins domestiques, de la cuisine et de l'approvisionnement, avec le monde du commerce et de l'artisanat, pour la vente ou pour le contrôle de la production. La variété des écritures est probablement liée au support et au type de message inscrit, mais elle témoigne également d'une production épigraphique provenant d'un spectre relativement large de la population, qui se tourne vers cette pratique de l'écrit pour répondre à des besoins quotidiens.
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Fruit d'une thèse de doctorat, cet ouvrage se propose de comparer les rythmes et les modalités de l'acculturation des populations de Gaule interne, de la première moitié du iie s. av. J.-C. au début du ier siècle de notre ère au moyen de l'étude de la céramique fine, dont le répertoire évolue très rapidement pendant la période. Basée sur les données d'une vingtaine de sites urbains (oppida, capitales de cité, vici) répartis en trois aires géographiques (Centre, Est et Centre-Ouest), cette étude propose une présentation céramologique classique, mais aussi des modes d'analyse nouveaux comme le calcul d'un indice de romanisation pour évaluer et comparer le degré d'acculturation des ensembles retenus. Différentes méthodes statistiques, comme des sériations graphiques ou des analyses factorielles des correspondances, sont par ailleurs employées pour mettre en évidence les aspects qualitatifs du phénomène d'acculturation et décomposer son processus en trois niveaux principaux. Illustrés par des tableaux synoptiques et par des cartes, les résultats des calculs d'indices de romanisation permettent d'identifier différents facteurs favorisant de manière évidente la romanisation de la vaisselle dite de table, comme la proximité de la Provincia, une localisation sur un axe majeur (Rhône/Saône, Loire) ou le dynamisme de grands centres d'échanges fréquentés par les mercatores romains (l'oppidum de Bibracte, notamment). Ces traitements statistiques permettent également de mettre en évidence des retards dans l'acculturation de certains peuples qui pourraient s'expliquer par leur hostilité envers Rome. Le phénomène est notamment illustré par les Helvètes, voisins de la Transalpina depuis 120 av. J.-C., dont la vaisselle fine est très peu romanisée avant l'intégration de ce peuple dans l'Empire, puis atteint rapidement après cet événement des niveaux particulièrement élevés. L'auteur propose enfin des réflexions sur la portée réelle des phénomènes observés en termes de romanisation de la vie quotidienne, une mutation technique et stylistique des récipients n'impliquant pas forcément l'adoption de nouvelles pratiques alimentaires.