1000 resultados para Boxeurs -- Entraînement -- France
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Référence bibliographique : Rol, 58523
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Référence bibliographique : Rol, 58524
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Référence bibliographique : Rol, 59249
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Le désir de trouver des outils pour rendre moins ardue l'adaptation des jeunes enseignantes et des jeunes enseignants à la profession enseignante est à l'origine de cette recherche. En effet, des statistiques alarmantes révèlent un taux très élevé d'abandon de la profession dans les cinq premières années d'enseignement au secondaire. La gestion de classe est reconnue dans la documentation scientifique comme une des principales difficultés éprouvées par les enseignantes et les enseignants débutants. Malgré toute la préparation liée, en grande partie, à la phase préactive de l'enseignement, la gestion des imprévus, une fois en classe, pose problème aux novices, puisqu'ils ne disposent pas d'un répertoire expérientiel suffisant pour faire face à une grande variété de situations. Cependant, avec le temps, les enseignants développent une certaine assurance qui les rend moins vulnérables devant les imprévus qui surviennent en classe, notamment en raison de leur capacité à improviser. Cette aisance manifestée par des enseignantes et des enseignants expérimentés devant toutes sortes de situations en classe semble établir un lien très étroit entre l'improvisation et une gestion de classe efficace, en particulier lorsque se présentent des situations non planifiées. Holborn (2003), à partir des travaux de Schön (1983) sur le processus de réflexion-en-action, établit un lien entre l'improvisation et l'enseignement de même que Yinger (1987) et Tochon (1993b). Durand (1996) et Le Boterf (2002) permettent de situer l'acte d'improviser à l'intérieur d'un système complexe de connaissances préalables ou complémentaires et font émerger l'idée que cette capacité puisse se développer autrement que par l'expérience. Les travaux de Sawyer (2004) et Lobman (2005), quant à eux, tissent des liens entre une formation en improvisation théâtrale et la gestion des interactions en classe. La recension des écrits révèle qu'une bonne partie de l'expertise en classe s'explique par l'utilisation de l'improvisation. Curieusement, mis à part Sawyer (2004) et Lobman (2005), aucun auteur ne semble considérer l'entraînement à l'improvisation comme un outil permettant d'apprendre à réagir face aux imprévus. Si Lobman (2005) démontre, en partie, qu'un entraînement à l'improvisation théâtrale peut avoir des incidences sur la gestion des interactions des enseignantes et des enseignants du préscolaire, aucune autre étude ne révèle les incidences que pourraient avoir les habiletés acquises dans un entraînement à l'improvisation sur la gestion des imprévus en classe chez des enseignantes et des enseignants du secondaire. C'est la raison pour laquelle cette recherche poursuit l'objectif d'expliciter la perception d'enseignantes et d'enseignants des composantes de leur entraînement à l'improvisation actives dans la gestion des imprévus en classe du secondaire. Pour atteindre cet objectif, une méthodologie qualitative est mise en oeuvre. Le cadre de collecte des données repose sur des entrevues semi-dirigées auprès d'enseignantes et d'enseignants ayant reçu ou non un entraînement à l'improvisation. La stratégie d'analyse utilisée s'inspire de l'analyse par théorisation ancrée de Paillé (1994) en empruntant les deux premières étapes de cette stratégie: la codification et la catégorisation. Par la suite, une schématisation préliminaire permet la mise en relation des composantes et alimente l'interprétation des résultats. Les résultats révèlent que la vigilance et la rapidité d'exécution interviennent directement dans le processus de gestion des imprévus en classe du secondaire et apparaissent comme étant exclusives aux enseignantes et enseignants ayant reçu un entraînement à l'improvisation. La discussion des résultats met non seulement en parallèle ces résultats avec les travaux de Tochon (1993b) et ceux de Yinger (1987) qui établissent un lien entre l'improvisation et la rapidité d'exécution, mais également avec les travaux de Nault (1998) sur l'hypersensitivité, concept inspiré du withitness de Kounin (1970) et des travaux de Doyle (1986) sur l'interactivité dans l'enseignement. De plus, un lien significatif est établi avec les études de Sawyer (2004) et Lobman (2005) au sujet du développement de la vigilance chez les sujets ayant reçu un entraînement à l'improvisation théâtrale. L'entraînement à l'improvisation offre d'intéressantes possibilités, notamment en ce qui a trait au développement de la compétence en gestion de classe chez les novices. Ainsi, en offrant des outils permettant à ces derniers d'atténuer le choc de la réalité à leurs débuts, ce moyen de formation pourrait contribuer, ultimement, à diminuer le taux d'abandon de la profession.
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Référence bibliographique : Rol, 60168
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Référence bibliographique : Rol, 61749
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Référence bibliographique : Rol, 61751
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Référence bibliographique : Rol, 61752
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Référence bibliographique : Rol, 61753
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What is the secret mesmerism that death possesses and under the operation of which a modern architect – strident, confident, resolute – becomes rueful, pessimistic, or melancholic?1 Five years before Le Corbusier’s death at sea in 1965, the architect reluctantly agreed to adopt the project for L’Église Saint-Pierre de Firminy in Firminy-Vert (1960–2006), following the death of its original architect, André Sive, from leukemia in 1958.2 Le Corbusier had already developed, in 1956, the plan for an enclave in the new “green” Firminy town, which included his youth and culture center and a stadium and swimming pool; the church and a “boîte à miracles” near the youth center were inserted into the plan in the ’60s. (Le Corbusier was also invited, in 1962, to produce another plan for three Unités d’Habitation outside Firminy-Vert.) The Saint-Pierre church should have been the zenith of the quartet (the largest urban concentration of works by Le Corbusier in Europe, and what the architect Henri Ciriani termed Le Corbusier’s “acropolis”3) but in the early course of the project, Le Corbusier would suffer the diocese’s serial objections to his vision for the church – not unlike the difficulties he experienced with Notre Dame du Haut at Ronchamp (1950–1954) and the resistance to his proposed monastery of Sainte-Marie de la Tourette (1957–1960). In 1964, the bishop of Saint-Étienne requested that Le Corbusier relocate the church to a new site, but Le Corbusier refused and the diocese subsequently withdrew from the project. (With neither the approval, funds, nor the participation of the bishop, by then the cardinal archbishop of Lyon, the first stone of the church was finally laid on the site in 1970.) Le Corbusier’s ambivalence toward the project, even prior to his quarrels with the bishop, reveals...