7 resultados para Bothriurus
Resumo:
Bothriurus pichicuy, a new scorpion species from the center coast of Chile, is described. It belongs to the vittatus species-group, and differs from the others species in the group by the pigmentation patterns of the prosoma, mesosoma and venter of metasoma, by the development and arrangement of the ventral keels of caudal segment V, and for its small size. The species is the only representative of the vittatus species-group that lives in sympatry with another Bothriurus species: B. coriaceus Pocock, 1893, from the coastal desert of Chile. Records of B. pichicuy came from the provinces of Petorca and Choapa.
Resumo:
Foi realizado levantamento de escorpiões em serrapilheira de três tipos de formações vegetais (florestas primárias, florestas secundárias e silviculturas) em área de Floresta com Araucária no Sul do Brasil. Para a coleta foram utilizadas armadilhas de queda ao longo de 20 meses. No total foram amostrados 165 escorpiões de apenas uma espécie identificada como Bothriurus signatus Pocock, 1893. Machos foram mais abundantes que fêmeas e jovens. A espécie foi mais abundante em áreas de floresta primária e silvicultura do que na floresta secundária. A maior atividade dos escorpiões foi registrada durante a primavera. O comprimento total dos escorpiões adultos coletados variou de 3,05 a 4,52 cm sendo que machos foram significativamente maiores que fêmeas. Nenhuma fêmea grávida foi registrada entre os indivíduos coletados.
Resumo:
We present new data on litter size and date of birth (month) for 21 South American scorpions species. We provide data for one katoikogenic species, the liochelid Opisthacanthus cayaporum Vellard, 1932 (offspring = 3; birth month: Jan); and for several apoikogenic species, such as the bothriurids Bothriurus araguayae Vellard, 1934 (53; Sep), B. rochensis San Martín, 1965 (22-28; Jan, Aug); the buthids Ananteris balzanii Thorell, 1891 (10-34; Jan-Mar), Physoctonus debilis (Koch, 1840) (2; Sep), Rhopalurus amazonicus Lourenço, 1986 (19; Nov), R. lacrau Lourenço & Pinto-da-Rocha, 1997 (30; Dec), R. laticauda Thorell, 1876 (41; Nov), R. rochai Borelli, 1910 (11-47; Dec-Jan, Mar-Apr), Tityus bahiensis (Perty, 1833) (4-23; Oct-Mar), T. clathratus Koch, 1844 (8-18; Nov-Jan), T. costatus (Karsch, 1879) (21-25; Jan, Apr), T. kuryi Lourenço, 1997 (4-16; Mar), T. mattogrossensis Borelli, 1901(8-9; May), T. obscurus (Gervais, 1843) (16-31; Jan-Feb, May, Jul), T. serrulatus Lutz & Mello, 1922 (8-36; Dec, Feb-Apr), T. silvestris Pocock, 1897 (5-14; Dec-Jan, Apr), T. stigmurus (Thorell, 1876) (10-18; Nov, Jan, Mar), Tityus sp. 1 (T. clathratus group - 7-12; Feb-Apr), Tityus sp. 2 (T. bahiensis group - 2; Mar); and the chactid Brotheas sp. (8-21; Jan, Apr). We observed multiple broods: R. lacrau (offspring in the 2nd brood = 27), T. kuryi (6-16), T. obscurus (2-32), T. silvestris (8), T. stigmurus (4-9), T. bahiensis (offspring in the 2nd brood = 2-18; 3rd = 1), and T. costatus (2nd brood = 18; 3rd = 4). We found statistically significant positive correlation between female size and litter size for T. bahiensis and T. silvestris, and nonsignificant correlation for T. serrulatus.
Resumo:
A fauna escorpionica do Brasil é constituida de 37 especies e uma variedade, pertencentes a 4 familias e 10 generos. São as seguintes: FAM. BUTHIDAE. 1. Genero Ananteris - Com a especie A. balzani. 2 Genero Isometrus - Com a especie I. maculatus. 3. Genero Tityus - com as especies: T. microcystis, T. magnimanus, T. metuendus, T. cambridgei, T. duckei, T. paraensis, T. mattogrossensis, T. paraguavensis, T. pusillus, I. silvestris, T. intermedius, T. stigmurus, T. baiensis, T. costatus, T. trivittatus, T. dorsomaculatus, T. serrulatus. 4. Genero Rhopalurus - Com as especies: R. agamemnon, R. debilis, R. stenocuirus, R. melleipalpus, R. barythemar, R. rochai, R. acromelas, R. borelli, R. laticauda. FAM. SCORPIONIDAE. 5. Genero Diplocentrus - Com a especie: D. gundlachi. FAM. CHACTIDAE. 6. Genero Broteas. Com as especies: B. gervaisii. 7. Genero Broteochacatas - Com as especies B. parvulus e B. delicatus. FAM. BOTHRIURIDAE 8. Genero Bothriurus - Com as especies: B. bonariensis, B.signatus a var asper de B. bonariensis. 9. Genero Thestylus - Com a especie T. glasioui. 10. Genero Urophonius - Com a especie U. brachycentrus. De um modo eschematico, pode-se dizer que a fam. Bothriuridae está limitada ao sul do paiz e as fam. Chactldae e Scorpionidae limitadas ao norte (bacia amazonica). A fam. Buthidae se distribue do seguinte modo: o gen. Ananteris é limitado a Matto Grossoo gen. Isometrus é cosmopolita, o gen. Rhopalurus predomina no nordeste brazileiro e o genero Tityus é representado em todo o paiz, ao norte pelos grupos Cambridgei (bacia amazonica) e pusillus (bacia amazonica e Estado do Matto Grosso), no centro e sul pelo grupo stigmurus. No Estado de Minas predominam as especies T. bahiensis e T. serrulatus, aquella em Ouro-Preto, e esta em Bello Horizonte, Santa Barbara, Itabira. etc. Das especies referidas, 6 foram descriptas pelo auctor em collaboração ccm ADOLPHO LUTZ. São as seguintes: T serrulatus, T. dorsomaculatus, T. microcystis, T. intermedius, R. acromelas e R. melleipalpus.
Resumo:
Nous avons travaillé à Bello Horizonte, Etat de Minas, avec le venin de 4 espèces de Scorpions: Tityus bahiensis (C. L. KOCK, 1836). Tityus serrulatus (LUTZ-MELLO, 1922). Tityus dorsomaculatus (LUTZ MELLO, 1922). Bothriurus (espèce em étude), sur un total de 13.640 individus. Nous avons essayé et observe laction du venin sur 97 espèces differentes dêtres vivants depuis les chlamydozoaires jusquà l«Homo sapiens». Nous avons cherché à déterminer une unité toxique «plus précise, plus régulierè». Les étalons dits «unité vésicule», «unité morsure» sont inconstants et sans rigueur. Tout au plus, peuvent ils server à létude de laction générale du venin, et cela meme, dans certains cas seulement. Nous avons employé la pesée pour determiner lunité toxique. Ce qui est important pour qui étudie ces sujets ce nest pás lê nombre de vésicules, mais bien la quantité de venin humide ou desséché quelles contiennent. La balance, pour notre travail, est um moyen indicateur de bien plus grande précision que la «vésicule» ou la «morsure». Nous sommes parvenus à prouver quil existe une relation constante entre le poid brut des vésicules et la quantité de venin humide ou desséché quelles contiennent dans leur intérieur. Donc em pesant les vésicules, nous pesons indirectement le venin. Peu nous importe quil y ait 10 ou 100 vésicules. Il nous importe seulement de savoir combien elles pèsent, et de déterminer par ce fait, la quantité proportionnelle de vain pur. La technique générale est la suivante: Nous pesons um certain nombre de vésicules. Nous triturons ensuite, dans um mortier stérilisé et nous emulsionnons, par laddition consécutive deau distillée, stérilisée. Nous filtrons lémulsion sur le papier filtre employé em chimie, préalablement taré et desséché dans une atmosphere de chlorure de calcium. Après le filtrage on sèche à nouveau les papiers filtre employés d'abord à l'étuve et ensuite dans la même atmosphère de chlorure de calcium. Nous pesons plusieurs fois et on obtient la moyenne de ces pesées. On soustrait de cette dernière pesée le taux des substances non venimeuses, glandulaires, également dissoutes et calculées à 23 du poids brut et celles retenues par les papiers,-on obtient ainsi la moyenne réelle du venin pur contenu dans les vésicules utilisèés. Une simple divisiôn suffit pour fixer la moyenne de chacune. Ces données ont été vérifiées par les expériences faites avec du venin pur, largement obtenu dans notre Laboratoire. Nous avons trouvé de la sorte pour une vésicule de Tityus serrulatus: 0,gr.000,386 de T. bahiensis: 0,gr.001.261.24 de venin pur ce qui donne. 7/15,96 pour la 1ère. 1/8,36 pour la 2ème du poids sec de chaque vésicule. Le poids sec, pour une moyenne obtenue de 1.000 vésicules, fut de 0,gr.008,236 pour Tityus bahiensis. Maximum 0,gr.011. Minimum 0,gr.004.4 pour chacun. Pour Tityus serrulatus, en 1.049 vésicules le poids fut de 0,gr.006,08. Maximum 0,gr.014.03. Minimum 0,gr.003,1 pour chacun. C'est pour cette raison que l'unité-vésicule est incertaine. 2 poules A et B.; l'une, A, pesant 2 K.030 gr. reçoit dans une veinè, une émulsion en sèrum physiologique à 8,50/%, stérilisé, de 19 vésicules totales de Tityus serrulatus, et présence de légers phénomènes toxiques. L'autre, B, pesant 2 K.320 gr. meurt avec tous les phénomènes classiques de l'empoisonnement, par l'injection endoveineuse del'émulsion de 16 vésicules totales de venin de Tityus serrulatus! Les premières 19 vésicules pesaient 0,gr.58; les 16 derniéres-84 milligrammes. Les premières contenaient 0,gr.003. 634 et les secondes 0,gr.005.263 de venin pur! La moyenne obtenue de 6346 scorpions, (entre T. bahiensis et T. serrulatus) nous a fourni pour chacun: 0,gr.000,131,53 de venin pur, par piqûre. Si l'on spécifie: Pour 5.197 T. bahiensis. La moyenne pour une piqûre est 0,gr.000.106.15. Pour 1.149 T. serrulatus, la moyenne pour une piqûre est.......0,gr.000.246.30. La quantité a varié, selon les individus, de 0,gr.000.035.71, à 0,gr.000.436.01 de venin pur, pour une piqûre. D'après ce qui vient d'étre dit, on peut voir combien la quantité de venin éjaculé varie, chaque fois, chez les scorpions. L'unité-piqûre ne peut done pas ètre utiliseé pour des expériences dèlicates. Le mieux est de se servir de venin pur, et c'est ce que nous avons fait pour les expériences minutieuses. Quand on n'en possède pas, on peut établir pour chaque série des expériences à tenter-la dose minima mortelle en poids (grammes et fractions) de vésicules. D'après les bases ici consignées, et avec une trés petite erreur, on peut calculer la quantité de venin pur de cette dóse. Ce calcul est d'ailleurs dispensable. On peut s'en rapporter simplement au poids sec des vésicules totales et dire que la D. m. m. est de tant de milligr. secs. Comme le venin se conserve mal dans les vésicules, il faut, dans ce procédé, doser la D. m. m. toutes les fois que l'on veut procéder á une sériê d'expériences. Le venin desséché rappelle, d'après le temps de conservations au Laboratoire, celui de Crotatus terrificus et celui des Lachesis (quand il est vieux). Il est retenu au passage en partie, par les bougies Berkfeld et Chamberland. La conservation en état de dessication est la meilleure. Ainsi gardé, à l'abri de la lumierè, aux approches de 0,gr., pendant 8 mois, il perd à peine 1,2 à 1,4 de sa valeur primitive. L'echauffement à 100 gr. trouble une dissolution de venin dans l'eau distilleé; sans atteindre toutefois son pouvoir toxique, quand on l'injecte par la voie intra-cérébrale. Nous avons fait l'experience par 11 voies diverses. Sur des animaux sensibles, nous n'avons pas obtenu de phénomènes toxiques, apparemment, par les voies suivantes: 1) buccale; 2) gastrique; 3) rectale; 4) chambre oculaire antérieure; 5) cornéenne; 6) trachéenne; 7) meningée {sur; intra; 8) simple contact, bien que direct, avec le systemè nerveux central. La gravité des phènomènes décroît suivant l'échelle ci-dessous: 1) intra-cérébrale...
Resumo:
The order Scorpiones is one of the most cytogenetically interesting groups within Arachnida by virtue of the combination of chromosome singularities found in the 59 species analyzed so far. In this work, mitotic and meiotic chromosomes of 2 species of the family Bothriuridae were detailed. This family occupies a basal position within the superfamily Scorpionoidea. Furthermore, review of the cytogenetic data of all previously studied scorpions is presented. Light microscopy chromosome analysis showed that Bothriurus araguayae and Bothriurus rochensis possess low diploid numbers compared with those of species belonging to closely related families. Gonadal cells examined under light and in transmission electron microscopy revealed, for the first time, that the Bothriuridae species possess typical monocentric chromosomes, and male meiosis presented chromosomes with synaptic and achiasmatic behavior. Moreover, in the sample of B. araguayae studied, heterozygous translocations were verified. The use of techniques to highlight specific chromosomal regions also revealed additional differences between the 2 Bothriurus species. The results herein recorded and the overview elaborated using the available cytogenetic information of Scorpiones elucidated current understanding regarding the processes of chromosome evolution that have occurred in Bothriuridae and in Scorpiones as a whole.
Resumo:
Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)