885 resultados para Biodiversity, traditional medecine, medicinal plants, Westafrica (Benin)
Resumo:
Im Zentrum der vorliegenden Untersuchung steht die Nutzung von Medizinalpflanzen vor dem Hintergrund einer zurückgehenden Phytodiversität in Nordbenin. Die Dissertation ba-siert auf ethnologischen Forschungen, die in das interdisziplinäre Forschungsprojekt BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa) eingebunden sind. Das BIOTA-Projekt untersucht die Wirkung menschlichen Handelns (insbesondere Nutzung) auf die Biodiversi-tät und versucht aus diesen Erkenntnissen Maßnahmen zum Erhalt der biologischen Vielfalt abzuleiten. Die vorliegende Studie basiert auf einem 13-monatigen Feldforschungsaufenthalt im Zeitraum von April 2004 bis August 2006 in der nordbeninischen Gemeinde Ouassa-Pehunco. Meine Informanten sind überwiegend traditionelle Heiler, mit denen ich standardi-sierte und offene Interviews durchführte, deren Behandlungsverfahren und Heilzeremonien ich teilnehmend beobachtete sowie dokumentierte und auf deren Initiative hin ich mich bei dem Aufbau eines Medizinalpflanzengartens einbrachte (cf. Kap. 1). In diesem Forschungsfeld situiere ich mich mit der Frage nach dem Einfluss einer verän-derten Pflanzenvielfalt auf die traditionelle medizinische Versorgung der Baatombu Nordbe-nins. Die Beantwortung dieser Frage erfolgt in mehreren Schritten. 1. Die Phytodiversität nimmt, wie von naturwissenschaftlicher Seite bestätigt, in der Region ab. 2. Lokale Heilkun-dige nehmen diesen Rückgang an verfügbaren Heilpflanzen ebenso wahr. 3. Die Abnahme der Pflanzenbestände führen die Heiler vor allem auf den Baumwollanbau und die demogra-fischen Entwicklungen der Region zurück - dies entspricht ebenfalls den Auffassungen von Naturwissenschaftlern, die eine Verdichtung der landwirtschaftlichen Bodennutzung fest-stellten. 4. Heilkundige und Heilpflanzenverkäuferinnen vermerken eine zunehmende Nach-frage nach lokaler Pflanzenmedizin aufgrund der steigenden Bevölkerungszahlen. 5. Die pflanzenbasierte Gesundheitsversorgung der lokalen Bevölkerung ist jedoch relativ gesi-chert, da die Heiler sich alternativ wirkender Medizinalpflanzen bedienen, ihre Therapiefor-men der veränderten Lage anpassen (z.B. geringere Dosierungen) und sie regelmäßig genutz-te Pflanzen im Medizinalpflanzengarten Guson wieder anpflanzen. Ein wichtiger Aspekt der Arbeit ist, dass die Heilpraktiken der Baatombu nicht allein auf naturheilkundlichem Erfahrungswissen beruhen, sondern in magisch-religiöse Vorstellungen eingebettet sind (cf. Kap. 2). Demzufolge untersuche ich die lokalen Krankheits- und Ge-sundheitsvorstellungen und die symbolischen Klassifikationen von Heilpflanzen und Krank-heiten (cf. Kap. 3). Ich stellte fest, dass nach Auffassung von Heilkundigen soziokulturelle Faktoren wie der Zeitpunkt und der Ort einer Sammlung sowie entsprechende Ernte-Rituale die medizinische Wirksamkeit von Pflanzen maßgeblich bedingen (cf. Kap. 5). Die Umwelt-klassifikation der Heiler (Landschafts- und Vegetationstypen) richtet sich demzufolge nach dem medizinischen Wert, den sie einer Heilpflanze zuschreiben (cf. Kap.4). Basierend auf diesen Erkenntnissen wurde von einigen engagierten Heilern und mit Un-terstützung von BIOTA, der GTZ und der Deutschen Botschaft der Medizinalpflanzengarten Guson eingerichtet, der eine Antwort auf die regionale Ressourcenverknappung darstellt und in seiner Anlage dem lokalen ökologischen und heilkundlichen Wissen der Heiler entspricht (cf. Kap. 6). Den Anwendungsbezug der Forschung nutzten die Heiler, um sich als Interes-sensgemeinschaft für den Erhalt der benötigten pflanzlichen Ressourcen einzusetzen.
Medicinal plants used by "Passo da Ilha" rural community in the city of Pato Branco, southern Brazil
Resumo:
O objetivo deste trabalho foi resgatar e documentar o conhecimento popular referente às plantas medicinais utilizadas na comunidade rural do Passo da Ilha, em Pato Branco-PR (26° 11' S, 52°36' W e 760 m de altitude). Optou-se por utilizar o modelo de entrevista estruturada com 16 informantes, os quais possuíam o conhecimento sobre o uso das plantas medicinais em suas famílias. O período da realização das entrevistas foi de outubro a dezembro de 2000. As plantas foram coletadas no campo, identificadas e vouchers foram depositados no Herbário Irina Delanova de Gemtchjnicov (BOTU) da Universidade Estadual Paulista, em Botucatu-SP. Foram identificadas 47 famílias botânicas e 114 espécies de plantas medicinais. Estas plantas foram indicadas para mais de 30 usos medicinais diferentes. A comunidade é composta na maioria por descendentes de europeus, justificando a presença de muitas plantas exóticas. O domínio do uso das plantas é feminino, porém o conhecimento é menor nas gerações mais novas, denotando um processo de erosão cultural.
Resumo:
La prévalence de l’obésité, du diabète de type 2, et du syndrome métabolique, sont à la hausse chez les Cris d’Eeyou Istchee (CEI-Nord du Québec). Ces problèmes sont aggravés par leur diète non traditionnelle, leur sédentarité, ainsi que par une résistance culturelle aux produits pharmaceutiques. Afin de développer des traitements antidiabétiques culturellement adaptés, notre équipe a effectué une enquête ethnobotanique qui a identifié 17 plantes provenant de la pharmacopée traditionnelle des CEI. À partir des études de criblage effectuées in vitro, deux plantes parmi les 17 ont attiré notre attention. Populus balsamifera L. (Salicaceae) pour ses propriétés anti-obésité et Larix laricina K. Koch (Pinaceae) pour ses propriétés antidiabétiques. P. balsamifera et son composé actif salicortin ont inhibé l’accumulation de triglycérides durant l’adipogénèse dans les adipocytes 3T3-L1. L. laricina a augmenté le transport de glucose et l’activation de l’AMPK dans les cellules musculaires C2C12, l’adipogénèse dans les 3T3-L1 et a démontré un fort potentiel découpleur (propriété anti-obésité). Les objectifs de cette thèse sont d'évaluer les potentiels anti-obésité et antidiabétique et d’élucider les mécanismes d'action de P. balsamifera, salicortin, et L. laricina chez la souris C57BL/6 rendue obèse par une diète riche en gras (HFD). Les souris ont été soumises pendant huit (étude préventive) ou seize semaines (étude traitement) à une HFD, ou à une HFD dans laquelle P. balsamifera, salicortin, ou L. laricina a été incorporé soit dès le départ (prévention), ou dans les 8 dernières des 16 semaines d'administration de HFD (traitement). iv Les résultats démontrent que P. balsamifera (dans les deux études) et salicortin (évalué dans l’étude traitement) diminuent: le poids corporel, le gras rétropéritonéal, la sévérité de la stéatose et l’accumulation de triglycérides hépatique (ERK impliqué), les niveaux de glycémie et d'insuline, et le ratio leptine/adiponectine. Dans les deux études, P. balsamifera a significativement réduit la consommation de nourriture mais cet effet coupe-faim nécessite d’être approfondi. Dans l'étude préventive, P. balsamifera a augmenté la dépense énergétique (hausse de la température à la surface de la peau et de l’activation de la protéine découplante-1; UCP-1). Les voies de signalisation activées par P. balsamifera et par salicortin (de façon plus modeste) sont impliquées dans: la production de glucose hépatique (Akt), l’expression de Glut4 dans le muscle squelettique, la captation du glucose et du métabolisme des lipides (Akt dans le tissu adipeux), la différenciation des adipocytes (ERK et PPARg), l’inflammation dans le foie (IKKαβ), et l'oxydation des acides gras dans le muscle, le foie, ou le tissu adipeux (PPARa et CPT-1). D’autre part, L. laricina a également diminué les niveaux de glycémie et d’insuline, le ratio leptine/adiponectine, le gras rétropéritonéal et le poids corporel. Ces effets ont été observés en conjonction avec une augmentation de la dépense énergétique: hausse de température à la surface de la peau (prévention) et amélioration de la fonction mitochondriale et de la synthèse d'ATP (traitement). En conclusion, l’utilisation de P. balsamifera, salicortin et L. laricina comme des traitements alternatifs et culturellement adaptés aux CEI représente une contribution importante dans la prévention et le traitement de l’obésité et du diabète.
Resumo:
Nous avons utilisé une approche ethnobotanique pour identifier des espèces de plantes utilisées par les Cris afin de traiter les symptômes du diabète de type 2. Larix laricina du Roi (L. laricina) a récemment été identifiée comme une des meilleures plantes qui a stimulé le transport de glucose dans les cellules C2C12 et fortement potentialisé la différenciation des 3T3-L1 en indiquant une sensibilité potentiellement accrue à l’insuline. Ensuite, ces études de criblage ont été effectuées sur des extraits éthanolique (EE) en utilisant une série de bioessais in vitro. Cependant, les préparations traditionnelles des plantes sont souvent faites avec l’eau chaude. Le but de cette thèse de doctorat était d’isoler les principes actifs de L. laricina par un fractionnement guidé par l’adipogenèse; d’évaluer et de comparer l’activité et les mécanismes antidiabétiques des EE et des extraits aqueux (HWE) de ces 17 plantes. Pour le fractionnement de L. laricina, on a isolé plusieurs composés connus et identifié un nouveau composé actif cycloartane triterpene, qui a amélioré fortement l’adipogenèse et a été responsable en partie de l’activité adipogénique (potentiellement similaire à l’effet sensibilisateur à l’insuline des glitazone) de l’extrait éthanolique issu de l’écorce de L. laricina. Pour le métabolisme lipidique, nos résultats ont confirmé que 10 parmi les 17 EE ont augmenté la différenciation des adipocytes alors que 2 extraits seulement l’ont inhibée. Les HWE ont montré une faible activité adipogénique ou antiadipogénique. Les EE de R. groenlandicum et K. angustifolia ont le PPAR γ (peroxisome proliferator-activated receptor γ), le SREBP-1 (sterol regulatory element binding protein-1) et le C/EBP (CCAAT-enhancer binding proteins) α, alors que ceux de P. balsamifera et A. incana les ont inhibés. L’effet inhibiteur de P. balsamifera a également été prouvé d’avoir impliqué l’activation de la protéine kinase activée par l’AMP (AMPK). Les EE et HWE de R. groenlandicum ont stimulé les mêmes facteurs de transcription alors que les extraits aqueux d’autres plantes sélectionnées ont perdu ces effets en comparaison avec leurs extraits éthanoliques respectifs. L’analyse phytochimique a également identifié le groupe des espèces actives et inactives, notamment lorsque les espèces ont été séparées par famille de plante. Finalement concernant l’homéostasie de glucose, nos résultats ont confirmé que plusieurs EE ont stimulé le transport de glucose musculaire et inhibé l’activité de la glucose-6-phosphatase (G6Pase) hépatique. Certains des HWE ont partiellement ou complètement perdu ces activités antidiabétiques par rapport aux EE, tandis qu’une seule plante (R.groenlandicum) a juste conservé un potentiel similaire entre les EE et HWE dans les deux essais. Dans les cellules musculaires, les EE de R.groenlandicum, A. incana et S. purpurea ont stimulé le transport de glucose en activant la voie de signalisation de l’AMPK et en augmentant le niveau d’expression des GLUT4. En comparaison avec les EE, les HWE de R.groenlandicum ont montré des activités similaires; les HWE de A. incana ont complètement perdu leur effet sur tous les paramètres étudiés; les HWE de S. purpurea ont activé la voie de l’insuline au lieu de celle de l’AMPK pour augmenter le transport de glucose. Dans les cellules H4IIE, les EE et HWE des 5 plantes ont activé la voie de l’AMPK, et en plus les EE et HWE de 2 plantes ont activé la voie de l’insuline. La quercétine-3-O-galactoside et la quercétine 3-O-α-L-arabinopyranoside ont été identifiées comme des composés ayant un fort potentiel antidiabétique et donc responsables de l'activité biologique des plantes HWE actifs avec le transport du glucose. En conclusion, on a isolé plusieurs composés connus et identifié un nouveau triterpène actif à partir du fractionnement de L. laricina. Nous avons fourni également une preuve directe pour l'évaluation et la comparaison d'une action analogue à l'insuline ou insulino-sensibilisateur des EE et HWE de plantes médicinales Cris au niveau de muscle, de foie et de tissus adipeux. Une partie de leur action peut être liée à la stimulation des voies de signalisation intracellulaire insulino-dépendante et non-insulino-dépendante, ainsi que l’activation de PPARγ. Nos résultats indiquent que les espèces de plantes, les tissus ou les cellules cibles, ainsi que les méthodes d'extraction sont tous des déterminants significatifs de l'activité biologique de plantes médicinales Cris sur le métabolisme glucidique et lipidique.
Resumo:
Plants and microorganisms provide the pharmaceutical industry with some of the most important sources of components for the research of new medications This thesis involves the study of three medicinal plants belonging to three different important families viz, Cyperus rotundus (Cyperaceae), Stereospermum colais (Bignoniaceae) as well as the well known medicinal plant Zingiber officinale (Zingiberaceae) as the third. The first chapter gives an overview of biologically active natural products with special reference to antioxidant, antidiabetic, anti-inflammatory and antimicrobial molecules from terrestrial sources. Chapter 2 of the thesis deals with the isolation of phytochemical constituents of the medicinal plant Cyperus rotundus and its antioxidant and radical scavenging potential. Chapter 3 of the thesis describes the studies on the roots of Stereospermum colais, A Bignoniaceae plant belonging to the genus Stereospermum which is used extensively. Chapter 3 of the thesis describes the studies on the roots of Stereospermum colais, a Bignoniaceae plant belonging to the genus Stereospermum which is used extensively in Ayurveda. Chapter 4 describes the biological potential of rhizomes of Zingiber officinale. Ethyl acetate extract of ginger (EAG) possessed antioxidant activity as is evident from the results of various in vitro assays compared to other extracts .In conclusion, medicinal plants Cyperus rotundus and Stereospermum colais have been analysed for their phytochemical constituents. Also, the positive results obtained from biological activity studies such as antioxidant, anti-inflammatory and antimicrobial activity on the isolated compounds/extracts add on to the medicinal properties of these plants. Apart from that, ethyl acetate extract of Zingiber officinale (ginger) rhizomes has been shown to have very good biological potential including glucose lowering and adipocyte differentiation inhibitory effect.
Resumo:
Background: Plants synthesise a vast repertoire of chemicals with various biological activities. Brazilian enormous botanical diversity facilitates the development of novel ethical drugs for the treatment of diseases in humans. Objective: To present therapeutic patent applications comprising Brazilian native plants published in the 2003 - 2008 period in light of legal aspects of patentability of biodiversity and public health concerns. Methods: Therapeutic patent applications related to Brazilian medicinal plants available at both the European Patent Office and the Brazilian National Institute of industrial Property databases were reviewed. Results/conclusion: Twenty-five patents are presented, most of which concern inflammatory, allergic, parasitic, infectious or digestive diseases, including extracts from Carapa guianensis, Copaifera genus, Cordia verbenacea, Erythrina mulungu, Physalis angulata and other pharmaceutical compositions with antileishmanial, antimalarial or trypanocidal activity. Brazilian research centres and universities are responsible for most of these inventions.
Resumo:
The present study aims to inventory and analyse the ethnobotanical knowledge about medicinal plants in the Serra de Mariola Natural Park. In respect to traditional uses, 93 species reported by local informants were therapeutic, 27 food, 4 natural dyes and 13 handcrafts. We developed a methodology that allowed the location of individuals or vegetation communities with a specific popular use. We prepared a geographic information system (GIS) that included gender, family, scientific nomenclature and common names in Spanish and Catalan for each species. We also made a classification of 39 medicinal uses from ATC (Anatomical, Therapeutic, Chemical classification system). Labiatae (n=19), Compositae (n=9) and Leguminosae (n=6) were the families most represented among the plants used to different purposes in humans. Species with the most elevated cultural importance index (CI) values were Thymus vulgaris (CI=1.431), Rosmarinus officinalis (CI=1.415), Eryngium campestre (CI=1.325), Verbascum sinuatum (CI=1.106) and Sideritis angustifolia (CI=1.041). Thus, the collected plants with more therapeutic uses were: Lippia triphylla (12), Thymus vulgaris and Allium roseum (9) and Erygium campestre (8). The most repeated ATC uses were: G04 (urological use), D03 (treatment of wounds and ulcers) and R02 (throat diseases). These results were in a geographic map where each point represented an individual of any species. A database was created with the corresponding therapeutic uses. This application is useful for the identification of individuals and the selection of species for specific medicinal properties. In the end, knowledge of these useful plants may be interesting to revive the local economy and in some cases promote their cultivation.
Resumo:
Abstract: BRIGUICHE. H, ZIDANE. L. Floristic And Ethnobotanical Studies Of Medicinal Plants Of The City Of El -Jadida (MOROCCO). In the framework of the ethnobotanical studies on medicinal plants undertaken by the Laboratory of Biodiversity and Natural Resources of the Faculty of Sciences of Kenitra (Morocco), we are interested in the area of El Jadida which presents a rather important floristic richness thanks to changes in its ecological conditions By using 204 questionnaire, the ethnobotanical surveys were conducted in the field during the years 2012-2013. The location of the different sampling sites was determined by the stratified sampling method. The analysis of the results obtained from the questionnaires and forms using statistical processing allowed us to identify 70 plant species distributed in 69 genera and 37 families. These results also show that most of these species are mainly used in the care of the digestive system and respiratory system. The seed is the most used part in local traditional medicines and the decoction is the most frequent mode with a rate of 31%. The species Origanum compactum is the most used by the population of the city of El Jadida 47 quotes.
Resumo:
Aim of the study: Most people especially in rural areas depend on herbal medicines to treat many diseases including inflammation-related ailments such as rheumatism, muscle swelling, cut wound, accidental bone fracture, insect bites, pains and burn by fire and hot water. The objectives of this study were: to catalog ethno-medicinal plants of Lohit community, ecological status, indigenous folk medicinal uses, morphological parts used and to determine their reported pharmacological studies. Materials and methods: The ethnobotanical information on traditional medicinal plants exclusively used for management of inflammation-related ailments by the Khampti community of Arunachal Pradesh, India was based on first-hand field survey work through semi-structured interviews. Results and conclusion: A total of 34 species in 32 genera and 22 families were encountered during the field survey. Botanical families such as Asteraceae, Euphorbiaceae, Zingiberaceae and Lamiaceae were represented by the highest numbers of species reported in this study. Thirteen plant species, namely: Bombax ceiba, Canarium strictum, Chloranthus erectus, Xanthium indicum, Lycopodium clavatum, Coleus blumei, Batrachospermum atrum, Chlorella vulgaris, Marchantia palmata, Marchantia polymorpha, Eria pannea, Sterculia villosa and Alpinia galanga are reported for the first time for the treatment of inflammation-related diseases.
Resumo:
Aim of the study: The medicinal plants are integral source of easily available remedy used in rural healthcare system. This study was conducted among three major ethnic groups namely the Nocte, the Nyishi and the Adi in the Eastern Himalayan region of Arunachal Pradesh to evaluate their comparative knowledge on medicinal plants. Materials and methods: The three remote districts of Arunachal Pradesh namely the Tirap, the Dibang Valley and the Papum Pare were surveyed through interviewing of randomly selected 237 participants using semi-structured questionnaire and regular field visits to selected districts. Results: We recorded the traditional use of 74 medicinal plants species belonging to 41 taxonomic plant families used for treating a total of 25 different diseases/ailments. The informant consensus factor (ICF) values demonstrated that local people tend to agree more with each other in terms of the plants used to treat malaria (0.71), jaundice (0.62), urological problems (0.56), dermatological disorders (0.45), pain (0.30), and respiratory disorder (0.33), and while the general health (0.15) and gastro-intestinal disorders category (0.28) were found low ICF values. Conclusion: Of the total 74 species recorded, the highest number of medicinal plants (36 species) was reported from the Adi of Lower Dibang Valley followed by the Nocte of the Tirap (25 species) and the Nyishi ethnic groups of Papum Pare districts (13 species). In the present study, we found that the men, elder people and illiterate ones had better knowledge on medicinal plants as compared to women, younger and literate people. Findings of this documentation study can be used as an ethnopharmacological basis for selecting plants for future phytochemical and pharmaceutical studies. (C) 2010 Elsevier Ireland Ltd. All rights reserved.
Resumo:
Seven ethnobotanically selected medicinal plants were screened for their antimycobacterial activity. The mininium inhibitory concentration (MIC) of four plants namely Artemisia afra, Dodonea angustifolia, Drosera capensis and Galenia africana ranged from 0.781 to 6.25 mg/mL against Mycobacterium smegmatis. G. africana showed the best activity exhibiting an MIC of 0.78 mg/mL and a minimum bactericidal concentration (MBC) of 1.56 mg/mL. The MICs of ethanol extracts of A angustifolia and G. africana against M. tuberculosis were found to be 5.0 and 1.2 mg/mL respectively. The mammalian cytotoxicity IC50 value of the most active antimycobacterial extract, from G. africana, was found to be 101.3 mu g/mL against monkey kidney Vero cells. Since the ethanol G. africana displayed the best antimycobacterial activity, it was subjected to fractionation which led to the isolation of a flavone, 5,7,2'-trihydroxyflavone. The MIC of this compound was found to be 0.031 mg/mL against M. smegmatis and 0.10 mg/mL against M. tuberculosis. This study gives some scientific basis to the 14 traditional use of these plants for TB-related symptoms. Copyright (C) 2008 John Wiley & Sons, Ltd.
Resumo:
In the light of the very huge demand for natural ephedrine and pseudoephidrine, a search for an angiosperm plant containing the alkaloid ephedrine was made and could locate Sida spp. of malvaceae family. Sida is a large genus of, herbs and shrubs distributed throughout the tropics. About a dozen species occur in India. The medicinally important species known are S.rhombrfolia S.cordata and S.spinosa (Anon, 1972). Among the various species, S.rh0mbIfolia is the most widely used one in the traditional system of medicine. An attempt was made in the present study to develop an ideal bioprocess for the in vitro production of ephedrine from the cell culture system of Sida rhombrfolia Linn. ssp. retusa. The callus and suspension culture were initiated and attempts were made to enhance the yield positively by employing various strategies like mutagenesis, immobilization and addition of precursors, elicitors and penneabilizing agents.
Resumo:
Ethnopharmacological importance: Many species of plants in the Brazilian cerrado (savanna) are widely used in ethnomedicine. However, the safety and effectiveness of medicinal plants used in communities with little or no access to manufactured drugs should be evaluated. Aim of the study: Evaluate the antimicrobial and cytotoxic activities of extracts from eight plant species, obtained using Brazilian cachaca as the extractor liquid. Materials and methods: The extracts were tested against Bacillus subtilis, Staphylococcus aureus, Escherichia coli, Pseudomonas aeruginosa, Candida albicans, Candida parapsilosis, promastigote forms of Leishmania amazonensis, and poliovirus. In addition, cytotoxic activity was assayed in Vero cells and in human erythrocytes. Results: The plant species Curatella americana, Sclerolobium aureum, and Plathymenia reticulata showed the best activity against yeasts, especially the crude extract of C. americana and its ethyl-acetate fraction. Kielmeyera lathrophyton showed a minimum inhibitory concentration of 250 mu g/ml against S. aureus, and was inactive against Gram-negative bacteria. The extract obtained from Annona coriacea showed the best activity against the promastigote forms of Leishmania amazonensis (IC(50) = 175 mu g/ml). Only C. americana showed potential for antipoliovirus activity. The concentrations of the crude extracts that showed toxicity to VERO cells had CC(50) between 31 and 470 mu g/ml, and the lyophilized Brazilian cachaca showed a CC(50) of 307 mu g/ml. None of the extracts showed toxicity against human erythrocytes. Conclusions: Among the plant species studied. C americana proved to be effective against microorganisms, especially as an antifungal. The results will help in the search for alternative drugs to be used in pharmacotherapy, and will contribute to establish safe and effective use of phytomedicines in the treatment of infectious diseases. (C) 2010 Elsevier Ireland Ltd. All rights reserved.