39 resultados para Bharata Muni
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Neuroaesthetics is the study of the brain’s response to artistic stimuli. The neuroscientist V.S. Ramachandran contends that art is primarily “caricature” or “exaggeration.” Exaggerated forms hyperactivate neurons in viewers’ brains, which in turn produce specific, “universal” responses. Ramachandran identifies a precursor for his theory in the concept of rasa (literally “juice”) from classical Hindu aesthetics, which he associates with “exaggeration.” The canonical Sanskrit texts of Bharata Muni’s Natya Shastra and Abhinavagupta’s Abhinavabharati, however, do not support Ramachandran’s conclusions. They present audiences as dynamic co-creators, not passive recipients. I believe we could more accurately model the neurology of Hindu aesthetic experiences if we took indigenous rasa theory more seriously as qualitative data that could inform future research.
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Sign.: a-d8, e6, f8, g6, h-r8, s6, t8, v6, x8, y6, z8, [et]10, []5; A-N8, O5, []5; 2A8, 2B6, 2C8, 2D6, 2E8, 2F6, 2G-2H8, 2J10, 2K-2L6, 2M8
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Mode of access: Internet.
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Sanskrit title at head of title-page.
Hādhihi Risālah sharīfah wa-nuskhah munīfah fī jawāz ijtimāʻ al-amr wa-al-nahī [microform] /
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Followed by: Hādhihi Risālah sharīfah wa-nuskhah munīqah / min muṣannafāt Ḥusayn al-Khawānsārī (p. 174-220), Hādhihi Risālah ṭarīfah ʻazīzah wa-nuskhah laṭīfah wajīzah fī Shubhat al-istilzām / min taḥqīqāt Ḥusayn al-Khawānsārī (p. 222-250), Hādhihi Taʻlīqah shayyiqah / lil-Muḥaqqiq al-Sabzawārī (p. 251-268), Hādhihi Taʻlīqah rashīqah ... fī al-jawāb ʻan al-īrādāt allatī awradahā ʻalayhi al-Muḥaqqiq al-Khawānsārī fī Risālat Shubhat al-istilzām / al-Muḥaqqiq al-Sabzawārī (269-end).
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Microfilm.
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Space-time codes from complex orthogonal designs (CODs) with no zero entries offer low Peak to Average Power Ratio (PAPR) and avoid the problem of switching off antennas. But square CODs for 2(a) antennas with a + 1. complex variables, with no zero entries were discovered only for a <= 3 and if a + 1 = 2(k), for k >= 4. In this paper, a method of obtaining no zero entry (NZE) square designs, called Complex Partial-Orthogonal Designs (CPODs), for 2(a+1) antennas whenever a certain type of NZE code exists for 2(a) antennas is presented. Then, starting from a so constructed NZE CPOD for n = 2(a+1) antennas, a construction procedure is given to obtain NZE CPODs for 2n antennas, successively. Compared to the CODs, CPODs have slightly more ML decoding complexity for rectangular QAM constellations and the same ML decoding complexity for other complex constellations. Using the recently constructed NZE CODs for 8 antennas our method leads to NZE CPODs for 16 antennas. The class of CPODs do not offer full-diversity for all complex constellations. For the NZE CPODs presented in the paper, conditions on the signal sets which will guarantee full-diversity are identified. Simulation results show that bit error performance of our codes is same as that of the CODs under average power constraint and superior to CODs under peak power constraint.
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Space-time codes from complex orthogonal designs (CODs) with no zero entries offer low Peak to Average power ratio (PAPR) and avoid the problem of turning off antennas. But CODs for 2(a) antennas with a + 1 complex variables, with no zero entries are not known in the literature for a >= 4. In this paper, a method of obtaining no zero entry (NZE) codes, called Complex Partial-Orthogonal Designs (CPODs), for 2(a+1) antennas whenever a certain type of NZE code exists for 2(a) antennas is presented. This is achieved with slight increase in the ML decoding complexity for regular QAM constellations and no increase for other complex constellations. Since NZE CODs have been constructed recently for 8 antennas our method leads to NZE CPODs for 16 antennas. Moreover, starting from certain NZE CPODs for n antennas, a construction procedure is given to obtain NZE CPODs for 2n antennas. The class of CPODs do not offer full-diversity for all complex constellations. For the NZE CPODs presented in the paper, conditions on the signal sets which will guarantee full-diversity are identified. Simulations results show that bit error performance of our codes under average power constraint is same as that of the CODs and superior to CODs under peak power constraint.
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Zero entries in complex orthogonal designs (CODs) impede their practical implementation. In this paper, a method of obtaining a no zero entry (NZE) code for 2(k+1) antennas whenever a NZE code exists for 2(k) antennas is presented. This is achieved with slight increase in the ML decoding complexity for regular QAM constellations and no increase for other complex constellations. Since NZE CODs have been constructed recently for 8 antennas our method leads to NZE codes for 16 antennas. Simulation results show good performance of our new codes compared to the well known constructions for 16 and 32 antennas under peak power constraints.
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Cette communication a pour objectif de présenter et d’analyser les résultats d’une enquête portant sur l’accord sujet-verbe en français contemporain. Dans le domaine de l’accord sujet-verbe, bien que dans la plupart des cas le locuteur n’ait pas le choix de l’accord – c’est–à-dire qu’il n’y a qu’un accord possible – il existe néanmoins des contextes dans lesquels on peut trouver une variation entre l’accord singulier et le pluriel (cf. Corbett 2006 ; Grevisse 1993 ; Riegel et al 1994). Cette variation est souvent liée à une discordance entre le nombre syntaxique et le nombre sémantique. C’est le cas de certaines expressions de quantité, comme dans les exemples suivants : Singulier : « On a affaire à une minorité qui fait la loi à l’université » (Ouest France, 23-24 mai 2009, p.13) Pluriel : « Un petit millier de producteurs allemands, français et belges se sont déplacés, hier, à Bruxelles […] » (Ouest France, 26 mai 2009, p.3) Cette variation nous offre plusieurs pistes de recherche : dans une perspective linguistique, elle peut nous aider à mieux comprendre comment interagissent les différents facteurs linguistiques qui ont une influence sur l’accord, et dans une perspective sociolinguistique, elle représente un nouveau domaine à explorer pour l’étude sociolinguistique de la variation grammaticale en français, ce qui reste jusqu’à présent relativement peu étudiée. Nous traitons dans cette communication de la perspective sociolinguistique, c'est-à-dire les facteurs externes tels que l’âge, le sexe, et le niveau d’éducation du locuteur qui jouent un rôle dans l’accord sujet-verbe avec les expressions de quantité. Nous considérons en particulier la variation sexolectale : dans un premier temps, nous examinons les résultats de quelques études précédentes de la variation morphosyntaxique en français contemporain par rapport à l’influence du sexe du locuteur. Nous en concluons que les Principes élaborés par Labov (1990) pour décrire la variation sexolectale en anglais semblent être moins valables pour le cas du français de la France ; ou bien, qu’ils ne s’appliquent pas de façon simpliste. Dans un deuxième temps, nous présentons les résultats de nôtre étude, et nous voyons que pour nôtre projet aussi, les résultats pour la variation sexolectale ne s’expliquent pas facilement dans le cadre des Principes de Labov (1990).
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Contient : tables, livres 1 à 40 ; Ciel ; astronomie, livres 1 à 100 ; saisons, livres 1 à 116 ; calendrier, livres 1 à 140 ; régulateurs du temps, livres 1 à 188 ; Terre ; terre, livres 1 à 140 ; Empire, livres 1 à 1544 ; fleuves et montagnes, livres 1 à 320 ; pays barbares, livres 1 à 140 ; Société ; dignité suprême, livres 1 à 300 ; palais, livres 1 à 140 ; fonctions, livres 1 à 800 (manquent les livres 643, 644) ; règles familiales, livres 1 à 116 ; devoirs sociaux, livres 1 à 120 (manquent les livres 47, 48) ; gentes et familles, livres 1 à 640 ; vie sociale, livres 1 à 112 ; harem, livres 1 à 376 ; Objets divers ; métiers et arts, livres 1 à 824 ; esprits et prodiges, livres 1 à 320 (manquent les livres 221 à 240) ; animaux, livres 1 à 192 ; végétaux, livres 1 à 320 ; Connaissances humaines ; livres canoniques, livres 1 à 500 ; éducation, livres 1 à 300 ; littérature, livres 1 à 260 ; calligraphie, livres 1 à 160 ; Gouvernement ; choix des fonctionnaires, livres 1 à 136 ; nominations, livres 1 à 120 ; denrées et marchandises, livres 1 à 360 ; rites, livres 1 à 348 ; musique, livres 1 à 136 ; armée, livres 1 à 300 ; châtiments, livres 1 à 180 ; travaux, livres 1 à 252
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Contient : tables, livres 1 à 40 ; Ciel ; astronomie, livres 1 à 100 ; saisons, livres 1 à 116 ; calendrier, livres 1 à 140 ; régulateurs du temps, livres 1 à 188 ; Terre ; terre, livres 1 à 140 ; Empire, livres 1 à 1544 ; fleuves et montagnes, livres 1 à 320 ; pays barbares, livres 1 à 140 ; Société ; dignité suprême, livres 1 à 300 ; palais, livres 1 à 140 ; fonctions, livres 1 à 800 (manquent les livres 643, 644) ; règles familiales, livres 1 à 116 ; devoirs sociaux, livres 1 à 120 (manquent les livres 47, 48) ; gentes et familles, livres 1 à 640 ; vie sociale, livres 1 à 112 ; harem, livres 1 à 376 ; Objets divers ; métiers et arts, livres 1 à 824 ; esprits et prodiges, livres 1 à 320 (manquent les livres 221 à 240) ; animaux, livres 1 à 192 ; végétaux, livres 1 à 320 ; Connaissances humaines ; livres canoniques, livres 1 à 500 ; éducation, livres 1 à 300 ; littérature, livres 1 à 260 ; calligraphie, livres 1 à 160 ; Gouvernement ; choix des fonctionnaires, livres 1 à 136 ; nominations, livres 1 à 120 ; denrées et marchandises, livres 1 à 360 ; rites, livres 1 à 348 ; musique, livres 1 à 136 ; armée, livres 1 à 300 ; châtiments, livres 1 à 180 ; travaux, livres 1 à 252
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Contient : tables, livres 1 à 40 ; Ciel ; astronomie, livres 1 à 100 ; saisons, livres 1 à 116 ; calendrier, livres 1 à 140 ; régulateurs du temps, livres 1 à 188 ; Terre ; terre, livres 1 à 140 ; Empire, livres 1 à 1544 ; fleuves et montagnes, livres 1 à 320 ; pays barbares, livres 1 à 140 ; Société ; dignité suprême, livres 1 à 300 ; palais, livres 1 à 140 ; fonctions, livres 1 à 800 (manquent les livres 643, 644) ; règles familiales, livres 1 à 116 ; devoirs sociaux, livres 1 à 120 (manquent les livres 47, 48) ; gentes et familles, livres 1 à 640 ; vie sociale, livres 1 à 112 ; harem, livres 1 à 376 ; Objets divers ; métiers et arts, livres 1 à 824 ; esprits et prodiges, livres 1 à 320 (manquent les livres 221 à 240) ; animaux, livres 1 à 192 ; végétaux, livres 1 à 320 ; Connaissances humaines ; livres canoniques, livres 1 à 500 ; éducation, livres 1 à 300 ; littérature, livres 1 à 260 ; calligraphie, livres 1 à 160 ; Gouvernement ; choix des fonctionnaires, livres 1 à 136 ; nominations, livres 1 à 120 ; denrées et marchandises, livres 1 à 360 ; rites, livres 1 à 348 ; musique, livres 1 à 136 ; armée, livres 1 à 300 ; châtiments, livres 1 à 180 ; travaux, livres 1 à 252
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La construction d'un quotient, en topologie, est relativement simple; si $G$ est un groupe topologique agissant sur un espace topologique $X$, on peut considérer l'application naturelle de $X$ dans $X/G$, l'espace d'orbites muni de la topologie quotient. En géométrie algébrique, malheureusement, il n'est généralement pas possible de munir l'espace d'orbites d'une structure de variété. Dans le cas de l'action d'un groupe linéairement réductif $G$ sur une variété projective $X$, la théorie géométrique des invariants nous permet toutefois de construire un morphisme de variété d'un ouvert $U$ de $X$ vers une variété projective $X//U$, se rapprochant autant que possible d'une application quotient, au sens topologique du terme. Considérons par exemple $X\subseteq P^{n}$, une $k$-variété projective sur laquelle agit un groupe linéairement réductif $G$ et supposons que cette action soit induite par une action linéaire de $G$ sur $A^{n+1}$. Soit $\widehat{X}\subseteq A^{n+1}$, le cône affine au dessus de $\X$. Par un théorème de la théorie classique des invariants, il existe alors des invariants homogènes $f_{1},...,f_{r}\in C[\widehat{X}]^{G}$ tels que $$C[\widehat{X}]^{G}= C[f_{1},...,f_{r}].$$ On appellera le nilcone, que l'on notera $N$, la sous-variété de $\X$ définie par le locus des invariants $f_{1},...,f_{r}$. Soit $Proj(C[\widehat{X}]^{G})$, le spectre projectif de l'anneau des invariants. L'application rationnelle $$\pi:X\dashrightarrow Proj(C[f_{1},...,f_{r}])$$ induite par l'inclusion de $C[\widehat{X}]^{G}$ dans $C[\widehat{X}]$ est alors surjective, constante sur les orbites et sépare les orbites autant qu'il est possible de le faire; plus précisément, chaque fibre contient exactement une orbite fermée. Pour obtenir une application régulière satisfaisant les mêmes propriétés, il est nécessaire de jeter les points du nilcone. On obtient alors l'application quotient $$\pi:X\backslash N\rightarrow Proj(C[f_{1},...,f_{r}]).$$ Le critère de Hilbert-Mumford, dû à Hilbert et repris par Mumford près d'un demi-siècle plus tard, permet de décrire $N$ sans connaître les $f_{1},...,f_{r}$. Ce critère est d'autant plus utile que les générateurs de l'anneau des invariants ne sont connus que dans certains cas particuliers. Malgré les applications concrètes de ce théorème en géométrie algébrique classique, les démonstrations que l'on en trouve dans la littérature sont généralement données dans le cadre peu accessible des schémas. L'objectif de ce mémoire sera, entre autres, de donner une démonstration de ce critère en utilisant autant que possible les outils de la géométrie algébrique classique et de l'algèbre commutative. La version que nous démontrerons est un peu plus générale que la version originale de Hilbert \cite{hilbert} et se retrouve, par exemple, dans \cite{kempf}. Notre preuve est valide sur $C$ mais pourrait être généralisée à un corps $k$ de caractéristique nulle, pas nécessairement algébriquement clos. Dans la seconde partie de ce mémoire, nous étudierons la relation entre la construction précédente et celle obtenue en incluant les covariants en plus des invariants. Nous démontrerons dans ce cas un critère analogue au critère de Hilbert-Mumford (Théorème 6.3.2). C'est un théorème de Brion pour lequel nous donnerons une version un peu plus générale. Cette version, de même qu'une preuve simplifiée d'un théorème de Grosshans (Théorème 6.1.7), sont les éléments de ce mémoire que l'on ne retrouve pas dans la littérature.
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La thèse présente une analyse conceptuelle de l'évolution du concept d'espace topologique. En particulier, elle se concentre sur la transition des espaces topologiques hérités de Hausdorff aux topos de Grothendieck. Il en ressort que, par rapport aux espaces topologiques traditionnels, les topos transforment radicalement la conceptualisation topologique de l'espace. Alors qu'un espace topologique est un ensemble de points muni d'une structure induite par certains sous-ensembles appelés ouverts, un topos est plutôt une catégorie satisfaisant certaines propriétés d'exactitude. L'aspect le plus important de cette transformation tient à un renversement de la relation dialectique unissant un espace à ses points. Un espace topologique est entièrement déterminé par ses points, ceux-ci étant compris comme des unités indivisibles et sans structure. L'identité de l'espace est donc celle que lui insufflent ses points. À l'opposé, les points et les ouverts d'un topos sont déterminés par la structure de celui-ci. Qui plus est, la nature des points change: ils ne sont plus premiers et indivisibles. En effet, les points d'un topos disposent eux-mêmes d'une structure. L'analyse met également en évidence que le concept d'espace topologique évolua selon une dynamique de rupture et de continuité. Entre 1945 et 1957, la topologie algébrique et, dans une certaine mesure, la géométrie algébrique furent l'objet de changements fondamentaux. Les livres Foundations of Algebraic Topology de Eilenberg et Steenrod et Homological Algebra de Cartan et Eilenberg de même que la théorie des faisceaux modifièrent profondément l'étude des espaces topologiques. En contrepartie, ces ruptures ne furent pas assez profondes pour altérer la conceptualisation topologique de l'espace elle-même. Ces ruptures doivent donc être considérées comme des microfractures dans la perspective de l'évolution du concept d'espace topologique. La rupture définitive ne survint qu'au début des années 1960 avec l'avènement des topos dans le cadre de la vaste refonte de la géométrie algébrique entreprise par Grothendieck. La clé fut l'utilisation novatrice que fit Grothendieck de la théorie des catégories. Alors que ses prédécesseurs n'y voyaient qu'un langage utile pour exprimer certaines idées mathématiques, Grothendieck l'emploie comme un outil de clarification conceptuelle. Ce faisant, il se trouve à mettre de l'avant une approche axiomatico-catégorielle des mathématiques. Or, cette rupture était tributaire des innovations associées à Foundations of Algebraic Topology, Homological Algebra et la théorie des faisceaux. La théorie des catégories permit à Grothendieck d'exploiter le plein potentiel des idées introduites par ces ruptures partielles. D'un point de vue épistémologique, la transition des espaces topologiques aux topos doit alors être vue comme s'inscrivant dans un changement de position normative en mathématiques, soit celui des mathématiques modernes vers les mathématiques contemporaines.