Bangkok, le roi de Siam souhaite la bienvenue aux soldats [de] retour de France : [photographie de presse] / [Agence Rol]

Référence bibliographique : Rol, 56993

The frequency rate of Toxocara species contamination in soil samples from public yards in a urban area "Payathai", Bangkok, Thailand

Toxocara species are most common roundworms of Canidae and Felidae. Human toxocariasis develops by ingesting of embryonated eggs in contaminated soil. There is no previous report of Toxocara contamination in the soil samples from the public areas in Bangkok. For this reason our study have been carried out to examine the frequency of Toxocara eggs in public yards in Bangkok, Thailand. A total of 175 sand and clay samples were collected and examined for parasite eggs. According to this study, Toxocara eggs were detected from 10 (5.71%) of 175 soil samples. The high rate of contamination in this study implies the importance of the control of this possible zoonotic disease: control of abandon of dogs and cats, is still necessary.

Informe de la 65 IFLA Council and General Conference (Bangkok, agost de 1999)

Bangkok fou enguany la seu del 65è congrés de l'IFLA que se celebrà entre els dies 20 i 28 d'agost sota el lema «Libraries as gateways to an enlightened world». Hi estigueren representats 117 països, amb un total de 2.237 participants ¿inclosos els acompanyants¿; hi tingueren lloc un total de 280 reunions i, fins a la cloenda, s'havien rebut 311 treballs ¿que s'han publicat a IFLANET.

Vers une transition forestière en Thaïlande? : analyse causale de l’avancée des forêts à partir du cas de Phetchabun

Selon des thèses développées au cours des années 1990 et 2000, le développement économique constitue à la fois la source et la solution aux problèmes environnementaux. Au sujet des forêts, les transitions forestières (c’est-à-dire le passage de la déforestation à la reforestation) documentées dans certains pays développés seraient causées par des dynamiques universelles intrinsèques au développement et à la modernisation des sociétés. Nos travaux ont porté sur l’application de cette vision optimiste et controversée à l’évolution des superficies forestières en Thaïlande. S’appuyant sur une recension de la littérature, sur des données secondaires ainsi que nos travaux de terrain dans la région de Phetchabun, la thèse offre les apports suivants. Elle démontre que contrairement à l’idée répandue en Thaïlande, le ralentissement de la déforestation a été suivi par une expansion forestière substantielle entre environ 1995 et 2005. Ce regain forestier est lié à la disparition presque complète de l’expansion agricole, à l’établissement de plantations sylvicoles et, surtout, à l’abandon de terres agricoles. Cet abandon agricole découle d’abord et avant tout de la faible et incertaine rentabilité de l’agriculture dans certaines zones non irriguées. Ce phénomène s’explique, entre autres, par la dégradation des sols et par l’incapacité des agriculteurs à contrer l’impact des transformations économiques internes et externes à la Thaïlande. L’accroissement de la pression de conservation n’a pu contribuer à l’expansion forestière que dans certains contextes (projets de reforestation majeurs appuyés par l’armée, communautés divisées, terres déjà abandonnées). Sans en être une cause directe, l’intensification agricole et la croissance des secteurs non agricoles ont rendu moins pénibles la confiscation et l’abandon des terres et ont permis que de tels phénomènes surviennent sans entraîner d’importants troubles sociaux. Dans un contexte d’accroissement des prix agricoles, notamment celui du caoutchouc naturel, une partie du regain forestier aurait été perdu depuis 2005 en raison d’une ré-expansion des surfaces agricoles. Cela illustre le caractère non permanent de la transition forestière et la faiblesse des mesures de conservation lorsque les perspectives de profit sont grandes. La thèse montre que, pour être robuste, une théorie de la transition forestière doit être contingente et reconnaître que les variables macro-sociales fréquemment invoquées pour expliquer les transitions forestières (ex. : démocratisation, intensification agricole, croissance économique) peuvent aussi leur nuire. Une telle théorie doit également prendre en compte des éléments d’explication non strictement économiques et souvent négligés (menaces à la sécurité nationale, épuisement des terres perçues comme arables et libres, degré d’attachement aux terres et capacité d’adaptation et résilience des systèmes agricoles). Finalement, les écrits sur la transition forestière doivent reconnaître qu’elle a généralement impliqué des impacts sociaux et même environnementaux négatifs. Une lecture de la transition forestière plus nuancée et moins marquée par l’obsession de la seule reforestation est seule garante d’une saine gestion de l’environnement en respect avec les droits humains, la justice sociale et le développement durable.

Lorsque la terre ne peut plus nourrir ses paysans : cultiver ou migrer, le défi des paysans du Nord-Est de la Thaïlande

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

Oxygenated polycyclic aromatic hydrocarbons and azaarenes in urban soils: A comparison of a tropical city (Bangkok) with two temperate cities (Bratislava and Gothenburg)

Environmental conditions in the tropics favor the formation of polar polycyclic aromatic compound (polar PACs, such as oxygenated PAHs [OPAHs] and azaarenes [AZAs]), but little is known about these hazardous compounds in tropical soils. The objectives of this work were to determine (i) the level of contamination of soils (0–5 and 5–10 cm layers) from the tropical metropolis of Bangkok (Thailand) with OPAHs and AZAs and (ii) the influence of urban emission sources and soil properties on the distribution of PACs. We hypothesized that the higher solar insolation and microbial activity in the tropics than in the temperate zone will lead to enhanced secondary formation of OPAHs. Hence, OPAH to related parent-PAH ratios will be higher in the tropical soils of Bangkok than in temperate soils of Bratislava and Gothenburg. The concentrations of ∑15OPAHs (range: 12–269 ng g−1) and ∑4AZAs (0.1–31 ng g−1) measured in soils of Bangkok were lower than those in several cities of the industrialized temperate zone. The ∑15OPAHs (r = 0.86, p < 0.01) and ∑4AZAs (r = 0.67, p < 0.01) correlated significantly with those of ∑20PAHs highlighting similar sources and related fate. The octanol–water partition coefficient did not explain the transport to the subsoil, indicating soil mixing as the reason for the polar PAC load of the lower soil layer. Data on PAC concentrations in soils of Bratislava and Gothenburg were taken from published literature. The individual OPAH to parent-PAH ratios in soils of Bangkok were mostly higher than those of Bratislava and Gothenburg (e.g. 9-fluorenone/fluorene concentration ratio was 12.2 ± 6.7, 5.6 ± 2.4, and 0.7 ± 02 in Bangkok, Bratislava and Gothenburg soils, respectively) supporting the view that tropical environmental conditions and higher microbial activity likely lead to higher OPAH to parent-PAH ratios in tropical than in temperate soils.

Evaluating the Effectiveness of GMS Economic Corridors: Why is There More Focus on the Bangkok-Hanoi Road than the East-West Corridor?

Since the inauguration of the Greater Mekong Sub-region (GMS) Economic Cooperation Program in 1992, road infrastructure projects have played a very important role. Their economic significance, especially, has become a focal point after the introduction of the concept of the three economic corridors in 1998: the East-West Economic Corridor; the North-South Economic Corridor; and the Southern Economic Corridor (Figure 1). The completion of the Second International Mekong Bridge between Mukdahan, Thailand and Savannakhet, Laos was an epoch-making event in the development of the East-West Economic Corridor. The business community, however, has paid more attention to the Bangkok-Hanoi Road than the East-West Economic Corridor. This study examines the reasons why the former has received more focus than the latter, by using criteria such as population density and the economic scale at a provincial or state level. Thereafter, the effectiveness of other economic corridors is examined, by applying the same criteria.