36 resultados para BRCA


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Tesis (Maestría en Ciencias con Especialidad en Biología Molecular e Ingeniería Genética) UANL

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Le cancer du sein (CS) est la deuxième cause de décès liés au cancer parmi les femmes dans la plupart des pays industrialisés. Les personnes qui ont le CS peuvent ne pas hériter des mutations causant le cancer de leurs parents. Ainsi, certaines cellules subissent des mutations qui mènent au cancer. Dans le cas de cancer héréditaire, les cellules tumorales contiennent généralement des mutations qui ne sont pas trouvées ailleurs dans l'organisme, mais peuvent maintenir des mutations qui vont répartir dans toutes les cellules. La genèse du CS est le résultat des mutations de gènes qui assurent la régulation de la prolifération cellulaire et la réparation de l’ADN. Deux gènes semblent particulièrement concernés par les mutations. Les gènes ‘Breast Cancer 1’ (BRCA1) et ‘Breast Cancer 2’ (BRCA2), sont impliqués dans la prédisposition génétique de CS. On estime que 5-10% des cas de cancer du sein sont attribuables à une prédisposition génétique. La plupart de ces cancers sont liés à une anomalie du gène BRCA1 ou BRCA2. Plusieurs études ont été menées chez les femmes atteintes de CS sporadique et quelques études se sont concentrées sur celles qui sont porteuses de mutations de BRCA. Alors, notre recherche a été entreprise afin de vérifier l’hypothèse d’une association entre le CS, le mode vie et les habitudes alimentaires chez les Canadiennes-françaises non porteuses des 6 mutations de BRCA les plus fréquentes parmi cette population. Nous avons mené une étude cas-témoins dans cette population. Quelque 280 femmes atteintes du cancer du sein et non-porteuses de mutations de BRCA, ont été recrutées en tant que cas. Les témoins étaient recrutés parmi les membres de la famille des cas (n=15) ou à partir d'autres familles atteintes de CS (n=265). Les participantes étaient de tous âges, recrutées à partir d’une étude de cohorte qui est actuellement en cours, menée par une équipe de chercheurs au Centre Hospitalier Universitaire de Montréal (CHUM) Hôtel-Dieu à Montréal. Les apports alimentaires ont été recueillis par un questionnaire de fréquence semi-quantitatif validé et administré par une nutritionniste, qui portait sur la période avant les deux ans précédant le premier diagnostic de CS pour les cas et la période avant les deux ans précédant l’entrevue téléphonique pour les témoins. Un questionnaire de base était administré par l’infirmière de recherche aux participantes afin de colliger des renseignements sociodémographiques et sur les facteurs de risque du CS. Une association positive et significative a été détectée entre l’âge (plus de 50 ans) auquel les sujets avaient atteint leur Indice de Masse Corporel (IMC) le plus élevé et le CS rapport de cotes (OR) =2,83; intervalle de confiance à 95% (IC95%) (2,34-2,91). De plus, une association positive a été détectée entre un gain de poids de >34 lbs comparativement à un gain de poids de ≤15 lbs, dès l’âge de 20 ans OR=1,68; IC95% (1,10-2,58). Un gain de poids de >24 lbs comparativement à un gain de poids de ≤9 lbs, dès l’âge de 30 ans a aussi montré une augmentation de risque de CS OR=1,96; IC95% (1,46-3,06). Une association positive a aussi été détecté entre, un gain de poids de >12 lbs comparativement à un gain de poids de ≤1 lb, dès l’âge de 40 ans OR=1,91; IC95% (1,53-2,66). Concernant le tabagisme, nous avons observé une association positive et significative reliée à la consommation de plus de 9 paquets-années OR = 1,59; IC95% (1,57-2,87). Il fut suggéré que l’activité physique modéré confère une protection contre le CS: une pratique de > 24,8 (‘metabolic equivalent’) MET-hrs par semaine par rapport à ≤10,7 MET-hrs par semaine, diminue le risque du CS de 52% OR = 0,48 ; IC95% (0,31-0,74). L’activité physique totale (entre 16,2 et 33,2 MET-hrs par semaine), a aussi montré une réduction de risque de CS de 43% OR = 0,57 ; IC95% (0,37-0,87). Toutefois, il n'y avait aucune association entre une activité physique vigoureuse et le risque de CS. L’analyse portant sur les macro- et micro-nutriments et les groupes alimentaires a montré qu’un apport en énergie totale de plus de 2057 Kcal par jour augmentait le risque de CS de 2,5 fois OR = 2,54; IC95% (1,67-3,84). En ce qui concerne la consommation de café, les participantes qui buvaient plus de 8 tasses de café par jour avaient un risque de CS augmenté de 40% OR = 1,40; IC95% (1,09-2,24). Les sujets ayant une consommation dépassant 9 g d’alcool (éthanol) par jour avaient également un risque élevé de 55% OR = 1,55; IC95% (1,02-2,37). De plus, une association positive et significative a été détectée entre le CS et la consommation de plus de deux bouteilles de bière par semaine OR = 1,34; IC95% (1,28-2,11), 10 onces de vin par semaine OR = 1,16; IC95% (1,08-2,58) ou 6 onces de spiritueux par semaine OR = 1,09; IC95% (1,02-2,08), respectivement. En résumé, les résultats de cette recherche supportent l’hypothèse selon laquelle le mode de vie et les habitudes alimentaires jouent un rôle important dans l’étiologie de CS chez les Canadiennes-françaises non porteuses de mutations de BRCA. Les résultats nous permettent de constater que le gain de poids et le tabagisme sont liés à des risques élevés de CS, tandis que l'activité physique modérée aide à réduire ce risque. De plus, nos résultats suggèrent qu’un apport énergétique total relativement élevé et une consommation élevée de café et d'alcool peuvent accroître le risque de ce cancer. Ce travail a permis de mettre l’accent sur une nouvelle direction de recherche, jusqu'à présent non investiguée. Les résultats de ce travail de recherche pourraient contribuer à recueillir de nouvelles informations et des conseils pouvant influencer et aider la population à modifier son mode de vie et ses habitudes alimentaires afin de diminuer le risque de cancer du sein.

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Le cancer du sein est une maladie multifactorielle, plusieurs facteurs socio-économiques, alimentaires ainsi que le style de vie ayant été incriminés dans son développement. Une mutation germinale sur un des gènes BRCA1 ou BRCA2 serait responsable d’une augmentation du risque de développer un cancer du sein de 50 à 80% chez les femmes porteuses d’une mutation sur BRCA1 ou BRCA2 par comparaison aux non- porteuses. Plusieurs études rapportant l’existence d’une association entre la fréquence des cancers du sein sporadiques, les habitudes alimentaires et le style de vie des femmes atteintes, ceci, nous a amené à nous interroger sur le rôle que pourrait jouer ces mêmes facteurs chez les femmes porteuses d’une mutation sur BRCA1 ou BRCA2. Pour répondre à cette question, nous avons effectué une étude cas-témoin. Nos quarante-quatre cas sont porteuses d’une mutation germinale parmi 6 des 14 mutations fondatrices sur BRCA1 et BRCA2 les plus fréquentes dans la population Canadienne Française. Elles sont issues d’une cohorte de plus de 1000 femmes Canadiennes Françaises atteintes de cancers du sein recrutées depuis 1994 et testées pour ces 6 mutations. Les témoins sont recrutés parmi des femmes de la population Canadienne Française, également porteuses d’une de ces six mutations fondatrices de BRCA1 ou BRCA2, mais indemnes de cancers. Quinze d’entre elles ont été recrutées dans les familles des cas de l’étude initiale. Vingt-neuf ont été recrutées à la clinique des cancers familiaux du CHUM, nous permettant ainsi de totaliser 44 témoins. Deux questionnaires ont été administrés aux cas et aux témoins. Le premier, dit Questionnaire de base, a servi à recenser les informations sociodémographiques et le style de vie, couvrant ainsi les deux années précédant la découverte du cancer du sein pour les cas et les deux années précédant la découverte de la mutation pour les témoins. Le deuxième questionnaire, Questionnaire de nutrition, a permis de colliger les informations sur les habitudes alimentaires durant la même période de recueil de données. Une association positive et significative entre le risque de cancer du sein et le niveau d’éducation a été observé parmi les sujets de niveau universitaire (>14 années d’étude) comparés aux sujets n’ayant pas dépassé le niveau d’études secondaires (<11 années d’études) [OR= 7,82; IC95% : (1,99-30,69); p=0,003]. Nous avons mis en évidence que le risque de cancer du sein augmentait lorsque les sujets atteignaient leur poids maximum à un âge avancé > 48 ans [OR = 4,27 ; IC 95% : (0,82-22,25)]. Nous avons montré que le risque du cancer du sein diminuait pour une durée d’allaitement supérieure à 7 mois par comparaison aux femmes n’ayant jamais allaité [OR= 0,35; IC 95% : (0,12-1,06)] mais cette association est non significative. Les porteuses qui pratiquent plus de 22,45 Met-h-sem d’activité physique modérée, comparativement à celles qui pratiquent moins de 11,45 Met-h-sem voient leur risque de cancer du sein diminué de 72% [OR=0,28- IC 95% : (0,08-0,95); p=0,04]. Celles qui pratiquent plus de 31,95 Met-h-sem d’activité physique totale comparativement à celles qui pratiquent moins de 16,40 Met-h-sem voient leur risque de cancer du sein réduit de 79 % [OR=0,21; IC 95% : (0,06-0,75); p= 0,02]. L’analyse des macro et micronutriments et des groupes alimentaires a démontré qu’une consommation de plus de 23,20 g/j d’acide gras monoinsaturés est responsable d’une augmentation du risque de cancer du sein de 6 fois par comparaison à une consommation inférieure à 17,08 g/j [OR=6,00; IC 95% : (0,97-37,02); p=0,05]. Une consommation de plus de 221,79 µg/j de vitamine K réduit le risque du cancer du sein de 83 % par comparaison à une consommation inférieure à 143,57 µg/j [OR= 0,17; IC95% : (0,05-0,61) ; p=0,007]. La consommation de fruits est associée à une réduction du risque de cancer du sein de 73% chez les porteuses de mutations qui en consomment plus de 563,31 g/j comparée à celles qui en consomment moins de 356,18 g/j [OR= 0,27; IC 95% : (0,07-1,01) ; p=0,05]. Nos résultats confortent l’hypothèse selon laquelle le style de vie et les habitudes alimentaires jouent un rôle dans le développement du cancer du sein chez les Canadiennes Françaises porteuses de mutations d’une des 6 mutations fondatrices de BRCA1 ou 2 étudiées. En effet, un niveau d’éducation élevé, un gain de poids sont associés à un risque élevé de développer un cancer du sein. De plus la pratique de l’allaitement et d’une activité physique modérée sont associées à une réduction de ce risque. Nous montrons aussi que la consommation d’acides gras monoinsaturés est responsable d’une augmentation du risque de ce cancer et que la consommation de vitamine K et de fruits permet de réduire ce risque. Nos résultats ouvrent une nouvelle voie de recherche par rapport au rôle de certains nutriments dans le développement du cancer du sein chez les porteuses de mutation d’un des gènes BRCA. Cette voie pourrait également être explorée chez les non porteuses.

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Le diagnostic de prédisposition génétique du cancer du sein et de l’ovaire est détenu par la firme de biotechnologie Myriad Genetics depuis 1996, sous la forme d’un brevet, qui lui octroie une licence d’exploitation internationale, infirmant le droit d’analyse moléculaire aux autres laboratoires. Ce monopole, lui permet de statuer sur un prix excessivement plus élevé qu’en milieu public et d’astreindre en justice, les laboratoires contrevenants. Depuis 2001, le Québec est la seule province qui se soumet (en partie) au brevet, en faisant appel à la compagnie pour le séquençage complet. À travers cette recherche, j’analyse les politiques de brevetage génétique, dans sa construction juridique de la propriété intellectuelle et dans les significations culturelles des biotechnologies. Je m’appuie sur un cadre analytique des théories de propriété et sur la recherche en biomédical. Je procède également à l’analyse du discours des médecins et conseillers généticiens au Québec, à travers des entrevues conduites dans des centres hospitaliers de la région de Montréal et de Sherbrooke. Cette étude qualitative identifie comment les conseillers et médecins généticiens conçoivent le rôle des brevets dans les dépistages et diagnostics du cancer et comment les brevets génétiques expriment une culture médicale. Je cherche à déterminer comment sont perçus par des professionnels de santé les brevets génétiques en analysant et en comparant les variations entre limites idéologiques et limites pratiques.

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Objectives. Previous studies have shown a survival advantage in ovarian cancer patients with Ashkenazi-Jewish (AJ) BRCA founder mutations, compared to sporadic ovarian cancer patients. The purpose of this study was to determine if this association exists in ovarian cancer patients with non-Ashkenazi Jewish BRCA mutations. In addition, we sought to account for possible "survival bias" by minimizing any lead time that may exist between diagnosis and genetic testing. ^ Methods. Patients with stage III/IV ovarian, fallopian tube, or primary peritoneal cancer and a non-Ashkenazi Jewish BRCA1 or 2 mutation, seen for genetic testing January 1996-July 2007, were identified from genetics and institutional databases. Medical records were reviewed for clinical factors, including response to initial chemotherapy. Patients with sporadic (non-hereditary) ovarian, fallopian tube, or primary peritoneal cancer, without family history of breast or ovarian cancer, were compared to similar cases, matched by age, stage, year of diagnosis, and vital status at time interval to BRCA testing. When possible, 2 sporadic patients were matched to each BRCA patient. An additional group of unmatched, sporadic ovarian, fallopian tube and primary peritoneal cancer patients was included for a separate analysis. Progression-free (PFS) & overall survival (OS) were calculated by the Kaplan-Meier method. Multivariate Cox proportional hazards models were calculated for variables of interest. Matched pairs were treated as clusters. Stratified log rank test was used to calculate survival data for matched pairs using paired event times. Fisher's exact test, chi-square, and univariate logistic regression were also used for analysis. ^ Results. Forty five advanced-stage ovarian, fallopian tube and primary peritoneal cancer patients with non-Ashkenazi Jewish (non-AJ) BRCA mutations, 86 sporadic-matched and 414 sporadic-unmatched patients were analyzed. Compared to the sporadic-matched and sporadic-unmatched ovarian cancer patients, non-AJ BRCA mutation carriers had longer PFS (17.9 & 13.8 mos. vs. 32.0 mos., HR 1.76 [95% CI 1.13–2.75] & 2.61 [95% CI 1.70–4.00]). In relation to the sporadic- unmatched patients, non-AJ BRCA patients had greater odds of complete response to initial chemotherapy (OR 2.25 [95% CI 1.17–5.41]) and improved OS (37.6 mos. vs. 101.4 mos., HR 2.64 [95% CI 1.49–4.67]). ^ Conclusions. This study demonstrates a significant survival advantage in advanced-stage ovarian cancer patients with non-AJ BRCA mutations, confirming the previous studies in the Jewish population. Our efforts to account for "survival bias," by matching, will continue with collaborative studies. ^

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ACCURACY OF THE BRCAPRO RISK ASSESSMENT MODEL IN MALES PRESENTING TO MD ANDERSON FOR BRCA TESTING Publication No. _______ Carolyn A. Garby, B.S. Supervisory Professor: Banu Arun, M.D. Hereditary Breast and Ovarian Cancer (HBOC) syndrome is due to mutations in BRCA1 and BRCA2 genes. Women with HBOC have high risks to develop breast and ovarian cancers. Males with HBOC are commonly overlooked because male breast cancer is rare and other male cancer risks such as prostate and pancreatic cancers are relatively low. BRCA genetic testing is indicated for men as it is currently estimated that 4-40% of male breast cancers result from a BRCA1 or BRCA2 mutation (Ottini, 2010) and management recommendations can be made based on genetic test results. Risk assessment models are available to provide the individualized likelihood to have a BRCA mutation. Only one study has been conducted to date to evaluate the accuracy of BRCAPro in males and was based on a cohort of Italian males and utilized an older version of BRCAPro. The objective of this study is to determine if BRCAPro5.1 is a valid risk assessment model for males who present to MD Anderson Cancer Center for BRCA genetic testing. BRCAPro has been previously validated for determining the probability of carrying a BRCA mutation, however has not been further examined particularly in males. The total cohort consisted of 152 males who had undergone BRCA genetic testing. The cohort was stratified by indication for genetic counseling. Indications included having a known familial BRCA mutation, having a personal diagnosis of a BRCA-related cancer, or having a family history suggestive of HBOC. Overall there were 22 (14.47%) BRCA1+ males and 25 (16.45%) BRCA2+ males. Receiver operating characteristic curves were constructed for the cohort overall, for each particular indication, as well as for each cancer subtype. Our findings revealed that the BRCAPro5.1 model had perfect discriminating ability at a threshold of 56.2 for males with breast cancer, however only 2 (4.35%) of 46 were found to have BRCA2 mutations. These results are significantly lower than the high approximation (40%) reported in previous literature. BRCAPro does perform well in certain situations for men. Future investigation of male breast cancer and men at risk for BRCA mutations is necessary to provide a more accurate risk assessment.

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Breast cancer is the most common cancer diagnosis and second leading cause of death in women. Risk factors associated with breast cancer include: increased age, alcohol consumption, cigarette smoking, white race, physical inactivity, benign breast conditions, reproductive and hormonal factors, dietary factors, and family history. Hereditary breast and ovarian cancer syndrome (HBOC) is caused by mutations in the BRCA1 and BRCA2 genes. Women carrying a mutation in these genes are at an increased risk to develop a second breast cancer. Contralateral breast cancer is the most common second primary cancer in patients treated for a first breast cancer. Other risk factors for developing contralateral breast cancer include a strong family history of breast cancer, age of onset of first primary breast cancer, and if the first primary was a lobular carcinoma, which has an increased risk of being bilateral. A retrospective chart review was performed on a select cohort of women in an IRB approved database at MD Anderson Cancer Center. The final cohort contained 572 women who tested negative for a BRCA1 or BRCA2 mutation, had their primary invasive breast cancer diagnosed under the age of 50, and had a BRCAPro risk assessment number over 10%. Of the 572 women, 97 women developed contralateral breast cancer. A number of predictors of contralateral breast cancer were looked at between the two groups. Using univariable Cox Proportional Hazard model, thirteen statistically interesting risk factors were found, defined as having a p-value under 0.2. Multivariable stepwise Cox Proportional Hazard model found four statistically significant variables out of the thirteen found in the univariable analysis. In our study population, the incidence of contralateral breast cancer was 17%. Four statistically significant variables were identified. Undergoing a prophylactic mastectomy was found to reduce the risk of developing contralateral breast cancer, while not having a prophylactic mastecomy, a young age at primary diagnosis, having a positive estrogen receptor status of the primary tumor, and having a family history of breast cancer increased a woman’s risk to develop contralateral breast cancer.

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Hereditary breast and ovarian cancer (HBOC) is an inherited cancer syndrome that is associated with mutations in the BRCA1 and BRCA2 genes. Carriers of BRCA mutations, both men and women, are at an increased risk for developing certain cancers. Carriers are most notably at an increased risk to develop breast and ovarian cancers; however an increased risk for prostate cancer, melanoma, and pancreatic cancers has also been associated with these mutations. In 2009 the American Congress of Obstetricians and Gynecologists (ACOG) released a practice bulletin stating that evaluating a patient’s risk for HBOC should be a routine part of obstetric and gynecologic practice. A survey was created and completed by 83 obstetricians and gynecologists in the greater Houston, TX area. The survey consisted of four sections designed to capture demographic information, attitudes towards HBOC and BRCA testing, utilization of BRCA testing, and the overall knowledge of respondents with regards to HBOC and BRCA testing. This study found that the majority of participants indicated that they felt that obstetricians and gynecologists should have the primary responsibility of identifying patients who may be at increased risk of carrying a BRCA mutation. Moreover, this study found that the majority of participants indicated that they felt comfortable or very comfortable in identifying patients at an increased risk of carrying a BRCA mutation. However, only about a quarter of participants indicated that they order BRCA genetic testing one to two times per month or more. Lastly, this study demonstrates that the overall knowledge of HBOC and BRCA testing among this population of obstetricians and gynecologists is poor. The results of this study stress the need for more education regarding HBOC, genetic testing, and strategies for identifying patients that may be at risk for having a mutation in a BRCA gene. Furthermore, it reiterates the importance of raising awareness to current practice guidelines and recommendations that can assist obstetricians and gynecologist to better identify and manage patients that may be at an increased risk of having HBOC.

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BRCA1 is a tumor suppressor that functions in controlling cell growth and maintaining genomic stability. BRCA1 has also been implicated in telomere maintenance through its ability to regulate the transcription of hTERT, the catalytic subunit of telomerase, resulting in telomere shortening, and to colocalize with the telomere-binding protein TRF1. The high incidence of nonreciprocal translocations in tumors arising from BRCA1 mutation carriers and Brca1-null mice also raises the possibility that BRCA1 plays a role in telomere protection. To date, however, the consequences for telomere status of disrupting BRCA1 have not been reported. To examine the role of BRCA1 in telomere regulation, we have expressed a dominant-negative mutant of BRCA1 (trBRCA1), known to disrupt multiple functions of BRCA1, in telomerase-positive mammary epithelial cells (SVCT) and telomerase-negative ALT cells (GM847). In SVCT cells, expression of trBRCA1 resulted in an increased incidence of anaphase bridges and in an increase in telomere length, but no change in telomerase activity. In GM847 cells, trBRCA1 also increased anaphase bridge formation but did not induce any change in telomere length. BRCA1 colocalized with TRF2 in telomerase-positive cells and with a small subset of ALT-associated PML bodies (APBs) in ALT cells. Together, these results raise the possibility that BRCA1 could play a role in telomere protection and suggest a potential mechanism for one of the phenotypes of BRCA1 deficient cells. (c) 2005 Wiley-Liss, Inc.

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Objectives: Since 1995, BRCA testing has identified 445 women in Northern Ireland who carry a pathogenic BRCA1/2 mutation, without breast cancer (bca) at testing. This study examined outcomes with reference to management, bca risk, and incidence following positive predictive testing. Methods: Patients were identified from the regional genetics database. Electronic clinical records were used to obtain management and outcome details. Median follow-up was to bca diagnosis, risk-reducing mastectomy (rrm), death, or last follow-up. Results: 169 women had a BRCA1 mutation, and 276 BRCA2. ■ BRCA1 cohort: Median follow-up post-testing was 3 years. 56 Women (33%) had rrm, and 12 are awaiting rrm (total 68, 40%) at a median age of 36 years. 12 Women (7%) developed bca, at a median of 2 years following testing. 4 Women were diagnosed with bcas incidentally at rrm. 7 Patients had bilateral mastectomies following a cancer diagnosis. 1 Woman developed bca following rrm (1.7%). Three deaths were reported: 1 breast cancer (1.7%), 1 ovarian cancer (1.7%), and 1 with no recorded breast/ovarian cancer diagnosis. ■ BRCA2 cohort: Median follow-up post-testing was 6 years. rrm was carried out in 75 women (27%), with 20 awaiting rrm (total 95, 35%); median age: 39 years. 16 Women developed bca (5.8%), at a median of 5 years from testing. 6 Women were diagnosed with cancer incidentally at rrm; 9 women had bilateral mastectomy following diagnosis, and 1 developed bca following rrm (1.3%). Five deaths were reported: 1 bca, 1 ovarian cancer, and 3 with no recorded breast/ovarian cancer diagnosis. Conclusions: The uptake of rrm following predictive BRCA testing in Northern Ireland is comparable with that reported elsewhere. The incidence of bca following rrm is low (<2%) in our cohort, with low breast and ovarian cancer–specific mortality following positive predictive testing.

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Ovarian cancer is a highly lethal disease and its underlying biology is poorly understood. Prophylactic salpingo-oophorectomies in BRCA + women have recently implicated the fimbria as a site of origin for high-grade serous carcinoma and its intraepithelial precursors. This suggests that at least some ovarian cancers, probably the most aggressive ones, may not originate in the ovary itself, but rather may arise in the uterine tubes. Chronic inflammation is associated with carcinogenesis in several tissues, including liver, esophagogastric junction (cardia), and the uterine cervix. The mechanisms underlying the relationship between inflammation and cancer are complex and involve common pathways, in addition to DNA damage. A critical source of uterine tube inflammation is infection with Chlamydia trachomatis. We hypothesize that C. trachomatis infection may be involved in chronic tubal, inflammation and subsequent fimbrial carcinogenesis. Fimbrial intraepithelial precursors can evolve into high grade serous carcinomas that spread rapidly to the ovarian surface and peritoneum; such tumors may appear to be primary ovarian neoplasia, though in reality being a secondary malignancy. This hypothesis must be further investigated to understand the intracellular signaling pathways involved in Chlamydia infection and its heating, and their relationship to carcinogenesis in order to discover potential therapeutic molecular targets. If our hypothesis were confirmed, salpingectomy instead of ovariectomy may also become the recommended surgery for high risk women. (C) 2008 Elsevier Ltd. All rights reserved.

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Topoisomerases are ubiquitous nuclear enzymes that regulate DNA structure in eukaryotic cells. The role of topoisomerase III beta, the newest member of the topoisomerase family, in the clinical outcome of breast cancer is still poorly understood. This study aims to investigate the immunoexpression of topoisomerase III beta in breast cancer and its relationships with clinicopathologic features and immunohistochemical markers of prognostic significance in breast pathology. Using tissue microarrays containing 171 cases of primary invasive breast cancer, we analyzed the immunoexpression of topoisomerase III beta, estrogen receptor, progesterone receptor, HER-2, BRCA-1, p53, and Ki67. Immunostaining for topoisomerase III beta was found in 33.9% of breast carcinomas, and immunopositivity was correlated with distant metastasis (P = .036) and death (P = .006). Decreased expression of topoisomerase III beta correlated with low expression of Ki67 (P < .001) and negativity for HER-2 (P < .001), BRCA-1 (P = .001), and p53 (P < .001). In the multivariate analysis, topoisomerase Hip expression was a significant predictor of survival (hazard ratio, 3.006 [95% confidence interval, 1.582-5.715]; P = .001). In conclusion, topoisomerase III beta expression can be a useful marker in assessing the prognosis of patients with breast cancer and is an independent predictor of survival. (C) 2010 Elsevier Inc. All rights reserved.

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RÉSUMÉ: Le génome de toute cellule est susceptible d'être attaqué par des agents endogènes et exogènes. Afin de préserver l'intégrité génomique, les cellules ont développé des multitudes de mécanismes. La réplication de l'ADN, une étape importante durant le cycle cellulaire, constitue un stress et présente un danger important pour l'intégrité du génome. L'anémie de Fanconi est une maladie héréditaire rare dont les protéines impliquées semblent jouer un rôle crucial dans la réponse au stress réplicatif. La maladie est associée à une instabilité chromosomique ainsi qu'à une forte probabilité de développer des cancers. Les cellules des patients souffrant de l'anémie de Fanconi sont sensibles à des agents interférant avec la réplication de l'ADN, et plus particulièrement àdes agents qui fient les deux brins d'ADN d'une manière covalente. L'anémie de Fanconi est une maladie génétiquement hétérogène. Treize protéines ont pu être identifiées. Elles semblent figurer dans une même voie de signalisation qui est aussi connue sous le nom de « FA/BRCA pathway », car un des gènes est identique au gène BRCA2 (breast cancer susceptibility gene 2). Huit protéines forment un complexe nucléaire dont l'intégrité est nécessaire à la monoubiquitination de deux autres protéines, FANCD2 et FANCI, en réponse à un stress réplicatif. A ce jour, la fonction moléculaire des protéines du « FA/BRCA pathway »reste encore mal décrite. Au début de mon travail de thèse, nous avons donc décidé de purifier les protéines du complexe nucléaire et d'étudier leurs propriétés biochimiques. Nous avons tout d'abord étudié les cinq protéines connues à l'époque qui sont FANCA, FANCC, FANCE, FANCF et FANCG. Par la suite, nous avons étendu notre étude à des protéines découvertes plus récemment, FANCL, FANCM et FAAP24, en concentrant finalement notre travail sur la caractérisation de FANCM. FANCM, contrairement aux autres protéines du complexe, est constituée de deux domaines conservés suggérant un rôle important dans le métabolisme de l'ADN. Il s'agit d'un domaine « DEAH box hélicase »situé dans la partie N-terminale et d'un domaine « ERCC4 nuclease »situé dans la partie C-terminale de la protéine. Dans cette étude, nous avons purifié avec succès la protéine FANCM entière à partir d'un système hétérologue. Nous montrons que FANCM s'attache de manière spécifique à des jonctions de Holliday et des fourches de réplication. De plus, nous démontrons que FANCM peut déplacer le point de jonction de ces structures via son domaine hélicase de manière dépendante de l'ATP. FANCM est aussi capable de dissocier de grands intermédiaires de la recombinaison, via la migration de jonctions de Holliday à travers une région d'homologie de 2.6 kb. Tous ces résultats suggèrent que FANCM peut s'attacher spécifiquement à des fourches de réplication et à des jonctions de Holliday in vitro et que son domaine hélicase est associé à une activité migratoire efficace. Nous pensons que FANCM peut avoir un rôle direct sur les intermédiaires de réplication. Ceci est en accord avec l'idée que les protéines de l'anémie de Fanconi coordonnent la réparation de l'ADN au niveau des fourches de réplication arrêtées. Nos résultats donnent une première indication quant au rôle de FANCM dans la cellule et peuvent contribuer à élucider la fonction de cette voie de signalisation peu comprise jusqu'à présent. SUMMARY: The genome of every cell is subject to a constant offence by endogenous and exogenous agents. Not surprisingly; cells have evolved a multitude of mechanisms which aim at preserving genomic integrity. A key step during the life cycle of a cell, DNA replication itself, constitutes a special danger to the integrity of the genome. The proteins defective in the rare hereditary disease Fanconi anemia (FA) are suspected to play a crucial role in the cellular response to DNA replication stress. The disease is associated with chromosomal instability and pronounced cancer susceptibility. Cells from Fanconi anemia patients are sensitive to a variety of agents which interfere with DNA replication, DNA interstrand cross-linking agents being particularly threatening to their survival. Fanconi anemia is a genetically heterogeneous disease with 13 different proteins identified, which seem to work together in a common pathway. Since one of the FA genes is identical to the breast cancer susceptibility gene BRCA2, it is also referred to as the FA/BRCA pathway. Eight proteins form a nuclear complex, whose integriry is required for the monoubiquitination of two other FA proteins, FANCD2 and FANCI, in response to DNA replication stress. Despite intensive research, the function of the FA/BRCA pathway at a molecular level has remained largely elusive so far. At the beginning of my thesis, we therefore decided to purify the proteins of the FA core complex and to investigate their biochemical properties. We started with the five proteins which were known at that time, FANCA, FANCC, FANCE, FANCF, and FACG. Later on, we extended our studies to the newly discovered proteins FANCL, FANCM, and FAAP24, and eventually focused our work on the characterisation of FANCM. In contrast to the other core complex proteins, FANCM contains two conserved domains, which point to a role in DNA metabolism: an N-terminal DEAH box helicase domain and a C-terminal ERCC4 nuclease domain. In this study, we have successfully purified full-length FANCM from a recombinant source. We show that purified FANCM binds to branched DNA molecules, such as Holliday junctions and replication forks, with high specificity and affinity. In addition, we demonstrate that FANCM can translocate the junction point of branched DNA molecules due to its helicase domain in an ATPase-dependent manner. FANCM can even dissociate large recombination intermediates, via branch migration of Holliday junctions through a 2.6 kb region of homology. Taken together, our data suggest that FANCM can specifically bind to replication forks and Holliday junctions in vitro, and that its DEAH box helicase domain is associated with a potent branch migration activity. We propose that FANCM might have a direct role in the processing of DNA replication intermediates. This is consistent with the current view that FA proteins coordinate DNA repair at stalled replication forks. Our findings provide a first hint as to the context in which FANCM might play a role in the cell. We are optimistic that they might be key to further elucidate the function of a pathway which is far from being understood.

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Resumo:

The molecular genetic mechanisms of sex determination are not known for most vertebrates, including zebrafish. We identified a mutation in the zebrafish fancl gene that causes homozygous mutants to develop as fertile males due to female-to-male sex reversal. Fancl is a member of the Fanconi Anemia/BRCA DNA repair pathway. Experiments showed that zebrafish fancl was expressed in developing germ cells in bipotential gonads at the critical time of sexual fate determination. Caspase-3 immunoassays revealed increased germ cell apoptosis in fancl mutants that compromised oocyte survival. In the absence of oocytes surviving through meiosis, somatic cells of mutant gonads did not maintain expression of the ovary gene cyp19a1a and did not down-regulate expression of the early testis gene amh; consequently, gonads masculinized and became testes. Remarkably, results showed that the introduction of a tp53 (p53) mutation into fancl mutants rescued the sex-reversal phenotype by reducing germ cell apoptosis and, thus, allowed fancl mutants to become fertile females. Our results show that Fancl function is not essential for spermatogonia and oogonia to become sperm or mature oocytes, but instead suggest that Fancl function is involved in the survival of developing oocytes through meiosis. This work reveals that Tp53-mediated germ cell apoptosis induces sex reversal after the mutation of a DNA-repair pathway gene by compromising the survival of oocytes and suggests the existence of an oocyte-derived signal that biases gonad fate towards the female developmental pathway and thereby controls zebrafish sex determination.