843 resultados para Atypical febrile seizures


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Seizures associated with fever are a common pediatric problem, affecting about 2-7 % of children between 3 months and 5 years of age. Differentiation of febrile seizures from acute symptomatic seizures secondary to central nervous system infections or seizures associated with fever in children with epilepsy is essential to provide appropriate treatment and follow-up care. Here, we tested the hypothesis that children who exhibit simple febrile seizures during early childhood, but do not develop epileptic seizures later in life, might preferentially carry the ApoE2 allele of the gene coding for the apolipoprotein E. We did not find any differences in the distribution of ApoE alleles or genotypes between individuals who exhibited simple febrile seizures (n = 93) and age-matched, typically developing subjects (n = 80). We found that the observed allele and genotype frequencies did not deviate from Hardy-Weinberg equilibrium, which suggests that the frequencies of ApoE alleles and genotypes are stable in the Swiss population from which our samples were derived. Across both groups of subjects (n = 173), we found an ApoE2 allele frequency of 0.064, an ApoE3 frequency of 0.829 and an ApoE4 frequency of 0.107. Our findings are consistent with previous reports of the distribution of ApoE polymorphism for European subjects free of any neurological disorders, and show that the different alleles of the gene coding for the apolipoprotein E are not associated with the occurrence of simple febrile seizures.

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The aim of the present investigation was to study the distribution of T-cell subsets in peripheral blood defined by monoclonal antibodies and by the lymphocyte proliferative response to phytohemagglutinin (PHA) in 30 children with febrile seizures and in 14 age-matched control subjects. Frequent respiratory, urinary and dermatologic infections were observed in 22 patients. The immunologic parameters showed that 64% of the patients presented an increased number of CD8+ cells and a low helper/suppressor ratio was observed in 60% of the patients. In addition, the proliferative response of lymphocytes to PHA was impaired in the patients It was observed the presence of inhibitory activity on lymphocyte function in the plasma of 33% of children with febrile seizures. These results suggest that patients with febrile seizures have an impairment of cellular immunity that may be connected with this epileptic syndrome and explain the infections observed.

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Le co-transporteur KCC2 spécifique au potassium et chlore a pour rôle principal de réduire la concentration intracellulaire de chlore, entraînant l’hyperpolarisation des courants GABAergic l’autorisant ainsi à devenir inhibiteur dans le cerveau mature. De plus, il est aussi impliqué dans le développement des synapses excitatrices, nommées aussi les épines dendritiques. Le but de notre projet est d’étudier l’effet des modifications concernant l'expression et la fonction de KCC2 dans le cortex du cerveau en développement dans un contexte de convulsions précoces. Les convulsions fébriles affectent environ 5% des enfants, et ce dès la première année de vie. Les enfants atteints de convulsions fébriles prolongées et atypiques sont plus susceptibles à développer l’épilepsie. De plus, la présence d’une malformation cérébrale prédispose au développement de convulsions fébriles atypiques, et d’épilepsie du lobe temporal. Ceci suggère que ces pathologies néonatales peuvent altérer le développement des circuits neuronaux irréversiblement. Cependant, les mécanismes qui sous-tendent ces effets ne sont pas encore compris. Nous avons pour but de comprendre l'impact des altérations de KCC2 sur la survenue des convulsions et dans la formation des épines dendritiques. Nous avons étudié KCC2 dans un modèle animal de convulsions précédemment validé, qui combine une lésion corticale à P1 (premier jour de vie postnatale), suivie d'une convulsion induite par hyperthermie à P10 (nommés rats LHS). À la suite de ces insultes, 86% des rats mâles LHS développent l’épilepsie à l’âge adulte, au même titre que des troubles d’apprentissage. À P20, ces animaux presentent une augmentation de l'expression de KCC2 associée à une hyperpolarisation du potentiel de réversion de GABA. De plus, nous avons observé des réductions dans la taille des épines dendritiques et l'amplitude des courants post-synaptiques excitateurs miniatures, ainsi qu’un déficit de mémoire spatial, et ce avant le développement des convulsions spontanées. Dans le but de rétablir les déficits observés chez les rats LHS, nous avons alors réalisé un knock-down de KCC2 par shARN spécifique par électroporation in utero. Nos résultats ont montré une diminution de la susceptibilité aux convulsions due à la lésion corticale, ainsi qu'une restauration de la taille des épines. Ainsi, l’augmentation de KCC2 à la suite d'une convulsion précoce, augmente la susceptibilité aux convulsions modifiant la morphologie des épines dendritiques, probable facteur contribuant à l’atrophie de l’hippocampe et l’occurrence des déficits cognitifs. Le deuxième objectif a été d'inspecter l’effet de la surexpression précoce de KCC2 dans le développement des épines dendritiques de l’hippocampe. Nous avons ainsi surexprimé KCC2 aussi bien in vitro dans des cultures organotypiques d’hippocampe, qu' in vivo par électroporation in utero. À l'inverse des résultats publiés dans le cortex, nous avons observé une diminution de la densité d’épines dendritiques et une augmentation de la taille des épines. Afin de confirmer la spécificité du rôle de KCC2 face à la région néocorticale étudiée, nous avons surexprimé KCC2 dans le cortex par électroporation in utero. Cette manipulation a eu pour conséquences d’augmenter la densité et la longueur des épines synaptiques de l’arbre dendritique des cellules glutamatergiques. En conséquent, ces résultats ont démontré pour la première fois, que les modifications de l’expression de KCC2 sont spécifiques à la région affectée. Ceci souligne les obstacles auxquels nous faisons face dans le développement de thérapie adéquat pour l’épilepsie ayant pour but de moduler l’expression de KCC2 de façon spécifique.

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Le co-transporteur KCC2 spécifique au potassium et chlore a pour rôle principal de réduire la concentration intracellulaire de chlore, entraînant l’hyperpolarisation des courants GABAergic l’autorisant ainsi à devenir inhibiteur dans le cerveau mature. De plus, il est aussi impliqué dans le développement des synapses excitatrices, nommées aussi les épines dendritiques. Le but de notre projet est d’étudier l’effet des modifications concernant l'expression et la fonction de KCC2 dans le cortex du cerveau en développement dans un contexte de convulsions précoces. Les convulsions fébriles affectent environ 5% des enfants, et ce dès la première année de vie. Les enfants atteints de convulsions fébriles prolongées et atypiques sont plus susceptibles à développer l’épilepsie. De plus, la présence d’une malformation cérébrale prédispose au développement de convulsions fébriles atypiques, et d’épilepsie du lobe temporal. Ceci suggère que ces pathologies néonatales peuvent altérer le développement des circuits neuronaux irréversiblement. Cependant, les mécanismes qui sous-tendent ces effets ne sont pas encore compris. Nous avons pour but de comprendre l'impact des altérations de KCC2 sur la survenue des convulsions et dans la formation des épines dendritiques. Nous avons étudié KCC2 dans un modèle animal de convulsions précédemment validé, qui combine une lésion corticale à P1 (premier jour de vie postnatale), suivie d'une convulsion induite par hyperthermie à P10 (nommés rats LHS). À la suite de ces insultes, 86% des rats mâles LHS développent l’épilepsie à l’âge adulte, au même titre que des troubles d’apprentissage. À P20, ces animaux presentent une augmentation de l'expression de KCC2 associée à une hyperpolarisation du potentiel de réversion de GABA. De plus, nous avons observé des réductions dans la taille des épines dendritiques et l'amplitude des courants post-synaptiques excitateurs miniatures, ainsi qu’un déficit de mémoire spatial, et ce avant le développement des convulsions spontanées. Dans le but de rétablir les déficits observés chez les rats LHS, nous avons alors réalisé un knock-down de KCC2 par shARN spécifique par électroporation in utero. Nos résultats ont montré une diminution de la susceptibilité aux convulsions due à la lésion corticale, ainsi qu'une restauration de la taille des épines. Ainsi, l’augmentation de KCC2 à la suite d'une convulsion précoce, augmente la susceptibilité aux convulsions modifiant la morphologie des épines dendritiques, probable facteur contribuant à l’atrophie de l’hippocampe et l’occurrence des déficits cognitifs. Le deuxième objectif a été d'inspecter l’effet de la surexpression précoce de KCC2 dans le développement des épines dendritiques de l’hippocampe. Nous avons ainsi surexprimé KCC2 aussi bien in vitro dans des cultures organotypiques d’hippocampe, qu' in vivo par électroporation in utero. À l'inverse des résultats publiés dans le cortex, nous avons observé une diminution de la densité d’épines dendritiques et une augmentation de la taille des épines. Afin de confirmer la spécificité du rôle de KCC2 face à la région néocorticale étudiée, nous avons surexprimé KCC2 dans le cortex par électroporation in utero. Cette manipulation a eu pour conséquences d’augmenter la densité et la longueur des épines synaptiques de l’arbre dendritique des cellules glutamatergiques. En conséquent, ces résultats ont démontré pour la première fois, que les modifications de l’expression de KCC2 sont spécifiques à la région affectée. Ceci souligne les obstacles auxquels nous faisons face dans le développement de thérapie adéquat pour l’épilepsie ayant pour but de moduler l’expression de KCC2 de façon spécifique.

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Generalized epilepsy with febrile seizures plus (GEFS+), a clinical subset of febrile seizures (FS), is characterized by frequent episodes beyond 6 years of age (FS+) and various types of subsequent epilepsy. Mutations in β1 and αI-subunit genes of voltage-gated Na+ channels have been associated with GEFS+1 and 2, respectively. Here, we report a mutation resulting in an amino acid exchange (R187W) in the gene encoding the α-subunit of neuronal voltage-gated Na+ channel type II (Nav1.2) in a patient with FS associated with afebrile seizures. The mutation R187W occurring on Arg187, a highly conserved residue among voltage-gated Na+ channels, was not found in 224 alleles of unaffected individuals. Whole-cell patch clamp recordings on human embryonic kidney (HEK) cells expressing a rat wild-type (rNav1.2) and the corresponding mutant channels showed that the mutant channel inactivated more slowly than wild-type whereas the Na+ channel conductance was not affected. Prolonged residence in the open state of the R187W mutant channel may augment Na+ influx and thereby underlie the neuronal hyperexcitability that induces seizure activity. Even though a small pedigree could not show clear cosegregation with the disease phenotype, these findings strongly suggest the involvement of Nav1.2 in a human disease and propose the R187W mutation as the genetic defect responsible for febrile seizures associated with afebrile seizures.

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Purpose: SCN1A is the most clinically relevant epilepsy gene, most mutations lead to severe myoclonic epilepsy of infancy (SMEI) and generalized epilepsy with febrile seizures plus (GEFS+). We studied 132 patients with epilepsy syndromes with seizures precipitated by fever, and performed phenotype-genotype correlations with SCN1A alterations. Methods: We included patients with SMEI including borderline SMEI (SMEB), GEFS+, febrile seizures (FS), or other seizure types precipitated by fever. We performed a clinical and genetic study focusing on SCN1A, using dHPLC, gene sequencing, and MLPA to detect genomic deletions/duplications on SMEI/SMEB patients. Results: We classified patients as: SMEI/SMEB = 55; GEFS+ = 26; and other phenotypes = 51. SCN1A analysis by dHPLC/sequencing revealed 40 mutations in 37 SMEI/SMEB (67%) and 3 GEFS+ (11.5%) probands. MLPA showed genomic deletions in 2 of 18 SMEI/SMEB. Most mutations were de novo (82%). SMEB patients carrying mutations (8) were more likely to have missense mutations (62.5%), conversely SMEI patients (31) had more truncating, splice site or genomic alterations (64.5%). SMEI/SMEB with truncating, splice site or genomic alterations had a significantly earlier age of onset of FS compared to those with missense mutations and without mutations (p = 0.00007, ANOVA test). None of the remaining patients with seizures precipitated by fever carried SCN1A mutations. Conclusion: We obtained a frequency of 71% SCN1A abnormalities in SMEI/SMEB and of 11.5% in GEFS+ probands. MLPA complements DNA sequencing of SCN1A increasing the mutation detection rate. SMEI/SMEB with truncating, splice site or genomic alterations had a significantly earlier age of onset of FS. This study confirms the high sensitivity of SCN1A for SMEI/SMEB phenotypes. © 2007 International League Against Epilepsy.

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Migraine is the most common neurological disorder worldwide affecting about 12% of the worldwide population. This disorder has been classed into two main types of migraine—with and without aura. While a number of factors can influence the onset of migraine, a major factor is that of genetics. The GABAA gene encodes for the GABAA receptor. Along with other receptors, the GABAA receptor is involved in the mediation of neuronal activities. In this study, a GABRG2 gene (GABAA receptor gamma-2-subunit) SNP (rs211037) was genotyped on a migraine case–control population of 546 (273 affected and an equal number of healthy) individuals. Using specifically designed primers, a high resolution melt (HRM) assay was carried out in the genotyping process. After genotyping, results were compared in the case and control populations. Analysis of results showed no significant differences in the allele frequencies between case and control populations. Similarly no differences were detected for subtypes or for a specific gender of migraine (p > 0.05). Although this gene has been previously found to be involved in febrile seizures and there is some co-morbidity between epilepsy and migraine, we decided to investigate this marker for involvement in migraine. The results did not support a role for the tested GABRG2 variant in migraine.

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Environ 2-3% d’enfants avec convulsions fébriles (CF) développent une épilepsie, mais les outils cliniques existants ne permettent pas d’identifier les enfants susceptibles de développer une épilepsie post-convulsion fébrile. Des études ont mis en évidence des anomalies d’EEG quantifiée, et plus particulièrement en réponse à la stimulation lumineuse intermittente (SLI), chez des patients épileptiques. Aucune étude n’a analysé ces paramètres chez l’enfant avec CF et il importe de déterminer s’ils sont utiles pour évaluer le pronostic des CF. Les objectifs de ce programme de recherche étaient d’identifier, d’une part, des facteurs de risque cliniques qui déterminent le développement de l’épilepsie après des CF et, d’autre part, des marqueurs électrophysiologiques quantitatifs qui différencieraient les enfants avec CF des témoins et pourraient aider à évaluer leur pronostic. Afin de répondre à notre premier objectif, nous avons analysé les dossiers de 482 enfants avec CF, âgés de 3 mois à 6 ans. En utilisant des statistiques de survie, nous avons décrit les facteurs de risque pour développer une épilepsie partielle (antécédents prénataux, retard de développement, CF prolongées et focales) et généralisée (antécédents familiaux d’épilepsie, CF récurrentes et après l’âge de 4 ans). De plus, nous avons identifié trois phénotypes cliniques distincts ayant un pronostic différent : (i) CF simples avec des antécédents familiaux de CF et sans risque d’épilepsie ultérieure; (ii) CF récurrentes avec des antécédents familiaux d’épilepsie et un risque d’épilepsie généralisée; (iii) CF focales avec des antécédents familiaux d’épilepsie et un risque d’épilepsie partielle. Afin de répondre à notre deuxième objectif, nous avons d’abord analysé les potentiels visuels steady-state (PEVSS) évoqués par la SLI (5, 7,5, 10 et 12,5 Hz) en fonction de l’âge. Le tracé EEG de haute densité (128 canaux) a été enregistré chez 61 enfants âgés entre 6 mois et 16 ans et 8 adultes normaux. Nous rapportons un développement topographique différent de l’alignement de phase des composantes des PEVSS de basses (5-15 Hz) et de hautes (30-50 Hz) fréquences. Ainsi, l’alignement de phase des composantes de basses fréquences augmente en fonction de l’âge seulement au niveau des régions occipitale et frontale. Par contre, les composantes de hautes fréquences augmentent au niveau de toutes les régions cérébrales. Puis, en utilisant cette même méthodologie, nous avons investigué si les enfants avec CF présentent des anomalies des composantes gamma (50-100 Hz) des PEVSS auprès de 12 cas de CF, 5 frères et sœurs des enfants avec CF et 15 témoins entre 6 mois et 3 ans. Nous montrons une augmentation de la magnitude et de l’alignement de phase des composantes gamma des PEVSS chez les enfants avec CF comparés au groupe témoin et à la fratrie. Ces travaux ont permis d’identifier des phénotypes électro-cliniques d’intérêt qui différencient les enfants avec CF des enfants témoins et de leur fratrie. L’étape suivante sera de vérifier s’il y a une association entre les anomalies retrouvées, la présentation clinique et le pronostic des CF. Cela pourrait éventuellement aider à identifier les enfants à haut risque de développer une épilepsie et permettre l’institution d’un traitement neuroprotecteur précoce.

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Les neurones des couches superficielles du collicule supérieur et du cortex visuel primaire du rat adulte sont sensibles à de basses fréquences spatiales de haut contraste défilant à des vitesses élevées. Entre les jours post-nataux 27-30 et l’âge adulte, les fréquences temporelles optimales des neurones du cortex visuel primaire augmentent, tandis que leurs seuils de contraste diminuent. Cependant, les fréquences spatiales optimales, les valeurs de résolution spatiale et les bandes passantes spatiales de ces neurones sont, dès l’ouverture des paupières, similaires à celles observées chez le rat adulte. Ces profils de réponse neuronale suggèrent que les projections rétino-colliculaires et rétino-géniculo-corticales sont essentiellement issues de neurones ganglionnaires rétinofuges magnocellulaires et koniocellulaires. Les neurones du cortex visuel primaire du rat ayant subi des convulsions hyperthermiques présentent, dès l’ouverture des paupières, de basses fréquences spatiales optimales, de larges bandes passantes directionnelles et temporelles ainsi que des seuils de contraste élevés par rapport aux neurones du rat normal. À l’âge adulte, de basses fréquences temporelles optimales et de larges bandes passantes spatiales sont également observées chez le rat ayant subi des convulsions hyperthermiques. L’altération des profils de réponse des neurones du cortex visuel primaire du rat ayant subi de convulsions hyperthermiques suggère un déséquilibre entre les mécanismes neuronaux excitateurs et inhibiteurs de cette aire corticale. Ces résultats suggèrent également qu’un épisode unique de convulsions fébriles infantiles suffit à altérer le développement des propriétés spatio-temporelles des champs récepteurs des neurones du cortex visuel primaire.

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AIMS In symptomatic fever management, there is often a gap between everyday clinical practice and current evidence. We were interested to see whether the three linguistic regions of Switzerland differ in the management of fever. METHODS A close-ended questionnaire, sent to 900 Swiss paediatricians, was answered by 322 paediatricians. Two hundred and fourteen respondents were active in the German speaking, 78 in the French speaking and 30 in the Italian speaking region. RESULTS Paediatricians from the French and Italian speaking regions identify a lower temperature threshold for initiating a treatment and more frequently reduce it for children with a history of febrile seizures. A reduced general appearance leads more frequently to a lower threshold for treatment in the German speaking than in the French and Italian speaking areas. Among 1.5 and 5-year-old children the preference for the rectal route is more pronounced in the German than in the French speaking region. French speaking respondents more frequently prescribe ibuprofen and an alternating regimen with two drugs than German speaking respondents. Finally, the stated occurrence of exaggerated fear of fever was higher in the German and Italian speaking regions. CONCLUSIONS Switzerland offers the opportunity to compare three different regions with respect to management of febrile children. This inquiry shows regional differences in symptomatic fever management and in the perceived frequency of exaggerated fear of fever. The gap between available evidence and clinical practice is more pronounced in the French and in the Italian speaking regions than in the German speaking region.

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OBJECTIVE To describe all patients admitted to children's hospitals in Switzerland with a diagnosis of influenza A/H1N1/09 virus infection during the 2009 influenza pandemic, and to analyse their characteristics, predictors of complications, and outcome. METHODS All patients ≤18-years-old hospitalised in eleven children's hospitals in Switzerland between June 2009 and January 2010 with a positive influenza A/H1N1/09 reverse transcriptase polymerase chain reaction (RT-PCR) from a nasopharyngeal specimen were included. RESULTS There were 326 PCR-confirmed patients of whom 189 (58%) were younger than 5 years of age, and 126 (38.7%) had one or more pre-existing medical condition. Fever (median 39.1 °C) was the most common sign (85.6% of all patients), while feeding problems (p = 0.003) and febrile seizures (p = 0.016) were significantly more frequent in children under 5 years. In 142 (43.6%) patients there was clinical suspicion of a concomitant bacterial infection, which was confirmed in 36 patients (11%). However, severe bacterial infection was observed in 4% of patients. One third (n = 108, 33.1%) of the patients were treated with oseltamivir, 64 (59.3%, or 20% overall) within 48 hours of onset of symptoms. Almost half of the patients (45.1%) received antibiotics for a median of 7 days. Twenty patients (6.1%) required intensive care, mostly for complicated pneumonia (50%) without an underlying medical condition. The median duration of hospitalisation was 2 days (range 0-39) for 304 patients. Two children (<15 months of age with underlying disease) died. CONCLUSIONS Although pandemic influenza A/H1N1/09 virus infection in children is mostly mild, it can be severe, regardless of past history or underlying disease.

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This investigation compares two different methodologies for calculating the national cost of epilepsy: provider-based survey method (PBSM) and the patient-based medical charts and billing method (PBMC&BM). The PBSM uses the National Hospital Discharge Survey (NHDS), the National Hospital Ambulatory Medical Care Survey (NHAMCS) and the National Ambulatory Medical Care Survey (NAMCS) as the sources of utilization. The PBMC&BM uses patient data, charts and billings, to determine utilization rates for specific components of hospital, physician and drug prescriptions. ^ The 1995 hospital and physician cost of epilepsy is estimated to be $722 million using the PBSM and $1,058 million using the PBMC&BM. The difference of $336 million results from $136 million difference in utilization and $200 million difference in unit cost. ^ Utilization. The utilization difference of $136 million is composed of an inpatient variation of $129 million, $100 million hospital and $29 million physician, and an ambulatory variation of $7 million. The $100 million hospital variance is attributed to inclusion of febrile seizures in the PBSM, $−79 million, and the exclusion of admissions attributed to epilepsy, $179 million. The former suggests that the diagnostic codes used in the NHDS may not properly match the current definition of epilepsy as used in the PBMC&BM. The latter suggests NHDS errors in the attribution of an admission to the principal diagnosis. ^ The $29 million variance in inpatient physician utilization is the result of different per-day-of-care physician visit rates, 1.3 for the PBMC&BM versus 1.0 for the PBSM. The absence of visit frequency measures in the NHDS affects the internal validity of the PBSM estimate and requires the investigator to make conservative assumptions. ^ The remaining ambulatory resource utilization variance is $7 million. Of this amount, $22 million is the result of an underestimate of ancillaries in the NHAMCS and NAMCS extrapolations using the patient visit weight. ^ Unit cost. The resource cost variation is $200 million, inpatient is $22 million and ambulatory is $178 million. The inpatient variation of $22 million is composed of $19 million in hospital per day rates, due to a higher cost per day in the PBMC&BM, and $3 million in physician visit rates, due to a higher cost per visit in the PBMC&BM. ^ The ambulatory cost variance is $178 million, composed of higher per-physician-visit costs of $97 million and higher per-ancillary costs of $81 million. Both are attributed to the PBMC&BM's precise identification of resource utilization that permits accurate valuation. ^ Conclusion. Both methods have specific limitations. The PBSM strengths are its sample designs that lead to nationally representative estimates and permit statistical point and confidence interval estimation for the nation for certain variables under investigation. However, the findings of this investigation suggest the internal validity of the estimates derived is questionable and important additional information required to precisely estimate the cost of an illness is absent. ^ The PBMC&BM is a superior method in identifying resources utilized in the physician encounter with the patient permitting more accurate valuation. However, the PBMC&BM does not have the statistical reliability of the PBSM; it relies on synthesized national prevalence estimates to extrapolate a national cost estimate. While precision is important, the ability to generalize to the nation may be limited due to the small number of patients that are followed. ^

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Trabalho Final do Curso de Mestrado Integrado em Medicina, Faculdade de Medicina, Universidade de Lisboa, 2014