118 resultados para Aristote.


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Commençant par : « La grace divine appellée devant toute oeuvre selont la doctrine de Platon,... » et finissant par : «... pour ce n'y convient il plus arrester quant à present. Explicit le livre des Problemes de Aristote » , etc., comme au n° précédent.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Fragments composés de six doubles feuillets d'un bel exemplaire, orné de grisailles.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Ce mémoire a pour tâche de déterminer le statut ontologique de la puissance chez Aristote. Pour ce faire, il est d’abord question, dans le premier chapitre, de bien définir les deux sens de la puissance, soit la puissance motrice et l’état potentiel. Nous expliquons aussi alors les multiples sens de la puissance motrice et les multiples types de la puissance que sont la nature, l’âme et l’art. Ensuite, le second chapitre étudie les liens entre l’état potentiel et la matière, d’une part, et les liens entre le non-être, la puissance et la possibilité, d’autre part. Enfin, le troisième chapitre explicite la hiérarchie ontologique aristotélicienne pour en dégager le statut ontologique de la puissance par rapport à l’acte. Cela est fait de trois manières : selon l’antériorité de l’acte sur la puissance au sein d’une substance unique ; selon l’antériorité des êtres éternels, notamment celle du premier moteur, sur les êtres générables et corruptibles ; l’antériorité du bien en acte sur le bien puissance.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Ce mémoire vise à mieux comprendre l'utilisation du concept d'autarcie à l'oeuvre dans les écrits d'Aristote et, ce faisant, à nous amener à une meilleure compréhension du lien entre l'éthique et la politique dans la pensée aristotélicienne. Pour ce faire, nous commençons tout d'abord par distinguer deux types d'autarcie, à savoir ce que nous appellerons dans la suite l'autarcie divine et l'autarcie humaine. L'autarcie divine doit être comprise comme le fait de se suffire pleinement à soi-même de la manière la plus rigoureuse qui soit et cette autarcie n'est, à proprement parler, attribuable qu'au divin. L'autarcie humaine, quant à elle, est celle qui est à l'oeuvre dans la définition que donne Aristote de la cité, à savoir qu'elle est un regroupement autarcique de personnes visant à vivre et à bien vivre. Par la suite, nous montrons que la pratique de la philosophie, qui est décrite comme une pratique autarcique en EN, X, est difficilement conciliable avec les activités de la cité et la constitution d'une communauté politique. En effet, comme c'est le besoin qui doit jouer le rôle de ciment de la cité, il est difficile de voir comment la philosophie peut s'insérer dans le cadre étatique de la cité, étant donné qu'elle n'est d'aucune utilité et qu'elle est recherchée pour elle-même. Toutefois, puisqu'Aristote ne présente jamais la cohabitation de la philosophie avec les autres activités de la cité comme problématique, nous tentons de voir comment il est possible de concilier la pratique de la philosophie avec la nécessité pour l'individu de vivre en cité. C'est en examinant la notion de loisir que nous en venons à conclure que la philosophie doit y être reléguée afin de pouvoir être pratiquée. C'est aussi en associant la philosophie au loisir et en étudiant le rôle que celui-ci doit jouer au sein de la cité que nous sommes en mesure de voir se dessiner le lien entre l'éthique et la politique.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Le but de ce mémoire est d’expliciter en détail et de voir la portée d'un passage bien précis du traité des Topiques, ouvrage où Aristote tente d'élaborer une méthode qui permettra de raisonner de manière dialectique. Dans le deuxième chapitre du premier livre (I, 2), il énonce de manière succincte trois utilités que le traité en question peut procurer à celui qui possède et maîtrise adéquatement cette méthode. En premier lieu, la dialectique servirait de gymnastique intellectuelle pour former l'esprit et lui donner plus de souplesse dans ses raisonnements. Dans un second temps, elle serait utile dans les rencontres de tous les jours avec autrui parce qu’elle permettrait de discuter et d'argumenter sur un sujet donné avec le premier venu. Enfin, il semble également que la dialectique soit utile pour les «connaissances de caractère philosophique», en ce sens qu'elle permettrait de développer les apories et ultimement, d'établir les principes ou les notions premières de chaque science. Dans ce travail, je me propose donc d’examiner chacune de ces prétendues utilités afin de voir comment, et dans quelle mesure, nous pouvons réellement affirmer que la dialectique s’avère profitable pour chacun des services énumérés en Topiques I, 2.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Le traité De l’âme (DA) et les traités connexes (Parva Naturalia) contiennent les éléments d’une théorie de la phantasia, souvent nommée « imagination », ou « représentation ». Dans ce texte, Aristote affirme à plusieurs reprises qu’il est impossible de penser quoi que ce soit sans phantasia. Le DA contient toutefois peu de précisions quant à la portée de cette affirmation. Ce que cela signifie trouve cependant une élucidation si l’on transfert la théorie de la phantasia à un autre texte, les Seconds Analytiques II, 19, portant sur l’acquisition du premier savoir universel à partir de la perception, et des premiers principes intelligibles. Cette étude se propose d’abord de montrer en quoi la théorie de la phantasia s’applique aux SA, et comment ce texte, lu en regard de la phantasia, peut répondre à la question de savoir ce que cela signifie que l’intellect doit nécessairement s’appuyer sur la phantasia pour penser.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Dans la Politique, Aristote distingue quatre « espèces » de démocratie. Le présent article tâche de déterminer dans quelle mesure le passage de la première à la quatrième espèce peut s’interpréter comme un progrès vers une forme constitutionnelle plus accomplie et plus parfaite. Aristote, autrement dit, conçoit-il un perfectionnement des formes politiques comme il conçoit, par ailleurs, le perfectionnement des formes artistiques et des formes de vie ?