970 resultados para Anti-communist movements
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Translated from the Slovakian journal Ekonomicky Casopis, v. 9, n6, August 1961; review of W.W. Rostow's "The stages of economic growth (a Non-Communist Manifesto).
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Shipping list no.: 2003-0174-P (volumes 1-2), 2003-0176-P (volumes 3-4), 2003-0184-P (volume 5), 2004-0047-P (index).
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Includes bibliography.
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Vaughn, James, ''Cloak Without Dagger': How the Information Research Department Fought Britain's Cold War in the Middle East, 1948-1956', Cold War History (2004) 4(3) pp.56-84 RAE2008
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This collection offers a diachronic analytical study of new and alternative social movements in Spain from the democratic transition to the first decade of the 21st century, paying attention to anti-war mobilizations and the use of new technologies as a mobilizing resource. New and alternative social movements are studied through the prism of identified linkages among the left, movement identities and global processes in the Spanish context. Weight is given to certain important historical aspects, like Spain’s relatively recent authoritarian past, and certain value-added factors, such as the weak associationalism and materialism exhibited by the Spanish public. These are complemented by exploring insights offered by key theoretical approaches on social movements (political opportunities structures, resource mobilization). The volume covers established social movement cases (gender, peace, environmental movements) as well as those with a more explicit connection to the current context of global contestation (squatters’ and anti-globalization movements).
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La présente thèse porte sur des mobilisations citoyennes qui ont court depuis quelques années à Saint-Pétersbourg, en Russie, contre la densification urbaine. La transformation de l’espace urbain en commodité a entraîné une augmentation fulgurante des constructions et ce, tant dans les périphéries qu’au centre-ville. La redéfinition de l’espace urbain, conséquence de la chute du régime communiste, a provoqué l’érosion d’espaces considérés comme publics et de nombreux espaces verts. De nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer ce qui est souvent qualifié de catastrophe pouvant mener à la « disparition » de Saint-Pétersbourg. Je me suis intéressée à trois aspects de la mobilisation citoyenne contre la densification urbaine : 1) l’opposition de résidents à des projets de constructions qui menacent directement leur environnement immédiat; 2) les efforts de certaines organisations citoyennes pour sauver des espaces verts menacés et; 3) la mobilisation provoquée par la démolition du patrimoine historique. J’ai tenté de comprendre pourquoi la lutte contre la densification urbaine constitue la principale cause de mobilisation à Saint-Pétersbourg en ce début de 21e siècle. Je me suis questionnée sur le sens de cette mobilisation et sur les raisons qui poussent des citoyens à se transformer momentanément en activistes. J’ai examiné l’histoire singulière de cette ville et son passé de résistance qui ont contribué à donner naissance à une identité particulière qui a perduré au fil des siècles, malgré les guerres et les bouleversements politiques. L’analyse des récits et des actions des résidents a révélé que la densification urbaine met en lumière plusieurs enjeux qui touchent la société russe contemporaine, comme le fossé grandissant entre les riches et les pauvres et la perte de confiance aux autorités. La densification urbaine représente, pour ses opposants, une perte de qualité de vie. Mais les Pétersbourgeois qui s’unissent pour préserver leur ville craignent aussi que la densification urbaine mène à la disparition de la mémoire et de la culture incarnées par tous ces lieux menacés. En exprimant leur désaccord contre les divers projets qui envahissent la ville, les résidents souhaitent aussi faire entendre leur voix et participer de manière active à l’élaboration d’une vision qui prendrait en compte les intérêts non seulement de la classe dirigeante, mais de l’ensemble de la population. En ce sens, les mobilisations contre la densification urbaine constituent une tentative de (ré)appropriation de la ville, tant sur le plan matériel que symbolique.
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Pós-graduação em História - FCLAS
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Anti-apartheid movements outside South Africa have been recently becoming a popular research topic as an indispensable part of the history of the liberation struggle against apartheid, as well as from the “global civil society” point of view, i.e. anti-apartheid movements as one of the earliest examples of transnational social movements with the aim of realization of global justice. The Japanese movement, however, has attracted little attention so far, despite its history of nearly half century. The Japanese movement’s characteristic foci and style, reflecting the unique position of Japan as a non-white nation with strong trade relations with white-dominated South Africa, certainly deserves detailed study. This paper is an attempt to fill the gap by outlining the history of the anti-apartheid movement in Japan.
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International and transnational solidarity is being increasingly recognized as an indispensable part in the recent historiography on the liberation struggle in Southern Africa. Yet the literature has mostly focused on anti-apartheid movements in the West, and anti-apartheid movements in Asia have attracted little attention. Focusing on the Japanese citizens' movement (shimin undo) against apartheid, which loosely coalesced into the Japan Anti-Apartheid Committee (JAAC), this paper looks into how the issue of 'honorary white' was brought into the early period of the anti-apartheid movement in Japan, and how the framing discourses of the movement was developed around the issue.
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En 1989, la Pologne, la Hongrie, la Tchécoslovaquie et la République démocratique allemande (RDA) furent secouées par des mouvements de protestations qui précipitèrent la dissolution de leur régime communiste. Il est souvent admis, dans l’historiographie comme dans la mémoire populaire, que les intellectuels, dont plusieurs écrivains, ont joué un rôle déterminant lors de ces bouleversements. Or, l’analyse de la révolution en Allemagne de l’Est et des prises de position de son intelligentsia littéraire démontre qu’une telle conclusion s’applique mal à cet État : les auteurs phares de la RDA, qui se sont pourtant présentés pendant et après la révolution comme des victimes et des opposants au régime, n’ont jamais partagé les revendications anticommunistes de leurs concitoyens et ont conservé un discours socialiste. Ce mémoire entend expliquer cette réaction particulière des écrivains les mieux établis de l’Allemagne de l’Est – soit Christa Wolf, Heiner Müller, Stefan Heym, Volker Braun et Christoph Hein. En étudiant leurs textes non fictifs et en analysant la relation qu’ils entretenaient avec le régime, la population et l’idéologie promue en RDA, nous démontrerons que ces auteurs avaient développé, avant l’ouverture du mur de Berlin, une stratégie d’action alliant loyauté socialiste et critique de l’autoritarisme, ce qui leur avait permis de cumuler un important capital social et culturel. À l’automne 1989 et lors du processus de réunification allemande, l’intelligentsia littéraire a en fait agi en fonction de cette même stratégie ; celle-ci, toutefois, n’était pas adaptée aux nouvelles conditions sociales.