952 resultados para Altro Health and Rehabilitation Services (New York, N.Y.)
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Cover for some vols. carry alternate form of the corporate name: Dept. of Public Instruction.
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Cover title: The Finger Lakes drainage basin: official classifications.
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L’arthrite est l’une des causes principales de douleur et d’incapacité auprès de la population canadienne. Les gens atteints d’arthrite rhumatoïde (AR) devraient être évalués par un rhumatologue moins de trois mois suivant l’apparition des premiers symptômes et ce afin de débuter un traitement médical approprié qui leur sera bénéfique. La physiothérapie et l’ergothérapie s’avèrent bénéfiques pour les patients atteints d’ostéoarthrite (OA) et d’AR, et aident à réduire l’incapacité. Notre étude a pour but d’évaluer les délais d’attente afin d’obtenir un rendez-vous pour une consultation en rhumatologie et en réadaptation dans le système de santé public québécois, et d’explorer les facteurs associés. Notre étude est de type observationnel et transversal et s’intéresse à la province de Québec. Un comité d’experts a élaboré trois scénarios pour les consultations en rhumatologie : AR présumée, AR possible, et OA présumée ; ainsi que deux scénarios pour les consultations en réadaptation : AR diagnostiquée, OA diagnostiquée. Les délais d’attente ont été mesurés entre le moment de la requête initiale et la date de rendez-vous fixée. L’analyse statistique consiste en une analyse descriptive de même qu’une analyse déductive, à l’aide de régression logistique et de comparaison bivariée. Parmi les 71 bureaux de rhumatologie contactés, et pour tous les scénarios combinés, 34% ont donné un rendez-vous en moins de trois mois, 32% avaient une attente de plus de trois mois et 34% ont refusé de fixer un rendez-vous. La probabilité d’obtenir une évaluation en rhumatologie en moins de trois mois est 13 fois plus grande pour les cas d’AR présumée par rapport aux cas d’OA présumée (OR=13; 95% Cl [1.70;99.38]). Cependant, 59% des cas d’AR présumés n’ont pas obtenu rendez-vous en moins de trois mois. Cent centres offrant des services publics en réadaptation ont été contactés. Pour tous les scénarios combinés, 13% des centres ont donné un rendez-vous en moins de 6 mois, 13% entre 6 et 12 mois, 24% avaient une attente de plus de 12 mois et 22% ont refusé de fixer un rendez-vous. Les autres 28% restant requéraient les détails d’une évaluation relative à l’état fonctionnel du patient avant de donner un rendez-vous. Par rapport aux services de réadaptation, il n’y avait aucune différence entre les délais d’attente pour les cas d’AR ou d’OA. L’AR est priorisée par rapport à l’OA lorsque vient le temps d’obtenir un rendez-vous chez un rhumatologue. Cependant, la majorité des gens atteints d’AR ne reçoivent pas les services de rhumatologie ou de réadaptation, soit physiothérapie ou ergothérapie, dans les délais prescrits. De meilleures méthodes de triage et davantage de ressources sont nécessaires.
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Bibliographical footnotes.
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The trafficking of women has attracted considerable international and national policy attention, particularly since the UN Protocol to Prevent, Suppress and Punish Trafficking in Persons, Especially Women and Children (2000), of which the Australian Government has been a signatory since 2005. The provision of health and community services for trafficked women is a central feature of this Protocol, but in Australia service provision is made difficult by how trafficked women are understood and treated in policy and legal terms. This study aimed to explore the provision of health and community services for trafficked women in the Greater Sydney region through a series of interviews with government and non-government organisations. The findings reveal that services have been inaccessible as a result of sparse, uncoordinated, and poorly funded provision. The major obstacle to adequate and appropriate service provision has been a national policy approach focusing on 'border protection' and criminalisation rather than on trafficked women and their human rights. We conclude that further policy development needs to focus on the practical implications of how such rights can be translated into the delivery of health and community services that trafficked women can access and be supported by more effectively.
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Australian policy makers recognise women who are trafficked to Australia (and these are largely for the purposes of sexual exploitation) primarily as victims of crime. The main public mechanism by which the "problem" of trafficked people in Australia is managed is the criminal law. At the same time, however, as a signatory to the UN Protocol on Trafficking and the Declaration of Human Rights, the Australian Government also recognises the rights of women trafficked to Australia to access health and community services in the wake of the health damage and trauma they often incur as a consequence of their experience. Current evidence suggests that trafficked women in Australia face considerable barriers in being able to avail themselves of such a right and of the services that accompany it. This paper explores the tensions posed by Australian policy and service approaches to trafficked women in light of the concept of social citizenship and the ways in which it is mediated in the Australian context by national border protection policy.
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