907 resultados para All Saints Sunday
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"In Mexico, the first two days of November are set aside each year for the commemoration of the dead. This fete, called All Saints' Day and All Souls' Day, is observed throughout the world; however, in Mexico, it is celebrated in a manner peculiar to that country and to the various localities within that country . This holiday is sanctioned by both government and church; and is celebrated by practically all Mexicans, whether they be Catholic, pagan, relilious or irreligious. These are the two days when that contrast which is the essence of Mexico becomes obvious: the "triste~alegria" (sad-happiness). During these days , art objects are abundant and arresting ; and religious ceremonies, rites and fiestas blossom forth! Urban and folk arts, in every field, find full expression at this time. The religious, social, political, and artistic manifestations of the holiday are not only stimulating in themselves, but are exciting as subjects for painting, drawings, prints, and any other form of artistic expression!"
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Cover title: All Saints' Parish, Frederick, Maryland.
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A (mainly votive) missal consisting of seven distinct parts. Put together in several stages, somewhat haphazardly. Parts II and III are probably the oldest parts. The final stage in the composition of the book is probably the addition of part VII. Part II belongs in the same liturgical tradition as C.ö.IV.7 (Oripään Missale I), probably that of Diocese of Linköping. Part III, a votive missal, is an informal copy of a book that would most probably have been used close to a Swedish cathedral (Linköping?). How the present book found its way to Oripää chapel is not known.
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We present here the results of a large-scale diachronic palaeodietary (carbon and nitrogen isotopic measurements of bone collagen) study of humans and animals from a single site, the city of York (U.K.) dating from the Roman period to the early 19th century The human sample comprises 313 burials from the cemeteries of Trentholme Drive and Blossom Street (Roman), Belle Vue House (Anglo-Saxon), Fishergate (High and Later Medieval), and All Saints, Pavement (Later and Post-Medieval). In addition, 145 samples of mammal, fish and bird bone from the sites of Tanner Row and Fishergate were analyzed. The isotope data suggest dietary variation between all archaeological periods, although the most significant change was the introduction of significant quantities of marine foods in the Medieval periods. These are first evident in the diet of a small group of individuals from the High Medieval cemetery at Fishergate, although they were consumed almost universally in the following periods. The human isotope values are also remarkable due to unusually elevated delta N-15 ratios that are not sufficiently explained by the comparably small enrichment in C-13 that accompanies them. We discuss the possible reasons behind this and the archaeological significance of the data set.
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Later vols. published by the Athlone Press for the Greater London Council.
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Signed: Presbyter.
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Cover title: Investigation of the late Philadelphia duel.
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RÉSUMÉ Forme littéraire développée dès les débuts du IVe siècle, l’hagiographie, plus tard sanctionnée par l’Église catholique romaine, se déploie avec tout le rituel et le décorum requis par le genre institué, dévoilant les modalités du savoir et du croire qui la distingue. Cette forme fixe fut réactivée, contre toute attente, dans une somme étoffée durant la seconde moitié du XXe siècle par le Collège de ‘Pataphysique, aréopage de philosophes, littérateurs et plasticiens, qui n’est pas un conclave d’excentriques, pas davantage qu’un nouvel « isme », mais une institution qui résolument emblématise la Science. Ce réemploi générique de l’hagiographie est caractérisé par une hétérogénéité bien peu canonique s’inscrivant dans une continuité problématique par rapport au sous-texte. Une première traversée du Calendrier inviterait à croire à une entreprise parodique et iconoclaste. La parodie, qui est aussi une imitation, pose un problème de visée. Le second degré de Gérard Genette implique deux grands régimes discursifs : le sérieux (le sérieux proprement dit et le satirique) et le ludique. Ces régimes nous ont été utiles pour arrimer la question de l’humour. Il y a là en somme deux possibilités, soit la parodie sérieuse conduisant à ridiculiser l’hagiographie et le Calendrier des Saints qui seraient sérieusement visés, néantisés, tournés en dérision; soit la parodie ludique, à portée nulle, simple jeu, farce farfelue, « pour rire ». Or, nous avons tenté de démontrer dans ce mémoire que, même s’il y a lieu d’avancer des arguments en faveur de l’un et de l’autre type de parodie, le partage ne fonctionne pas, précisément peut-être parce qu’il est possible de montrer à la fois que c’est sérieux et pas sérieux. Dans un troisième temps, on peut aussi faire la démonstration que le pas-sérieux est sérieux. Les jeux de mots, d’homophonie n’engagent-ils pas le Verbe? L’imitation impossible ne réfléchit-elle pas les imitabile de la Sainte Église? La situation énonciatrice tributaire de l’hagiographie pataphysique est non différentiable d’un souci de didactisme qui place la composante moralisatrice au centre des enjeux discursifs. Elle induit de ce fait des attentes en matière d’ethos consistant à mettre au même diapason une représentation sociale de l’énonciateur et une représentation intradiscursive au ton didactique. Elle adjoint un autre ton, savant celui-là, érudit, qui vient défaire la belle convergence et fait disjoncter la rhétorique du genre. Cette rhétoricité problématique de l’hagiographie pataphysique a été abordée sous l’angle de l’ethos. L’ethos est l’instance de validation par laquelle nous renvoyons non pas au caractère de l’orateur, mais, suivant en cela Dominique Maingueneau, au type de parole engendrée par le discours et qui, en retour, rend ce discours crédible. Que devient cette instance lorsque la visée persuasive du discours est remise en question, que l’ethos se démultiplie de façon hétérogène sans véritablement assurer la cohésion du propos ni garantir sa portée? La parodie posant incidemment un problème de visée, est-ce du côté d’un ethos parodique que se trouve la réponse? Il nous a convenu de mesurer, d’articuler, de déplacer cette postulation. Nous nous sommes saisi, pour les besoins de notre argumentation, d’une discipline historiquement lourde d’investissement théorique, soit la rhétorique. Celle-ci constitue à la fois une méthode de composition d’un discours reposant sur des lieux susceptibles de susciter l’adhésion et l’émulation de l’énonciataire et une méthode d’analyse. Guidé par une définition étendue du texte, traversant les littératures non narrative et narrative, il nous a importé enfin de restituer la pratique cymbaliste à partir d’un corpus qui est resté l’apanage du « seul » pataphysicien. Nous nous sommes ainsi situé dans l’horizon plus global de la réceptivité d’un discours qui évacue l’idéologique, qui jamais ne se laisse saisir tout à fait, ni enferrer par le fétiche du sens au profit des potentialités qu’il recèle, et cela à partir d’axiomes arbitraires soumis à l’unique exigence de cohérence interne.