948 resultados para Affective valence


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Participants who were unable to detect familiarity from masked 17 ms faces ([Stone and Valentine, 2004] and [Stone and Valentine, in press-b]) did report a vague, partial visual percept. Two experiments investigated the relative strength of the visual percept generated by famous and unfamiliar faces, using masked 17 ms exposure. Each trial presented simultaneously a famous and an unfamiliar face, one face in LVF and the other in RVF. In one task, participants responded according to which of the faces generated the stronger visual percept, and in the other task, they attempted an explicit familiarity decision. The relative strength of the visual percept of the famous face compared to the unfamiliar face was moderated by response latency and participants’ attitude towards the famous person. There was also an interaction of visual field with response latency, suggesting that the right hemisphere can generate a visual percept differentiating famous from unfamiliar faces more rapidly than the left hemisphere. Participants were at chance in the explicit familiarity decision, confirming the absence of awareness of facial familiarity.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Stereotypies are abnormal repetitive behaviour patterns that are highly prevalent in laboratory mice and are thought to reflect impaired welfare. Thus, they are associated with impaired behavioural inhibition and may also reflect negative affective states. However, in mice the relationship between stereotypies and behavioural inhibition is inconclusive, and reliable measures of affective valence are lacking. Here we used an exploration based task to assess cognitive bias as a measure of affective valence and a two-choice guessing task to assess recurrent perseveration as a measure of impaired behavioural inhibition to test mice with different forms and expression levels of stereotypic behaviour. We trained 44 CD- 1 and 40 C57BL/6 female mice to discriminate between positively and negatively cued arms in a radial maze and tested their responses to previously inaccessible ambiguous arms. In CD-1 mice (i) mice with higher stereotypy levels displayed a negative cognitive bias and this was influenced by the form of stereotypy performed, (ii) negative cognitive bias was evident in back-flipping mice, and (iii) no such effect was found in mice displaying bar-mouthing or cage-top twirling. In C57BL/6 mice neither route-tracing nor bar-mouthing was associated with cognitive bias, indicating that in this strain these stereotypies may not reflect negative affective states. Conversely, while we found no relation of stereotypy to recurrent perseveration in CD-1 mice, C57BL/6 mice with higher levels of route-tracing, but not bar-mouthing made more repetitive responses in the guessing task. Our findings confirm previous research indicating that the implications of stereotypies for animal welfare may strongly depend on the species and strain of animal as well as on the form and expression level of the stereotypy. Furthermore, they indicate that variation in stereotypic behaviour may represent an important source of variation in many animal experiments.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

This article examines how therapists and clients manage the therapeutic relationship in online psychotherapy. Our study focuses on early sessions of therapy involving 22 therapist-client pairs participating in online Cognitive Behavioural Therapy (CBT) for depression. Using Conversation Analysis (CA), we examine how therapists can orient to clients’ contributions, while also retaining control of the therapeutic trajectory. We report two practices that therapists can use, at their discretion, following clients’ responses to requests for information. The first, thanking, accepts clients’ responses, orienting to the neutral affective valence of those responses. The second, commiseration, orients to the negative affective valence of clients’ responses. We argue that both practices are a means by which therapists can simultaneously manage developing rapport, while also retaining control of the therapeutic process.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Resumen: Dostoevskij atribuye a la belleza una función salvífica (“la belleza salvará al mundo”), poniéndola así en relación con el campo afectivo, salvación significa en efecto vida plena; para Matisse “Todo arte digno de tal nombre es religioso”, es decir, posee una función de “mediación-unión” entre órdenes diversos. La noción de “visión interior”, es la que mejor fundamenta estas convicciones. Ella atraviesa el tiempo y el espacio: está presente en la antigua cultura china, así como en la Grecia clásica y en la Antigüedad Tardía y permanece implícita durante todo el Medioevo; se la vuelve a encontrar en alguno de los máximos pintores modernos (Kandinsky, Chagal). Todos los testimonios de los artistas concuerdan en indicar que para alcanzarla es necesario una especie de ascesis: ésta consiste en una revelación, experimentada como un don, del Sentido oculto en lo sensible; por el hecho de dar inicio al pasaje de un nivel ontológico a otro (valencia re-ligiosa o syn-bolica) y de consistir en una experiencia de plenitud de vida, le pertenece además un efecto transformante (valencia afectiva). Esta vía propiamente humana de la “visión interior”, por la cual la apariencia (lo sensible) se vuelve trans-parencia de lo invisible, se presenta como la más adecuada al arte cristiano para el culto.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

La schizophrénie est une psychopathologie largement hétérogène caractérisée entre autres par d’importantes défaillances dans le fonctionnement cognitif et émotionnel. En effet, par rapport à la population générale, forte proportion de ces individus présentent une mémoire déficitaire pour les événements émotionnels. À ce jour, le peu d’études qui se sont penchées sur la mémoire émotionnelle épisodique dans la schizophrénie, ont uniquement mis l’emphase sur l'effet de la valence des stimuli (c’est-à-dire le caractère agréable ou désagréable du stimulus). Toutefois, aucune n’a investigué spécifiquement l’intensité de la réaction aux stimuli (c’est-à-dire une faible par rapport à une forte réaction) malgré quantité de preuves faisant montre, dans la population générale, de différents processus de mémoire émotionnelle pour des stimuli suscitant une forte réaction par rapport à ceux évoquant une faible réponse. Ce manque est d’autant plus flagrant étant donné le nombre d’études ayant rapporté un traitement et un encodage atypiques des émotions spécifiquement au niveau de l’intensité de la réponse subjective chez des patients atteints de schizophrénie. Autre fait important, il est étonnant de constater l’absence de recherches sur les différences de sexe dans la mémoire émotionnelle étant donné l’ensemble des divergences entre hommes et femmes atteints de schizophrénie au niveau de la prévalence, de l’âge de diagnostic, de la manifestation clinique, de l’évolution de la maladie, de la réponse au traitement et des structures cérébrales. Pour pallier à ces lacunes, ce mémoire a évalué : (1) l’effet de la valence des stimuli et de l'intensité de la réaction émotionnelle au niveau des fonctions cérébrales correspondant à la mémoire émotionnelle chez des patients atteints de schizophrénie comparativement à des participants sains; et (2) les possibles différences de sexe dans les processus cérébraux impliqués dans la mémoire émotionnelle chez des patients atteints de schizophrénie par rapport à des volontaires sains. Ainsi, la première étude a comparé les activations cérébrales de patients atteints de schizophrénie par rapport à des participants sains au cours d’une tâche de mémoire émotionnelle dont les stimuli variaient à la fois au niveau de la valence et de l'intensité de la réaction subjective. 37 patients atteints de schizophrénie ainsi que 37 participants en bonne santé ont effectué cette tâche de mémoire émotionnelle lors d’une session d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). Pour toutes les conditions étudiées (images négatives, positives, de faible et de forte intensité), le groupe atteint de schizophrénie a performé significativement moins bien que les volontaires sains. Comparativement aux sujets sains, ils ont montré moins d’activations cérébrales dans les régions limbiques et préfrontales lors de la reconnaissance des images négatives, mais ont présenté un patron d'activations similaire à celui des participants sains lors de la reconnaissance des images chargées positivement (activations observées dans le cervelet, le cortex temporal et préfrontal). Enfin, indépendamment de la valence des stimuli, les deux groupes ont démontré une augmentation des activations cérébrales pour les images de forte intensité par rapport à celles de plus faible intensité. La seconde étude a quant à elle exploré les différences de sexe potentielles au niveau des activations cérébrales associées à la mémoire émotionnelle dans la schizophrénie et dans la population en général. Nous avons comparé 41 patients atteints de schizophrénie (20 femmes) à 41 participants en bonne santé (19 femmes) alors qu’ils effectuaient la même tâche de mémoire émotionnelle mentionnée plus haut. Or, pour cette étude, nous nous sommes concentrés sur les conditions suivantes : la reconnaissance d’images positives, négatives et neutres. Nous n'avons pas observé de différences entre les hommes et les femmes au niveau des performances à la tâche de mémoire pour aucune des conditions. En ce qui a trait aux données de neuroimagerie, comparativement aux femmes en bonne santé, celles atteintes de schizophrénie ont montré une diminution des activations cérébrales dans les régions corticales du système limbique (p. ex. cortex cingulaire moyen) et dans les régions sous-corticales (p. ex. amygdale) lors de la reconnaissance d'images négatives. Pour ce qui est de la condition positive, elles ont présenté, comparativement au groupe de femmes saines, des diminutions d’activations spécifiquement dans le cervelet ainsi que dans le gyrus frontal inférieur et moyen. Les hommes atteints de schizophrénie, eux, ont montré une augmentation d’activations par rapport aux hommes sains dans le gyrus préfrontal médian lors de la reconnaissance des stimuli négatifs ; ainsi que dans les régions pariétales, temporales et limbiques lors de la reconnaissance des stimuli positifs. Dans un autre ordre d’idées, notre analyse corrélationnelle a mis en évidence, chez les femmes, un lien significatif entre l’activité cérébrale et les symptômes au cours de la mémoire des stimuli positifs, alors que chez les hommes atteints schizophrénie, ce lien a été observé au cours de la mémoire des stimuli négatifs. Bref, l’ensemble de nos résultats suggère, chez les patients atteints de schizophrénie, un fonctionnement cérébral atypique spécifiquement lors de la reconnaissance d’images négatives, mais un fonctionnement intact lors de la reconnaissance de stimuli positifs. De plus, nous avons mis en évidence la présence de différences de sexe dans les activations cérébrales associées à la mémoire épisodique émotionnelle soulignant ainsi l'importance d’étudier séparément les hommes et les femmes atteints de schizophrénie dans le cadre de recherches sur les plans cognitif et émotionnel.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

L’expression faciale de la douleur occupe un rôle central dans la communication de la douleur et dans l’estimation de l’intensité de la douleur vécue par autrui. Les propriétés du visage d’une personne en souffrance ont été investiguées principalement à l’aide de méthodes descriptives (e.g. FACS). L’introduction fait le point sur les connaissances de l’expression faciale de douleur et de la communication de cette expérience sur les plans comportemental et cérébral et souligne que les mécanismes et stratégies visuels utilisés par l’observateur pour parvenir à détecter la douleur dans le visage d’autrui demeurent très peu connus. L’étude des processus impliqués dans la reconnaissance de l’expression de la douleur est essentielle pour comprendre la communication de la douleur et éventuellement expliquer des phénomènes ayant des impacts cliniques considérables, tel que l’effet classique de sous-estimation de la douleur d’autrui. L’article 1 vise à établir à l’aide d’une méthode directe (Bubbles) les informations visuelles utilisées efficacement par l’observateur lorsqu’il doit catégoriser la douleur parmi les émotions de base. Les résultats montrent que parmi l’ensemble des caractéristiques du visage typique de la douleur, peu d’informations sont vraiment efficaces pour parvenir à cette discrimination et que celles qui le sont encodent la partie affective- motivationnelle de l’expérience d’autrui. L’article 2 investigue le pouvoir de ces régions privilégiées du visage de la douleur dans la modulation d’une expérience nociceptive chez l’observateur afin de mieux comprendre les mécanismes impliqués dans une telle modulation. En effet, s’il est connu que des stimuli ayant une valence émotionnelle négative, y compris des expressions faciales de douleur, peuvent augmenter les réponses spinales (réflexes) et supra-spinales (ex.: perceptives) de la douleur, l’information visuelle suffisante pour permettre l’activation des voies modulatrices demeure inconnue. Les résultats montrent qu’en voyant les régions diagnostiques pour la reconnaissance de l’expression faciale de douleur, la douleur perçue par l’observateur suite à une stimulation nociceptive est plus grande que lorsqu’il voit les régions les moins corrélées avec une bonne reconnaissance de la douleur. L’exploration post-expérimentale des caractéristiques de nos stimuli suggère que cette modulation n’est pas explicable par l’induction d’un état émotionnel négatif, appuyant ainsi un rôle prépondérant de la communication de la douleur dans la modulation vicariante de l’expérience douloureuse de l’observateur. Les mesures spinales ne sont toutefois pas modulées par ces manipulations et suggèrent ainsi que ce ne sont pas des voies cérébro-spinale qui sont impliquées dans ce phénomène.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Higher levels of well-being are associated with longer life expectancies and better physical health. Previous studies suggest that processes involving the self and autobiographical memory are related to well-being, yet these relationships are poorly understood. The present study tested 32 older and 32 younger adults using scales measuring well-being and the affective valence of two types of autobiographical memory: episodic autobiographical memories and semantic self-images. Results showed that valence of semantic self-images, but not episodic autobiographical memories, was highly correlated with well-being,particularly in older adults. In contrast, well-being in older adults was unrelated to performance across a range of standardised memory tasks. These results highlight the role of semantic self-images in well-being, and have implications for the development of therapeutic interventions for well-being in aging.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

The purpose of this study was to investigate the effects of pre--task music on swimming performance and other psychological variables. A randomized counterbalanced within--subjects (experimental and control condition) design was employed. Eighteen regional level male swimmers performed two 200m freestyle swimming time trials. Participants were exposed to either 5min of self--selected music (pre--task music condition) or 5min of silence (control condition) and, after 1 minute, performed the swimming task. Swimming time was significantly shorter (--1.44%) in the pre--task music condition. Listening to pre--task music increased motivation to perform the swimming task, while arousal remained unchanged. While fatigue increased after the swimming task in both conditions, vigour, ratings of perceived exertion and affective valence were unaltered. It is concluded, for the first time, that pre--task music improves swimming performance.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Lesions to the primary geniculo-striate visual pathway cause blindness in the contralesional visual field. Nevertheless, previous studies have suggested that patients with visual field defects may still be able to implicitly process the affective valence of unseen emotional stimuli (affective blindsight) through alternative visual pathways bypassing the striate cortex. These alternative pathways may also allow exploitation of multisensory (audio-visual) integration mechanisms, such that auditory stimulation can enhance visual detection of stimuli which would otherwise be undetected when presented alone (crossmodal blindsight). The present dissertation investigated implicit emotional processing and multisensory integration when conscious visual processing is prevented by real or virtual lesions to the geniculo-striate pathway, in order to further clarify both the nature of these residual processes and the functional aspects of the underlying neural pathways. The present experimental evidence demonstrates that alternative subcortical visual pathways allow implicit processing of the emotional content of facial expressions in the absence of cortical processing. However, this residual ability is limited to fearful expressions. This finding suggests the existence of a subcortical system specialised in detecting danger signals based on coarse visual cues, therefore allowing the early recruitment of flight-or-fight behavioural responses even before conscious and detailed recognition of potential threats can take place. Moreover, the present dissertation extends the knowledge about crossmodal blindsight phenomena by showing that, unlike with visual detection, sound cannot crossmodally enhance visual orientation discrimination in the absence of functional striate cortex. This finding demonstrates, on the one hand, that the striate cortex plays a causative role in crossmodally enhancing visual orientation sensitivity and, on the other hand, that subcortical visual pathways bypassing the striate cortex, despite affording audio-visual integration processes leading to the improvement of simple visual abilities such as detection, cannot mediate multisensory enhancement of more complex visual functions, such as orientation discrimination.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Investigated the interaction between induced mood states and selective learning among 28 college students. Ss were asked to behave as if they were happy or depressed while learning a list of words with neutral, positive, and negative affective valence. Results document the mood congruity effect. This effect was stronger among Ss who predicted the relationship between mood and word valence than among Ss who were unaware of this relationship.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Themood-congruity effect refers to facilitated processing of information when the affective valence of this information is congruent with the subject’s mood. In this paper we argue that mood may be a sufficient but not a necessary condition to produce the mood-congruity effect of selective learning. Two experiments are presented in which subjects learned lists of words with neutral, positive, and negative affective valences. In the learning task the subjects were instructed to behave as if they were depressed or happy. The mood-congruity effect was indeed obtained. The effect was stronger with subjects who “predicted” the relationship between mood and affective word valence than with subjects who were unaware of this relationship. The results are not simply attributed to task demands, but are interpreted in terms of a model of cognitive processes and people’s knowledge about mood states.

Relevância:

40.00% 40.00%

Publicador:

Resumo:

La littérature sur l’électrophysiologie des émotions ne semble pas trouver de consensus. Certaines études démontrent que les gens réagissent davantage à des stimuli de valence positive, tandis que d’autres concluent le contraire. L’objectif principal de ce mémoire est de vérifier les effets de la variable relationnelle sur les réactions physiologiques de sujets issus de la population étudiante. C’est-à-dire, les réactions physiologiques sont-elles influencées uniquement par la valence affective des différentes émotions ou s’ils sont également influencés par le contexte relationnel des stimuli? Le second objectif du projet de recherche proposé est de vérifier s’il existe un effet d’interaction entre la qualité affective des schémas relationnels des participants et la nature relationnelle ou non des stimuli. Pour ce faire, le rythme cardiaque a été pris sur 16 sujets divisés en 2 groupes, basés sur leurs résultats au TAT, analysés sur l’échelle de la tonalité affective du SCORS. Finalement, un troisième objectif est de comparer l’expérience subjective des participants aux mesures physiologiques obtenues. Les résultats démontrent que les gens réagissent davantage aux scénarios non relationnels que ceux relationnels. De plus, les grandes tailles d’effet des deux groupes (tonalité affective haute et basse) semblent indiquer l’importance de prendre en considération cette variable dans de futures recherches. Finalement, d’autres études, notamment avec de plus grands échantillons, seront nécessaires pour montrer l’importance de la qualité relationnelle dans l’expérience émotive.

Relevância:

40.00% 40.00%

Publicador:

Resumo:

The comprehension of stories requires the reader to imagine the cognitive and affective states of the characters. The content of many stories is unpleasant, as they often deal with conflict, disturbance or crisis. Nevertheless, unpleasant stories can be liked and enjoyed. In this fMRI study, we used a parametric approach to examine (1) the capacity of increasing negative valence of story contents to activate the mentalizing network (cognitive and affective theory of mind, ToM), and (2) the neural substrate of liking negatively valenced narratives. A set of 80 short narratives was compiled, ranging from neutral to negative emotional valence. For each story mean rating values on valence and liking were obtained from a group of 32 participants in a prestudy, and later included as parametric regressors in the fMRI analysis. Another group of 24 participants passively read the narratives in a three Tesla MRI scanner. Results revealed a stronger engagement of affective ToM-related brain areas with increasingly negative story valence. Stories that were unpleasant, but simultaneously liked, engaged the medial prefrontal cortex (mPFC), which might reflect the moral exploration of the story content. Further analysis showed that the more the mPFC becomes engaged during the reading of negatively valenced stories, the more coactivation can be observed in other brain areas related to the neural processing of affective ToM and empathy.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Affect modulates the blink startle reflex in the picture-viewing paradigm, however, the process responsible for reflex modulation during conditional stimuli (CSs) that have acquired valence through affective conditioning remains unclear. In Experiment 1, neutral shapes (CSs) and valenced or neutral pictures (USs) were paired in a forward (CS → US) manner. Pleasantness ratings supported affective learning of positive and negative valence. Post-acquisition, blink reflexes were larger during the pleasant and unpleasant CSs than during the neutral CS. Rather than affect, attention or anticipatory arousal were suggested as sources of startle modulation. Experiment 2 confirmed that affective learning in the picture–picture paradigm was not affected by whether the CS preceded the US. Pleasantness ratings and affective priming revealed similar extents of affective learning following forward, backward or simultaneous pairings of CSs and USs. Experiment 3 utilized a backward conditioning procedure (US → CS) to minimize effects of US anticipation. Again, blink reflexes were larger during CSs paired with valenced USs regardless of US valence implicating attention rather than anticipatory arousal or affect as the process modulating startle in this paradigm.