4 resultados para ARTP
Resumo:
There are many wireless sensor network(WSN) applications which require reliable data transfer between the nodes. Several techniques including link level retransmission, error correction methods and hybrid Automatic Repeat re- Quest(ARQ) were introduced into the wireless sensor networks for ensuring reliability. In this paper, we use Automatic reSend request(ASQ) technique with regular acknowledgement to design reliable end-to-end communication protocol, called Adaptive Reliable Transport(ARTP) protocol, for WSNs. Besides ensuring reliability, objective of ARTP protocol is to ensure message stream FIFO at the receiver side instead of the byte stream FIFO used in TCP/IP protocol suite. To realize this objective, a new protocol stack has been used in the ARTP protocol. The ARTP protocol saves energy without affecting the throughput by sending three different types of acknowledgements, viz. ACK, NACK and FNACK with semantics different from that existing in the literature currently and adapting to the network conditions. Additionally, the protocol controls flow based on the receiver's feedback and congestion by holding ACK messages. To the best of our knowledge, there has been little or no attempt to build a receiver controlled regularly acknowledged reliable communication protocol. We have carried out extensive simulation studies of our protocol using Castalia simulator, and the study shows that our protocol performs better than related protocols in wireless/wire line networks, in terms of throughput and energy efficiency.
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During the reporting period, NaFIRRI realigned its projects under ARTP II extension to focus on: 1. Determination of appropriate technologies and methods for harvesting and conservation of fish species in the Albert and Kyoga Systems 2. Impact of policies and technologies on livelihoods 3. Generation of knowledge for the management of aquatic invasive weeds and their hot spots in Lakes Albert and Kyoga 5. Determination of environmental factors influencing productivity for fisheries in Lakes Albert and Kyoga Systems 6. MSI - Nile perch project 7. Adaptation and Facilitating Dissemination of Appropriate technologies for harvesting Commercial Species 8. Identification of fish species suitable for culture and marketing, and promotion of their commercial culture in the Eastern AEZ.
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Établir une régulation de l’économie numérique au Sénégal représente un enjeu fondamental pour les gouvernants et l’ensemble des acteurs qui la compose. Suivant une démarche plus globalisée, d’énormes mutations normatives visant les rationalités et les mécanismes de réglementations ont évolué dans le temps donnant une place plus considérable au droit dans les politiques publiques des États. Différents modèles normatifs et institutionnels sont ainsi adaptés pour prendre en charge le phénomène de la convergence dépendamment du contexte réglementaire du pays. Pour ce qui est du contexte actuel du Sénégal, l’étanchéité des réglementations relatives aux télécommunications et à l’audiovisuel, désormais convergent, est fondée sur un modèle de réglementation sectorielle. Toutefois, leur convergence a provoqué un brouillage des frontières qui risque désormais de poser des conséquences énormes sur le plan normatif tel que des risques d’enchevêtrement sur le plan institutionnel ou réglementaire. Or au plan national, il n’existe à ce jour aucun texte visant à assoir les bases d’une régulation convergente. Ainsi, à la question de savoir si la régulation sectorielle est pertinente au regard de l’environnement du numérique marqué par la convergence, il s’est avéré qu’elle pourrait être adoptée comme modèle à court terme. Mais dans un but de réaliser des économies d’échelle pour réguler efficacement les différents secteurs et industries infrastructurelles, il faut un modèle de régulation unique marquée par la fusion de l’ARTP et du CNRA. D’une part, la régulation sectorielle permet d’accompagner la transition vers le numérique déjà lancée et d’autre part la régulation multisectorielle servira une fois la convergence des marchés établis.
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Établir une régulation de l’économie numérique au Sénégal représente un enjeu fondamental pour les gouvernants et l’ensemble des acteurs qui la compose. Suivant une démarche plus globalisée, d’énormes mutations normatives visant les rationalités et les mécanismes de réglementations ont évolué dans le temps donnant une place plus considérable au droit dans les politiques publiques des États. Différents modèles normatifs et institutionnels sont ainsi adaptés pour prendre en charge le phénomène de la convergence dépendamment du contexte réglementaire du pays. Pour ce qui est du contexte actuel du Sénégal, l’étanchéité des réglementations relatives aux télécommunications et à l’audiovisuel, désormais convergent, est fondée sur un modèle de réglementation sectorielle. Toutefois, leur convergence a provoqué un brouillage des frontières qui risque désormais de poser des conséquences énormes sur le plan normatif tel que des risques d’enchevêtrement sur le plan institutionnel ou réglementaire. Or au plan national, il n’existe à ce jour aucun texte visant à assoir les bases d’une régulation convergente. Ainsi, à la question de savoir si la régulation sectorielle est pertinente au regard de l’environnement du numérique marqué par la convergence, il s’est avéré qu’elle pourrait être adoptée comme modèle à court terme. Mais dans un but de réaliser des économies d’échelle pour réguler efficacement les différents secteurs et industries infrastructurelles, il faut un modèle de régulation unique marquée par la fusion de l’ARTP et du CNRA. D’une part, la régulation sectorielle permet d’accompagner la transition vers le numérique déjà lancée et d’autre part la régulation multisectorielle servira une fois la convergence des marchés établis.
