Lifting the joint venture veil : liability of related entities for misleading conduct of agents engaged by joint venture partners

At common law, a corporation may be liable vicariously for the conduct of its appointed agents, employees or directors. This generally requires the agent or employee to be acting in the course of his or her agency or employment and, in the case of representations, to have actual or implied authority to make the representations. The circumstances in which a corporation may be liable for the conduct of its agents, employees or directors is broadened under the Australian Consumer Law (ACL) to where one of these parties engages in conduct “on behalf of” the corporation. As the decision in Bennett v Elysium Noosa Pty Ltd (in liq) demonstrates, this may extend to liability for the misleading conduct of a salesperson for the joint venture to parties who are not formal members of the joint venture, but where the joint venture activities are within the course of the entity’s “business, affairs or activities”.

Nearness and revealing : The edible veil of the sensible being.

Taking cues from the fragility and grace enfolded within Asian cuisine, this paper explores recent experimentation of an edible rice paper veil. The veil fashions a 'secondary skin', what Jeffery Schnapp the author of 'The Fabric of Modern Times', calls an "object for prosthetic shelf extension...bearing a uniquely intimate and direct relation to the human body" (Schnapp, 1997:197). The process reveals a layered material mutable to moisture and humidity, changing its elastic state in relation to body and surroundings. The moving, breathing, sweating surface of the body further modifies both veil and bodily experience drawing forth deeper emotional responses. The implications here offer a reciprocal affect, a revealing, where new materiality evokes the threshold to a new sensible being, one aware of the depth of material consciousness and inter-corporeal engagement, and which extends the relations between thinking and being of Heidegger and Shklovsky's seminal works.

The Veil of Kyoto and the politics of greenhouse gas mitigation in Australia

This paper investigates how the Kyoto Protocol has framed political discourse and policy development of greenhouse gas mitigation in Australia. We argue that ‘Kyoto’ has created a veil over the climate issue in Australia in a number of ways. Firstly, its symbolic power has distracted attention from actual environmental outcomes while its accounting rules obscure the real level of carbon emissions and structural trends at the nation-state level. Secondly, a public policy tendency to commit to far off emission targets as a compromise to implementing legislation in the short term has also emerged on the back of Kyoto-style targets. Thirdly, Kyoto’s international flexibility mechanisms can lead to the diversion of mitigation investment away from the nation-state implementing carbon legislation. A final concern of the Kyoto approach is how it has shifted focus away from Australia as the world’s largest coal exporter towards China, its primary customer. While we recognise the crucial role aspirational targets and timetables play in capturing the imagination and coordinating action across nations, our central theme is that ‘Kyoto’ has overshadowed the implementation of other policies in Australia. Understanding how ‘Kyoto’ has framed debate and policy is thus crucial to promoting environmentally effective mitigation measures as nation-states move forward from COP15 in Copenhagen to forge a post-Kyoto international agreement. Recent elections in 2009 in Japan and America and developments at COP15 suggest positive scope for international action on climate change. However, the lesson from the 2007 election and subsequent events in Australia is a caution against elevating the symbolism of ‘Kyoto-style’ targets and timetables above the need for implementation of mitigation policies at the nation-state level

Beyond the Veil: A Case Study of Context, Culture, Curriculum, and Constructivism at Dubai Women's College

This case study of curriculum at Dubai Women's College (DWC) examines perceptions of international educators who designed and implemented curriculum for female Emirati higher-educational students in the UAE, and sheds light on the complex social, cultural, and religious factors affecting educational practice. Participants were faculty and supervisors, mainly foreign nationals, while students at DWC are exclusively Emirati. Theories prominent in this study are: constructivist learning theory, trans formative curriculum theory, and sociological theory. Change and empowerment theory figure prominently in this study. Findings reveal this unique group of educators understand curriculum theory as a "contextualized" construct and argue that theory and practice must be viewed through an international lens of religious, cultural, and social contexts. As well, the study explores how mandated "standards" in education-in the form of the International English Language Testing System (IEL TS) and integrated, constructivist curriculum, as taught in the Higher Diploma Year 1 program-function as dual curricular emphases in this context. The study found that tensions among these dual emphases existed and were mediated through specific strategies, including the use of authentic texts to mirror the IEL TS examination during in-class activities, and the relevance of curricular tasks.

Interpersonal comparison of welfare in Harsanyi’s veil-of-ignorance model

Selon le voile d’ignorance proposé par John Harsanyi (1953, 1955), l’observateur rationnel derrière le voile d’ignorance cherche à maximiser la somme des utilités individuelles. Cependant, le modèle d’Harsanyi est fondé sur une hypothèse erronée que la fonction d’utilité à la von Neumann-Morgenstern de l’observateur permet la comparaison interpersonnelle de bien-être. Ce papier suggère une modification du modèle d’Harsanyi qui permet la comparaison interpersonnelle de bien-être, en utilisant les années de vie en parfaite utilité ou les années de vie heureuse comme mesure du bien-être.

Étude de l'EEG quantifié en éveil et en sommeil chez des adolescents présentant un trouble anxieux

Les troubles anxieux sont parmi les troubles psychiatriques les plus souvent diagnostiqués chez les adolescents. Ces troubles sont souvent accompagnés de nombreuses comorbidités, dont des difficultés de sommeil. L’objectif principal de cette thèse est de caractériser l’activité corticale à l’éveil et pendant le sommeil à l’aide de l’EEG quantifié chez une population d’adolescents présentant un trouble anxieux, et de la comparer à un groupe témoin d’adolescents. Dans un second temps, on cherche à savoir si l’activité EEG des patients anxieux corrèle avec différentes mesures cliniques. Deux études permettent de répondre à ces objectifs, une première portant sur l’activité EEG au cours de l’éveil, et une seconde portant sur l’activité EEG au cours du sommeil (SL et SP). La première étude démontre que l’activité EEG des deux groupes ne présente pas de différence à l’EEG le soir. Par contre, le matin, les patients anxieux présentent une activité significativement supérieure à celle des contrôles aux électrodes centrales (0,75-10 Hz et 13-20 Hz) ainsi qu’aux électrodes occipitales (2,5-7,75 Hz). Dans la seconde étude, nous avons analysé l’activité EEG absolue et relative en SL et en SP. Nous avons trouvé une activité absolue significativement supérieure à l’EEG de la région centrale chez les participants du groupe anxieux : en SLP (stades 3 et 4) sur l’ensemble des bandes de fréquence, en stade 2 sur les bandes de fréquence thêta, alpha et beta seulement. Finalement, en SP, les différences sont trouvées en alpha et beta, et non en thêta et delta. Les résultats obtenus à ces deux études suggèrent la présence de mécanismes de synchronisation et de filtrage inadéquats au niveau de la boucle thalamo-corticale, entraînant une hypervigilance du SNC. Quant aux corrélations entre l’activité EEG et les mesures cliniques, les résultats obtenus dans les deux études révèlent que les fréquences lentes (thêta et delta) de l’activité d’éveil le matin corrèlent à la fois avec l’anxiété de trait et d’état et les fréquences rapides (Alpha et Beta) de l’EEG du sommeil corrèlent sélectivement avec l’anxiété d’état. Il semble donc exister un lien entre les mesures cliniques et l’activité EEG. Une hausse d’activité EEG pourrait être un indicateur de la sévérité accrue des symptômes anxieux.

L'éveil dans le « Sûtra de Vimalakîrti »

Notre analyse porte sur la notion d’éveil au sein du Sûtra de Vimalakîrti. Premièrement, nous présentons et comparons les modèles d’éveil exposés dans ce texte, soit la figure du bouddha et – surtout – celle du bodhisattva; nous analysons leurs deux grands traits caractéristiques, c’est-à-dire la connaissance transcendante et les méthodes habiles, puis élaborons leur rôle par rapport à l’éveil. Il apparaît d’emblée que la connaissance transcendante est une connaissance non discursive de la réelle nature de toute chose et qu’elle est une condition nécessaire à l’éveil, alors que les méthodes habiles – aussi appelées expédients salvifiques – constituent la myriade de moyens rusés et provisoires conçus et employés par les bouddhas et bodhisattva dans le but d’amener les êtres ignorants à l’éveil et d’ainsi les libérer de l’attachement et de la souffrance. Dans le second chapitre, nous caractérisons l’état de conscience de l’éveillé à l’aide de notions telles la non-dualité, la non-discrimination et la non-pensée, puis présentons la conception de la pratique méditationnelle soutenue dans notre sûtra. Nous montrons que l’état d’éveil est un état de conscience non discriminateur au sein duquel l’identité personnelle et les phénomènes – ou la dualité sujet-objet – sont reconnus comme étant des illusions ou, plus précisément, des constructions mentales et langagières. Ainsi, la méditation apparaît comme étant une méthode habile provisoire dont les buts sont essentiellement la déconstruction du paradigme dualiste de la pensée discursive et la réalisation qu’il n’existe, ultimement et paradoxalement, aucune réelle entrave à l’éveil et aucune pratique méditationnelle nécessaire à l’expérience de l’éveil.

Association entre la sclérose en plaques et le syndrome des impatiences musculaires de l'éveil : caractérisation par des études de sommeil

Le syndrome des impatiences musculaires de l’éveil (SIME) est un trouble sensitivo-moteur causant des perturbations du sommeil. Il fut décrit que ce syndrome est plus fréquent chez les sujets vivant avec la sclérose en plaques (SEP) que dans la population générale. L’objectif principal de ce travail est de décrire l’impact du SIME sur le sommeil des sujets avec la sclérose en plaques, comparé au sommeil de sujets avec la SEP, mais sans SIME. Des questionnaires validés et des études de polysomnographie seront utilisés pour réaliser nos objectifs. Les études de PSG de nos 49 sujets révèlent qu’indépendamment de la présence ou de l’absence du SIME, le sommeil des sujets avec la SEP est grandement perturbé. De plus, même en l’absence du SIME, les sujets avec la SEP présentent des mouvements périodiques des jambes. Cette étude démontre que le SIME se manifeste différemment dans la SEP. De plus amples recherches sont nécessaires pour mieux caractériser le SIME en SEP.

The 'veil' of control: exploring the attitudes and perceptions of UK design controllers

In the UK, architectural design is regulated through a system of design control for the public interest, which aims to secure and promote ‘quality’ in the built environment. Design control is primarily implemented by locally employed planning professionals with political oversight, and independent design review panels, staffed predominantly by design professionals. Design control has a lengthy and complex history, with the concept of ‘design’ offering a range of challenges for a regulatory system of governance. A simultaneously creative and emotive discipline, architectural design is a difficult issue to regulate objectively or consistently, often leading to policy that is regarded highly discretionary and flexible. This makes regulatory outcomes difficult to predict, as approaches undertaken by the ‘agents of control’ can vary according to the individual. The role of the design controller is therefore central, tasked with the responsibility of interpreting design policy and guidance, appraising design quality and passing professional judgment. However, little is really known about what influences the way design controllers approach their task, providing a ‘veil’ over design control, shrouding the basis of their decisions. This research engaged directly with the attitudes and perceptions of design controllers in the UK, lifting this ‘veil’. Using in-depth interviews and Q-Methodology, the thesis explores this hidden element of control, revealing a number of key differences in how controllers approach and implement policy and guidance, conceptualise design quality, and rationalise their evaluations and judgments. The research develops a conceptual framework for agency in design control – this consists of six variables (Regulation; Discretion; Skills; Design Quality; Aesthetics; and Evaluation) and it is suggested that this could act as a ‘heuristic’ instrument for UK controllers, prompting more reflexivity in relation to evaluating their own position, approaches, and attitudes, leading to better practice and increased transparency of control decisions.