983 resultados para Étrangers -- Recrutement et engagement -- France


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Référence bibliographique : Rol, 60293

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"Catalogue des publications commerciales, agricoles et industrielles janvier, 1882, "Librairie des halles et marchés: p. 69-90.

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La dépression postnatale (DP) est un problème de santé publique très fréquent dans différentes cultures (Affonso et al, 2000). En effet, entre 10% à 15% des mères souffrent d’une symptomatogie dépressive ainsi que l’indiquent Gorman et al. (2004). La prévention de la DP est l’objectif de différents programmes prénatals et postnatals (Dennis, 2005; Lumley et al, 2004). Certains auteurs notent qu’il est difficile d’avoir accès aux femmes à risque après la naissance (Evins et al, 2000; Georgiopoulos et al, 2001). Mais, les femmes fréquentent les centres de santé pendant la grossesse et il est possible d’identifier les cas à risque à partir des symptômes prénataux dépressifs ou somatiques (Riguetti-Veltema et al, 2006); d’autant plus qu’un grand nombre de facteurs de risque de la DP sont présents pendant la grossesse (O’Hara et Gorman, 2004). C’est pourquoi cette étude fut initiée pendant le premier trimestre de la grossesse à partir d’une détection précoce du risque de DP chez n= 529 femmes de classes moyenne et défavorisée, et, cela, au moyen d’un questionnaire validé utilisé à l’aide d’une entrevue. L’étude s’est effectuée dans trois villes : Barcelone, Figueres, et Béziers au cours des années 2003 à 2005. Objectif général : La présente étude vise à évaluer les effets d’un programme prénatal de groupes de rencontre appliqué dans la présente étude chez des couples de classe socioéconomique non favorisée dont les femmes sont considérées comme à risque de dépression postnatale. L’objectif spécifique est de comparer deux groupes de femmes (un groupe expérimental et un groupe témoin) par rapport aux effets du programme prénatal sur les symptômes de dépression postnatale mesurés à partir de la 4ème semaine après l’accouchement avec l’échelle EPDS. Hypothèse: Les femmes participant au programme prénatal de groupe adressé aux couples parentaux, composé de 10 séances hebdomadaires et inspiré d’une orientation psychosomatique présenteront, au moins, un taux de 6% inférieur de cas à risque de dépression postnatale que les femmes qui ne participent pas, et cela, une fois évaluées avec l’échelle EPDS (≥12) 4 semaines après leur accouchement. Matériel et méthode: La présente étude évaluative est basée sur un essai clinique randomisé et longitudinal; il s’étend de la première ou deuxième visite d’échographie pendant la grossesse à un moment situé entre la 4ème et la 12ème semaine postnatale. Les participants à l’étude sont des femmes de classes moyenne et défavorisée identifiées à risque de DP et leur conjoint. Toutes les femmes répondant aux critères d’inclusion à la période du recrutement ont effectué une entrevue de sélection le jour de leur échographie prénatale à l’hôpital (n=529). Seules les femmes indiquant un risque de DP furent sélectionnées (n= 184). Par la suite, elles furent distribuées de manière aléatoire dans deux groupes: expérimental (n=92) et témoin (n=92), au moyen d’un programme informatique appliqué par un statisticien considérant le risque de DP selon le questionnaire validé par Riguetti-Veltema et al. (2006) appliqué à l’aide d’une entrevue. Le programme expérimental consistait en dix séances hebdomadaires de groupe, de deux heures et vingt minutes de durée ; un appel téléphonique entre séances a permis d’assurer la continuité de la participation des sujets. Le groupe témoin a eu accès aux soins habituels. Le programme expérimental commençait à la fin du deuxième trimestre de grossesse et fut appliqué par un médecin et des sages-femmes spécialement préparées au préalable; elles ont dirigé les séances prénatales avec une approche psychosomatique. Les variables associées à la DP (non psychotique) comme la symptomatologie dépressive, le soutien social, le stress et la relation de couple ont été évaluées avant et après la naissance (pré-test/post-test) chez toutes les femmes participantes des deux groupes (GE et GC) utilisant : l’échelle EPDS (Cox et al,1987), le Functional Social Support Questionnaire (Broadhead et al, 1988), l’évaluation du stress de Holmes et Rahe (1967) et, l’échelle d’ajustement dyadique de Spanier (1976). La collecte des données prénatales a eu lieu à l’hôpital, les femmes recevaient les questionnaires à la fin de l’entrevue, les complétaient à la maison et les retournaient au rendez-vous suivant. Les données postnatales ont été envoyées par les femmes utilisant la poste locale. Résultats: Une fois évalués les symptômes dépressifs postnatals avec l’échelle EPDS entre la 4ème et la 12ème semaine postnatale et considérant le risque de DP au point de césure ≥ 12 de l’échelle, le pourcentage de femmes à risque de DP est de 39,34%; globalement, les femmes étudiées présentent un taux élevé de symptomatologie dépressive. Les groupes étant comparables sur toutes les variables prénatales, notons une différence dans l’évaluation postnatale de l’EPDS (≥12) de 11,2% entre le groupe C et le groupe E (45,5% et 34,3%). Et la différence finale entre les moyennes de l’EPDS postnatal est de 1,76 ( =11,10 ±6,05 dans le groupe C et =9,34 ±5,17 dans le groupe E) ; cette différence s’aproche de la limite de la signification (p=0,08). Ceci est dû à un certain nombre de facteurs dont le faible nombre de questionnaires bien complétés à la fin de l’étude. Les femmes du groupe expérimental présentent une diminution significative des symptômes dépressifs (t=2,50 / P= 0,01) comparativement au pré-test et indiquant une amélioration au contraire du groupe témoin sans changement. Les analyses de régression et de covariance montrent que le soutien social postnatal, les symptômes dépressifs prénatals et le stress postnatal ont une relation significative avec les symptômes dépressifs postnatals (P<0,0001 ; P=0.003; P=0.004). La relation du couple n’a pas eu d’impact sur le risque de DP dans la présente étude. Par contre, on constate d’autres résultats secondaires significatifs: moins de naissances prématurées, plus d’accouchements physiologiques et un plus faible taux de somatisations non spécifiques chez les mères du groupe expérimental. Recommandations: Les résultats obtenus nous suggèrent la considération des aspects suivants: 1) il faudrait appliquer les mesures pour détecter le risque de DP à la période prénatale au moment des visites d’échographie dont presque toutes les femmes sont atteignables; il est possible d’utiliser à ce moment un questionnaire de détection validé car, son efficacité semble démontrée; 2) il faudrait intervenir auprès des femmes identifiées à risque à la période prénatale à condition de prolonger le programme préventif après la naissance, tel qu’indiqué par d’autres études et par la demande fréquente des femmes évaluées. L’intervention prénatale de groupe n’est pas suffisante pour éviter le risque de DP chez la totalité des femmes. C’est pourquoi une troisième recommandation consisterait à : 3) ajouter des interventions individuelles pour les cas les plus graves et 4) il paraît nécessaire d’augmenter le soutien social chez des femmes défavorisées vulnérables car cette variable s’est révélée très liée au risque de dépression postnatale.

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Le 28 juin 2012, le Parlement canadien adoptait des modifications à la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés introduisant des changements importants dans le traitement des demandes de protection faites à partir du Canada. Ces modifications incorporent deux nouveaux concepts en droit canadien, le premier étant le pays d’origine désigné, qui figure sur une liste. Ces pays considérés comme « sûrs » sont désignés par arrêté par le ministère de la Citoyenneté et de l’Immigration. Les pays d’origine désignés ne peuvent être source de réfugiés, et les demandeurs d’asile provenant de ces pays reçoivent un traitement particulier. Le deuxième concept est celui d’« étranger désigné » : le ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile peut désigner des arrivées de migrants comme étant irrégulières, si ces derniers se présentent aux frontières canadiennes sans les documents réglementaires. Ces étrangers sont obligatoirement mis en détention, et leur demande d’asile, le cas échéant, reçoit aussi un traitement particulier. Ces dispositions soulèvent de nombreuses questions concernant leur validité en vertu de la Charte canadienne des droits et libertés et du droit international. Dans un premier temps, ce mémoire a pour objet de montrer qu’il existe une lacune dans le processus législatif canadien. Lorsqu’un gouvernement est majoritaire au Parlement, il peut faire adopter ses projets de loi sans informer adéquatement l’opposition et les électeurs sur les risques qu’ils présentent de violer les droits et libertés de la personne. À notre avis, cette lacune est problématique, car à notre avis, des lois sont adoptées en violation de la constitution et plus particulièrement de la Charte canadienne des droits et libertés sans que le gouvernement ait à se justifier. Ce mémoire explore l’idée d’utiliser les études d’impact sur les droits de la personne, un modèle d’analyse des lois, règlements et politiques publiques qui vise à évaluer et faire connaître les impacts qu’ils ont ou peuvent avoir sur les droits fondamentaux des personnes affectées. Les cas de la France, de la Grande-Bretagne et de la Commission européenne seront analysés. Ce mémoire examine les dispositions concernant les pays d’origine désigné et les étrangers désignés en vertu de la Charte canadienne et du droit international. Nous concluons que si ces dispositions avaient fait l’objet d’une étude d’impact sur les droits de la personne, le Parlement et les Canadiens auraient été informés des risques de violation des droits fondamentaux des demandeurs d’asile concernés.

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Pro gradu -työssä tutkitaan ja vertaillaan käännöskirjallisuuden arvosteluja Ranskassa ja Suomessa. Empiirinen aineisto koostuu kaikista Helsingin Sanomien ja Le Monden vuonna 2003 julkaisemista arvosteluista. Lehdissä oli yhteensä 2691 arvosteltua kirjaa, joista 845 oli käännöksiä. Päätavoite on ollut selvittää näiden valtasanomalehtien kritiikkejä tutkimalla, kummassa maassa kääntäjän ja käännöksen asema on näkyvämpi ja minkälaisia julkaistut käännöskritiikit ovat. Lisäksi tavoitteena on ollut tutkia, kumpi lehdistä on avoimempi vieraskielisiä kirjoja ja käännöksiä kohtaan. Kirja-arvostelujen lähemmälle tutkimiselle luodaan pohjaa perehtymällä kääntäjän ja käännöksen näkyvyyteen liittyviin seikkoihin. Tässä käytetään hyväksi Koskisen (2000) tutkimusta. Tutkimuksessa tarkastellaan myös, millainen on hyvä käännös eri kääntäjien ja tutkijoiden mielestä, sekä muita saman aihepiirin tutkimuksia ja aiheesta vallalla ollutta keskustelua. Lisäksi selvitetään, miksi laadukkaat käännösarvostelut ovat harvinaisia ja mistä tämä johtuu. Analyysivaiheen kvantitatiivisessa osassa perehdytään käännösten määrälliseen osuuteen sekä aineistossa että Ranskan ja Suomen kokonaisjulkaisumäärissä. Aineiston käännösarvostelut luokitellaan niiden sisällön mukaan. Tässä on käytetty soveltuvin osin Gullinin (1998) kehittelemää mallia. Käännösarvostelujen sisältöanalyysissa kiinnitetään huomiota niiden käännöstä ja kääntäjää koskeviin kommentteihin. Arvostelujen laadun ja kriitikkojen käyttämien arvosteluperusteiden pohdinta nojautuu aiheesta aikaisemmin tehtyihin teoreettisiin sekä empiirisiin tutkimuksiin. Pro gradu -työ sisältää myös erillisen katsauksen käännettyjen lastenkirjojen arvosteluihin sekä arvostelujen ulkopuolisiin kääntäjiin ja kääntämiseen liittyviin artikkeleihin. Koko tutkimuksen ajan lähestymistapa on vertaileva Le Monden ja Helsingin Sanomien välillä. Tutkimuksesta selviää, että Le Monde julkaisee huomattavasti enemmän kirja-arvosteluja. Molemmat lehdet sisältävät kuitenkin suhteellisesti yhtä paljon arvosteluja käännöskirjoista. Helsingin Sanomissa on enemmän vieraskielisten teosten arvosteluja, ja käännösten ja kääntäjän asema on huomattavasti näkyvämpi lehden kritiikeissä. Suurin osa Le Monden käännösarvosteluista sisältää vain kääntäjän nimen bibliografisissa tiedoissa. Helsingin Sanomissa vain alle puolet käännöskirjoista on arvosteltu tällä tavoin. Myös kritiikit, joissa kääntäjän nimeä ei mainita ollenkaan, ovat yleisempiä ranskalaislehdessä. Suhteellisen pieni osa käännösarvosteluista arvioi käännöksen laatua. Näille arvioille on ominaista perustelujen ja analyysin puuttuminen ja ne ovat usein lyhyitä. Arviot ovat sävyltään enimmäkseen positiivisia tai neutraaleja. Hyvin yleistä on myös se, että kriitikko sekoittaa kaksi eri asiaa: kääntäjän ja kirjailijan tyylin. Yleisin kriitikkojen käyttämä arviointikriteeri on tutkia käännöksen ja kohdekielen tai käännöksen ja lähtötekstin suhdetta. Monesti arviointikriteeri jää täysin epäselväksi. Helsingin Sanomien kritiikeissä kääntäjiin viitataan huomattavasti useammin myös itse arvostelutekstissä. Lehti tuo näkyvästi esille kääntäjiä muissakin kuin kirja-arvosteluartikkeleissaan. Sen sijaan Le Mondessa ei ole pelkästään kääntäjiä käsitteleviä tekstejä.

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Nota de conteúdo : V.1. Memoire en reponse aux allegations de la France, accompagne de quelques cartes -- V. 2-3. Documents accompagnes de notes explicatives ou rectificatives, 1. ptie, 1536-1713 ; 2. ptie, 1713-1896 -- V. 4. Texte original de documents traduits dans les tomes 2 et 3 -- V. 5. Album : fac-simile de quelques documents reproduits aux tomes 2, 3 et 4 -- V. 6. Atlas : contenant 86 cartes.