841 resultados para glucose tolerance test


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

To examine the association between sleep disorders, obesity status, and the risk of diabetes in adults, a total of 3668 individuals aged 40+ years fromtheNHANES 2009-2010 withoutmissing information on sleep-related questions,measurements related to diabetes, and BMI were included in this analysis. Subjects were categorized into three sleep groups based on two sleep questions: (a) no sleep problems; (b) sleep disturbance; and (c) sleep disorder. Diabetes was defined as having one of a diagnosis from a physician; an overnight fasting glucose > 125 mg/dL; Glycohemoglobin > 6.4%; or an oral glucose tolerance test > 199mg/dL. Overall, 19% of subjects were diabetics, 37% were obese, and 32% had either sleep disturbance or sleep disorder. Using multiple logistic regression models adjusting for covariates without including BMI, the odds ratios (OR, (95% CI)) of diabetes were 1.40 (1.06, 1.84) and 2.04 (1.40, 2.95) for those with sleep disturbance and with sleep disorder, respectively. When further adjusting for BMI, the ORs were similar for those with sleep disturbance 1.36 (1.06, 1.73) but greatly attenuated for those with sleep disorders (1.38 [0.95, 2.00]). In conclusion, the impact of sleep disorders on diabetes may be explained through the individuals’ obesity status.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Les prématurés subissent un stress oxydant qui résulte d’une défense antioxydante faible et/ou d’une charge oxydante. Des données suggèrent qu’un stress oxydant peut affecter le métabolisme énergétique et mener au syndrome métabolique. Hypothèse: Une faible défense antioxydante tôt dans la vie est suffisante pour affecter le métabolisme énergétique à long terme. Méthodes: Quatre groupes de cobayes (n=21) ont reçu entre leurs 3e et 7e jours de vie une diète standard (C-1sem, C-14sem) ou une diète déficiente (DC-1sem, DC-14sem). À 7 jours, les groupes C-1sem et DC-1sem ont été sacrifiés, le plasma et le foie collectés. Les groupes C-14sem et DC-14sem ont reçu la diète standard jusqu’à 14sem de vie. La glycémie et les triglycérides plasmatiques ont été mesurés à 1, 3, 11, et 13-14sem. La tolérance au glucose a été évaluée à 13sem. Les antioxydants hépatiques et les protéines régulant le métabolisme énergétique ont été analysés à 1 et 14sem. Résultats: Un statut redox oxydé du glutathion était associé avec la diète déficiente et était maintenu oxydé au moins jusqu’à 14sem (p<0.01). Les faibles niveaux de triglycérides plasmatiques et de glycémies, ainsi qu’une meilleure tolérance au glucose à 14sem (p<0.05) étaient associés avec un statut redox plus oxydé. Conclusion: Le faible taux de glutathion observé chez les prématurés a été reproduit dans notre modèle. Puisque nos données suggèrent un rôle protecteur d’un redox plus oxydé et que l’environnement redox est un important régulateur métabolique influençant le développement, il faudrait faire attention avant d’initier des traitements antioxydants agressifs chez les prématurés.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Résumé L’augmentation de l’espérance de vie chez les patients atteints de fibrose kystique (FK) entraine une augmentation de la prévalence des anomalies de tolérance au glucose, soit l’intolérance au glucose (IGT) et le diabète (DAFK). En dépit du fait, que les anomalies de la tolérance au glucose soient associées à un mauvais prognostic, l’origine de ces troubles n’est pas encore clairement établie. Notre objectif était d’examiner le rôle de l’insulinopénie et de la résistance à l’insuline dans la détérioration de la tolérance au glucose dans une cohorte prospective observationelle patients FK non diabétique. Nos résultats démontrent une réduction marquée de la phase précoce de la sécrétion de l’insuline ainsi qu’une augmentation de l’aire sous la courbe de la glycémie (AUC) chez tous les groupes de patients. Nous avons aussi démontré qu’une variation de la sensibilité à l’insuline joue un rôle prépondérant dans les changements de catégorie de tolérance au glucose dans cette population. Finalement, il semblerait que l’augmentation de l’AUC du glucose et la réduction de la phase précose de la sécrétion d’insuline sont des meileurs prédicateurs du status clinique que les catégories de tolérance au glucose. Il existe plusieurs indices pour évaluer la sécrétion d’insuline et pourtant aucun n’a été validé chez les patients FK. Nous avons examiné la validité des index de la sécrétion de l’insuline dérivés de l’hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO) ainsi que des valeurs à jeun par rapport au test de référence. Alors que la plupart des index calculés à partir de l’HGPO corrèlent significativement avec les valeurs du test de référence, cela n’est pas le cas pour les index calculés à partir des valeurs à jeun. La validation de ces index nous permet d’évaluer la sécrétion de l’insuline prospectivement dans notre cohorte de FK à partir de l’HGPO, est un test recommandé pour le dépistage du DAFK. Les recommandations nutritionnelles suggèrent aux patients FK une diète comprenant environ 40% de lipides afin d’éviter la malnutrition. Nous avons examiné le profil lipidique des patients FK diabétiques et non diabétiques après une HGPO et un repas hyperlipidique (RT). Nos résultats démontrent que la FK est associée à des augmentations de l’excursion glycémique lors de l’HGPO ou d’un RT comparativement aux témoins. Cependant, le RT provoque 1) une plus faible excursion glycémique comparativement à l’HGPO ; 2) une meilleure suppression de la production hépatique de glucose et 3) l’excursion lipidique postprandiale des patients FK reste normale. Il est donc peu probable que les anomalies de la sécrétion de l’insuline par les cellules  soient secondaires à une lipotoxicité. Nous avons aussi examiné les taux d’adiponectine, une hormone sécrétée par le tissu adipeux et pouvant moduler l’action de l’insuline. Les niveaux d’adiponectine corrèlent négativement avec plusieurs facteurs présents chez les patients FK incluant l’IGT, l’inflammation et une adiposité centrale en dépit d'un faible poids corporel. Les patients FK ne présentaient aucune altération des taux d’adiponectine malgré la présence d’une résistance à l’insuline, une inflammation sub-clinique et de l’IGT. La FK apparaît donc comme une condition où il existe une discordance entre les taux d’adiponectine et la résistance à l’insuline ou l’inflammation. En conclusion la prévalence de l’IGT est élevée dans cette population caractérisée par une excursion glycémique anormalement plus élevée, due principalement à une altération de la sécrétion de l’insuline exacerbée par une résistance à l’insuline. Mots clés : Adiponectine, Hyperglycémie par voie oral (HGPO), intolérance au glucose, fibrose kystique, diabète, résistance à l’insuline, sécrétion de l’insuline.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction : La Fibrose Kystique (FK) est la maladie autosomique récessive la plus fréquente chez les Caucasiens et est due à une mutation du gène Cystic Fibrosis Transmembrane Regulator (CFTR), codant pour un canal chlore. La principale mutation est la délétion de l'acide aminé phénylalanine en position 508. En raison de l’augmentation de l'espérance de vie, de nouvelles complications telles que le diabète associé à la FK (DAFK) ont vu le jour. Le DAFK semble principalement dû à un défaut de sécrétion d'insuline. Des études ont montré que les femmes et les personnes homozygotes ΔF508 ont un risque plus élevé de développer le DAFK. Objectifs : Comparer la sécrétion d'insuline entre les hommes et les femmes FK selon leur génotype CFTR. Notre hypothèse était que les femmes FK présentaient une sécrétion d'insuline moins élevée que des hommes. Méthodes : Deux cents sujets adultes sans diabète connu ont été recrutés dans la clinique de FK du CHUM et inclus dans cette étude. Cent seize ont été revus après un suivi de 24 ± 10 mois. Leur génotype CFTR a été extrait à partir des dossiers médicaux. Tous les sujets ont subi une hyperglycémie provoquée par voie orale de 2-h (HGPO) afin de déterminer leur tolérance au glucose : normale (NGT), intolérance (IGT) ou DAFK. Des échantillons de sang ont été prélevés aux temps 0, 30, 60, 90, et 120 min de l’HGPO. À partir de ces derniers, la sécrétion d'insuline et la sensibilité à l’insuline des sujets ont été évaluées en utilisant les indices de Stumvoll et les aires sous la courbe de l’insuline durant l’HGPO. Résultats : Pour une excursion glycémique comparable, il y avait des différences significatives dans les concentrations d'insuline entre les hommes et les femmes et selon le génotype CFTR. Ainsi, les femmes et les sujets hétérozygotes avaient des concentrations d’insuline plus élevées que les hommes et les sujets homozygotes. Cela restait significatif quelle que soit leur tolérance au glucose. Le calcul du disposition index représentant la sécrétion d'insuline ajustée pour le degré de sensibilité à l’insuline a suggéré une sécrétion d'insuline plus élevée chez les femmes que les hommes. Le suivi prospectif nous a permis de déterminer que cette sécrétion plus élevée d’insuline était associée à une évolution plus favorable pour la tolérance au glucose. Fait intéressant, cette constatation n'était vraie que pour les femmes. Conclusion : Dans une vaste cohorte prospective observationnelle de patients FK sans diabète connu, nous avons démontré qu’en dépit d’un âge et d’une fonction pulmonaire semblables, les femmes présentaient une sécrétion d'insuline supérieure à celle des hommes et que cela pourrait avoir un effet protecteur, à court terme, chez celles-ci pour le développement du DAFK.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

INTRODUCTION : Il a été démontré que le nombre de lipoprotéines apolipoprotéine B (apoB) est un prédicteur du développement du diabète de type 2 (DT2), mais le mécanisme est inconnu. La résistance à l'insuline (RI) et l'hyperinsulinémie compensatoire (HI) entraînent l’épuisement des cellules β et la progression vers le DT2. De plus, l'activation du système de l'interleukine -1β (IL- 1β) est impliquée dans la pathophysiologie du DT2. Notre objectif était donc d'étudier si l’apoB est associé à la RI et à l’HI chez les humains et si cette corrélation est médiée par l’activation du système IL-1β. MÉTHODOLOGIE : 47 femmes ménopausées, non diabétiques, obèses ou en surpoids et 28 hommes, âgés de 45 à 74 ans ont été recrutés. La sécrétion d'insuline (SI) et la sensibilité à l'insuline ont été mesurées par un clamp Botnia modifié. La 1ère et 2ème phase de SI furent mesurées lors d'un test de tolérance au glucose intraveineux (IVGTT) d’une heure, suivi d’un clamp hyperinsulinémique euglycémique (HEIC) de 3 heures (taux de perfusion d'insuline de 75 mU/m2/min) pour mesurer la sensibilité à l'insuline lors des 30 dernières minutes du clamp (état d'équilibre). La sensibilité à l'insuline est exprimée comme étant le taux de perfusion de glucose (GIR) seul ou divisé par le taux d’insuline à l’état d’équilibre (M/I). RÉSULTATS : Chez les femmes, l’apoB à jeun corrélait avec une augmentation de la 2e phase de SI, la SI totale et la sécrétion totale de C-peptide (r=0,202; r=0,168; r=0,204) et avec une diminution de la sensibilité à l'insuline (GIR r=-0,299; M/I r=-0,180) indépendamment de l'adiposité. L’IL-1Ra à jeun (indicateur de l’activation du système IL-1β) corrélait positivement avec la 2e phase, la SI totale et la sécrétion totale de C-peptide (r=0,217; r=0,154; r=0,198) et négativement avec la sensibilité à l'insuline (GIR r=-0,304; M/I r=-0,214). L’IL-1Ra était également corrélée avec l'apoB (r=0,352). Une fois corrigé pour l'IL-1Ra, toutes les associations entre l'apoB et les indices de sensibilité à l'insuline et de SI ont été perdues. Malgré des glycémies similaires, il n’y avait pas de corrélation de l’apoB avec les indices mesurés chez les hommes. CONCLUSION : L’apoB est associé à l’HI et la RI chez les femmes non diabétiques obèses et en surpoids, potentiellement via l'activation du système IL-1β. Ces différences sexuelles doivent être prises en compte dans l'exploration de la physiopathologie du DT2.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

OBJECTIF: L’apoB plasmatique prédit le diabète de type 2 chez l’humain. Une clairance ralentie des triglycérides (TG) favorise la lipotoxicité et la résistance à l’insuline (RI). Nous avons démontré ex vivo que les LDL, forme majeure d’apoB-lipoprotéines, altèrent le stockage des gras dans le tissu adipeux blanc (TAB) humain. Nous émettons l’hypothèse que le lien reliant l’apoB plasmatique à la RI et l’hyperinsulinémie est médié par un retard de clairance des gras diététiques. MÉTHODE/RÉSULTATS: Nous avons examiné la sécrétion d’insuline (SI), puis la RI lors d’un test de tolérance au glucose intraveineux suivi d’un clamp hyperinsulinémique-euglycémique chez des sujets obèses normoglycémiques (N=29, 45%hommes, indice de masse corporelle (IMC)≥27kg/m2, 45-74ans, post-ménopausés). La clairance des TG diététiques a été mesurée suivant l’ingestion d’un repas gras marqué au 13C. La fonction d’une biopsie de TAB (à jeun) a été mesurée comme la capacité à stocker un substrat de 3H-TG. L’apoB était de 1,03±0,05g/L et corrélait avec la RI, la 2ième phase de SI, un délai de clairance des TG diététiques et une réduction de la fonction du TAB. Un retard de clairance des TG diététiques était associé à la RI et la 2ième phase de SI. Une correction pour la clairance des TG diététiques ou la fonction du TAB a éliminé l’association entre l’apoB et la RI et la 2ième phase de SI. CONCLUSION: L’association entre l’apoB plasmatique et la RI et la SI chez les sujets obèses est médiée par une clairance ralentie des gras diététiques et une dysfonction du TAB.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

La Fibrose kystique (FK) est une maladie génétique qui se traduit par une destruction progressive des poumons et éventuellement, à la mort. La principale complication secondaire est le diabète associé à la FK (DAFK). Une dégradation clinique (perte de poids et de la fonction pulmonaire) accélérée est observée avant le diagnostic. L’objectif principal de mon projet de doctorat est de déterminer, par l’intermédiaire du test d’hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO), s’il existe un lien entre l’hyperglycémie et/ou l’hypoinsulinémie et la dégradation clinique observée avant le diagnostic du DAFK. Nous allons ainsi évaluer l’importance des temps intermédiaires de l’HGPO afin de simplifier le diagnostic d’une dysglycémie ainsi que d’établir des nouveaux marqueurs indicateurs de patients à risque d’une détérioration clinique. L’HGPO est la méthode standard utilisée dans la FK pour le diagnostic du DAFK. Nous avons démontré que les valeurs de glycémie obtenues au temps 90-min de l’HGPO seraient suffisantes pour prédire la tolérance au glucose des patients adultes avec la FK, autrement établie à l’aide des valeurs à 2-h de l’HGPO. Nous proposons des glycémies à 90-min de l’HGPO supérieure à 9.3 mmol/L et supérieure à 11.5 mmol/L pour détecter l’intolérance au glucose et le DAFK, respectivement. Une cause importante du DAFK est un défaut de la sécrétion d’insuline. Les femmes atteintes de la FK ont un risque plus élevé de développer le DAFK que les hommes, nous avons donc exploré si leur sécrétion était altérée. Contrairement à notre hypothèse, nous avons observé que les femmes avec la FK avaient une sécrétion d’insuline totale plus élevée que les hommes avec la FK, mais à des niveaux comparables aux femmes en santé. Le groupe de tolérance au glucose récemment proposé et nommé indéterminé (INDET : 60-min HGPO > 11.0 mais 2h-HGPO <7.8mmol/L) est à risque élevé de développer le DAFK. Par contre, les caractéristiques cliniques de ce groupe chez les patients adultes avec la FK n’ont pas été établies. Nous avons observé que le groupe INDET a une fonction pulmonaire réduite et similaire au groupe DAFK de novo et aucun des paramètres glucidiques et insulinémiques expliqueraient cette observation. Dans une population pédiatrique de patients avec la FK, une association a été rapportée entre une glycémie élevée à 60-min de l’HGPO et une fonction pulmonaire diminuée. Dans notre groupe de patients adultes avec la FK, il existe une association négative entre la glycémie à 60-min de l’HGPO et la fonction pulmonaire et une corrélation positive entre l’insulinémie à 60-min de l’HGPO et l’indice de masse corporelle (IMC). De plus, les patients avec une glycémie à 60-min HGPO > 11.0 mmol/L ont une fonction pulmonaire diminuée et une sensibilité à l’insuline basse alors que ceux avec une insulinémie à 60-min HGPO < 43.4 μU/mL ont un IMC ainsi qu’une fonction pulmonaire diminués. En conclusion, nous sommes le premier groupe à démontrer que 1) le test d’HGPO peut être raccourci de 30 min sans compromettre la catégorisation de la tolérance au glucose, 2) les femmes avec la FK démontrent une préservation de leur sécrétion de l’insuline, 3) le groupe INDET présente des anomalies précoces de la fonction pulmonaire comparable au groupe DAFK de novo et 4) la glycémie et l’insuline à la première heure de l’HGPO sont associées aux deux éléments clefs de la dégradation clinique. Il est crucial d’élucider les mécanismes pathophysiologiques importants afin de mieux prévoir la survenue de la dégradation clinique précédant le DAFK.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Diabetes mellitus is a heterogeneous metabolic disorder characterized by hyperglycemia with disturbances in carbohydrate, protein and lipid metabolism resulting from defects in insulin secretion, insulin action or both. Currently there are 387 million people with diabetes worldwide and is expected to affect 592 million people by 2035. Insulin resistance in peripheral tissues and pancreatic beta cell dysfunction are the major challenges in the pathophysiology of diabetes. Diabetic secondary complications (like liver cirrhosis, retinopathy, microvascular and macrovascular complications) arise from persistent hyperglycemia and dyslipidemia can be disabling or even life threatening. Current medications are effective for control and management of hyperglycemia but undesirable effects, inefficiency against secondary complications and high cost are still serious issues in the present prognosis of this disorder. Hence the search for more effective and safer therapeutic agents of natural origin has been found to be highly demanding and attract attention in the present drug discovery research. The data available from Ayurveda on various medicinal plants for treatment of diabetes can efficiently yield potential new lead as antidiabetic agents. For wider acceptability and popularity of herbal remedies available in Ayurveda scientific validation by the elucidation of mechanism of action is very much essential. Modern biological techniques are available now to elucidate the biochemical basis of the effectiveness of these medicinal plants. Keeping this idea the research programme under this thesis has been planned to evaluate the molecular mechanism responsible for the antidiabetic property of Symplocos cochinchinensis, the main ingredient of Nishakathakadi Kashayam, a wellknown Ayurvedic antidiabetic preparation. A general introduction of diabetes, its pathophysiology, secondary complications and current treatment options, innovative solutions based on phytomedicine etc has been described in Chapter 1. The effect of Symplocos cochinchinensis (SC), on various in vitro biochemical targets relevant to diabetes is depicted in Chapter 2 including the preparation of plant extract. Since diabetes is a multifactorial disease, ethanolic extract of the bark of SC (SCE) and its fractions (hexane, dichloromethane, ethyl acetate and 90 % ethanol) were evaluated by in vitro methods against multiple targets such as control of postprandial hyperglycemia, insulin resistance, oxidative stress, pancreatic beta cell proliferation, inhibition of protein glycation, protein tyrosine phosphatase-1B (PTP-1B) and dipeptidyl peptidase-IV (DPPxxi IV). Among the extracts, SCE exhibited comparatively better activity like alpha glucosidase inhibition, insulin dependent glucose uptake (3 fold increase) in L6 myotubes, pancreatic beta cell regeneration in RIN-m5F and reduced triglyceride accumulation in 3T3-L1 cells, protection from hyperglycemia induced generation of reactive oxygen species in HepG2 cells with moderate antiglycation and PTP-1B inhibition. Chemical characterization by HPLC revealed the superiority of SCE over other extracts due to presence of bioactives (beta-sitosterol, phloretin 2’glucoside, oleanolic acid) in addition to minerals like magnesium, calcium, potassium, sodium, zinc and manganese. So SCE has been subjected to oral sucrose tolerance test (OGTT) to evaluate its antihyperglycemic property in mild diabetic and diabetic animal models. SCE showed significant antihyperglycemic activity in in vivo diabetic models. Chapter 3 highlights the beneficial effects of hydroethanol extract of Symplocos cochinchinensis (SCE) against hyperglycemia associated secondary complications in streptozotocin (60 mg/kg body weight) induced diabetic rat model. Proper sanction had been obtained for all the animal experiments from CSIR-CDRI institutional animal ethics committee. The experimental groups consist of normal control (NC), N + SCE 500 mg/kg bwd, diabetic control (DC), D + metformin 100 mg/kg bwd, D + SCE 250 and D + SCE 500. SCEs and metformin were administered daily for 21 days and sacrificed on day 22. Oral glucose tolerance test, plasma insulin, % HbA1c, urea, creatinine, aspartate aminotransferase (AST), alanine aminotransferase (ALT), albumin, total protein etc. were analysed. Aldose reductase (AR) activity in the eye lens was also checked. On day 21, DC rats showed significantly abnormal glucose response, HOMA-IR, % HbA1c, decreased activity of antioxidant enzymes and GSH, elevated AR activity, hepatic and renal oxidative stress markers compared to NC. DC rats also exhibited increased level of plasma urea and creatinine. Treatment with SCE protected from the deleterious alterations of biochemical parameters in a dose dependent manner including histopathological alterations in pancreas. SCE 500 exhibited significant glucose lowering effect and decreased HOMA-IR, % HbA1c, lens AR activity, and hepatic, renal oxidative stress and function markers compared to DC group. Considerable amount of liver and muscle glycogen was replenished by SCE treatment in diabetic animals. Although metformin showed better effect, the activity of SCE was very much comparable with this drug. xxii The possible molecular mechanism behind the protective property of S. cochinchinensis against the insulin resistance in peripheral tissue as well as dyslipidemia in in vivo high fructose saturated fat diet model is described in Chapter 4. Initially animal were fed a high fructose saturated fat (HFS) diet for a period of 8 weeks to develop insulin resistance and dyslipidemia. The normal diet control (ND), ND + SCE 500 mg/kg bwd, high fructose saturated fat diet control (HFS), HFS + metformin 100 mg/kg bwd, HFS + SCE 250 and HFS + SCE 500 were the experimental groups. SCEs and metformin were administered daily for the next 3 weeks and sacrificed at the end of 11th week. At the end of week 11, HFS rats showed significantly abnormal glucose and insulin tolerance, HOMA-IR, % HbA1c, adiponectin, lipid profile, liver glycolytic and gluconeogenic enzyme activities, liver and muscle triglyceride accumulation compared to ND. HFS rats also exhibited increased level of plasma inflammatory cytokines, upregulated mRNA level of gluconeogenic and lipogenic genes in liver. HFS exhibited the increased expression of GLUT-2 in liver and decreased expression of GLUT-4 in muscle and adipose. SCE treatment also preserved the architecture of pancreas, liver, and kidney tissues. Treatment with SCE reversed the alterations of biochemical parameters, improved insulin sensitivity by modifying gene expression in liver, muscle and adipose tissues. Overall results suggest that SC mediates the antidiabetic activity mainly via alpha glucosidase inhibition, improved insulin sensitivity, with antiglycation and antioxidant activities.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Introducción: Después del ingreso de la monitoría fetal electrónica como estudio de bienestar fetal, se ha considerado por décadas que un aporte de carbohidratos a la gestante antes de la realización de la monitoría fetal influye en el reporte pero existen estudios que consideran que los niveles de glicemia materna no afecta la variabilidad de la monitoría fetal. Metodología: Se realizó un estudio de corte transversal, para evaluar el efecto de la glicemia materna en la monitoría fetal electrónica comparando los valores de glicemia materna con su resultado, según la categorización del ACOG. Las principales variables fueron las horas de ayuno, valores de glicemia, variabilidad de la monitoría fetal y presencia de aceleraciones. Resultados: Se incluyeron un total de 60 pacientes, que ingresaron al servicio de obstetricia y ginecología del Hospital Universitario Mayor Méderi en el periodo de estudio. No se encontraron diferencias estadísticamente significativas entre los resultados de monitoría fetal y los valores de glicemia materna. Ninguna paciente presentó monitoría categoría III (según categorización de la ACOG). Discusión Se requieren estudios analíticos más amplios para evaluar el papel de la glicemia en el resultado de la monitoría, pero el presente estudio sugiere que no existe relación entre la glicemia materna y el resultado de la monitoría fetal electrónica en la categorización del Colegio Americano De Ginecología Y Obstetricia (ACOG).

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

OBJECTIVE: To compare insulin sensitivity (Si) from a frequently sampled intravenous glucose tolerance test (FSIGT) and subsequent minimal model analyses with surrogate measures of insulin sensitivity and resistance and to compare features of the metabolic syndrome between Caucasians and Indian Asians living in the UK. SUBJECTS: In all, 27 healthy male volunteers (14 UK Caucasians and 13 UK Indian Asians), with a mean age of 51.2 +/- 1.5 y, BMI of 25.8 +/- 0.6 kg/m(2) and Si of 2.85 +/- 0.37. MEASUREMENTS: Si was determined from an FSIGT with subsequent minimal model analysis. The concentrations of insulin, glucose and nonesterified fatty acids (NEFA) were analysed in fasting plasma and used to calculate surrogate measure of insulin sensitivity (quantitative insulin sensitivity check index (QUICKI), revised QUICKI) and resistance (homeostasis for insulin resistance (HOMA IR), fasting insulin resistance index (FIRI), Bennetts index, fasting insulin, insulin-to-glucose ratio). Plasma concentrations of triacylglycerol (TAG), total cholesterol, high density cholesterol, (HDL-C) and low density cholesterol, (LDL-C) were also measured in the fasted state. Anthropometric measurements were conducted to determine body-fat distribution. RESULTS: Correlation analysis identified the strongest relationship between Si and the revised QUICKI (r = 0.67; P = 0.000). Significant associations were also observed between Si and QUICKI (r = 0.51; P = 0.007), HOMA IR (r = -0.50; P = 0.009), FIRI and fasting insulin. The Indian Asian group had lower HDL-C (P = 0.001), a higher waist-hip ratio (P = 0.01) and were significantly less insulin sensitive (Si) than the Caucasian group (P = 0.02). CONCLUSION: The revised QUICKI demonstrated a statistically strong relationship with the minimal model. However, it was unable to differentiate between insulin-sensitive and -resistant groups in this study. Future larger studies in population groups with varying degrees of insulin sensitivity are recommended to investigate the general applicability of the revised QUICKI surrogate technique.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

There is evidence to suggest that insulin sensitivity may vary in response to changes in sex hormone levels. However, the results Of human studies designed to investigate changes in insulin sensitivity through the menstrual cycle have proved inconclusive. The aims of this Study were to 1) evaluate the impact of menstrual cycle phase on insulin sensitivity measures and 2) determine the variability Of insulin sensitivity measures within the same menstrual cycle phase. A controlled observational study of 13 healthy premenopausal women, not taking any hormone preparation and having regular menstrual cycles, was conducted. Insulin sensitivity (Si) and glucose effectiveness (Sg) were measured using an intravenous glucose tolerance test (IVGTT) with minimal model analysis. Additional Surrogate measures Of insulin sensitivity were calculated (homoeostasis model for insulin resistance [HOMA IR], quantitative insulin-to-glucose check index [QUICKI] and revised QUICKI [rQUICKI]), as well as plasma lipids. Each woman was tested in the luteal and follicular phases of her Menstrual cycle, and duplicate measures were taken in one phase of the cycle. No significant differences in insulin sensitivity (measured by the IVGTT or Surrogate markers) or plasma lipids were reported between the two phases of the menstrual cycle or between duplicate measures within the same phase. It was Concluded that variability in measures of insulin sensitivity were similar within and between menstrual phases.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Background: Insulin sensitivity (Si) is improved by weight loss and exercise, but the effects of the replacement of saturated fatty acids (SFAs) with monounsaturated fatty acids (MUFAs) or carbohydrates of high glycemic index (HGI) or low glycemic index (LGI) are uncertain. Objective: We conducted a dietary intervention trial to study these effects in participants at risk of developing metabolic syndrome. Design: We conducted a 5-center, parallel design, randomized controlled trial [RISCK (Reading, Imperial, Surrey, Cambridge, and Kings)]. The primary and secondary outcomes were changes in Si (measured by using an intravenous glucose tolerance test) and cardiovascular risk factors. Measurements were made after 4 wk of a high-SFA and HGI (HS/HGI) diet and after a 24-wk intervention with HS/HGI (reference), high-MUFA and HGI (HM/HGI), HM and LGI (HM/LGI), low-fat and HGI (LF/HGI), and LF and LGI (LF/LGI) diets. Results: We analyzed data for 548 of 720 participants who were randomly assigned to treatment. The median Si was 2.7 × 10−4 mL · μU−1 · min−1 (interquartile range: 2.0, 4.2 × 10−4 mL · μU−1 · min−1), and unadjusted mean percentage changes (95% CIs) after 24 wk treatment (P = 0.13) were as follows: for the HS/HGI group, −4% (−12.7%, 5.3%); for the HM/HGI group, 2.1% (−5.8%, 10.7%); for the HM/LGI group, −3.5% (−10.6%, 4.3%); for the LF/HGI group, −8.6% (−15.4%, −1.1%); and for the LF/LGI group, 9.9% (2.4%, 18.0%). Total cholesterol (TC), LDL cholesterol, and apolipoprotein B concentrations decreased with SFA reduction. Decreases in TC and LDL-cholesterol concentrations were greater with LGI. Fat reduction lowered HDL cholesterol and apolipoprotein A1 and B concentrations. Conclusions: This study did not support the hypothesis that isoenergetic replacement of SFAs with MUFAs or carbohydrates has a favorable effect on Si. Lowering GI enhanced reductions in TC and LDL-cholesterol concentrations in subjects, with tentative evidence of improvements in Si in the LF-treatment group. This trial was registered at clinicaltrials.gov as ISRCTN29111298.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Background:Excessive energy intake and obesity lead to the metabolic syndrome (MetS). Dietary saturated fatty acids (SFAs) may be particularly detrimental on insulin sensitivity (SI) and on other components of the MetS. Objective:This study determined the relative efficacy of reducing dietary SFA, by isoenergetic alteration of the quality and quantity of dietary fat, on risk factors associated with MetS. Design:A free-living, single-blinded dietary intervention study. Subjects and Methods:MetS subjects (n=417) from eight European countries completed the randomized dietary intervention study with four isoenergetic diets distinct in fat quantity and quality: high-SFA; high-monounsaturated fatty acids and two low-fat, high-complex carbohydrate (LFHCC) diets, supplemented with long chain n-3 polyunsaturated fatty acids (LC n-3 PUFAs) (1.2 g per day) or placebo for 12 weeks. SI estimated from an intravenous glucose tolerance test (IVGTT) was the primary outcome measure. Lipid and inflammatory markers associated with MetS were also determined. Results:In weight-stable subjects, reducing dietary SFA intake had no effect on SI, total and low-density lipoprotein cholesterol concentration, inflammation or blood pressure in the entire cohort. The LFHCC n-3 PUFA diet reduced plasma triacylglycerol (TAG) and non-esterified fatty acid concentrations (P<0.01), particularly in men. Conclusion:There was no effect of reducing SFA on SI in weight-stable obese MetS subjects. LC n-3 PUFA supplementation, in association with a low-fat diet, improved TAG-related MetS risk profiles.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

OBJECTIVE To investigate the relation between serum concentration of 25-hydroxyvitamin D [25(OH)D] and insulin action and secretion. RESEARCH DESIGN AND METHODS In a cross-sectional study of 446 Pan-European subjects with the metabolic syndrome, insulin action and secretion were assessed by homeostasis model assessment (HOMA) indexes and intravenous glucose tolerance test to calculate acute insulin response, insulin sensitivity, and disposition index. Serum 25(OH)D was measured by high-performance liquid chromatography/mass spectrometry. RESULTS The 25(OH)D3 concentration was 57.1 ± 26.0 nmol/l (mean ± SD), and only 20% of the subjects had 25(OH)D3 levels ≥75 nmol/l. In multiple linear analyses, 25(OH)D3 concentrations were not associated with parameters of insulin action or secretion after adjustment for BMI and other covariates. CONCLUSIONS In a large sample of subjects with the metabolic syndrome, serum concentrations of 25(OH)D3 did not predict insulin action or secretion. Clear evidence that D vitamin status directly influences insulin secretion or action is still lacking.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Objective To highlight the contribution of the gut microbiota to the modulation of host metabolism by dietary inulin-type fructans (ITF prebiotics) in obese women. Methods A double blind, placebo controlled, intervention study was performed with 30 obese women treated with ITF prebiotics (inulin/oligofructose 50/50 mix; n=15) or placebo (maltodextrin; n=15) for 3 months (16 g/day). Blood, faeces and urine sampling, oral glucose tolerance test, homeostasis model assessment and impedancemetry were performed before and after treatment. The gut microbial composition in faeces was analysed by phylogenetic microarray and qPCR analysis of 16S rDNA. Plasma and urine metabolic profiles were analysed by 1H-NMR spectroscopy. Results Treatment with ITF prebiotics, but not the placebo, led to an increase in Bifidobacterium and Faecalibacterium prausnitzii; both bacteria negatively correlated with serum lipopolysaccharide levels. ITF prebiotics also decreased Bacteroides intestinalis, Bacteroides vulgatus and Propionibacterium, an effect associated with a slight decrease in fat mass and with plasma lactate and phosphatidylcholine levels. No clear treatment clustering could be detected for gut microbial analysis or plasma and urine metabolomic profile analyses. However, ITF prebiotics led to subtle changes in the gut microbiota that may importantly impact on several key metabolites implicated in obesity and/or diabetes. Conclusions ITF prebiotics selectively changed the gut microbiota composition in obese women, leading to modest changes in host metabolism, as suggested by the correlation between some bacterial species and metabolic endotoxaemia or metabolomic signatures.