972 resultados para diabète insipide néphrogénique liè à l’X
Resumo:
In Switzerland over 200'000 people with diagnosed diabetes drive a car. Their physicians endorse many roles: usual medical care as well as informing properly about driving recommandations and handling the legal issues behing the licensing procedure. Ability to drive can be impaired in three ways: hypogylcemia, diabetes complications and hyperglycemia. Hypoglycemia is the main risk factor of vehicle accident for diabetic drivers and frequent while driving. However few accidents are reported due to hypoglycemia. Swiss medical guidelines about diabetes and driving mention the requested conditions, but practically how should we do? We sought to answear by creating a specific educationnal program focused on hypoglycemia management. Building patient knowledges through experiences is the main goal of the course diabetes and driving.
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Le diabète de type 2 est une maladie fréquente et en augmentation dans le monde entier. Malheureusement, elle est souvent diagnostiquée à un stade ou des complications sont déjà apparues. Depuis quelques années, des scores ont été développés pour identifier les sujets à risque de développer cette maladie. L'utilisation d'un tel score par le praticien pourrait amener ces patients à des mesures préventives, telles que le changement d'hygiène de vie, ou la prescription d'un traitement médicamenteux. Le but de notre étude est de comparer et de valider différents scores de risques de diabète de type 2 et de déterminer leur capacité à prédire la survenue de cette maladie dans la population de la cohorte CoLaus. Les premiers résultats, en étude transversale, ont tout d'abord montré de grandes différences quant à la population à risque d'un score à l'autre. En effet, le nombre de personnes à traiter varie considérablement selon la méthode utilisée. Ces différents scores ont donc nécessité une validation prospective. Ces résultats ont fait l'objet d'une publication (Schmid et col, Diabetes Care. 2011 Aug;34(8):1863-8). Au moyen des données du suivi à 5 ans, il est sorti qu'un score de risque utilisant des variables biologiques et cliniques, ainsi qu'un score utilisant des variables uniquement cliniques, obtenaient de très bon résultats quant à la prédiction du diabète de type 2. En effet, un des scores testés donne une valeur prédictive positive d'environ 20% à 5 ans, ce qui signifie qu'un patient « détecté » sur 5 pourrait bénéficier d'une intervention précoce. Toutefois, ces résultats concernent la population lausannoise et ne sont donc pas forcément applicables à l'ensemble de la population suisse. De plus, de plus amples études sont nécessaires évaluer l'efficacité d'un tel score dans la prévention du diabète en Suisse. Ces résultats ont fait l'objet d'une seconde publication (Schmid et col, Arch Intern Med. 2012 Jan 23;172(2):188-9). Dans un troisième volet de l'étude, l'impact de marqueurs génétiques a été évalué dans un sous- groupe de la population CoLaus. Les résultats n'ont toutefois montré qu'une très faible amélioration de la prédiction du risque en utilisant ces marqueurs. Ceci devrait nous encourager à intensifier les efforts de prévention sur le style de vie pour toute la population, plutôt qu'une approche ciblée sur les personnes génétiquement prédisposées. Ces résultats ont fait l'objet d'une troisième publication (Schmid et col, J Clin Endocrinol Metab. 2012 Apr 24. [Epub ahead of print]). La même démarche méthodologique a été utilisée pour évaluer l'importance pronostique de plusieurs marqueurs inflammatoires (interleukines 1 et 6, Τ Ν F-, protéine C-réactive) hépatiques (GT) ou adipocytaires (leptine et adiponectine) dans la survenue du diabète. Ces résultats sont actuellement soumis au Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism).
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ButsDans la littérature actuelle, peu d'études existent sur la relation entre la consommation d'alcool et le syndrome métabolique. Les quelques données disponibles sont contradictoires et très limitées chez les buveurs à haut risque. Quant au diabète, une association est connue entre la consommation à bas risque d'alcool et une prévalence diminuée de la maladie. Là encore, les données sur la consommation à haut risque sont très limitées. Par conséquent, notre but était d'étudier la relation entre la consommation d'alcool, le syndrome métabolique et le diabète dans la cohorte lausannoise (CoLaus), où la consommation moyenne d'alcool est nettement plus élevée que dans la plupart des études disponibles, notamment celles des États-Unis.MéthodesNous avons analysé les données de 6172 hommes et femmes, âgés de 35 à 75 ans. La consommation d'alcool a été catégorisée en 0,1-6, 7-13, 14-20, 21-27, 28-34 et >35 boissons par semaine ou comme non-buveurs (0), buveurs à bas risque (1-13), à risque moyen à élevé (14-34) et à très haut risque (>35). Nous avons confirmé la consommation d'alcool par la y- glutamyl transferase et la transferrine déficiente en hydrates de carbone (CDT). Après l'analyse des caractéristiques des groupes de consommateurs, nous avons utilisé des régressions multivariées pour évaluer la relation entre la consommation d'alcool, la prévalence du syndrome métabolique et du diabète ainsi que la résistance à l'insuline, déterminée par le modèle d'homéostasie de la résistance à l'insuline (HOMA-IR). Dans le modèle d'ajustement, nous avons inclus l'âge, le genre, le status tabagique, l'activité physique et le niveau de formation. Nous avons aussi comparé la relation du type d'alcool (vin, bière et spiritueux) avec le syndrome métabolique, le diabète et le HOMA-IR en testant l'hypothèse d'égalité de leurs coefficients de régression, après ajustement.RésultatsParmi les participants, 73% buvaient de l'alcool, 16% étant buveurs à risque moyen à élevé et 2% à risque très élevé. En analyse multivariée, la prévalence du syndrome métabolique et du diabète ainsi que le HOMA-IR moyen diminuaient avec la consommation d'alcool à bas risque et augmentaient avec la consommation à très haut risque, montrant une relation en U. La prévalence ajustée du syndrome métabolique était de 24% chez les non-buveurs, 19% chez les buveurs à bas risque (p<0.001 vs. non-buveurs), 20% chez ceux à risque moyen à élevé et 29% chez ceux à très haut risque (p=0.005 vs. bas risque). La prévalence ajustée du diabète était de 6.0% chez les non-buveurs, 3.6% chez les buveurs à bas risque (p<0.001 vs. non-buveurs), 3.8% chez ceux à risque moyen à élevé et 6.7% chez ceux à très haut risque (p=0.046 vs. bas risque). Le HOMA-IR moyen ajusté était de 2.47 chez les non-buveurs, 2.14 chez ceux à bas risque (pcO.OOl vs. non-buveurs), 2.27 chez ceux à risque moyen à élevé et 2.53 chez ceux à très haut risque (p=0.04 vs. bas risque). Ces relations ne différaient pas selon les types de boissons.ConclusionsLa prévalence du syndrome métabolique, du diabète et le HOMA-IR baissent pour les faibles consommations d'alcool, mais augmentent à nouveau avec les plus fortes consommations, sans différence entre les types de boissons.
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The coexistence of diabetes and eating disorder (ED) is more prevalent than we think; indeed it seems to occur in 10 to 20% of cases. Therefore ED deserve attention to be detected and treated in order to permit a decreased in morbidity and better outcomes in body weight loss. The association of type 2 diabetes and ED is frequently seen in younger, overweighed or obese patients suffering of at least one psychiatric co-morbidities and frequently in a difficult psychosocial setting. To succeed in ED treatment, a multidisciplinary and specialised team in eating disorder is requested, however these patients are highly fragile and complex and therapeutic failure has to be feared.
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UKPDS and DCCT studies have demonstrated the critical role of tight glycaemic control to reduce the micro- and macro-vascular damage linked to diabetes. Unfortunately, the insulin requirement of type 2 diabetic patients remains elevated since 5 to 7% of these patients will required, yearly, a change from oral antidiabetic drug to insulin treatment to maintain a good glycaemic control. This manuscript is intended to review the currently available oral antidiabetic drugs, their benefits as well as potential arms and to propose a simplified therapeutic strategy in presence of type 2 diabetes.
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There is a sustained controversy in the literature about the role and utility of self-monitoring of blood glucose (SMBG) in type 2 diabetes. The study results in this field do not provide really useful clues for the integration of SMBG in the follow-up of the individual patient, because they are based on a misconception of SMBG. It is studied as if it was a medical treatment whose effect on glycemic control is to be isolated. However, SMBG has no such intrinsic effect. It gains its purpose only as an inseparable component of a comprehensive and structured educational strategy. To be appropriate this strategy cannot be based on the health care professionals' view on diabetes only. It rather has to be tailored to the individual patient's needs through an ongoing process of shared reflection with him.
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Diabetes represents an important health burden on our society: for example in Lausanne (Switzerland) 16% of the adult population have abnormal glucose homeostasis and 6% have diabetes, of which about a third is not aware. Some guidelines identify the "at risk" population for which screening seems indicated. Simple clinical scores have been developed at allow to better estimate the risk of diabetes and hence to potentially better target screening of the disease. The recent discovery of more that 18 genetic variants associated with an increased risk to develop the diseased has allowed to include individual genotype into genetic risk scores. We will discuss in this article the usefulness of these genetic score, how they compare to clinical score, their implication for clinical practice as well as their potential ethical or economical consequences.
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A pêra 'Ya Li' apresenta escurecimento da polpa poucos dias após o armazenamento refrigerado. Este trabalho objetivou avaliar condições de armazenamento visando a diminuir os danos pela baixa temperatura inicial em peras 'Ya Li'. As condições iniciais estabelecidas foram: 1) 0ºC; 2) 5ºC, nos 10 primeiros dias, com redução de 0,7ºC por dia, durante sete dias; 3) 10ºC nos 10 primeiros dias, com redução de 1,4ºC por dia, durante sete dias; 4) 10º C nos 10 primeiros dias, com redução de 1,4ºC por dia, durante sete dias, sempre em atmosfera controlada (2,0kPa de O2 e < 1,0kPa de CO2); 5) 10ºC nos 10 dias iniciais, com posterior exposição direta dos frutos a 0ºC. Em seqüência aos tratamentos iniciais, os frutos foram submetidos ao armazenamento refrigerado a 0ºC, com exceção do tratamento "4" que foi mantido continuamente em atmosfera controlada. Após 52 dias de armazenamento, verificou-se escurecimento interno, superior a 68% em todos os tratamentos. As temperaturas mais elevadas, no início, não evitaram a ocorrência do escurecimento durante o armazenamento.