831 resultados para Violence in marital


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La recherche sur les questions touchant aux leaders de groupes sectaires et à la violence sectaire a mené à l’étude du rôle joué par l’autorité charismatique, tel que défini par Weber (1922) et repris par Dawson (2010). À ce sujet, d’éminents spécialistes des études sur les sectes sont d’avis qu’un vide important dans la recherche sur l’autorité charismatique dans le contexte de groupes sectaires et de nouveaux mouvements religieux reste à combler (ajouter les références ‘d’éminents spécialistes’). Ce mémoire vise à contribuer à l’étude cet aspect négligé, le rôle de l’autorité charismatique dans le recours è la violence dans les groupes sectaires, par une étude de cas historique d’un groupe de la Réformation protestante du XVIe siècle, le Royaume anabaptiste de Münster (AKA), sous l’influence d’un leader charismatique, Jan van Leiden. Cette recherche s’intéresse plus spécifiquement aux divers moyens utilisés par Jan van Leiden, pour asseoir son autorité charismatique et à ceux qui ont exercé une influence sur le recours à des actes de violence. L’étude de cas est basé sur le matériel provenant de deux comptes-rendus des faits relatés par des participants aux événements qui se sont déroulés à pendant le règne de Leiden à la tête du AKA. L’analyse du matériel recueilli a été réalisé à la lumière de trois concepts théoriques actuels concernant le comportement cultuel et le recours à la violence.. L’application de ces concepts théoriques a mené à l’identification de quatre principales stratégies utilisées par Jan van Leiden pour établir son autorité charismatique auprès de ses disciples, soit : 1) la menace du millénarisme, 2) l’exploitation d’une relation bilatérale parasitique avec ses disciples, 3) l’utilisation de l’extase religieuse et de la prophétie, 4) l’utilisation du désir de voir survenir des changements sociaux et religieux. En plus de ces quatre stratégies, trois autres dimensions ont été retenues comme signes que le recours à la violence dans le Royaume anabaptiste de Münster résultait de l’établissement de l’autorité charismatique de son leader, soit : 1) la violence liée au millénarisme, 2) la notion d’identité et de violence partagée, 3) des facteurs systémiques, physiques et culturels menant à la violence.

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Problématique : Depuis bientôt deux décennies, la République Démocratique du Congo (RDC) est le territoire d’un conflit armé qui, selon l’International Rescue Commite, aurait occasionné plus de 3 millions de décès et autant de déplacés internes. Plusieurs rapports font également cas des nombreux actes de violence sexuelle (les viols, les mutilations, l’esclavage, l’exploitation sexuelle, etc.) commis envers les filles, les femmes et dans une moindre ampleur les hommes. S’il existe un consensus sur le côté barbare des actes de violence sexuelle liés aux conflits armés, rares sont les études qui ont évalué leurs conséquences sur la santé reproductive des survivantes surtout en termes d’issues telles que les fistules, les douleurs pelviennes chroniques (DPC), le désir de rapports sexuels, le désir d’enfant et le désir d’interruption de la grossesse issue de tels actes. Par ailleurs, même si la santé mentale des populations en zones de conflit représente un sujet d’intérêt, l’impact spécifique de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale des survivantes a été peu étudié. De plus, ces travaux s’intéressent aux effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale et sur la santé reproductive séparément et ce, sans évaluer les relations qui peuvent exister entre ces deux dimensions qui, pourtant, s’influencent mutuellement. Aussi, l’impact social de la violence sexuelle liée au conflit, ainsi que la contribution des normes socioculturelles aux difficultés que rencontrent les survivantes, a été peu étudié. Pourtant, l’impact social de la violence sexuelle liée au conflit peut permettre de mieux comprendre comment l’expérience d’un tel acte peut affecter la santé mentale. Enfin, aucune étude n’a évalué les effets de la violence sexuelle liée au conflit en la comparant à la violence sexuelle non liée au conflit (VSNLC). Pourtant, il est reconnu qu’à de nombreux égards, la violence sexuelle liée au conflit est bien différente de la VSNLC puisqu’elle est perpétrée avec l’intention de créer le maximum d’effets adverses pour la victime et sa communauté. Objectifs : Les objectifs poursuivis dans cette thèse visent à : 1) évaluer les effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé reproductive; 2) évaluer les effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale en termes de sévérité des symptômes de stress posttraumatique (PTSD), de sévérité des symptômes de détresse psychologique et de probabilité de souffrir de troubles mentaux communs (TMC); 3) évaluer la contribution des troubles physiques de santé reproductive, en particulier les fistules et les douleurs pelviennes chroniques (DPC), aux effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale; 4) évaluer la contribution de l’état de santé mentale aux effets de la violence sexuelle liée au conflit sur le désir de rapports sexuels et le désir d’enfant; et 5) étudier l’impact de la violence sexuelle liée au conflit sur le plan social ainsi que la contribution des normes socioculturelles à ses effets adverses et la façon dont ces effets pourraient à leur tour influencer la santé des femmes et leur relation avec l’enfant issu de l’acte de violence sexuelle subi. Méthodologie : Un devis mixte de nature convergente a permis de collecter des données quantitatives auprès de l’ensemble des participantes (étude transversale) et des données qualitatives sur un nombre plus restreint de femmes (étude phénoménologique). Une étude transversale populationnelle a été conduite entre juillet et août 2012 auprès de 320 femmes âgées de 15 à 45 ans habitant quatre (4) quartiers de la ville de Goma située dans la province du Nord-Kivu en RDC. Les femmes ont été recrutées à travers des annonces faites par les responsables des programmes d’alphabétisation et de résolution de conflits implantés dans les différents quartiers par le Collectif Alpha Ujuvi, une ONG locale. Les issues de santé reproductive évaluées sont : les fistules, les DPC, le désir de rapports sexuels, le désir d’enfant et le désir d’interruption de la grossesse issue d’un acte de violence sexuelle. Les variables de santé mentale d’intérêt sont : la sévérité des symptômes de détresse psychologique, la sévérité des symptômes de PTSD et la probabilité de souffrir de TMC. Pour les analyses, l’exposition a été définie en trois (3) catégories selon l’expérience passée de violence sexuelle : les femmes qui ont vécu des actes de violence sexuelle liée au conflit, celles qui ont vécu des actes de VSNLC et celles qui ont déclaré n’avoir jamais subi d’acte de violence sexuelle au cours de leur vie. Les variables de confusion potentielles mesurées sont : l’âge, le statut matrimonial, le nombre d’enfants, le niveau d’éducation le plus élevé atteint et l’occupation professionnelle. Les mesures d’associations ont été évaluées à l’aide de modèles de régressions logistiques et linéaires simples et multiples. Des tests d’interaction multiplicative et des analyses stratifiées ont été également conduits pour évaluer l’effet potentiellement modificateur de quelques variables (âge, statut matrimonial, nombre d’enfants) sur la relation entre la violence sexuelle et les variables de santé reproductive ou de santé mentale. Ces tests ont également été utilisés pour évaluer la contribution d’une variable de santé reproductive ou de santé mentale aux effets de la violence sexuelle sur l’autre dimension de la santé d’intérêt dans cette étude. Une étude phénoménologique a été conduite dans le même intervalle de temps auprès de 12 femmes ayant participé à la partie quantitative de l’étude qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit et ont eu un enfant issu d’une agression sexuelle. Les sujets explorés incluent : la perception de l’acte de violence sexuelle liée au conflit vécu et de la vie quotidienne par les victimes; la perception de l’acte de violence sexuelle liée au conflit par la famille et l’entourage et leurs réactions après l’agression; la perception de la grossesse issue de l’acte de violence sexuelle par la victime; la perception de l’enfant issu de la violence sexuelle liée au conflit par la victime ainsi que son entourage; les conséquences sociales de l’expérience de violence sexuelle liée au conflit et les besoins des victimes pour leur réhabilitation. Une analyse thématique avec un codage ouvert a permis de ressortir les thèmes clés des récits des participantes. Par la suite, l’approche de théorisation ancrée a été utilisée pour induire un cadre décrivant l’impact social de l’expérience de la violence sexuelle liée au conflit et les facteurs y contribuant. Résultats : Le premier article de cette thèse montre que, comparées aux femmes qui n’ont jamais vécu un acte de violence sexuelle, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit ont une probabilité plus élevée d’avoir une fistule (OR=11.1, IC 95% [3.1-39.3]), des DPC (OR=5.1, IC 95% [2.4-10.9]), de rapporter une absence de désir de rapports sexuels (OR=3.5, IC 95% [1.7-6.9]) et une absence de désir d’enfant (OR=3.5, IC 95% [1.6-7.8]). Comparées aux mêmes femmes, celles qui ont vécu la VSNLC ont plus de probabilité de souffrir de DPC (OR=2.3, IC 95% [0.95-5.8]) et de rapporter une absence de désir d’enfant (OR=2.7, IC 95% [1.1-6.5]). Comparées aux femmes qui ont vécu la VSNLC, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit ont également une probabilité plus élevée d’avoir une fistule (OR=9.5, IC 95% [1.6-56.4]), des DPC (OR=2.2, IC 95% [0.8-5.7]) et de rapporter une absence de désir de rapports sexuels (OR=2.5, IC 95% [1.1-6.1]). En ce qui concerne les grossesses issues des viols, comparées aux femmes qui ont vécu la VSNLC, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit sont plus nombreuses à souhaiter avorter (55% vs 25% pour celles qui ont vécu la VSNLC). Elles sont également plus nombreuses à déclarer qu’elles auraient avorté si les soins appropriés étaient accessibles (39% vs 21% pour celles qui ont vécu la VSNLC). Le second article montre qu’en comparaison aux femmes qui n’ont jamais subi de violence sexuelle, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit présentent des symptômes de détresse psychologique (moyennes de score respectives 8.6 et 12.6, p<0.0001) et des symptômes de PTSD (moyennes de score respectives 2.2 et 2.6, p<0.0001) plus sévères et ont plus de probabilité d’être dépistées comme un cas de TMC (30% vs 76%, p<0.0001). De plus, comparées aux femmes qui ont vécu la VSNLC, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit présentent des symptômes de détresse psychologique (moyennes de score respectives 10.1 et 12.6, p<0.0001) et des symptômes de PTSD (moyennes de score respectives 2.2 et 2.6, p<0.0001) plus sévères et ont plus de probabilité d’être dépistées comme un cas de TMC (48% vs 76%, p<0.001). Les valeurs minimales et maximales de score de sévérité de symptômes de détresse psychologique sont de 0/12 pour les femmes qui n’ont jamais vécu de violence sexuelle, 4/19 pour celles qui ont vécu la VSNLC et de 5/18 pour celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au confit. En ce qui concerne la sévérité des symptômes de PTSD, les scores minimal et maximal sont respectivement de 0.36/3.22, 0.41/3.41 et 0.95/3.45. Le fait d’avoir développé une fistule ou de souffrir de DPC après l’agression sexuelle augmente la force des associations entre la violence sexuelle et la santé mentale. Les femmes qui ont subi la violence sexuelle liée au conflit et qui ont souffert de fistules présentent des symptômes de détresse psychologique et de PTSD plus sévères comparées aux femmes qui ont subi la violence sexuelle liée au conflit mais n’ont pas de fistules. Les résultats sont similaires pour les femmes qui ont subi la violence sexuelle liée au conflit et qui souffrent de DPC. Des résultats complémentaires suggèrent que le statut matrimonial modifie l’effet de la violence sexuelle sur la sévérité des symptômes de détresse psychologique, les femmes divorcées/séparées et les veuves étant celles qui ont les moyennes de score les plus élevées (respectivement 11.3 et 12.1 vs 9.26 et 9.49 pour les célibataires et les mariées). Par ailleurs, la sévérité des symptômes de détresse psychologique modifie l’association entre la violence sexuelle liée au conflit et le désir d’enfant. Le troisième article montre que, sur le plan social, l’expérience de violence sexuelle liée au conflit entraine également de lourdes conséquences. Toutes celles qui ont vécu ce type d’acte décrivent leur vie de survivante et de mère d’un enfant issu d’une agression sexuelle comme difficile, oppressive, faite de peines et de soucis et sans valeur. Plusieurs facteurs influencent la description que les victimes de violence sexuelle liée au conflit font de leur vie quotidienne, et ils sont tous reliés aux normes socioculturelles qui font de la femme une citoyenne de seconde zone, ne font aucune différence entre un viol et un adultère, condamnent les victimes de violence sexuelle plutôt que leurs agresseurs, rejettent et stigmatisent les victimes de tels actes ainsi que l’enfant qui en est issu. En réponse au rejet et au manque de considération, les femmes victimes de violence sexuelle liée au conflit ont tendance à s’isoler pour éviter les insultes et à garder le silence sur leur agression. En plus, les réactions de leur entourage/communauté ont tendance à leur faire revivre l’agression sexuelle subie, autant d’éléments qui nuisent davantage à leur réhabilitation. D’autres résultats démontrent que les enfants issus d’actes de violence sexuelle liée au conflit sont également rejetés par leur communauté, leur famille adoptive ainsi que le conjoint de leur mère, ce qui affecte davantage les survivantes. Avec leurs mères, les relations développées varient entre le rejet, la résignation et l’affection. Néanmoins, ces relations sont plus souvent tendues probablement à cause de la stigmatisation de la communauté. Conclusion: La violence sexuelle liée au conflit a des effets adverses sur la santé reproductive, la santé mentale mais également sur le plan social. Ces trois dimensions sont loin d’être isolées puisque cette étude a permis de démontrer qu’elles s’influencent mutuellement. Ceci suggère que la prise en charge des victimes de violence sexuelle liée au conflit ne doit pas se concentrer sur un aspect ou un autre de la santé mais prendre en compte l’ensemble des dimensions de la femme pour offrir une aide holistique, plus adaptée et qui sera plus efficace à long terme.

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Although there are signs of decline, homicides and traffic-related injuries and deaths in Brazil account for almost two-thirds of all deaths from external causes. In 2007, the homicide rate was 26.8 per 100 000 people and traffic-related mortality was 23.5 per 100 000. Domestic violence might not lead to as many deaths, but its share of violence-related morbidity is large. These are important public health problems that lead to enormous individual and collective costs. Young, black, and poor men are the main victims and perpetrators of community violence, whereas poor black women and children are the main victims of domestic violence. Regional differentials are also substantial. Besides the sociocultural determinants, much of the violence in Brazil has been associated with the misuse of alcohol and illicit drugs, and the wide availability of firearms. The high traffic-related morbidity and mortality in Brazil have been linked to the chosen model for the transport system that has given priority to roads and private-car use without offering adequate infrastructure. The system is often poorly equipped to deal with violations of traffic rules. In response to the major problems of violence and injuries, Brazil has greatly advanced in terms of legislation and action plans. The main challenge is to assess these advances to identify, extend, integrate, and continue the successful ones.

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Background: Political violence and war are push factors for migration and social determinants of health among migrants. Somali migration to Sweden has increased threefold since 2004, and now comprises refugees with more than 20 years of war experiences. Health is influenced by earlier life experiences with adverse sexual and reproductive health, violence, and mental distress being linked. Adverse pregnancy outcomes are reported among Somali born refugees in high-income countries. The aim of this study was to explore experiences and perceptions on war, violence, and reproductive health before migration among Somali born women in Sweden. Method: Qualitative semi-structured individual interviews were conducted with 17 Somali born refugee women of fertile age living in Sweden. Thematic analysis was applied. Results: Before migration, widespread war-related violence in the community had created fear, separation, and interruption in daily life in Somalia, and power based restrictions limited access to reproductive health services. The lack of justice and support for women exposed to non-partner sexual violence or intimate partner violence reinforced the risk of shame, stigmatization, and silence. Social networks, stoicism, and faith constituted survival strategies in the context of war. Conclusions: Several factors reinforced non-disclosure of violence exposure among the Somali born women before migration. Therefore, violence-related illness might be overlooked in the health care system. Survival strategies shaped by war contain resources for resilience and enhancement of well-being and sexual and reproductive health and rights in receiving countries after migration.

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Background: Political violence and war are push factors for migration and social determinants of health among migrants. Somali migration to Sweden has increased threefold since 2004, and now comprises refugees with more than 20 years of war experiences. Health is influenced by earlier life experiences with adverse sexual and reproductive health, violence, and mental distress being linked. Adverse pregnancy outcomes are reported among Somali born refugees in high-income countries. The aim of this study was to explore experiences and perceptions on war, violence, and reproductive health before migration among Somali born women in Sweden. Method: Qualitative semi-structured individual interviews were conducted with 17 Somali born refugee women of fertile age living in Sweden. Thematic analysis was applied. Results: Before migration, widespread war-related violence in the community had created fear, separation, and interruption in daily life in Somalia, and power based restrictions limited access to reproductive health services. The lack of justice and support for women exposed to non-partner sexual violence or intimate partner violence reinforced the risk of shame, stigmatization, and silence. Social networks, stoicism, and faith constituted survival strategies in the context of war. Conclusions: Several factors reinforced non-disclosure of violence exposure among the Somali born women before migration. Therefore, violence-related illness might be overlooked in the health care system. Survival strategies shaped by war contain resources for resilience and

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Recent research has indicated an increase in the severity of head injuries in Switzerland. The aim of the present study was to describe the epidemiological features of cranio-maxillofacial (CMF) injuries due to interpersonal violence in patients at the Bern University Hospital Emergency Department (ED), based on injury patterns.

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This paper asks: is it a fact that there is more violence in districts affected by Naxalite (Maoist) activity compared to those which are free of Naxalite activity? And can the existence of Naxalite activity in some districts of India, but not in others, be explained by differences in economic and social conditions? This study identifies districts in India in which there was significant Naxalite activity and correlating the findings with district-level economic, social, and crime indicators. The econometric results show that, after controlling for other variables, Naxalite activity in a district had, if anything, a dampening effect on its level of violent crime and crimes against women. Furthermore, even after controlling for other variables, the probability of a district being Naxalite-affected rose with an increase in its poverty rate and fell with a rise in its literacy rate. So, one prong in an anti-Naxalite strategy would be to address the twin issues of poverty and illiteracy in India.

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The last two decades have been marked by a growing public awareness of family violence. Research by social scientists has suggested that family violence is widespread (Gelles and Straus, 1988). It is estimated that every year 1.8 to 4 million women are physically abused by their partners (Novello, 1992). In fact, more women are abused by their husbands or boyfriends than are injured in car accidents, muggings, or rapes (Jaffe, Wolfe, and Wilson, 1990). A recent prevalence study by Fantuzzo, Boruch, Beriama, Atkins, and Marcus (1997) found that children were disproportionately present in households where there was a substantial incident of adult female assault. Experts estimate that 3.3 to 10 million children are exposed to marital violence each year (Carlson, 1984; Straus, 1991). Until recently, most researchers did not consider the impact of parental conflict on the children who witness this violence. The early literature in this field primarily focused on the incidence of violence against women and the inadequate response of community agencies (Jaffe et al, 1990). The needs of children were rarely considered. However, researchers have become increasingly aware that children exposed to marital violence are victims of a range of psychological maltreatment (e.g., terrorizing, isolation;Hart, Brassared & Karlson, 1996) and are at serious risk for the development of psychological problems (Fantuzzo, DePaola, Lambert, Martino, Anderson, and Sutton, 1991). Jouriles, Murphy and O'Leary (1989) found that children of battered women were four times more likely to exhibit psychopathology as were children living in non-violent homes. Further, researchers have found associations between childhood exposure to parental violence and the expression of violence in adulthood (Carlson, 1990). Existing research suggests that children who have witnessed marital violence manifest numerous emotional, social, and behavioral problems (Sternberg et al., 1993; Fantuzzo et al., 1991; Jaffe et al, 1990). Studies have found that children of battered women exhibit more internalizing and externalizing behavior problems than non-witnesschildren (Hughes and Fantuzzo, 1994; McCloskey, Figueredo, and Koss, 1995). In addition, children exposed to marital violence have been found to exhibit difficulties with social problem-solving, and have lower levels of social competence than nonwitnesses (Rosenberg, 1987; Moore, Pepler, Weinberg, Hammond, Waddell, & Weiser, 1990). Other reported difficulties include low self esteem (Hughes, 1988), poor school performance (Moore et al., 1990) and problems with aggression (Holden & Ritchie, 1991; Jaffe, Wolfe, Wilson, & Zak, 1986). Further, within the last decade, researchers have found that some children are traumatized by the witnessing experience, showing elevated levels of posttraumatic stress symptoms (Devoe & Graham-Bermann, 1997; Rossman, Bingham, & Emde, 1996; Kilpatrick, Litt, & Williams, 1997). These findings corroborate clinical reports that describe many exposed children as experiencing trauma reactions. It appears that the negative effects of witnessing marital violence are numerous and varied, ranging from mild emotional and behavioral problems to clinically significant levels of posttraumatic stress symptoms. These incidence figures and research findings indicate that children's exposure to violence is a significant problem in our nation today and has serious implications for the future.

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Objectives: To analyze whether sociodemographics and social support have a different or similar effect on the likelihood of Intimate Partner Violence in immigrants and natives, and to estimate prevalences and associations between different types of IPV depending on women's birthplace. Methods: Cross-sectional study of 10,048 women (18–70 years) attending primary healthcare in Spain (2006–2007). Outcome: Current Intimate Partner Violence (psychological, physical and both). Sociodemographics and social support were considered first as explicative and later as control variables. Results: Similar Intimate Partner Violence sociodemographic and social support factors were observed among immigrants and natives. However, these associations were stronger among immigrants, except in the case of poor social support (adjusted odds ratio natives 4.36 and adjusted odds ratio immigrants 4.09). When these two groups were compared, immigrants showed a higher likelihood of IPV than natives (adjusted odds ratios 1.58). Conclusion: Immigrant women are in a disadvantaged Intimate Partner Violence situation. It is necessary that interventions take these inequalities into account.

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Investigating the experience of violence against women and exploring women's coping strategies is a crucial component of re-tailoring the provision of services for victims/survivors. This article explores violence against women in the context of culture, theory of fear of violence and literature on spaces perceived to be 'safe' or 'dangerous' by women victims/survivors of violence in Ethiopia. To collect the relevant data, we conducted 14 semi-structured interviews with Ethiopian women who are victims/survivors of violence and three interviews with gender experts in Ethiopia. Our group of women suffer in 'silence' and confide only in friends and relatives. They did not resort to institutional support due to lack of awareness and general societal disapproval of such measures. This contrasts with claims by experts that the needs of these women are addressed using an institutional approach. Culture, migration status and lack of negotiating power in places of work are key factors when considering violence. The majority of the respondents in this study occupy both public and private spaces such as bars and homes and have experienced violence in those spaces. The social relations and subsequent offences they endured do not make spaces such as these safe. Education of both sexes, creation of awareness, sustainable resource allocation to support victims/survivors, ratification of the Maputo protocol and effective law enforcement institutions are some of the practical strategies we propose to mitigate the incidence of violence in Ethiopia. © 2010 Taylor & Francis.

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Research on the cognitive and decision-making processes of individuals who choose to engage in ideologically based violence is vital. Our research examines how abstract and concrete construal mindsets affect likelihood to engage in ideologically based violence. Construal Level Theory (CLT) states that an abstract mindset (high-level construal), as opposed to a concrete mindset (low-level construal), is associated with a greater likelihood of engaging in goal-oriented, value-motivated behaviors. Assuming that ideologically based violence is goal-oriented, we hypothesized that high-level construal should result in an increased likelihood of engaging in ideologically based violence. In the pilot study we developed and tested 24 vignettes covering controversial topics and assessed them on features such as relatability, emotional impact, and capacity to elicit a violent reaction. The ten most impactful vignettes were selected for use in the primary investigations. The two primary investigations examined the effect of high- and low-level construal manipulations on self-reported likelihood of engaging in ideologically based violence. Self-reported willingness was measured through an ideological violence assessment. Data trends implied that participants were engaged in the study, as they reported a higher willingness to engage in ideologically based violence when they had a higher passion for the vignette's social issue topic. Our results did not indicate a significant relationship between construal manipulations and level of passion for a topic.

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This guide for employers has been produced by the Regional Steering Group on Domestic Violence in line with the strategy and action plan “Tackling Violence at Home” published in October 2005. The Regional Steering Group is a group of about 30 members representing the statutory and voluntary agencies involved in dealing with domestic violence. The guidance provides advice on how employers can develop increased awareness and more effective responses to domestic violence in the workplace for the benefit of all staff. The Regional Steering Group acknowledges that some employers already have good workplace policies in place and it encourages all employers across the public, private, voluntary and community sectors to use the guidance to develop a workplace policy on domestic violence. åÊ

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The sample consists of 226 skulls from the Atacameño cemetery of Coyo Oriente (639-910 AD), associated with the Tiwanaku period. The authors analyzed signs of acute trauma typically associated with violence, and the results were 12% of men and 9.9% of women displaying any type of lesion related to violence. In males, concentration of these non-lethal lesions in the nasal region (10.4%) as opposed to a random distribution over the entire skull (1.6%), suggests that the blows were struck during rituals. The cultural context of this period, with a strong ideological influence from Tiwanaku, supports the ritual hypothesis, since both the ethnographic as well as archeological records point to the existence of non-lethal violent bleeding with ritual beating to the face. Such rituals persist to this day among certain Andean populations. Among women, the most plausible hypothesis for the lesions (3.9% in the skull, 4.9% in the nasal bones, and 0.9% in the face) is domestic conflicts, since they show a random distribution. Previous studies with other Atacameño samples had indicated the same results for women.