849 resultados para Urban Crash Risk Assessment Tool
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Second cancer risk assessment for radiotherapy is controversial due to the large uncertainties of the dose-response relationship. This could be improved by a better assessment of the peripheral doses to healthy organs in future epidemiological studies. In this framework, we developed a simple Monte Carlo (MC) model of the Siemens Primus 6 MV linac for both open and wedged fields that we then validated with dose profiles measured in a water tank up to 30 cm from the central axis. The differences between the measured and calculated doses were comparable to other more complex MC models and never exceeded 50%. We then compared our simple MC model with the peripheral dose profiles of five different linacs with different collimation systems. We found that the peripheral dose between two linacs could differ up to a factor of 9 for small fields (5 × 5 cm(2)) and up to a factor of 10 for wedged fields. Considering that an uncertainty of 50% in dose estimation could be acceptable in the context of risk assessment, the MC model can be used as a generic model for large open fields (≥10 × 10 cm(2)) only. The uncertainties in peripheral doses should be considered in future epidemiological studies when designing the width of the dose bins to stratify the risk as a function of the dose.
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The goal of this study is to present a new observational assessment tool, the prenatal Lausanne Trilogue Play situation (LTP). Expectant parents were asked to role play their first meeting with their baby using a doll, and the videotaped interaction was subsequently coded. Scores were correlated with measures of the couples' marital satisfaction as well as the postnatal family alliance 3 months after the baby's birth. Results showed that the prenatal co-parenting alliance was positively linked to both fathers' marital satisfaction as well as to the postnatal family alliance at 3 months. Thus, the prenatal LTP allows for assessment of the prenatal co-parenting alliance at the interactional level. It predicts the place the parents will afford their baby after birth and can contribute to methods of clinical assessment and prevention.
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This is the report of the first workshop on Incorporating In Vitro Alternative Methods for Developmental Neurotoxicity (DNT) Testing into International Hazard and Risk Assessment Strategies, held in Ispra, Italy, on 19-21 April 2005. The workshop was hosted by the European Centre for the Validation of Alternative Methods (ECVAM) and jointly organized by ECVAM, the European Chemical Industry Council, and the Johns Hopkins University Center for Alternatives to Animal Testing. The primary aim of the workshop was to identify and catalog potential methods that could be used to assess how data from in vitro alternative methods could help to predict and identify DNT hazards. Working groups focused on two different aspects: a) details on the science available in the field of DNT, including discussions on the models available to capture the critical DNT mechanisms and processes, and b) policy and strategy aspects to assess the integration of alternative methods in a regulatory framework. This report summarizes these discussions and details the recommendations and priorities for future work.
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Ces dernières années, de nombreuses recherches ont mis en évidence les effets toxiques des micropolluants organiques pour les espèces de nos lacs et rivières. Cependant, la plupart de ces études se sont focalisées sur la toxicité des substances individuelles, alors que les organismes sont exposés tous les jours à des milliers de substances en mélange. Or les effets de ces cocktails ne sont pas négligeables. Cette thèse de doctorat s'est ainsi intéressée aux modèles permettant de prédire le risque environnemental de ces cocktails pour le milieu aquatique. Le principal objectif a été d'évaluer le risque écologique des mélanges de substances chimiques mesurées dans le Léman, mais aussi d'apporter un regard critique sur les méthodologies utilisées afin de proposer certaines adaptations pour une meilleure estimation du risque. Dans la première partie de ce travail, le risque des mélanges de pesticides et médicaments pour le Rhône et pour le Léman a été établi en utilisant des approches envisagées notamment dans la législation européenne. Il s'agit d'approches de « screening », c'est-à-dire permettant une évaluation générale du risque des mélanges. Une telle approche permet de mettre en évidence les substances les plus problématiques, c'est-à-dire contribuant le plus à la toxicité du mélange. Dans notre cas, il s'agit essentiellement de 4 pesticides. L'étude met également en évidence que toutes les substances, même en trace infime, contribuent à l'effet du mélange. Cette constatation a des implications en terme de gestion de l'environnement. En effet, ceci implique qu'il faut réduire toutes les sources de polluants, et pas seulement les plus problématiques. Mais l'approche proposée présente également un biais important au niveau conceptuel, ce qui rend son utilisation discutable, en dehors d'un screening, et nécessiterait une adaptation au niveau des facteurs de sécurité employés. Dans une deuxième partie, l'étude s'est portée sur l'utilisation des modèles de mélanges dans le calcul de risque environnemental. En effet, les modèles de mélanges ont été développés et validés espèce par espèce, et non pour une évaluation sur l'écosystème en entier. Leur utilisation devrait donc passer par un calcul par espèce, ce qui est rarement fait dû au manque de données écotoxicologiques à disposition. Le but a été donc de comparer, avec des valeurs générées aléatoirement, le calcul de risque effectué selon une méthode rigoureuse, espèce par espèce, avec celui effectué classiquement où les modèles sont appliqués sur l'ensemble de la communauté sans tenir compte des variations inter-espèces. Les résultats sont dans la majorité des cas similaires, ce qui valide l'approche utilisée traditionnellement. En revanche, ce travail a permis de déterminer certains cas où l'application classique peut conduire à une sous- ou sur-estimation du risque. Enfin, une dernière partie de cette thèse s'est intéressée à l'influence que les cocktails de micropolluants ont pu avoir sur les communautés in situ. Pour ce faire, une approche en deux temps a été adoptée. Tout d'abord la toxicité de quatorze herbicides détectés dans le Léman a été déterminée. Sur la période étudiée, de 2004 à 2009, cette toxicité due aux herbicides a diminué, passant de 4% d'espèces affectées à moins de 1%. Ensuite, la question était de savoir si cette diminution de toxicité avait un impact sur le développement de certaines espèces au sein de la communauté des algues. Pour ce faire, l'utilisation statistique a permis d'isoler d'autres facteurs pouvant avoir une influence sur la flore, comme la température de l'eau ou la présence de phosphates, et ainsi de constater quelles espèces se sont révélées avoir été influencées, positivement ou négativement, par la diminution de la toxicité dans le lac au fil du temps. Fait intéressant, une partie d'entre-elles avait déjà montré des comportements similaires dans des études en mésocosmes. En conclusion, ce travail montre qu'il existe des modèles robustes pour prédire le risque des mélanges de micropolluants sur les espèces aquatiques, et qu'ils peuvent être utilisés pour expliquer le rôle des substances dans le fonctionnement des écosystèmes. Toutefois, ces modèles ont bien sûr des limites et des hypothèses sous-jacentes qu'il est important de considérer lors de leur application. - Depuis plusieurs années, les risques que posent les micropolluants organiques pour le milieu aquatique préoccupent grandement les scientifiques ainsi que notre société. En effet, de nombreuses recherches ont mis en évidence les effets toxiques que peuvent avoir ces substances chimiques sur les espèces de nos lacs et rivières, quand elles se retrouvent exposées à des concentrations aiguës ou chroniques. Cependant, la plupart de ces études se sont focalisées sur la toxicité des substances individuelles, c'est à dire considérées séparément. Actuellement, il en est de même dans les procédures de régulation européennes, concernant la partie évaluation du risque pour l'environnement d'une substance. Or, les organismes sont exposés tous les jours à des milliers de substances en mélange, et les effets de ces "cocktails" ne sont pas négligeables. L'évaluation du risque écologique que pose ces mélanges de substances doit donc être abordé par de la manière la plus appropriée et la plus fiable possible. Dans la première partie de cette thèse, nous nous sommes intéressés aux méthodes actuellement envisagées à être intégrées dans les législations européennes pour l'évaluation du risque des mélanges pour le milieu aquatique. Ces méthodes sont basées sur le modèle d'addition des concentrations, avec l'utilisation des valeurs de concentrations des substances estimées sans effet dans le milieu (PNEC), ou à partir des valeurs des concentrations d'effet (CE50) sur certaines espèces d'un niveau trophique avec la prise en compte de facteurs de sécurité. Nous avons appliqué ces méthodes à deux cas spécifiques, le lac Léman et le Rhône situés en Suisse, et discuté les résultats de ces applications. Ces premières étapes d'évaluation ont montré que le risque des mélanges pour ces cas d'étude atteint rapidement une valeur au dessus d'un seuil critique. Cette valeur atteinte est généralement due à deux ou trois substances principales. Les procédures proposées permettent donc d'identifier les substances les plus problématiques pour lesquelles des mesures de gestion, telles que la réduction de leur entrée dans le milieu aquatique, devraient être envisagées. Cependant, nous avons également constaté que le niveau de risque associé à ces mélanges de substances n'est pas négligeable, même sans tenir compte de ces substances principales. En effet, l'accumulation des substances, même en traces infimes, atteint un seuil critique, ce qui devient plus difficile en terme de gestion du risque. En outre, nous avons souligné un manque de fiabilité dans ces procédures, qui peuvent conduire à des résultats contradictoires en terme de risque. Ceci est lié à l'incompatibilité des facteurs de sécurité utilisés dans les différentes méthodes. Dans la deuxième partie de la thèse, nous avons étudié la fiabilité de méthodes plus avancées dans la prédiction de l'effet des mélanges pour les communautés évoluant dans le système aquatique. Ces méthodes reposent sur le modèle d'addition des concentrations (CA) ou d'addition des réponses (RA) appliqués sur les courbes de distribution de la sensibilité des espèces (SSD) aux substances. En effet, les modèles de mélanges ont été développés et validés pour être appliqués espèce par espèce, et non pas sur plusieurs espèces agrégées simultanément dans les courbes SSD. Nous avons ainsi proposé une procédure plus rigoureuse, pour l'évaluation du risque d'un mélange, qui serait d'appliquer d'abord les modèles CA ou RA à chaque espèce séparément, et, dans une deuxième étape, combiner les résultats afin d'établir une courbe SSD du mélange. Malheureusement, cette méthode n'est pas applicable dans la plupart des cas, car elle nécessite trop de données généralement indisponibles. Par conséquent, nous avons comparé, avec des valeurs générées aléatoirement, le calcul de risque effectué selon cette méthode plus rigoureuse, avec celle effectuée traditionnellement, afin de caractériser la robustesse de cette approche qui consiste à appliquer les modèles de mélange sur les courbes SSD. Nos résultats ont montré que l'utilisation de CA directement sur les SSDs peut conduire à une sous-estimation de la concentration du mélange affectant 5 % ou 50% des espèces, en particulier lorsque les substances présentent un grand écart- type dans leur distribution de la sensibilité des espèces. L'application du modèle RA peut quant à lui conduire à une sur- ou sous-estimations, principalement en fonction de la pente des courbes dose- réponse de chaque espèce composant les SSDs. La sous-estimation avec RA devient potentiellement importante lorsque le rapport entre la EC50 et la EC10 de la courbe dose-réponse des espèces est plus petit que 100. Toutefois, la plupart des substances, selon des cas réels, présentent des données d' écotoxicité qui font que le risque du mélange calculé par la méthode des modèles appliqués directement sur les SSDs reste cohérent et surestimerait plutôt légèrement le risque. Ces résultats valident ainsi l'approche utilisée traditionnellement. Néanmoins, il faut garder à l'esprit cette source d'erreur lorsqu'on procède à une évaluation du risque d'un mélange avec cette méthode traditionnelle, en particulier quand les SSD présentent une distribution des données en dehors des limites déterminées dans cette étude. Enfin, dans la dernière partie de cette thèse, nous avons confronté des prédictions de l'effet de mélange avec des changements biologiques observés dans l'environnement. Dans cette étude, nous avons utilisé des données venant d'un suivi à long terme d'un grand lac européen, le lac Léman, ce qui offrait la possibilité d'évaluer dans quelle mesure la prédiction de la toxicité des mélanges d'herbicide expliquait les changements dans la composition de la communauté phytoplanctonique. Ceci à côté d'autres paramètres classiques de limnologie tels que les nutriments. Pour atteindre cet objectif, nous avons déterminé la toxicité des mélanges sur plusieurs années de 14 herbicides régulièrement détectés dans le lac, en utilisant les modèles CA et RA avec les courbes de distribution de la sensibilité des espèces. Un gradient temporel de toxicité décroissant a pu être constaté de 2004 à 2009. Une analyse de redondance et de redondance partielle, a montré que ce gradient explique une partie significative de la variation de la composition de la communauté phytoplanctonique, même après avoir enlevé l'effet de toutes les autres co-variables. De plus, certaines espèces révélées pour avoir été influencées, positivement ou négativement, par la diminution de la toxicité dans le lac au fil du temps, ont montré des comportements similaires dans des études en mésocosmes. On peut en conclure que la toxicité du mélange herbicide est l'un des paramètres clés pour expliquer les changements de phytoplancton dans le lac Léman. En conclusion, il existe diverses méthodes pour prédire le risque des mélanges de micropolluants sur les espèces aquatiques et celui-ci peut jouer un rôle dans le fonctionnement des écosystèmes. Toutefois, ces modèles ont bien sûr des limites et des hypothèses sous-jacentes qu'il est important de considérer lors de leur application, avant d'utiliser leurs résultats pour la gestion des risques environnementaux. - For several years now, the scientists as well as the society is concerned by the aquatic risk organic micropollutants may pose. Indeed, several researches have shown the toxic effects these substances may induce on organisms living in our lakes or rivers, especially when they are exposed to acute or chronic concentrations. However, most of the studies focused on the toxicity of single compounds, i.e. considered individually. The same also goes in the current European regulations concerning the risk assessment procedures for the environment of these substances. But aquatic organisms are typically exposed every day simultaneously to thousands of organic compounds. The toxic effects resulting of these "cocktails" cannot be neglected. The ecological risk assessment of mixtures of such compounds has therefore to be addressed by scientists in the most reliable and appropriate way. In the first part of this thesis, the procedures currently envisioned for the aquatic mixture risk assessment in European legislations are described. These methodologies are based on the mixture model of concentration addition and the use of the predicted no effect concentrations (PNEC) or effect concentrations (EC50) with assessment factors. These principal approaches were applied to two specific case studies, Lake Geneva and the River Rhône in Switzerland, including a discussion of the outcomes of such applications. These first level assessments showed that the mixture risks for these studied cases exceeded rapidly the critical value. This exceeding is generally due to two or three main substances. The proposed procedures allow therefore the identification of the most problematic substances for which management measures, such as a reduction of the entrance to the aquatic environment, should be envisioned. However, it was also showed that the risk levels associated with mixtures of compounds are not negligible, even without considering these main substances. Indeed, it is the sum of the substances that is problematic, which is more challenging in term of risk management. Moreover, a lack of reliability in the procedures was highlighted, which can lead to contradictory results in terms of risk. This result is linked to the inconsistency in the assessment factors applied in the different methods. In the second part of the thesis, the reliability of the more advanced procedures to predict the mixture effect to communities in the aquatic system were investigated. These established methodologies combine the model of concentration addition (CA) or response addition (RA) with species sensitivity distribution curves (SSD). Indeed, the mixture effect predictions were shown to be consistent only when the mixture models are applied on a single species, and not on several species simultaneously aggregated to SSDs. Hence, A more stringent procedure for mixture risk assessment is proposed, that would be to apply first the CA or RA models to each species separately and, in a second step, to combine the results to build an SSD for a mixture. Unfortunately, this methodology is not applicable in most cases, because it requires large data sets usually not available. Therefore, the differences between the two methodologies were studied with datasets created artificially to characterize the robustness of the traditional approach applying models on species sensitivity distribution. The results showed that the use of CA on SSD directly might lead to underestimations of the mixture concentration affecting 5% or 50% of species, especially when substances present a large standard deviation of the distribution from the sensitivity of the species. The application of RA can lead to over- or underestimates, depending mainly on the slope of the dose-response curves of the individual species. The potential underestimation with RA becomes important when the ratio between the EC50 and the EC10 for the dose-response curve of the species composing the SSD are smaller than 100. However, considering common real cases of ecotoxicity data for substances, the mixture risk calculated by the methodology applying mixture models directly on SSDs remains consistent and would rather slightly overestimate the risk. These results can be used as a theoretical validation of the currently applied methodology. Nevertheless, when assessing the risk of mixtures, one has to keep in mind this source of error with this classical methodology, especially when SSDs present a distribution of the data outside the range determined in this study Finally, in the last part of this thesis, we confronted the mixture effect predictions with biological changes observed in the environment. In this study, long-term monitoring of a European great lake, Lake Geneva, provides the opportunity to assess to what extent the predicted toxicity of herbicide mixtures explains the changes in the composition of the phytoplankton community next to other classical limnology parameters such as nutrients. To reach this goal, the gradient of the mixture toxicity of 14 herbicides regularly detected in the lake was calculated, using concentration addition and response addition models. A decreasing temporal gradient of toxicity was observed from 2004 to 2009. Redundancy analysis and partial redundancy analysis showed that this gradient explains a significant portion of the variation in phytoplankton community composition, even when having removed the effect of all other co-variables. Moreover, some species that were revealed to be influenced positively or negatively, by the decrease of toxicity in the lake over time, showed similar behaviors in mesocosms studies. It could be concluded that the herbicide mixture toxicity is one of the key parameters to explain phytoplankton changes in Lake Geneva. To conclude, different methods exist to predict the risk of mixture in the ecosystems. But their reliability varies depending on the underlying hypotheses. One should therefore carefully consider these hypotheses, as well as the limits of the approaches, before using the results for environmental risk management
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Because of the development of modern transportation facilities, an ever rising number of individuals including many patients with preexisting diseases visit high-altitude locations (>2500 m). High-altitude exposure triggers a series of physiologic responses intended to maintain an adequate tissue oxygenation. Even in normal subjects, there is enormous interindividual variability in these responses that may be further amplified by environmental factors such as cold temperature, low humidity, exercise, and stress. These adaptive mechanisms, although generally tolerated by most healthy subjects, may induce major problems in patients with preexisting cardiovascular diseases in which the functional reserves are already limited. Preexposure assessment of patients helps to minimize risk and detect contraindications to high-altitude exposure. Moreover, the great variability and nonpredictability of the adaptive response should encourage physicians counseling such patients to adapt a cautionary approach. Here, we will briefly review how high-altitude adjustments may interfere with and aggravate/decompensate preexisting cardiovascular diseases. Moreover, we will provide practical recommendations on how to investigate and counsel patients with cardiovascular disease desiring to travel to high-altitude locations.
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In recent years, the Department of Corrections has made major strides in assessing offenders’ risk to reoffend, particularly in measuring changes in that risk over time. Earlier this year, the DOC worked with the Board of Parole to develop a risk assessment that focuses on assessing offenders’ risk to commit violent crimes.
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The study investigates the possibility to incorporate fracture intensity and block geometry as spatially continuous parameters in GIS-based systems. For this purpose, a deterministic method has been implemented to estimate block size (Bloc3D) and joint frequency (COLTOP). In addition to measuring the block size, the Bloc3D Method provides a 3D representation of the shape of individual blocks. These two methods were applied using field measurements (joint set orientation and spacing) performed over a large field area, in the Swiss Alps. This area is characterized by a complex geology, a number of different rock masses and varying degrees of metamorphism. The spatial variability of the parameters was evaluated with regard to lithology and major faults. A model incorporating these measurements and observations into a GIS system to assess the risk associated with rock falls is proposed. The analysis concludes with a discussion on the feasibility of such an application in regularly and irregularly jointed rock masses, with persistent and impersistent discontinuities.
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BACKGROUND: A possible strategy for increasing smoking cessation rates could be to provide smokers who have contact with healthcare systems with feedback on the biomedical or potential future effects of smoking, e.g. measurement of exhaled carbon monoxide (CO), lung function, or genetic susceptibility to lung cancer. OBJECTIVES: To determine the efficacy of biomedical risk assessment provided in addition to various levels of counselling, as a contributing aid to smoking cessation. SEARCH METHODS: For the most recent update, we searched the Cochrane Collaboration Tobacco Addiction Group Specialized Register in July 2012 for studies added since the last update in 2009. SELECTION CRITERIA: Inclusion criteria were: a randomized controlled trial design; subjects participating in smoking cessation interventions; interventions based on a biomedical test to increase motivation to quit; control groups receiving all other components of intervention; an outcome of smoking cessation rate at least six months after the start of the intervention. DATA COLLECTION AND ANALYSIS: Two assessors independently conducted data extraction on each paper, with disagreements resolved by consensus. Results were expressed as a relative risk (RR) for smoking cessation with 95% confidence intervals (CI). Where appropriate, a pooled effect was estimated using a Mantel-Haenszel fixed-effect method. MAIN RESULTS: We included 15 trials using a variety of biomedical tests. Two pairs of trials had sufficiently similar recruitment, setting and interventions to calculate a pooled effect; there was no evidence that carbon monoxide (CO) measurement in primary care (RR 1.06, 95% CI 0.85 to 1.32) or spirometry in primary care (RR 1.18, 95% CI 0.77 to 1.81) increased cessation rates. We did not pool the other 11 trials due to the presence of substantial clinical heterogeneity. Of the remaining 11 trials, two trials detected statistically significant benefits: one trial in primary care detected a significant benefit of lung age feedback after spirometry (RR 2.12, 95% CI 1.24 to 3.62) and one trial that used ultrasonography of carotid and femoral arteries and photographs of plaques detected a benefit (RR 2.77, 95% CI 1.04 to 7.41) but enrolled a population of light smokers and was judged to be at unclear risk of bias in two domains. Nine further trials did not detect significant effects. One of these tested CO feedback alone and CO combined with genetic susceptibility as two different interventions; none of the three possible comparisons detected significant effects. One trial used CO measurement, one used ultrasonography of carotid arteries and two tested for genetic markers. The four remaining trials used a combination of CO and spirometry feedback in different settings. AUTHORS' CONCLUSIONS: There is little evidence about the effects of most types of biomedical tests for risk assessment on smoking cessation. Of the fifteen included studies, only two detected a significant effect of the intervention. Spirometry combined with an interpretation of the results in terms of 'lung age' had a significant effect in a single good quality trial but the evidence is not optimal. A trial of carotid plaque screening using ultrasound also detected a significant effect, but a second larger study of a similar feedback mechanism did not detect evidence of an effect. Only two pairs of studies were similar enough in terms of recruitment, setting, and intervention to allow meta-analyses; neither of these found evidence of an effect. Mixed quality evidence does not support the hypothesis that other types of biomedical risk assessment increase smoking cessation in comparison to standard treatment. There is insufficient evidence with which to evaluate the hypothesis that multiple types of assessment are more effective than single forms of assessment.