974 resultados para Thyroid gland - Diseases


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Pen & Ink; Dr. Norman Thompson, University of Michigan Department of Surgery

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3B Carbon Dust, H and HH Carbon Pencils; Dr. Norman Thompson, University of Michigan Department of Surgery

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L'hypothyroïdie congénitale par dysgénésie thyroïdienne (HCDT, ectopie dans plus de 80 %) a une prévalence de 1 cas sur 4000 naissances vivantes. L’HCDT est la conséquence d'une défaillance de la thyroïde embryonnaire à se différencier, à se maintenir ou à migrer vers sa localisation anatomique (partie antérieure du cou), qui aboutit à une absence totale de la thyroïde (athyréose) ou à une ectopie thyroïdienne (linguale ou sublinguale). Les HCDT sont principalement non-syndromiques (soit 98% des cas sont non-familiale), ont un taux de discordance de 92% chez les jumeaux monozygotes, et ont une prédominance féminine et ethnique (i.e., Caucasienne). La majorité des cas d’HCDT n’a pas de cause connue, mais est associée à un déficit sévère en hormones thyroïdiennes (hypothyroïdie). Des mutations germinales dans les facteurs de transcription liés à la thyroïde (NKX2.1, FOXE1, PAX8, NKX2.5) ont été identifiées dans seulement 3% des patients atteints d’HCDT sporadiques et l’analyse de liaisons exclue ces gènes dans les rares familles multiplex avec HCDT. Nous supposons que le manque de transmission familiale claire d’HCDT peut résulter de la nécessité d’au moins deux « hits » génétiques différents dans des gènes importants pour le développement thyroïdien. Pour répondre au mieux nos questions de recherche, nous avons utilisé deux approches différentes: 1) une approche gène candidat, FOXE1, seul gène impliqué dans l’ectopie dans le modèle murin et 2) une approche en utilisant les techniques de séquençage de nouvelle génération (NGS) afin de trouver des variants génétiques pouvant expliquer cette pathologie au sein d’une cohorte de patients avec HCDT. Pour la première approche, une étude cas-contrôles a été réalisée sur le promoteur de FOXE1. Il a récemment été découvert qu’une région du promoteur de FOXE1 est différentiellement méthylée au niveau de deux dinucléotides CpG consécutifs, définissant une zone cruciale de contrôle de l’expression de FOXE1. L’analyse d’association basée sur les haplotypes a révélé qu’un haplotype (Hap1: ACCCCCCdel1C) est associé avec le HCDT chez les Caucasiens (p = 5x10-03). Une réduction significative de l’activité luciférase est observée pour Hap1 (réduction de 68%, p<0.001) comparé au promoteur WT de FOXE1. Une réduction de 50% de l’expression de FOXE1 dans une lignée de cellules thyroïdienne humaine est suffisante pour réduire significativement la migration cellulaire (réduction de 55%, p<0.05). Un autre haplotype (Hap2: ACCCCCCC) est observé moins fréquemment chez les Afro-Américain comparés aux Caucasiens (p = 1.7x10-03) et Hap2 diminue l’activité luciférase (réduction de 26%, p<0.001). Deux haplotypes distincts sont trouvés fréquemment dans les contrôles Africains (Black-African descents). Le premier haplotype (Hap3: GTCCCAAC) est fréquent (30.2%) chez les contrôles Afro-Américains comparés aux contrôles Caucasiens (6.3%; p = 2.59 x 10-9) tandis que le second haplotype (Hap4: GTCCGCAC) est trouvé exclusivement chez les contrôles Afro-Américains (9.4%) et est absent chez les contrôles Caucasiens (P = 2.59 x 10-6). Pour la deuxième approche, le séquençage de l’exome de l’ADN leucocytaire entre les jumeaux MZ discordants n’a révélé aucune différence. D'où l'intérêt du projet de séquençage de l’ADN et l’ARN de thyroïdes ectopiques et orthotopiques dans lesquelles de l'expression monoallélique aléatoire dans a été observée, ce qui pourrait expliquer comment une mutation monoallélique peut avoir des conséquences pathogéniques. Finalement, le séquençage de l’exome d’une cohorte de 36 cas atteints d’HCDT a permis d’identifier de nouveaux variants probablement pathogéniques dans les gènes récurrents RYR3, SSPO, IKBKE et TNXB. Ces quatre gènes sont impliqués dans l’adhésion focale (jouant un rôle dans la migration cellulaire), suggérant un rôle direct dans les défauts de migration de la thyroïde. Les essais de migration montrent une forte diminution (au moins 60% à 5h) de la migration des cellules thyroïdiennes infectées par shRNA comparés au shCtrl dans 2 de ces gènes. Des zebrafish KO (-/- et +/-) pour ces nouveaux gènes seront réalisés afin d’évaluer leur impact sur l’embryologie de la thyroïde.

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Dissertação de Mestrado, Ciências Biomédicas, 28 de Junho de 2016, Universidade dos Açores.

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Multinodular goitre is the most common thyroid gland disorder. It can cause hyperthyroidism and mechanical complaints such as tracheal compression or dysphagia. We report a unique case of a patient with a toxic multinodular goitre presenting with a deep venous thrombosis of the left arm due to direct local compression of blood flow.

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L'hypothyroïdie congénitale par dysgénésie thyroïdienne (HCDT, ectopie dans plus de 80 %) a une prévalence de 1 cas sur 4000 naissances vivantes. L’HCDT est la conséquence d'une défaillance de la thyroïde embryonnaire à se différencier, à se maintenir ou à migrer vers sa localisation anatomique (partie antérieure du cou), qui aboutit à une absence totale de la thyroïde (athyréose) ou à une ectopie thyroïdienne (linguale ou sublinguale). Les HCDT sont principalement non-syndromiques (soit 98% des cas sont non-familiale), ont un taux de discordance de 92% chez les jumeaux monozygotes, et ont une prédominance féminine et ethnique (i.e., Caucasienne). La majorité des cas d’HCDT n’a pas de cause connue, mais est associée à un déficit sévère en hormones thyroïdiennes (hypothyroïdie). Des mutations germinales dans les facteurs de transcription liés à la thyroïde (NKX2.1, FOXE1, PAX8, NKX2.5) ont été identifiées dans seulement 3% des patients atteints d’HCDT sporadiques et l’analyse de liaisons exclue ces gènes dans les rares familles multiplex avec HCDT. Nous supposons que le manque de transmission familiale claire d’HCDT peut résulter de la nécessité d’au moins deux « hits » génétiques différents dans des gènes importants pour le développement thyroïdien. Pour répondre au mieux nos questions de recherche, nous avons utilisé deux approches différentes: 1) une approche gène candidat, FOXE1, seul gène impliqué dans l’ectopie dans le modèle murin et 2) une approche en utilisant les techniques de séquençage de nouvelle génération (NGS) afin de trouver des variants génétiques pouvant expliquer cette pathologie au sein d’une cohorte de patients avec HCDT. Pour la première approche, une étude cas-contrôles a été réalisée sur le promoteur de FOXE1. Il a récemment été découvert qu’une région du promoteur de FOXE1 est différentiellement méthylée au niveau de deux dinucléotides CpG consécutifs, définissant une zone cruciale de contrôle de l’expression de FOXE1. L’analyse d’association basée sur les haplotypes a révélé qu’un haplotype (Hap1: ACCCCCCdel1C) est associé avec le HCDT chez les Caucasiens (p = 5x10-03). Une réduction significative de l’activité luciférase est observée pour Hap1 (réduction de 68%, p<0.001) comparé au promoteur WT de FOXE1. Une réduction de 50% de l’expression de FOXE1 dans une lignée de cellules thyroïdienne humaine est suffisante pour réduire significativement la migration cellulaire (réduction de 55%, p<0.05). Un autre haplotype (Hap2: ACCCCCCC) est observé moins fréquemment chez les Afro-Américain comparés aux Caucasiens (p = 1.7x10-03) et Hap2 diminue l’activité luciférase (réduction de 26%, p<0.001). Deux haplotypes distincts sont trouvés fréquemment dans les contrôles Africains (Black-African descents). Le premier haplotype (Hap3: GTCCCAAC) est fréquent (30.2%) chez les contrôles Afro-Américains comparés aux contrôles Caucasiens (6.3%; p = 2.59 x 10-9) tandis que le second haplotype (Hap4: GTCCGCAC) est trouvé exclusivement chez les contrôles Afro-Américains (9.4%) et est absent chez les contrôles Caucasiens (P = 2.59 x 10-6). Pour la deuxième approche, le séquençage de l’exome de l’ADN leucocytaire entre les jumeaux MZ discordants n’a révélé aucune différence. D'où l'intérêt du projet de séquençage de l’ADN et l’ARN de thyroïdes ectopiques et orthotopiques dans lesquelles de l'expression monoallélique aléatoire dans a été observée, ce qui pourrait expliquer comment une mutation monoallélique peut avoir des conséquences pathogéniques. Finalement, le séquençage de l’exome d’une cohorte de 36 cas atteints d’HCDT a permis d’identifier de nouveaux variants probablement pathogéniques dans les gènes récurrents RYR3, SSPO, IKBKE et TNXB. Ces quatre gènes sont impliqués dans l’adhésion focale (jouant un rôle dans la migration cellulaire), suggérant un rôle direct dans les défauts de migration de la thyroïde. Les essais de migration montrent une forte diminution (au moins 60% à 5h) de la migration des cellules thyroïdiennes infectées par shRNA comparés au shCtrl dans 2 de ces gènes. Des zebrafish KO (-/- et +/-) pour ces nouveaux gènes seront réalisés afin d’évaluer leur impact sur l’embryologie de la thyroïde.

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OBJECTIVE: To measure thyroid cell proliferation in patients with Graves' disease (GD) before and during treatment with antithyroid drugs.STUDY DESIGN: Patients were assessed by fine needle aspiration biopsy before (n=20) and after 4 (n=19) and 12 months of treatment (n=15) with propylthiouracil or methimazole. Cell proliferation index (CPI) was estimated by immunocytochemistry using MIB-1. CPI was studied in relation to the cytologic parameters of the smears; clinical parameters, such as Wayne's Clinical Index (WCI) and time without treatment; laboratory parameters, such as (131)Iuptake and dosage of serum free thyroxin and thyroid-stimulating hormone; and thyroid ultrasound.RESULTS: CPI varied from 0.00% to 25.00% before treatment, 0.00% to 23.00% at 4 months and 0.00% to 14.84% at 12 months. CPI median values were 6.50%, 4.30% and 3.30%, respectively (before and after 4 months and 12 months of treatment). CPI had a positive correlation with WCI and FT4 at 12 months of treatment.CONCLUSION: Thyroid CPI in GD varies from case to case. However, due to its decreasing pattern during follow-up and its positive correlation with thyrotoxicosis severity, CPI may indicate the functional status of the gland and contribute to a better understanding of GD.

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Background: Thyroperoxidase is the major antigen of the thyroid microsomal antibodies (TMA) detected in autoimmune thyroid diseases. Its amino acid sequence has 44% homology with myeloperoxidase (MPO), an enzyme present in the primary granules of neutrophils and one of the major antineutrophil cytoplasmic antibodies (ANCA) antigens. The objective of the present study was to investigate the presence of cross-reactivity to MPO of TMA. Methods: We studied sera from 51 patients with autoimmune thyroid diseases, all of them TMA-positive. The presence of ANCA was investigated by indirect immunofluorescence and by capture enzyme-linked immunosorbent assay. Results: ANCA were positive in 3.9% of the TMA-positive sera and none of them reacted with MPO. In contrast, the ANCA-positive sera revealed antielastase activity. None of the ANCA-positive cases presented clinical signs of vasculitis. However, these 2 patients had been on prolonged treatment with propylthiouracil. Conclusions: We conclude that there is no cross-reactivity to MPO of TMA in patients with autoimmune thyroid diseases, possibly because of difference in the spatial configuration of the immunodominant region. The presence of ANCA in patients with autoimmune thyroid diseases without evidence of vasculitis might result from propylthiouracil-induced polyclonal activation.

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The effectiveness of antithyroid drug treatment of Graves' hyperthyroidism is documented by measuring initially free T4 and free T3 and later free T4, free T3 and TSH. An elevated titer of the Graves'-specific thyroid stimulating antibodies is not usually rechecked before the end of the antithyroid drug therapy. Thyroxine treatment of primary hypothyroidism is controlled by TSH measurements. In patients in whom TSH levels might be affected by drugs or nonthyroid diseases, free T4 is measured in addition to TSH. The assessment of the treatment of Hashimoto's chronic thyroiditis consists of the control of the therapy of its associated hypothyroidism. In subacute thyroiditis de Quervain control of the effectiveness of the analgesic therapy is most important. To check the effect of thyroid hormone treatment given with the intent to reduce goiter size, serial sonographies are of great value. In the follow-up of patients with thyroid carcinomas, measurements of thyroglobulin (for papillary and follicular thyroid cancers) and of calcitonin (for medullary thyroid cancers) in the serum as well as thyroid scans and other imaging procedures play an important role.

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Thyroid diseases are caused by a disturbance of thyroid hormone secretion, inflammations or tumors of the thyroid or combinations thereof. Most important causes for hyperthyroidism are Graves' disease and toxic nodular goiters (including toxic adenomas). Hypothyroidism is often caused by Hashimoto's chronic thyroiditis and can occur in patients after thyroidectomy. Chronic hashimoto's thyroiditis and subacute de Quervain's thyroiditis are the thyroid inflammations most frequently seen. Graves' disease and Hashimoto's thyroiditis are autoimmune thyroid diseases. Thyroid tumors encompass benign solitary nodules, diffuse and nodular goiters, papillary, follicular, medullary and anaplastic carcinomas.

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We have genotyped 14,436 nonsynonymous SNPs (nsSNPs) and 897 major histocompatibility complex (MHC) tag SNPs from 1,000 independent cases of ankylosing spondylitis (AS), autoimmune thyroid disease (AITD), multiple sclerosis (MS) and breast cancer (BC). Comparing these data against a common control dataset derived from 1,500 randomly selected healthy British individuals, we report initial association and independent replication in a North American sample of two new loci related to ankylosing spondylitis, ARTS1 and IL23R, and confirmation of the previously reported association of AITD with TSHR and FCRL3. These findings, enabled in part by increased statistical power resulting from the expansion of the control reference group to include individuals from the other disease groups, highlight notable new possibilities for autoimmune regulation and suggest that IL23R may be a common susceptibility factor for the major 'seronegative' diseases.