167 resultados para Théorème de Jewell
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In estimation of a survival function, current status data arises when the only information available on individuals is their survival status at a single monitoring time. Here we briefly review extensions of this form of data structure in two directions: (i) doubly censored current status data, where there is incomplete information on the origin of the failure time random variable, and (ii) current status information on more complicated stochastic processes. Simple examples of these data forms are presented for motivation.
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We analyze three sets of doubly-censored cohort data on incubation times, estimating incubation distributions using semi-parametric methods and assessing the comparability of the estimates. Weibull models appear to be inappropriate for at least one of the cohorts, and the estimates for the different cohorts are substantially different. We use these estimates as inputs for backcalculation, using a nonparametric method based on maximum penalized likelihood. The different incubations all produce fits to the reported AIDS counts that are as good as the fit from a nonstationary incubation distribution that models treatment effects, but the estimated infection curves are very different. We also develop a method for estimating nonstationarity as part of the backcalculation procedure and find that such estimates also depend very heavily on the assumed incubation distribution. We conclude that incubation distributions are so uncertain that meaningful error bounds are difficult to place on backcalculated estimates and that backcalculation may be too unreliable to be used without being supplemented by other sources of information in HIV prevalence and incidence.
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Comments about the current place for the discipline of Biostatistics within Public Health (1993).
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The MEP1A gene, located on human chromosome 6p (mouse chromosome 17) in a susceptibility region for inflammatory bowel disease (IBD), encodes the alpha-subunit of metalloproteinase meprin A, which is expressed in the intestinal epithelium. This study shows a genetic association of MEP1A with IBD in a cohort of ulcerative colitis (UC) patients. There were four single-nucleotide polymorphisms in the coding region (P=0.0012-0.04), and one in the 3'-untranslated region (P=2 x 10(-7)) that displayed associations with UC. Moreover, meprin-alpha mRNA was decreased in inflamed mucosa of IBD patients. Meprin-alpha knockout mice exhibited a more severe intestinal injury and inflammation than their wild-type counterparts following oral administration of dextran sulfate sodium. Collectively, the data implicate MEP1A as a UC susceptibility gene and indicate that decreased meprin-alpha expression is associated with intestinal inflammation in IBD patients and in a mouse experimental model of IBD.
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We investigated verb generation in children with spina bifida meningomyelocele (SBM; n = 55) and in typically developing controls (n = 32). Participants completed 6 blocks (40 trials each) of a task requiring them to produce a semantically related verb in response to a target noun and an additional 40 trials on which they were simply required to read target nouns aloud. After controlling for reading response time, groups did not differ significantly in verb generation response time or learning. Children with SBM produced more non-verb errors than controls and tended to repeat their mistakes over blocks. Verb generation performance was associated with brain volume measures in participants with SBM. Congenital cerebellar dysmorphology is associated with impaired performance in verb generation accuracy, although not with increased response times to produce verbs
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Inflammatory responses in many cell types are coordinately regulated by the opposing actions of NF-κB and the glucocorticoid receptor (GR). The human glucocorticoid receptor (hGR) gene encodes two protein isoforms: a cytoplasmic alpha form (GRα), which binds hormone, translocates to the nucleus, and regulates gene transcription, and a nuclear localized beta isoform (GRβ), which does not bind known ligands and attenuates GRα action. We report here the identification of a tumor necrosis factor (TNF)-responsive NF-κB DNA binding site 5′ to the hGR promoter that leads to a 1.5-fold increase in GRα mRNA and a 2.0-fold increase in GRβ mRNA in HeLaS3 cells, which endogenously express both GR isoforms. However, TNF-α treatment disproportionately increased the steady-state levels of the GRβ protein isoform over GRα, making GRβ the predominant endogenous receptor isoform. Similar results were observed following treatment of human CEMC7 lymphoid cells with TNF-α or IL-1. The increase in GRβ protein expression correlated with the development of glucocorticoid resistance.
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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.
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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.
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Federal Highway Administration, Washington, D.C.
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Includes bibliographical references (pages 37-40).
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"March 1992."
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