939 resultados para Sun: photosphere
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Nous présentons un modèle pour l’irradiance solaire spectrale entre 200 et 400 nm. Celui-ci est une extension d’un modèle d’irradiance solaire totale basé sur la simulation de la fragmentation et l’érosion des taches qui utilise, en entrée, les positions et aires des taches observées pour chaque pas de temps d’une journée. L’émergence des taches sur la face du Soleil opposée à la Terre est simulée par une injection stochastique. Le modèle simule ensuite leur désintégration, qui produit des taches plus petites et des facules. Par la suite, l’irradiance est calculée en sommant la contribution des taches, des facules et du Soleil inactif. Les paramètres libres du modèle sont ajustés en comparant les séquences temporelles produites avec les données provenant de divers satellites s’étalant sur trois cycles d’activité. Le modèle d’irradiance spectrale, quant à lui, a été obtenu en modifiant le calcul de la contribution des taches et des facules, ainsi que celle du Soleil inactif, afin de tenir compte de leur dépendance spectrale. Le flux de la photosphère inactive est interpolé sur un spectre synthétique non magnétisé, alors que le contraste des taches est obtenu en calculant le rapport du flux provenant d’un spectre synthétique représentatif des taches et de celui provenant du spectre représentatif du Soleil inactif. Le contraste des facules est quand à lui calculé avec une procédure simple d’inversion de corps noir. Cette dernière nécessite l’utilisation d’un profil de température des facules obtenu à l’aide de modèles d’atmosphère. Les données produites avec le modèle d’irradiance spectrale sont comparées aux observations de SOLSTICE sur UARS. L’accord étant peu satisfaisant, particulièrement concernant le niveau d’irradiance minimal ainsi que l’amplitude des variations, des corrections sont appliquées sur le flux du Soleil inactif, sur le profil de température des facules, ainsi qu’à la dépendance centre-bord du contraste des facules. Enfin, un profil de température des facules est reconstruit empiriquement en maximisant l’accord avec les observations grâce à un algorithme génétique. Il est utilisé afin de reconstruire les séquences temporelles d’irradiance jusqu’en 1874 à des longueurs d’ondes d’intérêt pour la chimie et la dynamique stratosphérique.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Article
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Ce mémoire de maîtrise porte sur les effets politiques des discours médiatiques sur la gouvernance et la régulation des demandeurs d’asile au Canada. À travers une analyse critique des discours de la presse écrite canadienne au sujet de l’arrivée en août 2010 de 492 requérants du statut de réfugié à bord du bateau MV Sun Sea en Colombie-Britannique, l’auteure identifie les principales interprétations de cet évènement ainsi que leurs relations avec la mise en place subséquente de mesures visant à restreindre les possibilités d’accès non autorisés au Canada, notamment par la création d’une nouvelle catégorisation discriminatoire des demandeurs d’asile. L’analyse révèle l’articulation de ces discours autour de deux thématiques distinctes, mais interreliées. Tandis que les discours sécuritaires associent l’arrivée non autorisée des demandeurs d’asile à une menace à la sécurité de la nation, les discours humanitaires interprètent cet évènement comme une demande d’aide de la part d’un groupe de personnes menacées par leur propre pays. Ce mémoire propose une analyse multidimensionnelle de ces deux cadrages et de leurs effets politiques qui considère leurs dimensions discursives, contextuelles et affectives. L’analyse démontre comment ces deux discours en apparence conflictuels partagent en fait un même sous-texte racial qui fait de ce type de spectacle médiatique un dispositif clé de « gouvernementalité racialisée de l’immigration » (Bilge, 2012, 2013).
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Cette thèse présente des reconstructions de l'irradiance totale et spectrale durant les 400 dernières années à l'aide des modèles pour l'irradiance totale et l'irradiance spectrale dans l'ultraviolet développés à l'Université de Montréal. Tous deux sont basés sur la simulation de l'émergence, de la fragmentation et de l'érosion des taches solaires, qui permet d'obtenir une distribution de l'aire des taches sombres et des facules brillantes en fonction du temps. Ces deux composantes sont principalement responsables de la variation de l'irradiance sur l'échelle de temps de la décennie, qui peut être calculée en sommant leur émissivité à celle de la photosphère inactive. La version améliorée du modèle d'irradiance solaire spectrale MOCASSIM inclut une extension de son domaine spectral entre 150 et 400 nm ainsi que de son domaine temporel, débutant originalement en 1874 et couvrant maintenant la période débutant en 1610 jusqu'au présent. Cela permet de reconstruire le spectre ultraviolet durant le minimum de Maunder et de le comparer à celui du minimum de 2009. Les conclusions tirées de cette étude spécifient que l'émissivité dans l'ultraviolet était plus élevée en 2009 que durant le minimum de Maunder, que le niveau de base de la photosphère non magnétisée contribuait pour environ les deux tiers de cette différence et que les structures magnétiques restantes étaient responsables pour le tiers restant. Le modèle d'irradiance totale a vu son domaine temporel étendu sur la même période et une composante représentant le réseau magnétique de façon réaliste y a été ajoutée. Il a été démontré que les observations des 30 dernières années ne sont bien reproduites qu'en incluant la composante du Soleil non magnétisé variable à long terme. Le processus d'optimisation des paramètres libres du modèle a été effectué en minimisant le carré de la somme de l'écart journalier entre les résultats des calculs et les données observées. Les trois composites disponibles, soit celui du PMOD (Physikalisch Meteorologisches Observatorium Davos), d'ACRIM (ACtive Radiometer Irradiance Monitor) et du IRMB (Institut Royal Météorologique de Belgique), ne sont pas en accord entre eux, en particulier au niveau des minima du cycle d'activité, et le modèle permet seulement de reproduire celui du PMOD avec exactitude lorsque la composante variable à long terme est proportionnelle au flux radio à 10.7 cm. Toutefois, en utilisant des polynômes de Lagrange pour représenter la variation du Soleil inactif, l'accord est amélioré pour les trois composites durant les minima, bien que les relations entre le niveau minimal de l'irradiance et la longueur du cycle précédent varient d'un cas à l'autre. Les résultats obtenus avec le modèle d'irradiance spectrale ont été utilisés dans une étude d'intercomparaison de la réponse de la photochimie stratosphérique à différentes représentations du spectre solaire. Les simulations en mode transitoire d'une durée de 10 jours ont été effectuées avec un spectre solaire constant correspondant soit à une période d'activité minimale ou à une période d'activité maximale. Ceci a permis d'évaluer la réponse de la concentration d'ozone à la variabilité solaire au cours d'un cycle et la différence entre deux minima. En plus de ceux de MOCASSIM, les spectres produits par deux modèles ont été utilisés (NRLSSI et MGNM) ainsi que les données de SIM et SOLSTICE/SORCE. La variabilité spectrale de chacun a été extraite et multipliée à un spectre de base représentant le minimum d'activité afin de simuler le spectre au maximum d'activité. Cela a été effectué dans le but d'isoler l'effet de la variabilité seule et d'exclure celui de la valeur absolue du spectre. La variabilité spectrale d'amplitude relativement élevée des observations de SORCE n'a pas provoqué l'inversion de la réponse de l'ozone à hautes altitudes obtenues par d'autres études, ce qui peut être expliqué par la nature même du modèle utilisé ainsi que par sa limite supérieure en altitude. Finalement, la réponse de l'ozone semble être à peu près proportionnelle à la variabilité de l'intégrale du flux pour lambda<241 nm. La comparaison des concentrations d'ozone obtenues avec les spectres originaux au minimum d'activité démontre que leur différence est du même ordre de grandeur que la variabilité entre le minimum et le maximum d'un cycle typique. Le problème du choix de la reconstruction de l'irradiance à utiliser pour les simulations climatiques dans le passé demeure non résolu.
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Quienes no hayan escuchado el nombre Sun Tzu podrían imaginar muchas cosas sobre quién es esa persona. Sun Tzu es un general oriental que escribió su libro El arte de la guerra hace más de 21 siglos. Es un libro que a través de la narración de situaciones propias de un ejército enseña a las empresas a enfrentarse a un mercado complejo mediante la formulación, selección e implementación de la estrategia. Este artículo hace una interpretación de los 13 capítulos, buscando que aquellos que se encuentran al frente de una empresa cuenten con una lectura que les permita encontrar elementos para asegurar la perdurabilidad de su organización.
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The objective of the present article is to illustrate the social interstice (Las Jarretaderas) existing between the municipalities Bahía de Banderas, Nayarit and Puerto Vallarta, Jalisco. The researched community is an outstanding case-study providing an in-depth analysis of a number of social process mostly related to the chiapaneca migration. The text is divided into two sections. The first one deals with the urbanization process of the metropolitan area of Puerto Vallarta. The second and longer section defines the concept of social interstice and explains how the researched locality falls under under that previously-defined concept according to the processes analyzed.
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Pertenece a una colección que quiere responder a las preguntas que se hacen los jóvenes lectores sobre el tiempo y las estaciones del año. Podemos conocer las respuestas a temas como la duración del día según la época del año, la influencia de la latitud para que haya cuatro o menos estaciones; la creación del calendario, la forma de medir con exactitud el tiempo, la diferencia horaria en los distintos países del mundo.
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Pertenece a una colección que quiere responder a las preguntas que se hacen los jóvenes lectores sobre el tiempo y las estaciones del año. Podemos conocer las respuestas a temas como la duración del día según la época del año, la influencia de la latitud para que haya cuatro o menos estaciones; la creación del calendario, la forma de medir con exactitud el tiempo, la diferencia horaria en los distintos países del mundo.
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Desde tiempos muy antiguos, personas de todo el mundo se han dado cuenta de la importancia del Sol y en torno a él se han creado historias y leyendas, e incluso, se le ha adorado como a un dios. Es una estrella que parece una enorme bola de gas ardiente, muy brillante, que gira en el cielo y está muy alejada de la Tierra. Gracias al sol se suceden los días y las noches y las estaciones en nuestro planeta. Es nuestro amigo pues sus rayos calientes y brillantes hacen posible la existencia de vida, y la acumulación de su calor produce un tipo de energía; pero los humos y gases y algunos productos originan contaminación sobre la tierra, dañan la capa de ozono y la aparición del llamado efecto invernadero.
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Space weather effects on technological systems originate with energy carried from the Sun to the terrestrial environment by the solar wind. In this study, we present results of modeling of solar corona-heliosphere processes to predict solar wind conditions at the L1 Lagrangian point upstream of Earth. In particular we calculate performance metrics for (1) empirical, (2) hybrid empirical/physics-based, and (3) full physics-based coupled corona-heliosphere models over an 8-year period (1995–2002). L1 measurements of the radial solar wind speed are the primary basis for validation of the coronal and heliosphere models studied, though other solar wind parameters are also considered. The models are from the Center for Integrated Space-Weather Modeling (CISM) which has developed a coupled model of the whole Sun-to-Earth system, from the solar photosphere to the terrestrial thermosphere. Simple point-by-point analysis techniques, such as mean-square-error and correlation coefficients, indicate that the empirical coronal-heliosphere model currently gives the best forecast of solar wind speed at 1 AU. A more detailed analysis shows that errors in the physics-based models are predominately the result of small timing offsets to solar wind structures and that the large-scale features of the solar wind are actually well modeled. We suggest that additional “tuning” of the coupling between the coronal and heliosphere models could lead to a significant improvement of their accuracy. Furthermore, we note that the physics-based models accurately capture dynamic effects at solar wind stream interaction regions, such as magnetic field compression, flow deflection, and density buildup, which the empirical scheme cannot.
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Results from the first Sun-to-Earth coupled numerical model developed at the Center for Integrated Space Weather Modeling are presented. The model simulates physical processes occurring in space spanning from the corona of the Sun to the Earth's ionosphere, and it represents the first step toward creating a physics-based numerical tool for predicting space weather conditions in the near-Earth environment. Two 6- to 7-d intervals, representing different heliospheric conditions in terms of the three-dimensional configuration of the heliospheric current sheet, are chosen for simulations. These conditions lead to drastically different responses of the simulated magnetosphere-ionosphere system, emphasizing, on the one hand, challenges one encounters in building such forecasting tools, and on the other hand, emphasizing successes that can already be achieved even at this initial stage of Sun-to-Earth modeling.
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We report the results of a multi-instrument, multi-technique, coordinated study of the solar eruptive event of 13 May 2005. We discuss the resultant Earth-directed (halo) coronal mass ejection (CME), and the effects on the terrestrial space environment and upper Earth atmosphere. The interplanetary CME (ICME) impacted the Earth’s magnetosphere and caused the most-intense geomagnetic storm of 2005 with a Disturbed Storm Time (Dst) index reaching −263 nT at its peak. The terrestrial environment responded to the storm on a global scale. We have combined observations and measurements from coronal and interplanetary remote-sensing instruments, interplanetary and near-Earth in-situ measurements, remote-sensing observations and in-situ measurements of the terrestrial magnetosphere and ionosphere, along with coronal and heliospheric modelling. These analyses are used to trace the origin, development, propagation, terrestrial impact, and subsequent consequences of this event to obtain the most comprehensive view of a geo-effective solar eruption to date. This particular event is also part of a NASA-sponsored Living With a Star (LWS) study and an on-going US NSF-sponsored Solar, Heliospheric, and INterplanetary Environment (SHINE) community investigation.