935 resultados para Stimulated Glucose-transport
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Neuronal stretching during concussion alters glucose transport and reduces neuronal viability, also affecting other cells in the brain and the Blood Brain Barrier (BBB). Our hypothesis is that oxidative stress (OS) generated in neurons during concussions contributes to this outcome. To validate this, we investigated: (1) whether OS independently causes alterations in brain and BBB cells, namely human neuron-like, neuroblastoma cells (NCs), astrocyte cells (ACs) and brain microvascular endothelial cells (ECs), and (2) whether OS originated in NCs (as in concussion) is responsible for causing the subsequent alterations observed in ACs and ECs. We used H2O2 treatment to mimic OS, validated by examining the resulting reactive oxygen species, and evaluated alterations in cell morphology, expression and localization of the glucose transporter GLUT1, and the overall cell viability. Our results showed that OS, either directly affecting each cell type or originally affecting NCs, caused changes in several morphological parameters (surface area, Feret diameter, circularity, inter-cellular distance), slightly varied GLUT1 expression and lowered the overall cell viability of all NCs, ACs, and ECs. Therefore, we can conclude that oxidative stress, which is known to be generated during concussion, caused alterations in NCs, ACs, and ECs whether independently originated in each cell or when originated in the NCs and could further propagate the ACs and ECs.
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Mutations in the BRAF oncogene have been identified as a tumor-initiating genetic event in mainly melanoma, thyroid and colon cancer, resulting in an initial proliferative stimulus that is followed by a growth arrest period known as oncogene-induced senescence (OIS). It remains unknown what triggers subsequent escape from OIS to allow further tumor progression. A previous analysis revealed that overexpression of splice variant Rac1b occurs in around 80% of colorectal tumors carrying a mutation in BRAF. Using both BRaf-V600E-directed RNAi and overexpression we demonstrate that this mutation does not directly lead to Rac1b overexpression, indicating the latter as an independent event during tumor progression. Nonetheless, we observed that expression of oncogenic BRaf-V600E in non-transformed colonocytes (NCM460 cell line) increased both the transcript and protein levels of p14ARF, p15INK4b and p21CIP1 and led to increased expression of β-galactosidase, all indicators of OIS induction. Interestingly, whereas the protein levels of these markers were reduced upon Rac1b overexpression, the levels of their respective transcripts remained unchanged. Importantly, the co-expression of Rac1b with B-Raf-V600E reverted the OIS phenotype, reducing the expression levels of the cell-cycle inhibitors and β-galactosidase to those of control cells. These data identify increased Rac1b expression as one potential mechanism by which colorectal tumor cells can escape from B-Raf-induced OIS.
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L’insuffisance rénale chronique (IRC) est caractérisée par de multiples déséquilibres homéostatiques tels que la résistance à l’insuline. Peu d’études se sont intéressées aux mécanismes sous-jacents à cette résistance à l’insuline en IRC. De plus, il est méconnu si cette résistance à l’insuline peut mener au développement d’un diabète de type II chez des patients prédisposés. Dans un modèle d’IRC, le rat Sprague-Dawley (CD) néphrectomisé 5/6e, on observe une corrélation entre la gravité de l’atteinte rénale, évaluée par la créatinine sérique, et l’hyperglycémie, évaluée par la fructosamine sérique (R2 = 0.6982, p < 0.0001). Cependant, cet état hyperglycémique n’est pas observable lors d’une glycémie à jeun. Lors d’un test de tolérance au glucose, on observe une plus grande élévation de la glycémie (AUC 1.25 fois, p < 0.0001) chez le rat atteint d’IRC. Par contre, la sécrétion d’insuline au cours de ce même test n’augmente pas significativement (AUC ≈ 1.30 fois, N.S.) en comparaison aux rats témoins. Malgré une élévation des taux d’insuline en IRC suivant un bolus de glucose, les tissus périphériques ne montrent pas d’augmentation de la captation du glucose sanguin suggérant un défaut d’expression et/ou de fonction des transporteurs de glucose chez ces rats. En effet, on observe une diminution de ces transporteurs dans divers tissus impliqués dans le métabolisme du glucose tel que le foie (≈ 0.60 fois, p < 0.01) et le muscle (GLUT1 0.73 fois, p < 0.05; GLUT4 0.69 fois, p < 0.01). En conséquence, une diminution significative du transport insulinodépendant du glucose est observable dans le muscle des rats atteint d’IRC (≈ 0.63 fois, p < 0.0001). Puisque les muscles sont responsables de la majorité de la captation insulinodépendante du glucose, la diminution de l’expression du GLUT4 pourrait être associée à la résistance à l’insuline observée en IRC. La modulation de l’expression des transporteurs de glucose pourrait être à l’origine de la résistance à l’insuline en IRC. Cela dit, d’autres mécanismes peuvent aussi être impliqués. En dépit de cette importante perturbation du transport du glucose, nous n’avons pas observé de cas de diabète de type II chez le rat CD atteint d’IRC. Dans un modèle de rat atteint d’un syndrome métabolique, le rat Zucker Leprfa/fa, l’IRC provoque une forte hyperglycémie à jeun (1.5 fois, p < 0.0001). De plus, l’IRC chez le rat Zucker provoque une réponse glycémique (AUC 1.80 fois, p < 0.0001) exagérée lors d’un test de tolérance au glucose. Une forte résistance à l’insuline est mesurée au niveau des muscles puisque la dose usuelle d’insuline (2mU/mL) n’est pas suffisante pour stimuler la captation du glucose chez le rat Zucker atteint d’IRC. De plus, une modulation similaire des transporteurs de glucose peut être observée chez ces deux espèces. Par contre, environ 30% (p < 0.001) des rats Zucker atteints d’IRC avaient une glycosurie. L’IRC en soi ne mènerait donc pas au développement d’un diabète de type II. Par contre, lorsqu’une résistance à l’insuline est présente antérieurement au développement d’une IRC, cela pourrait précipiter l’apparition d’un diabète de type II chez ces patients prédisposés.
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Mechanical conditioning has been shown to promote tissue formation in a wide variety of tissue engineering efforts. However the underlying mechanisms by which external mechanical stimuli regulate cells and tissues are not known. This is particularly relevant in the area of heart valve tissue engineering (HVTE) owing to the intense hemodynamic environments that surround native valves. Some studies suggest that oscillatory shear stress (OSS) caused by steady flow and scaffold flexure play a critical role in engineered tissue formation derived from bone marrow derived stem cells (BMSCs). In addition, scaffold flexure may enhance nutrient (e.g. oxygen, glucose) transport. In this study, we computationally quantified the i) magnitude of fluid-induced shear stresses; ii) the extent of temporal fluid oscillations in the flow field using the oscillatory shear index (OSI) parameter, and iii) glucose and oxygen mass transport profiles. Noting that sample cyclic flexure induces a high degree of oscillatory shear stress (OSS), we incorporated moving boundary computational fluid dynamic simulations of samples housed within a bioreactor to consider the effects of: 1) no flow, no flexure (control group), 2) steady flow-alone, 3) cyclic flexure-alone and 4) combined steady flow and cyclic flexure environments. We also coupled a diffusion and convention mass transport equation to the simulated system. We found that the coexistence of both OSS and appreciable shear stress magnitudes, described by the newly introduced parameter OSI-:τ: explained the high levels of engineered collagen previously observed from combining cyclic flexure and steady flow states. On the other hand, each of these metrics on its own showed no association. This finding suggests that cyclic flexure and steady flow synergistically promote engineered heart valve tissue production via OSS, so long as the oscillations are accompanied by a critical magnitude of shear stress. In addition, our simulations showed that mass transport of glucose and oxygen is enhanced by sample movement at low sample porosities, but did not play a role in highly porous scaffolds. Preliminary in-house in vitro experiments showed that cell proliferation and phenotype is enhanced in OSI-:τ: environments.^
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L’insuffisance rénale chronique (IRC) est caractérisée par de multiples déséquilibres homéostatiques tels que la résistance à l’insuline. Peu d’études se sont intéressées aux mécanismes sous-jacents à cette résistance à l’insuline en IRC. De plus, il est méconnu si cette résistance à l’insuline peut mener au développement d’un diabète de type II chez des patients prédisposés. Dans un modèle d’IRC, le rat Sprague-Dawley (CD) néphrectomisé 5/6e, on observe une corrélation entre la gravité de l’atteinte rénale, évaluée par la créatinine sérique, et l’hyperglycémie, évaluée par la fructosamine sérique (R2 = 0.6982, p < 0.0001). Cependant, cet état hyperglycémique n’est pas observable lors d’une glycémie à jeun. Lors d’un test de tolérance au glucose, on observe une plus grande élévation de la glycémie (AUC 1.25 fois, p < 0.0001) chez le rat atteint d’IRC. Par contre, la sécrétion d’insuline au cours de ce même test n’augmente pas significativement (AUC ≈ 1.30 fois, N.S.) en comparaison aux rats témoins. Malgré une élévation des taux d’insuline en IRC suivant un bolus de glucose, les tissus périphériques ne montrent pas d’augmentation de la captation du glucose sanguin suggérant un défaut d’expression et/ou de fonction des transporteurs de glucose chez ces rats. En effet, on observe une diminution de ces transporteurs dans divers tissus impliqués dans le métabolisme du glucose tel que le foie (≈ 0.60 fois, p < 0.01) et le muscle (GLUT1 0.73 fois, p < 0.05; GLUT4 0.69 fois, p < 0.01). En conséquence, une diminution significative du transport insulinodépendant du glucose est observable dans le muscle des rats atteint d’IRC (≈ 0.63 fois, p < 0.0001). Puisque les muscles sont responsables de la majorité de la captation insulinodépendante du glucose, la diminution de l’expression du GLUT4 pourrait être associée à la résistance à l’insuline observée en IRC. La modulation de l’expression des transporteurs de glucose pourrait être à l’origine de la résistance à l’insuline en IRC. Cela dit, d’autres mécanismes peuvent aussi être impliqués. En dépit de cette importante perturbation du transport du glucose, nous n’avons pas observé de cas de diabète de type II chez le rat CD atteint d’IRC. Dans un modèle de rat atteint d’un syndrome métabolique, le rat Zucker Leprfa/fa, l’IRC provoque une forte hyperglycémie à jeun (1.5 fois, p < 0.0001). De plus, l’IRC chez le rat Zucker provoque une réponse glycémique (AUC 1.80 fois, p < 0.0001) exagérée lors d’un test de tolérance au glucose. Une forte résistance à l’insuline est mesurée au niveau des muscles puisque la dose usuelle d’insuline (2mU/mL) n’est pas suffisante pour stimuler la captation du glucose chez le rat Zucker atteint d’IRC. De plus, une modulation similaire des transporteurs de glucose peut être observée chez ces deux espèces. Par contre, environ 30% (p < 0.001) des rats Zucker atteints d’IRC avaient une glycosurie. L’IRC en soi ne mènerait donc pas au développement d’un diabète de type II. Par contre, lorsqu’une résistance à l’insuline est présente antérieurement au développement d’une IRC, cela pourrait précipiter l’apparition d’un diabète de type II chez ces patients prédisposés.
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Recent evidence suggests the existence of a hepatoportal vein glucose sensor, whose activation leads to enhanced glucose use in skeletal muscle, heart, and brown adipose tissue. The mechanism leading to this increase in whole body glucose clearance is not known, but previous data suggest that it is insulin independent. Here, we sought to further determine the portal sensor signaling pathway by selectively evaluating its dependence on muscle GLUT4, insulin receptor, and the evolutionarily conserved sensor of metabolic stress, AMP-activated protein kinase (AMPK). We demonstrate that the increase in muscle glucose use was suppressed in mice lacking the expression of GLUT4 in the organ muscle. In contrast, glucose use was stimulated normally in mice with muscle-specific inactivation of the insulin receptor gene, confirming independence from insulin-signaling pathways. Most importantly, the muscle glucose use in response to activation of the hepatoportal vein glucose sensor was completely dependent on the activity of AMPK, because enhanced hexose disposal was prevented by expression of a dominant negative AMPK in muscle. These data demonstrate that the portal sensor induces glucose use and development of hypoglycemia independently of insulin action, but by a mechanism that requires activation of the AMPK and the presence of GLUT4.
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Direct continuity between the membranes of cisternae in the Golgi complex in mammalian cells rarely has been observed; when seen, its documentation has been equivocal. Here we have used dual-axis electron microscope tomography to examine the architecture of the Golgi in three dimensions at approximate to6-nm resolution in rapidly frozen, freeze-substituted murine cells that make and secrete insulin in response to glucose challenge. Our data show three types of direct connections between Golgi cisternae that are normally distinct from one another. These connections all bypass interceding cisternae. We propose that when pancreatic beta cells are stimulated to synthesize and secrete insulin rapidly in vivo, such connections provide a continuous lumen that facilitates the rapid transit of large amounts of newly made protein for secretion. The heterotypic fusion of cisternae, even transiently, raises important questions about the molecular mechanisms that (i) facilitate the fusion/fission of cisternal membranes and control the directionality and specificity of such events, and (it) retain Golgi processing enzymes at specific places within individual cisternae when two cisternae at different levels in the Golgi have fused, maintaining the sequential processing hierarchy that is a hallmark of Golgi organization.
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High ambient glucose activates intracellular signaling pathways to induce the expression of extracellular matrix and cytokines such as connective tissue growth factor (CTGF). Cell responses to CTGF in already glucose-stressed cells may act to transform the mesangial cell phenotype leading to the development of glomerulosclerosis. We analyzed cell signaling downstream of CTGF in high glucose-stressed mesangial cells to model signaling in the diabetic milieu. The addition of CTGF to primary human mesangial cells activates cell migration which is associated with a PKC-zeta-GSK3beta signaling axis. In high ambient glucose basal PKC-zeta and GSK3beta phosphorylation levels are selectively increased and CTGF-stimulated PKC-zeta and GSK3beta phosphorylation was impaired. These effects were not induced by osmotic changes. CTGF-driven profibrotic cell signaling as determined by p42/44 MAPK and Akt phosphorylation was unaffected by high glucose. Nonresponsiveness of the PKC-zeta-GSK3beta signaling axis suppressed effective remodeling of the microtubule network necessary to support cell migration. However, interestingly the cells remain plastic: modulation of glucose-induced PKC-beta activity in human mesangial cells reversed some of the pathological effects of glucose damage in these cells. We show that inhibition of PKC-beta with LY379196 and PKC-beta siRNA reduced basal PKC-zeta and GSK3beta phosphorylation in human mesangial cells exposed to high glucose. CTGF stimulation under these conditions again resulted in PKC-zeta phosphorylation and human mesangial cell migration. Regulation of PKC-zeta by PKC-beta in this instance may establish PKC-zeta as a target for constraining the progression of mesangial cell dysfunction in the pathogenesis of diabetic nephropathy.
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A key aspect of glucose homeostasis is the constant monitoring of blood glucose concentrations by specific glucose sensing units. These sensors, via stimulation of hormone secretion and activation of the autonomic nervous system (ANS), regulate tissue glucose uptake, utilization or production. The best described glucose detection system is that of the pancreatic beta-cells which controls insulin secretion. Secretion of other hormones, in particular glucagon, and activation of the ANS, are regulated by glucose through sensing mechanisms which are much less well characterized. Here I review some of the studies we have performed over the recent years on a mouse model of impaired glucose sensing generated by inactivation of the gene for the glucose transporter GLUT2. This transporter catalyzes glucose uptake by pancreatic beta-cells, the first step in the signaling cascade leading to glucose-stimulated insulin secretion. Inactivation of its gene leads to a loss of glucose sensing and impaired insulin secretion. Transgenic reexpression of the transporter in GLUT2/beta-cells restores their normal secretory function and rescues the mice from early death. As GLUT2 is also expressed in other tissues, these mice were then studied for the presence of other physiological defects due to absence of this transporter. These studies led to the identification of extra-pancreatic, GLUT2-dependent, glucose sensors controlling glucagon secretion and glucose utilization by peripheral tissues, in part through a control of the autonomic nervous system.
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Les cellules beta pancréatiques sécrètent l’insuline lors d’une augmentation post-prandiale du glucose dans le sang. Ce processus essentiel est contrôlé par des facteurs physiologiques, nutritionnels et pathologiques. D’autres sources d’énergie, comme les acides aminés (leucine et glutamine) ou les acides gras potentialisent la sécrétion d’insuline. Une sécrétion d’insuline insuffisante au besoin du corps déclanche le diabète. Le rôle que joue l’augmentation du calcium intracellulaire et les canaux K+/ATP dans la sécrétion d’insuline est bien connu. Bien que le mécanisme exact de la potentialisation de la sécrétion d’insuline par les lipides est inconnu, le cycle Glycérolipides/Acides gras (GL/FFA) et son segment lipolytique ont été reconnu comme un composant essentiel de la potentialisation lipidique de la sécrétion d’insuline. Le diacylglycérol, provenant de la lipolyse, a été proposé comme un signal lipidique important d’amplification. Cependant, l’hydrolyse des triglycérides et des diacylglycérides a été démontrée essentielle pour la sécrétion d’insuline stimulée par le glucose, en suggérant un rôle du monoacylglycérol (MAG) dans ce processus. Dans cette étude, on démontre que la réduction de la sécrétion d’insuline stimulée par le glucose, lors d’une inhibition de la lipolyse, est restaurée par l’addition de MAG. Dans les cellules beta pancréatiques, le niveau de MAG augmente en présence des concentrations élevées du glucose, et également lorsqu’on inhibe l’enzyme MAG hydrolase abhydrolase-6 (ABHD6) avec l’inhibiteur spécifique WWL70. L’analyse lipidomique a démontré qu’après la stimulation des cellules beta pancréatiques avec le glucose et aussi avec le WWL70, l’espèce la plus accumulée de MAG était le 1-stearoylglycérol (1-SG). L’addition de 1-SG, de 1-palmitoylglycérol (1-PG) ou de WWL70 augmente la sécrétion d’insuline stimulée par le glucose, et cette augmentation est indépendante de la génération de acides gras à partir de MAG. Cela suggère que le MAG est un signal lipidique pour la potentialisation de la sécrétion d’insuline stimulée par le glucose. De plus, la surexpression du gène d’ABHD6 dans les cellules INS832/13 cause une réduction de la sécrétion d’insuline, due probablement à la diminution des niveaux intracellulaire de MAG. Avec le but de comprendre le mécanisme moléculaire impliqué dans la potentialisation de la sécrétion d’insuline par le MAG, on a bloqué l’action du récepteur vanilloid-1 (TRPV1) liant le MAG par l’agent pharmacologiste, AMG9810. Le traitement des cellules beta pancréatique par AMG9810 entraîne une diminution de la potentialisation de la sécrétion de l’insuline induite par le MAG. Il est a noter que le MAG pourrait activer TRPV1 par une liaison physique dans la membrane cellulaire interne; ce qui entraînerai l’entrée du calcium dans la cellule, et ensuite la stimulation de l’exocytose des granules à insuline. En soutien de cette hypothèse, on a trouvé une diminution du calcium intracellulaire lorsqu’on traite au AMG9810 des cellules beta pancréatique de rat (provenant des îlots dispersés) stimulées au glucose et au WWL70. L’ensemble des résultats suggère que le MAG est un médiateur de la potentialisation lipidique de la sécrétion d’insuline stimulée par le glucose. Vu que l’inhibition pharmacologique d’ABHD6 augmente la sécrétion d’insuline, on pourra conclure que cette enzyme représente une cible thérapeutique potentielle dans le développement des médicaments anti-diabétiques, visant une augmentation de la sécrétion d’insuline.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Positive acute effects of fatty acids (FA) on glucose-stimulated insulin secretion (GSIS) and reactive oxygen species (ROS) formation have been reported. However, those studies mainly focused on palmitic acid actions, and reports on oleic acid (OA) are scarce. In this study, the effect of physiological OA levels on beta-cell function and the mechanisms involved were investigated. Analyses of insulin secretion, FA and glucose oxidation, and ROS formation showed that, at high glucose concentration, OA treatment increases GSIS in parallel with increased ROS content. At high glucose, OA oxidation was increased, accompanied by a suppression of glucose oxidation. Using approaches for protein knockdown of FA receptor G protein-coupled receptor 40 (GPR40) and of p47(PHOX), a reduced nicotinamide adenine dinucleotide phosphate [NAD(P) H] oxidase component, we observed that GPR40 does not mediate OA effects on ROS formation and GSIS. However, in p47(PHOX) knockdown islets, OA-induced ROS formation and the inhibitory effect of OA on glucose metabolism was abolished. Similar results were obtained by pharmacological inhibition of protein kinase C, a known activator of NAD(P) H oxidase. Thus, ROS derived from OA metabolism via NAD(P) H oxidase are an inhibitor of glucose oxidation. Put together, these results indicate that OA acts as a modulator of glucose oxidation via ROS derived from its own metabolism in beta-cells. (Endocrinology 152: 3614-3621, 2011)
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Objective: To evaluate the transepithelial transport of sodium, glucose, potassium, and water and the mRNA level of the sodium-glucose cotransporter (SGLT1) and the facilitated sugar transporter (GLUT2) in the small intestine of iron-deficient rats. Methods: After 6 wk of receiving diets with low or normal iron content, rats (Wistar-EPM) were subjected to two experiments: 1) evaluation of the transepithelial transport of sodium, glucose, potassium, and water by an ""in vivo"" experimental model of intestinal perfusion and 2) determination of relative SGLT1 and GLUT2 mRNA levels in the proximal, intermediate, and distal portions of the small intestine by the northern blotting technique. Results: Hemoglobin and hepatic iron levels were statistically lower in the anemic rats. The mean transepithelial transports of sodium (-33.0 mu Eq . min(-1) . cm(-1)), glucose (426.0 mu M . min(-1) . cm(-1)), and water (0.4 mu L . min(-1) . cm(-1)) in the small intestine of the anemic rats were significantly lower than in the control group (349.1 mu Eq . min(-1) cm(-1), 842.6 mu M . min(-1) . cm(-1), and 4.3 mu l . min(-1) cm(-1), respectively, P < 0.05). The transepithelial transport of potassium was similar for both groups. The relative SGLT1 mRNA levels of the anemic rats in the intermediate (1.796 +/- 0.659 AU) and distal (1.901 +/- 0.766 AU) segments were significantly higher than the values for the control rats (intermediate 1.262 +/- 0.450 AU, distal 1.244 +/- 0.407 AU). No significant difference was observed for the relative SLGT1 mRNA levels in the proximal segment or for the GLUT2 mRNA levels in all segments. Conclusion: Iron deficiency decreases the absorption of glucose, sodium, and water and increases SGLT1 mRNA in the intermediate and distal segments of the small intestine of rats. (C) 2011 Elsevier Inc. All rights reserved.
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The inhibitory effect of hydrogen peroxide (H(2)O(2)) on glucose-stimulated insulin secretion was previously reported. However, the precise mechanism involved was not systematically investigated. In this study, the effects of low concentrations of H(2)O(2) (5-10 mu mol/L) on glucose metabolism, intracellular calcium ([Ca(2+)](i)) oscillations, and dynamic insulin secretion in rat pancreatic islets were investigated. Low concentrations of H(2)O(2) impaired insulin secretion in the presence of high glucose levels (16.7 mmol/L). This phenomenon was observed already after 2 minutes of exposure to H(2)O(2). Glucose oxidation and the amplitude of [Ca(2+)](i); oscillations were dose-dependently suppressed by H(2)O(2). These findings indicate that low concentrations of H(2)O(2) reduce insulin secretion in the presence of high glucose levels via inhibition of glucose metabolism and consequent impairment in [Ca(2+)](i); handling. (C) 2010 Elsevier Inc. All rights reserved.
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E. coli,em caldo glicosado,foi submetida a campo eletromagnético de intensidade 5G, gerado por fonte de tensão alternada de 60 Hz . Os crescimento e consumo de glicose foram avaliados através do teste não-paramétrico de Mann-Whitney para comparação de dois grupos. Após 8 h de exposição encontraram-se menor valor da glicose residual e maior turbidez nos tubos expostos ao campo evidenciando efeito positivo deste. A causa deste efeito no consumo da glicose pode ser pela estimulação de sistema de transporte de glicose, como a Difusão Facilitada ou por um tipo de fenômeno chamado ressonância ciclotrônica. O aumento do crescimento pode ser pelo encurtamento da lag phase e estimulação da log phase.