834 resultados para Recognizing emotional facial expressions
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The purpose of this investigation was to evaluate the possibility to enhance certain qualities of facial prostheses. Polymethyl methacrylate is still being used as base mate¬rial or clip carrier material, but it is hard and heavy, and debonding of the silicone from the acrylic base material is a frequent problem. This thesis aims to evaluate the use of fiber-reinforced composite (FRC) as framework material for maxillofacial silicone prostheses. FRC has been used as reinforcement in removable and fixed partial dentures since the 1990s. This material is lightweight and can be fabricated to compress the margins of the prosthesis slightly, to keep it tightly against the skin during jaw movements and facial expressions. Additionally, the use of a thermochromic pigment, colorless in room temperature and red in a cold environment, was studied in order to evaluate the possibility of using this color changing pigment in facial prostheses to mimic the color change of facial skin in cold weather. The tensile bond strength between pre-impregnated, unidirectional FRC and maxillofacial silicone elastomer was studied. Three different bonding agents or primers were compared. Bond strength was improved by one of the primers and by roughening the surface. The effect of a skin compressing glass fiber-reinforced composite framework on facial skin blood flow was studied by using a face mask, constructed with a compression pad corresponding to the outer margin of a glass fiber-reinforced framework beam of a facial prosthesis. The skin blood flow of ten healthy volunteers, aged 23-25 years, was measured during touch, light, and moderate compression of the skin, by using laser Doppler imaging technique. None of the compressions showed any marked effects on local skin blood flow. There were no significant differences between blood flow during compression and at baseline. Maxillofacial silicone elastomer was colored intrinsically with conventional color pigments: a control group containing only conventional pigments was compared to two test groups with 0.2 wt% and 0.6 wt% thermochromic pigment added. The color of the material was measured with a spectrophotometer in room temperature and after storage in a freezer. The color stability of the maxillofacial silicone elastomer colored with thermo¬chromic pigment was evaluated by artificial aging. The color dif¬ference of the L* (lightness) and a* values (redness), comparing color after the samples were stored at room temperature and in a freezer (-19°C), was statistically significant for both 0.2 wt% and 0.6 wt% thermo¬chromic pigment groups. The differences in the b* values (yellowness) were statistically significant for the 0.6 wt% group. Exposure to ultraviolet (UV) radiation led to visually noticeable and statistically signifi¬cant color changes (ΔE) in all color values in both test groups. The specimens containing thermochromic pigment were very sensitive to UV radiation. In conclusion, a framework of fiber-reinforced composite can successfully be bonded to maxillofacial silicone elastomer, and a framework beam, compressing the facial skin, did not remarkably alter the skin blood flow on healthy, young adults. The thermochromic pigment showed color change in maxillofacial silicone elastomer. However, artificial aging showed that it was too sensitive to UV radiation to be used, as such, in maxillofacial prostheses.
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Dans ce mémoire, les contes de trois conteurs contemporains du Québec – Jos Gallant d’André Lemelin, Ti Pinge de Joujou Turenne et L’entrain à vapeur, de Fred Pellerin – font avant tout l’objet d’une lecture pragmatique afin de mieux comprendre comment le conteur, qui emploie le canevas en spectacle, transmet une fiction à un auditoire ou à un lectorat. L’étude présente d’abord une analyse comparative de chacune des prestations avec la version publiée d’un même récit et met ainsi en relief leurs points de convergence et de divergence. Selon l’hypothèse avancée, l’analyse de la prestation des conteurs qui suivent un canevas révèlerait comment s’y manifestent les dimensions performatives et les articulations du discours fictionnel. Corrélativement, l’examen des rapports entre le conteur et son public permet ensuite de s’interroger sur le statut du narrateur et de voir en quoi et comment, durant la performance, la fiction est partagée avec l’auditoire. L’analyse des énoncés performatifs, inspirés des travaux de Kerbrat-Orechionni et la dynamique de vectorisation proposée par Pavis pour l’étude de la gestuelle, des mimiques et de la voix, sont mises à contribution et visent également à dégager les outils pouvant servir à l’analyse des spectacles de contes. Au terme de cette recherche, l’auteure démontre les avantages liés au canevas, notamment en ce qui concerne les interactions qu’il favorise avec le public et dans la liberté qu’il procure, en permettant de modifier ou d’adapter le discours et les ressources expressives du conteur à chacune de ses représentations.
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L’expression faciale de la douleur occupe un rôle central dans la communication de la douleur et dans l’estimation de l’intensité de la douleur vécue par autrui. Les propriétés du visage d’une personne en souffrance ont été investiguées principalement à l’aide de méthodes descriptives (e.g. FACS). L’introduction fait le point sur les connaissances de l’expression faciale de douleur et de la communication de cette expérience sur les plans comportemental et cérébral et souligne que les mécanismes et stratégies visuels utilisés par l’observateur pour parvenir à détecter la douleur dans le visage d’autrui demeurent très peu connus. L’étude des processus impliqués dans la reconnaissance de l’expression de la douleur est essentielle pour comprendre la communication de la douleur et éventuellement expliquer des phénomènes ayant des impacts cliniques considérables, tel que l’effet classique de sous-estimation de la douleur d’autrui. L’article 1 vise à établir à l’aide d’une méthode directe (Bubbles) les informations visuelles utilisées efficacement par l’observateur lorsqu’il doit catégoriser la douleur parmi les émotions de base. Les résultats montrent que parmi l’ensemble des caractéristiques du visage typique de la douleur, peu d’informations sont vraiment efficaces pour parvenir à cette discrimination et que celles qui le sont encodent la partie affective- motivationnelle de l’expérience d’autrui. L’article 2 investigue le pouvoir de ces régions privilégiées du visage de la douleur dans la modulation d’une expérience nociceptive chez l’observateur afin de mieux comprendre les mécanismes impliqués dans une telle modulation. En effet, s’il est connu que des stimuli ayant une valence émotionnelle négative, y compris des expressions faciales de douleur, peuvent augmenter les réponses spinales (réflexes) et supra-spinales (ex.: perceptives) de la douleur, l’information visuelle suffisante pour permettre l’activation des voies modulatrices demeure inconnue. Les résultats montrent qu’en voyant les régions diagnostiques pour la reconnaissance de l’expression faciale de douleur, la douleur perçue par l’observateur suite à une stimulation nociceptive est plus grande que lorsqu’il voit les régions les moins corrélées avec une bonne reconnaissance de la douleur. L’exploration post-expérimentale des caractéristiques de nos stimuli suggère que cette modulation n’est pas explicable par l’induction d’un état émotionnel négatif, appuyant ainsi un rôle prépondérant de la communication de la douleur dans la modulation vicariante de l’expérience douloureuse de l’observateur. Les mesures spinales ne sont toutefois pas modulées par ces manipulations et suggèrent ainsi que ce ne sont pas des voies cérébro-spinale qui sont impliquées dans ce phénomène.
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Les données sont analysées par le logiciel conçu par François Courtemanche et Féthi Guerdelli. L'expérimentation des jeux a eu lieu au Laboratoire de recherche en communication multimédia de l'Université de Montréal.
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Cette thèse porte sur les gestes et attitudes qui ont caractérisé la figure aristocratique dans l’art européen entre 1661 et 1789. Cet intervalle correspond à la durée de vie d’un paradigme corporel noble appelé « le bon air et la bonne grâce », de son élaboration à la cour de Louis XIV et de sa diffusion hégémonique en Europe, jusqu’à son rejet définitif à la Révolution française. La société d’Ancien Régime a déployé tout un arsenal de moyens (exercices, instruments orthopédiques,…) pour intérioriser une grâce qui devait paraître innée et prouver la noblesse. Le maître à danser détenait le monopole de l’inculcation de cette grâce et de son élaboration suivant des critères hautement esthétiques. Les gestes et positions inventoriés ici, sont décrits et associés à leurs connotations d’origine, montrant qu’une connaissance approfondie et minutieuse de la gestuelle peut affiner notre compréhension d’un large pan de l’art des XVIIe et XVIIIe siècles. L’auteur démontre que cette hexis corporelle contemporaine transcende tous les domaines concernés par le corps noble (éducation, théâtre, danse, opéra, arts martiaux, etc.) et en vient à infiltrer la majorité des genres picturaux, bousculant les traditions artistiques déjà en place et s’affichant comme une alternative moderne à la grâce des Anciens. Le portrait, la gravure de mode, les figurines de porcelaine, les vues de villes et de jardins sont les plus touchés par ce phénomène. La bonne grâce s’affirme ainsi dans une culture visuelle qui, par ricochet, en vient à renforcer les pratiques sociales dont elle était le reflet. Cet aller-retour des attitudes aristocratiques entre l’art et la vie occasionne la standardisation de la figure et du corps aristocratiques. Dans la pastorale, la peinture d’histoire et la scène de genre, l’idéal aristocratique se manifeste, tantôt en négatif dans la figure du paysan, du Pierrot et de l’Arlequin, tantôt de manière idéalisée dans celles du berger et du héros galants. La substitution de gestes emphatiques et d’expressions faciales explicites par une gestuelle fondée sur la retenue et la dissimulation des passions, fondera une nouvelle historia moins lisible que la traditionnelle, mais plus subtile et insinuée, répondant ainsi mieux au goût et à la sensibilité aristocratique.
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Edgar Degas, observateur réputé de la vie parisienne du XIXe siècle, réserve tout au long de sa carrière un traitement particulier à la figure féminine. Dès les premières tentatives de tableaux d’histoire et les portraits des débuts, dont un grand nombre concerne des couples et des membres de sa famille, Degas introduit une forme de tension dans les rapports entre les hommes et les femmes. Cette tension se manifeste à la fois dans la structure des œuvres et dans le registre expressif des figures représentées. Elle perdure dans les tableaux de genre qui marquent un intérêt accru de Degas pour les scènes de la vie contemporaine. Ces dernières suggèrent une trame narrative encore aujourd’hui difficile à déchiffrer mais où continue de se manifester une forme d’opposition entre les pôles masculin et féminin de l’image. Ce sont surtout les œuvres représentant des femmes au travail ou à leur toilette, réalisées dans la période de la maturité de l’artiste, qui manifestent cette tension à son maximum et lui confèrent un supplément de résonnance personnelle et sociale. Un pivotement du dispositif figuratif maintient le pôle féminin dans l’espace de représentation alors que le pôle masculin se situe désormais du côté du spectateur. Ces figures de femmes dont la gestuelle, le positionnement dans l’espace et le mode d’adresse suggèrent qu’elles font l’objet d’une effraction du regard qui s’énonce au masculin, résistent par plusieurs aspects au scénario érotique voyeuriste qui se développe à l’époque dans beaucoup de tableaux académiques et dans les illustrations populaires.
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Die traditionellen Empathiekonzepte (z. B. Rogers, Kohut), die in der Psychotherapie bis heute maßgebend sind, werden einer gründlichen Überprüfung unterzogen. Dabei ergeben sich drei wesentliche Kritikpunkte: (1) Empathische Vorgänge in der Psychotherapie werden als einseitige Prozesse verstanden; der Therapeut fühlt sich in die Klientin ein, nicht auch umgekehrt. (2) Empathie wird in Cartesianischer Tradition schwerpunktmäßig als kognitive Leistung gesehen; ein körperloser Geist vergegenwärtigt sich die mentalen Inhalte eines anderen. (3) Das traditionelle Empathieverständnis ist individualistisch: Therapeutin und Klient halten sich demnach scheinbar im luftleeren Raum auf. Es sieht so aus, als existiere kein Kontext, der sie umgibt. So einseitig, wie ihre Beziehung gedacht wird, so abgetrennt, wie ihr Körper von ihrem Geist zu sein scheint, so unverbunden sind sie scheinbar mit dem Rest der Welt. Aus diesen drei Kritikpunkten folgt die Notwendigkeit, den Empathiebegriff der Psychotherapie zu erweitern, d. h. (a) Empathie als gegenseitigen Prozess der Beteiligten zu begreifen, (b) ihre tiefe Verwurzelung in der Leiblichkeit des Menschen zu berücksichtigen und (c) ihre Einbettung in die Dynamiken einer gemeinsamen Situation im Rahmen eines kulturellen Kontextes einzubeziehen. Mit Rückgriff auf neuere Untersuchungsergebnisse aus der Entwicklungspsychologie (z. B. Emde, Hobson, Meltzoff, Stern, Trevarthen), der Sozial- und Emotionspsychologie (z. B. Chartrand, Ekman, Goleman, Hatfield, Holodynski), der sozialen Neurowissenschaften (z. B. Damasio, Gallese, Iacoboni, LeDoux, Rizzolatti), aber auch mit Hilfe der Erkenntnisse aus der klassischen (Husserl, Merleau- Ponty, Edith Stein) und der Neuen Phänomenologie (Schmitz) sowie aus symbolischem Interaktionismus (Mead) und aus der kulturhistorischen Schule (Vygotskij) werden diese drei bislang wenig beleuchteten Dimensionen der Empathie betrachtet. ad a) Die Gegenseitigkeit empathischer Vorgänge in der Psychotherapie wird anhand des entwicklungspsychologischen Konzepts des social referencing erläutert und untersucht: Kleinkinder, die in eine unbekannte bzw. unsichere Situation geraten (z. B. im Experiment mit der "visuellen Klippe"), orientieren sich an den nonverbalen Signalen ihrer Bezugspersonen, um diese Situation zu bewältigen. Dabei erfasst die Mutter die Situation des Kindes, versucht ihm ihre Stellungnahme zu seiner Situation zu übermitteln, und das Kind begreift die Reaktion der Mutter als Stellungnahme zu seiner Situation. ad b) Die Körperlichkeit bzw. Leiblichkeit der Einfühlung manifestiert sich in vielfältigen Formen, wie sie von der Psychologie, der Phänomenologie und den Neurowissenschaften erforscht werden. Das kulturübergreifende Erkennen des Gesichtsausdrucks von Basisemotionen ist hier ebenso zu nennen wie die Verhaltensweisen des motor mimicry, bei dem Menschen Körperhaltungen und – bewegungen ihrer Bezugspersonen unwillkürlich imitieren; des Weiteren das unmittelbare Verstehen von Gesten sowie die Phänomene der „Einleibung“, bei denen die körperliche Situation des Anderen (z. B. eines stürzenden Radfahrers, den man beobachtet) am eigenen Leib mitgefühlt wird; und außerdem die Entdeckung der „Spiegelneurone“ und anderer neuronaler Strukturen, durch die Wahrgenommenes direkt in analoge motorische Aktivität übersetzt wird. ad c) Intersubjektivitätstheoretische Überlegungen, Konzepte wie „dyadisch erweiterter Bewusstseinszustand“ (Tronick) und „gemeinsame Situation“ (Gurwitsch, Schmitz) verweisen auf die Bedeutung überindividueller, ‚emergenter’ Dimensionen, die für die Verständigung zwischen Menschen wichtig sind. Sie folgen gestaltpsychologischen Prinzipien („Das Ganze ist mehr und anders als die Summe seiner Teile.“), die mit Hilfe von Gadamers Begriff des „Spiels“ analysiert werden. Am Ende der Arbeit stehen die Definition eines neuen Empathiebegriffs, wie er sich aus den vorangegangenen Überlegungen ergibt, sowie eine These über die psychotherapeutische Wirkweise menschlicher Einfühlung, die durch weitere Forschungen zu überprüfen wäre.
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Here we show inverse fMRI activation patterns in amygdala and medial prefrontal cortex (mPFC) depending upon whether subjects interpreted surprised facial expressions positively or negatively. More negative interpretations of surprised faces were associated with greater signal changes in the right ventral amygdala, while more positive interpretations were associated with greater signal changes in the ventral mPFC. Accordingly, signal change within these two areas was inversely correlated. Thus, individual differences in the judgment of surprised faces are related to a systematic inverse relationship between amygdala and mPFC activity, a circuitry that the animal literature suggests is critical to the assessment of stimuli that predict potential positive vs negative outcomes.
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We recently demonstrated a functional relationship between fMRI responses within the amygdala and the medial prefrontal cortex based upon whether subjects interpreted surprised facial expressions positively or negatively. In the present fMRI study, we sought to assess amygdala-medial prefrontal cortex responsivity when the interpretations of surprised faces were determined by contextual experimental stimuli, rather than subjective judgment. Subjects passively viewed individual presentations of surprised faces preceded by either a negatively or positively valenced contextual sentence (e. g., She just found $500 vs. She just lost $500). Negative and positive sentences were carefully matched in terms of length, situations described, and arousal level. Negatively cued surprised faces produced greater ventral amygdala activation compared to positively cued surprised faces. Responses to negative versus positive sentences were greater within the ventrolateral prefrontal cortex, whereas responses to positive versus negative sentences were greater within the ventromedial prefrontal cortex. The present study demonstrates that amygdala response to surprised facial expressions can be modulated by negatively versus positively valenced verbal contextual information. Connectivity analyses identified candidate cortical-subcortical systems subserving this modulation.
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BACKGROUND: Previous functional imaging studies demonstrating amygdala response to happy facial expressions have all included the presentation of negatively valenced primary comparison expressions within the experimental context. This study assessed amygdala response to happy and neutral facial expressions in an experimental paradigm devoid of primary negatively valenced comparison expressions. METHODS: Sixteen human subjects (eight female) viewed 16-sec blocks of alternating happy and neutral faces interleaved with a baseline fixation condition during two functional magnetic resonance imaging scans. RESULTS: Within the ventral amygdala, a negative correlation between happy versus neutral signal changes and state anxiety was observed. The majority of the variability associated with this effect was explained by a positive relationship between state anxiety and signal change to neutral faces. CONCLUSIONS: Interpretation of amygdala responses to facial expressions of emotion will be influenced by considering the contribution of each constituent condition within a greater subtractive finding, as well as 1) their spatial location within the amygdaloid complex; and 2) the experimental context in which they were observed. Here, an observed relationship between state anxiety and ventral amygdala response to happy versus neutral faces was explained by response to neutral faces.
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Background: Functional magnetic resonance imaging (fMRI) holds promise as a noninvasive means of identifying neural responses that can be used to predict treatment response before beginning a drug trial. Imaging paradigms employing facial expressions as presented stimuli have been shown to activate the amygdala and anterior cingulate cortex (ACC). Here, we sought to determine whether pretreatment amygdala and rostral ACC (rACC) reactivity to facial expressions could predict treatment outcomes in patients with generalized anxiety disorder (GAD).Methods: Fifteen subjects (12 female subjects) with GAD participated in an open-label venlafaxine treatment trial. Functional magnetic resonance imaging responses to facial expressions of emotion collected before subjects began treatment were compared with changes in anxiety following 8 weeks of venlafaxine administration. In addition, the magnitude of fMRI responses of subjects with GAD were compared with that of 15 control subjects (12 female subjects) who did not have GAD and did not receive venlafaxine treatment.Results The magnitude of treatment response was predicted by greater pretreatment reactivity to fearful faces in rACC and lesser reactivity in the amygdala. These individual differences in pretreatment rACC and amygdala reactivity within the GAD group were observed despite the fact that 1) the overall magnitude of pretreatment rACC and amygdala reactivity did not differ between subjects with GAD and control subjects and 2) there was no main effect of treatment on rACC-amygdala reactivity in the GAD group.Conclusions: These findings show that this pattern of rACC-amygdala responsivity could prove useful as a predictor of venlafaxine treatment response in patients with GAD.
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BACKGROUND: Humans from an early age look longer at preferred stimuli, and also typically look longer at facial expressions of emotion, particularly happy faces. Atypical gaze patterns towards social stimuli are common in Autism Spectrum Conditions (ASC). However, it is unknown if gaze fixation patterns have any genetic basis. In this study, we tested if variations in the cannabinoid receptor 1 (CNR1) gene are associated with gaze duration towards happy faces. This gene was selected because CNR1 is a key component of the endocannabinoid system, involved in processing reward, and in our previous fMRI study we found variations in CNR1 modulates the striatal response to happy (but not disgust) faces. The striatum is involved in guiding gaze to rewarding aspects of a visual scene. We aimed to validate and extend this result in another sample using a different technique (gaze tracking). METHODS: 30 volunteers (13 males, 17 females) from the general population observed dynamic emotion expressions on a screen while their eye movements were recorded. They were genotyped for the identical four SNPs in the CNR1 gene tested in our earlier fMRI study. RESULTS: Two SNPs (rs806377 and rs806380) were associated with differential gaze duration for happy (but not disgust) faces. Importantly, the allelic groups associated with greater striatal response to happy faces in the fMRI study were associated with longer gaze duration for happy faces. CONCLUSIONS: These results suggest CNR1 variations modulate striatal function that underlies the perception of signals of social reward such as happy faces. This suggests CNR1 is a key element in the molecular architecture of perception of certain basic emotions. This may have implications for understanding neurodevelopmental conditions marked by atypical eye contact and facial emotion processing, such as ASC.
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When a visual stimulus is suppressed from awareness, processing of the suppressed image is necessarily reduced. Although adaptation to simple image properties such as orientation still occurs, adaptation to high-level properties such as face identity is eliminated. Here we show that emotional facial expression continues to be processed even under complete suppression, as indexed by substantial facial expression aftereffects.
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Background: Anhedonia, the loss of pleasure in usually enjoyable activities, is a central feature of major depressive disorder (MDD). The aim of the present study was to examine whether young people at a familial risk of depression display signs of anticipatory, motivational or consummatory anhedonia, which would indicate that these deficits may be trait markers for MDD. Methods: The study was completed by 22 participants with a family history of depression (FH+) and 21 controls (HC). Anticipatory anhedonia was assessed by asking participants to rate their anticipated liking of pleasant and unpleasant foods which they imagined tasting when cued with images of the foods. Motivational anhedonia was measured by requiring participants to perform key presses to obtain pleasant chocolate taste rewards or to avoid unpleasant apple tastes. Additionally, physical consummatory anhedonia was examined by instructing participants to rate the pleasantness of the acquired tastes. Moreover, social consummatory anhedonia was investigated by asking participants to make preference-based choices between neutral facial expressions, genuine smiles, and polite smiles. Results: It was found that the FH+ group’s anticipated liking of unpleasant foods was significantly lower than that of the control group. By contrast, no group differences in the pleasantness ratings of the actually experienced tastes or in the amount of performed key presses were observed. However, controls preferred genuine smiles over neutral expressions more often than they preferred polite smiles over neutral expressions, while this pattern was not seen in the FH+ group. Conclusion: These findings suggest that FH+ individuals demonstrate an altered anticipatory response to negative stimuli and show signs of social consummatory anhedonia, which may be trait markers for depression.
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Periocular recognition has recently become an active topic in biometrics. Typically it uses 2D image data of the periocular region. This paper is the first description of combining 3D shape structure with 2D texture. A simple and effective technique using iterative closest point (ICP) was applied for 3D periocular region matching. It proved its strength for relatively unconstrained eye region capture, and does not require any training. Local binary patterns (LBP) were applied for 2D image based periocular matching. The two modalities were combined at the score-level. This approach was evaluated using the Bosphorus 3D face database, which contains large variations in facial expressions, head poses and occlusions. The rank-1 accuracy achieved from the 3D data (80%) was better than that for 2D (58%), and the best accuracy (83%) was achieved by fusing the two types of data. This suggests that significant improvements to periocular recognition systems could be achieved using the 3D structure information that is now available from small and inexpensive sensors.