131 resultados para Prolegomena


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Pars I. Prolegomena complectens: v.1. De Thucydidis historia iudicum. 1821.--v.2. In Thucydidem commentarii politici, geographici, chronologici. 1823.--Pars II. Contextus verborum cum scholiis et scripturae discrepantiis: v.1. Thucydidis liber I., cum disputatione: de artis criticae apud Thucydidem exercendae ratione et subsidiis. 1825.--v.2. Thucydidis liber II. et III. 1826.--v.3. Thucydidis liber IV. et V. 1827.--v.4. Thucydidis liber VI. VII. et VIII. Cum tabula Syracusarum. 1828.--Pars III. Commentarii: v.1. Adnotata ad librum I., cum Stephani Proparasceue. 1831.--v.2. Adnotata ad libros II. et III. 1834.--v.3. Adnotata ad libros IV. et V. 1835.--v.4. Adnotata ad libros VI.-VIII. 1838.--Pars IV. Suplementa et indices. Editio auctior atque amendatior. 1851.

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Based on W. F. Moulton's edition of G. B. Winer's grammar.

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t.1. Eryaiphei. Praemittuntur prolegomena do fungorum conditione naturali crescendi modo et propagatione.--t.2. Xylarlei. Valsel. Sphaeriel.--t.3. Nectriei. Phacidiei. Pezizei.

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This article focuses on the analysis of the concept of love in the religious philosophy of Pavel Florensky, who shares the ontological approach to the consideration of love with other representatives of Russian religious philosophy (N. berdyaev and S. bulgakov). We pay more careful attention to the understanding of love-άγαπαν by Florensky. We have drawn the conclusion that, in the philosophy of P. Florensky, Love, closely connected with truth and beauty, is considered an ontological basis existence of personality. We develop the ideas of Pavel Florensky, and accordingly assume that it is possible to synthesise love-agape and love-eros around the idea of sacrificial love. Agapelogical and erotical ‘bezels’ of one jewel of love is aspects of united love, which is given by God. this gift of God, the gift of united love, is kept by humans through prayer and deeds of love.

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adesp. fr. 700 Kn.-Sn. podría proceder de Andrómeda de Eurípides y no de una Níobe. Los siguientes elementos de los frs. (a) y (b) pueden responder a lo que se conoce de la tragedia de Eurípides: (a) la semejanza con una estatua; (b) la novia de Hades; (c) el silencio del personaje; (d) la colaboración con las Moiras; (e) el contraste entre la fortuna regia y la desgracia y el sufrimiento de los padres. No es, por tanto, necesario modificar el texto recibido para eliminar μάγους πάγας y la referencia a las trampas mágicas en el v. 5, que cuadra bien con Medusa y Perseo.

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El breve commentum in Statii Achilleida resulta muy interesante para el estudio de la transmisión mitográfica de la Antigüedad tardía al Medievo, pues no sólo participa de las características propias de la mitografía (narraciones de mitos, exégesis racionalista y/o alegórica, interpretaciones etimológicas, anonimato, pseudepigrafía,…), sino que también es otro eslabón en la cadena textual de transmisión, simplificación y canonización de los mitos clásicos.

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Ce mémoire porte sur les retraductions françaises du XXe siècle d’Al Moqaddima (Les Prolégomènes) (1377) d’Ibn Khaldoun, un traité historique et philosophique du XIVe siècle. La première traduction française, Les Prolégomènes, est réalisée par De Slane entre 1840 et 1863. Elle est suivie de deux retraductions, à savoir Discours sur l’histoire universelle (1967- 1968) réalisée par Vincent-Mansour Monteil, et Le Livre des Exemples I : Autobiographie, La Muqaddima (2002) réalisée par Abdesselam Cheddadi. L’objet de ce mémoire est de mener une analyse contextuelle, paratextuelle et discursive de ces deux retraductions de l’œuvre monumentale d’Ibn Khaldoun, afin de dégager les principaux facteurs déterminant, dans chaque cas, le choix de retraduire. Notre approche théorique s’inscrit dans le contexte récent de remise en cause de ladite « hypothèse de la retraduction » d’Antoine Berman, qui privilégie une analyse textuelle de l’œuvre (re)traduite en négligeant quelque peu l’analyse contextuelle éclairant les conditions de production des retraductions, et en limitant le positionnement du traducteur à sa relation envers la « vérité » du texte source. Ainsi, en retraçant l’histoire des différentes éditions des Prolégomènes au XXe siècle, en exposant le contexte qui entoure les retraductions, et en nous nous attachant aux stratégies discursives déployées par les traducteurs en marge de ces dernières, nous tenons compte des réflexions récentes sur les « causalités multiples » du phénomène de la retraduction, tout en montrant comment la subjectivité du traducteur, ses décisions et ses motivations sont reliées à tous les éléments extratextuels ou contextuels mis en valeur par les théoriciens. Nous montrons par notre analyse que les deux retraductions au corpus sont motivées par des facteurs internes au texte (tels que l’authenticité de leur original, une meilleure connaissance du texte, de la langue et de la culture source, la nécessité de corriger des erreurs dans les traductions antérieures), mais aussi par de nouveaux éléments externes au texte (tels que le changement de normes sociales, littéraires et traductionnelles, l’émergence de nouvelles interprétations du texte, le positionnement idéologique du retraducteur, sa volonté de s’imposer comme une autorité, etc.). La retraduction s’avère donc un phénomène complexe motivé par une combinaison de facteurs, à la fois internes (textuels), externes (contextuels) et personnels, propres au (re)traducteur.

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Ce mémoire porte sur les retraductions françaises du XXe siècle d’Al Moqaddima (Les Prolégomènes) (1377) d’Ibn Khaldoun, un traité historique et philosophique du XIVe siècle. La première traduction française, Les Prolégomènes, est réalisée par De Slane entre 1840 et 1863. Elle est suivie de deux retraductions, à savoir Discours sur l’histoire universelle (1967- 1968) réalisée par Vincent-Mansour Monteil, et Le Livre des Exemples I : Autobiographie, La Muqaddima (2002) réalisée par Abdesselam Cheddadi. L’objet de ce mémoire est de mener une analyse contextuelle, paratextuelle et discursive de ces deux retraductions de l’œuvre monumentale d’Ibn Khaldoun, afin de dégager les principaux facteurs déterminant, dans chaque cas, le choix de retraduire. Notre approche théorique s’inscrit dans le contexte récent de remise en cause de ladite « hypothèse de la retraduction » d’Antoine Berman, qui privilégie une analyse textuelle de l’œuvre (re)traduite en négligeant quelque peu l’analyse contextuelle éclairant les conditions de production des retraductions, et en limitant le positionnement du traducteur à sa relation envers la « vérité » du texte source. Ainsi, en retraçant l’histoire des différentes éditions des Prolégomènes au XXe siècle, en exposant le contexte qui entoure les retraductions, et en nous nous attachant aux stratégies discursives déployées par les traducteurs en marge de ces dernières, nous tenons compte des réflexions récentes sur les « causalités multiples » du phénomène de la retraduction, tout en montrant comment la subjectivité du traducteur, ses décisions et ses motivations sont reliées à tous les éléments extratextuels ou contextuels mis en valeur par les théoriciens. Nous montrons par notre analyse que les deux retraductions au corpus sont motivées par des facteurs internes au texte (tels que l’authenticité de leur original, une meilleure connaissance du texte, de la langue et de la culture source, la nécessité de corriger des erreurs dans les traductions antérieures), mais aussi par de nouveaux éléments externes au texte (tels que le changement de normes sociales, littéraires et traductionnelles, l’émergence de nouvelles interprétations du texte, le positionnement idéologique du retraducteur, sa volonté de s’imposer comme une autorité, etc.). La retraduction s’avère donc un phénomène complexe motivé par une combinaison de facteurs, à la fois internes (textuels), externes (contextuels) et personnels, propres au (re)traducteur.