Alcoholic beverages and reciprocal trade agreements.

Mode of access: Internet.

Extension of Reciprocal trade agreements act. Hearings before the Committee on ways and means, House of representatives, Seventy-sixth Congress, third session, on H.J. Res. 407, a joint resolution to extend the authority of the President under section 350 of the Tariff act of 1930, as amended.

Robert L. Doughton, chairman.

Firm-level utilization rates of regional trade agreements : importers' perspective

While previous theoretical studies have examined exporters' choice of tariff schemes without considering explicit heterogeneity of importers, an empirical analysis on regional trade agreement (RTA) utilization is, in general, possible by employing trade data covering the importers' side. To better link the empirical analysis with a theoretical model, this study develops a model that sheds light on the role of both importers' and exporters' characteristics in RTA utilization. The model enables us to replicate stylized facts concerning importers' RTA utilization. Based on this model, we derive some propositions on the determinants of RTA utilization rates (i.e., share of imports under RTA schemes out of total imports) at an import firm-product level. Finally, we found that these theoretical predictions are supported by highly detailed import data in Thailand from Australia from 2007 to 2009.

Editor's choice Regional trade agreements and export competitiveness: the uncertain path of Nicaragua’s apparel exports under CAFTA

The Central American Free Trade Agreement (CAFTA) has been a mixed blessing for economic development. While exports to the US economy have increased, dependency may hinder economic growth if countries do not diversify or upgrade before temporary provisions expire. This article evaluates the impact of the temporary Tariff Preference Levels (TPLs) granted to Nicaragua under CAFTA and the consequences of TPL expiration. Using trade statistics, country- and firm-level data from Nicaragua’s National Free Zones Commission (CNZF) and data from field research, we estimate Nicaragua’s apparel sector will contract as much as 30–40% after TPLs expire. Our analysis underscores how rules of origin and firm nationality affect where and how companies do business, and in so doing, often constrain sustainable export growth.

An analysis of the effects of preferential trade policies through the estimation of quantitative models: the case of Portugal.

Doutoramento em Economia.

Firm-level trade creation and diversion of regional trade agreements in Thailand

Using highly detailed import data for Thailand, this paper examines firm-level trade creation and diversion of regional trade agreements (RTAs). Specifically, by focusing on firm-product pairs in which firms import a particular product from non-members but not from RTA members in the initial year of our sample, we empirically investigate the start of imports from RTA members under RTA schemes and the cessation of imports from non-members at the firm-level. We find that firms are more likely to stop importing products with low RTA tariff rates or high most-favored-nation tariff rates from non-members and to start importing such products from RTA member countries. However, from the quantitative point of view, there are very few firms that switch import sources from non-members to RTA members when facing the introduction of RTA schemes.

Essays in open economy macroeconomics with borrowing frictions

Cette thèse comporte trois essais en macroéconomie en économie ouverte et commerce international. Je considère tour à tour les questions suivantes: sous quelles conditions est-il optimal pour un pays de former une union économique? (essai 1); l'augmentation de la dispersion transversale des avoirs extérieurs nets des pays est-elle compatible avec une dispersion relativement stable des taux d'investissement? (essai 2); le risque de perte de marché à l'exportation du fait de l'existence des zones de commerce préférentiel joue t-il un rôle dans la décision des pays exclus de négocier des accords commerciaux à leur tour? (essai 3). Le premier essai examine les conditions d'optimalité d'une union économique. Il s'intéresse à une motivation particulière: le partage du risque lié aux fluctuations du revenu. Dans la situation initiale, les pays ont très peu d'opportunités pour partager le risque à cause des frictions: les marchés financiers internationaux sont incomplets et il n'y pas de mécanisme pour faire respecter les contrats de crédit entre pays. Dans ce contexte, une union économique apparait comme un arrangement qui pallie à ces frictions entre les pays membres seulement. Cependant, l'union dans son ensemble continue de faire face à ces frictions lorsqu'elle échange avec le reste du monde. L'arbitrage clé dans le modèle est le suivant. D'un coté, l'intégration économique permet un meilleur partage du risque entre pays membres et la possibilité pour le partenaire pauvre d'utiliser la ligne de crédit du partenaire riche en cas de besoin. De l'autre coté, l'union peut faire face à une limite de crédit plus restrictive parce que résilier la dette extérieure est moins coûteux pour les membres l'union. De plus, le fait que le partenaire pauvre peut utiliser la limite de crédit du partenaire riche génère une externalité négative pour ce dernier qui se retrouve plus fréquemment contraint au niveau des marchés internationaux des capitaux. En conformité avec les faits observés sur l'intégration économique, le modèle prédit que les unions économiques sont relativement peu fréquentes, sont plus susceptibles d'être créées parmi des pays homogènes, et généralement riches. Le deuxième essai porte sur la dispersion des avoirs extérieurs nets et la relation avec la dispersion des taux d'investissement. Au cours des récentes décennies, la dispersion croissante des déséquilibres extérieurs et les niveaux record atteints par certaines grandes économies ont reçu une attention considérable. On pourrait attribuer ce phénomène à une réduction des barrières aux mouvements internationaux des capitaux. Mais dans ce cas, il est légitime de s'attendre à une augmentation de la dispersion au niveau des taux d'investissement; ceci, parce que le financement des besoins en investissements constitue une raison fondamentale pour laquelle les pays échangent les capitaux. Les données indiquent cependant que la dispersion des taux d'investissement est restée relativement stable au cours des récentes décennies. Pour réconcilier ces faits, je construis un modèle d'équilibre général dynamique et stochastique où les pays sont hétérogènes en raison des chocs idiosyncratiques à leurs niveaux de productivité totale des facteurs. Au niveau des marchés internationaux des capitaux, le menu des actifs disponibles est restreint à une obligation sans risque et il n'y a pas de mécanisme pour faire respecter les contrats de crédit entre pays. A tout moment, un pays peut choisir de résilier sa dette extérieure sous peine d'exclusion financière et d'un coût direct. Ce coût direct reflète les canaux autres que l'exclusion financière à travers lesquels les pays en défaut sont pénalisés. Lorsque le modèle est calibré pour reproduire l'évolution de la dispersion transversale des avoirs extérieurs nets, il produit une dispersion relativement stable des taux d'investissement. La raison principale est que les incitations que les pays ont à investir sont liées à la productivité. Avec l'intégration financière, même si les opportunités d'emprunt se sont multipliées, les incitations à investir n'ont pas beaucoup changé. Ce qui permet de générer une dispersion accrue de la position des avoirs extérieurs nets des pays avec une dispersion relativement stable des taux d'investissement. Le troisième essai analyse un aspect de l'interdépendance dans la formation des accords commerciaux préférentiels: j'examine empiriquement si le risque de diversion des exportations en faveur des pays membres des zones de commerce préférentiel est un facteur déterminant dans la décision des pays exclus de ces accords de négocier un accord à leur tour. Je construis un indicateur qui mesure le potentiel de diversion des exportations auquel font face les pays et estime un modèle probit de formation des zones de commerce préférentiel créées entre 1961 et 2005. Les résultats confirment que les pays confrontés à un plus grand potentiel de détournement des échanges sont plus susceptibles de former une zone de commerce préférentiel à leur tour.

Market access in the western hemisphere: implications for the Andean Community

Este estudio busca contribuir a la evaluación del impacto económico que una mayor liberalización comercial en el Hemisferio Occidental, puede tener sobre los países miembros de la Comunidad Andina. Los escenarios de liberalización comercial más significativos se identifican y simulan, mediante el uso del modelo GTAP en su versión estándar de rendimientos constantes a escala. Los resultados básicos indican una muy baja coincidencia en la dirección de los cambios de bienestar esperables para los países andinos, bajo los cuatro escenarios analizados. De una forma muy simplificada, puede decirse que una mayor liberalización comercial implica pérdidas de bienestar para Colombia, Perú y Ecuador-Bolivia, en tanto que para Venezuela se encuentran ganancias bajo los escenarios que implementan el Área de Libre Comercio de las Américas y pérdidas bajo el que implementa el Acuerdo de Libre Comercio entre sus socios andinos y Estados Unidos. Los términos de intercambio juegan un papel determinante en estos resultados. En general se mueven en contra de estas economías, con la notoria excepción de Venezuela. Al parecer, los países andinos se han beneficiado en el pasado de la desviación de comercio que otras regiones han sufrido, como consecuencia de los acuerdos preferenciales de comercio en los cuales los primeros han participado. Con la erosión del acceso preferencial a otros mercados, implícita en los escenarios simulados, el aumento en la competencia tanto por el lado de las exportaciones como por el de las importaciones, tiende a ajustar la posición internacional de estos países, trayendo con ello nuevos retos para el manejo de sus economías.

Relações comerciais entre Brasil e China : uma análise de bem-estar a partir de um modelo de equilíbrio geral computável

O propósito deste trabalho é examinar possíveis ganhos de bem-estar provenientes de arranjos comerciais entre Brasil e China sob a ótica de um modelo de equilíbrio geral computável, o chamado “modelo GTAP” (sigla para Global Trade Analysis Project). Com base em uma descrição extensiva das estruturas econômicas e comerciais dos países e das Vantagens Comparativas de cada um deles, é possível simular acordos preferenciais de comércio e analisar os resultados de bem-estar por meio da medida de Variação Equivalente. Outro aspecto referente ao comércio sino-brasileiro que pode ser avaliado pela medida de bem-estar é o desalinhamento cambial dos dois países e as consequências deste para as transações comerciais entre ambos. Utilizando o mesmo ferramental anteriormente citado, o trabalho busca avaliar o impacto de tal desalinhamento no bem-estar dos países, uma vez que o câmbio seja corrigido via ajuste tarifário.

Acordos preferenciais de comércio e a OMC: um estudo sobre seus mecanismos de solução de controvérsias

Este trabalho analisa os Acordos Preferenciais de Comércio (APCs) com ênfase em seus Mecanismos de Solução de Controvérsias (MSC). A partir da seleção de alguns APCs bilaterais celebrados por Estados Unidos e União Europeia com outros parceiros comerciais, o trabalho objetiva (i) explicar como funcionam os MSC previstos pelos APCs para, em seguida, (ii) testar a hipótese de que a forma como os MSC são negociados nos APCs possibilita, em alguma medida, sua coexistência com o Órgão de Solução de Controvérsias (OSC) da Organização Mundial do Comércio (OMC). This paper analyzes Preferential Trade Agreements (PTA) focusing in its Dispute Resolution Mechanisms (DRM). Bilateral agreements signed by the United States and the European Union with other countries were selected with the aim to (i) explain how the DRMs stablished by PTAs work and, aftwards, (ii) test the hypothesis that the way the DRMs are negotiated in the PTAs enables its coexistence with the Dispute Settlement Body (DSB) of the World Trade Organization.

The manufacturing industry in Brazil in the era of global value chains

This article presents a comprehensive and detailed overview of the international trade performance of the manufacturing industry in Brazil over the last decades, emphasizing its participation in Global Value Chains. It uses information from recent available global inputoutput tables such as WIOD (World Input-output database) and TIVA (Trade in Value Added, OECD) as well as complementary information from the GTAP 8 (Global Trade Analysis Project) database. The calculation of a broad set of value added type indicators allows a precise contextualization of the ongoing structural changes in the Brazilian industry, highlighting the relative isolation of its manufacturing sector from the most relevant international supply chains. This article also proposes a public policy discussion, presenting two case studies: the first one related to trade facilitation and the second one to preferential trade agreements. The main conclusions are twofold: first, the reduction of time delays at customs in Brazil may significantly improve the trade performance of its manufacturing industry, specially for the more capital intensive sectors which are generally the ones with greater potential to connection to global value chains; second, the extension of the concept of a “preferential trade partner” to the context of the global unbundling of production may pave the way to future trade policy in Brazil, particularly in the mapping of those partners whose bilateral trade relations with Brazil should receive greater priority by policy makers.

The manufacturing industry in Brazil in the era of global value chains

This article presents a comprehensive and detailed overview of the international trade performance of the manufacturing industry in Brazil over the last decades, emphasizing its participation in Global Value Chains. It uses information from recent available global inputoutput tables such as WIOD (World Input-output database) and TIVA (Trade in Value Added, OECD) as well as complementary information from the GTAP 8 (Global Trade Analysis Project) database. The calculation of a broad set of value added type indicators allows a precise contextualization of the ongoing structural changes in the Brazilian industry, highlighting the relative isolation of its manufacturing sector from the most relevant international supply chains. This article also proposes a public policy discussion, presenting two case studies: the first one related to trade facilitation and the second one to preferential trade agreements. The main conclusions are twofold: first, the reduction of time delays at customs in Brazil may significantly improve the trade performance of its manufacturing industry, specially for the more capital intensive sectors which are generally the ones with greater potential to connection to global value chains; second, the extension of the concept of a “preferential trade partner” to the context of the global unbundling of production may pave the way to future trade policy in Brazil, particularly in the mapping of those partners whose bilateral trade relations with Brazil should receive greater priority by policy makers