989 resultados para Philosophie de la physique
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Produced in association with the Journal Manuscripta.
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Includes indexes.
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Vol. 7: cancel p. 31-32 bound in following p. 670.
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Tomes 4-5 have imprint: Paris, Panckoucke; tomes 6-7: Paris, Chez l'éditeur; tomes 8-16: Paris, G. J. Cuchet.
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t. 1. Les préliminaires généraux et la philosophie mathématique.--t. 2. La philosophie astronomique et la philosophie de la physique.--t. 3. La philosophie chimique et la philosophie biologique.--t. 4. La partie dogmatique de la philosophie sociale.--t. 5. La partie historique de la philosophie sociale.--t. 6. Le complément de la philosophie sociale et les co conclusions générales.
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Over a long period the philosopher, Maurice Blondel, was an outspoken critic of exaggerated nationalism. The series of articles that appeared in 1909-10 in the Annales de philosophie chrétienne under the title of « La Semaine sociale de Bordeaux », and later were published in book form, contained a philosophically and theologically motivated critique of the early support shown by French Catholics for the doctrinaire nationalism of Charles Maurras. In 1928 Blondel returned to a critique of this same nationalism in his detailed article « Patrie et Humanité ». But the further criticism of nationalism contained in parts of his book Lutte pour la civilisation et philosophie de la paix, which was published in 1939 (and anew in 1947 in a slightly revised edition), was of a different order, being focused on the nationalism associated with what Blondel termed totalitarisme in its then German or Nazi form. Despite this record, it would be a mistake to assume that Blondel was an internationalist fitting clearly into the Briand mould. After the First World War Blondel favoured the hard-line foreign policy advocated by Poincaré and Foch, in particular over the future of the Rhineland. And he remained a conservative Catholic. His book of 1939 denounced not only totalitarisme in both its Nazi and Soviet forms, but also, on an opposing front, liberalism in the social and economic sphere. As to the deleterious effect of nationalism on international relations, he was an advocate of strengthening international law, notably the corpus of law emanating from The Hague. Maurice Blondel was greatly admired by Robert Schuman, the prominent French foreign minister under the Fourth Republic and a key figure for post-war European integration.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Cette thèse propose de suivre la lecture deleuzienne de Spinoza afin de montrer comment Deleuze inscrit sa philosophie de la différence dans l’histoire de la philosophie et de la métaphysique. Loin d’être condescendant envers l’histoire de cette discipline, Deleuze légitime sa conception bi-univoque de la différence à l’aide du parallélisme entre la Nature naturante et la Nature naturée de Spinoza. La différenciation de l’actuel (les modes, l’événement) se fait dans la différentiation du virtuel et c’est en procédant de la sorte que Deleuze participe de plain-pied à la tradition immanentiste de la philosophie où l’être se dit seulement de la différence qu’il exprime. Plus encore, cette thèse explique comment Deleuze reprend les principes de cette métaphysique immanentiste pour établir sa conception de la subjectivité. Là aussi, sa lecture de Spinoza est essentielle, car en affirmant la non-substantialisation de l’âme comme le fait Spinoza, Deleuze peut attaquer, à la racine, les fondements épistémologiques des philosophies du sujet de son époque (existentialisme et phénoménologie en tête). Pour Deleuze, cette conception modale de l’âme et de la subjectivité appuie, métaphysiquement parlant, une épistémologie fondée sur la passivité du sujet. Loin d’être le fondement de la vérité des idées, la conscience d’un moi dans l’âme est, pour Deleuze, un résultat synthétisé, jamais une fonction synthétisante. En ce sens, l’ultime réduction de la philosophie n’est plus l’ego cogito cartésien, mais consiste à reconnaître la fêlure du Je. Deleuze construit ainsi, en envisageant la place de l’imagination dans la puissance de connaître l’âme, une autre épistémologie que celle du sujet fondateur transcendantal ou transcendant. Pour lui, le constat est clair : comment pouvons-nous croire que nous sommes responsables de l’idée que nous formons de nous-mêmes (et s’établir sur celle-ci pour fonder, épistémologiquement, nos idées sur les choses) si nous ne savons même pas ce que peut notre corps, ni comment celui-ci peut affecter et être affecté par notre âme ? Ce principe de « l’inconnu du corps » relativise l’éminence de l’âme et inscrit Deleuze à la fois dans l’une des plus importantes batailles philosophiques de la Modernité (celle de Spinoza contre Descartes) et dans la crise de la subjectivité qui caractérise la pensée française au moment des années soixante. Mots clés : Deleuze ; Spinoza ; Descartes ; histoire de la philosophie ; métaphysique ; épistémologie ; subjectivité ; différence ; actuel ; virtuel ; Je fêlé ; corps ; imagination ; éthologie.