999 resultados para Obésité--Chirurgie
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Renal and testicular cancers account for 4% and 1% of all malignancies, respectively. Their prevalence has increased over the past years and is related to the widespread use of medical imaging and the incidental findings of small asymptomatic tumors on computed tomography scanners and ultrasounds examinations. The urologist faces the dilemma of overtreating benign asymptomatic lesions with radical surgery. Therefore, organ-sparing surgery was developed. Recent studies have shown that recurrence rates are often similar between organ-sparing and radical surgery for small kidney or testicular tumors. However, the risk of positive surgical margins consecutive to organ-sparing surgery remains a matter of debate. This article discusses the role of ex-vivo peroperative ultrasonography in predicting negative surgical margins during kidney- and testicular-sparing surgery.
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In order to prevent adjacent segment degeneration following spinal fusion new techniques are being used. Lumbar disc arthroplasty yields mid term results equivalent to those of spinal fusion. Cervical disc arthroplasty is indicated in the treatment of cervicobrachialgia with encouraging initial results. The ability of arthroplasty to prevent adjacent segment degeneration has yet to be proven. Although dynamic stabilization had not been proven effective in treating chronic low back pain, it might be useful following decompression of lumbar spinal stenosis in degenerative spondylolisthesis. Interspinal devices are useful in mild lumbar spinal stenosis but their efficacy in treating low back pain is yet to be proven. Confronted with a growing number of new technologies clinicians should remain critical while awaiting long term results.
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Comprend : Réponse... à Monsieur Bayle
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Introduction.- La découverte fortuite d'un adénome hypophysaire pose le diagnostic d'incidentalome. Un traitement s'impose en cas d'hypersécrétion et/ou troubles visuels. La conduite à tenir, chirurgie ou surveillance, est discutable en l'absence de symptômes et/ou en présence d'une insuffisance antéhypophysaire (IAH) seule pour les incidentalomes hypophysaires non fonctionnels (IHNF). Dans ce travail multicentrique rétrospectif, nous avons étudié le devenir post-chirurgical d'une série d'IHNF asymptomatiques ou ne présentant qu'une IAH. Matériel et méthodes.- Durant la période 2001-2011, parmi les 853 patients opérés d'un adénome hypophysaire par voie transsphénoïdale, les cas d'IHNF étaient sélectionnés. Tous les patients étaient explorés en pré- et postopératoire à 3, 6 et tous les 12 mois avec explorations endocriniennes, ophtalmologique, et radiologique (IRM sans et avec contraste). Les résultats étaient jugés sur le bilan postopératoire à 6 mois (qualité de résection par IRM, résultats endocriniens, ophtalmologiques, morbidité postopératoire). Résultats ou cas rapporté.- Sur 66 IHNF, 34 (52 %) étaient asymptomatiques ou en IAH seule. La céphalée était à l'origine du bilan dans 44 %. Il s'agissait de macroadénomes (hauteur médiane : 18 mm, Knosp 0-1 : 27 %, Knosp 2 : 38 %, Knosp 3 : 32 %, Knosp 4 : 3 %). Neuf patients étaient en IAH. En postopératoire, l'exérèse était totale dans 76 %. Aucun patient n'était aggravé sur le plan visuel. Sur le plan endocrinien, 33 % des patients avec IAH étaient normalisés, 11,5 % améliorés, 44 % stables et 11,5 % aggravés. Les sujets sans IAH étaient aggravés dans 16 %. La morbidité comportait aussi 3 % de fistules de LCR, 3 % de diabète insipide et 3 % de méningite. Il n'y avait pas de différence significative avec la population d'IHNF symptomatiques en termes de qualité d'exérèse, de morbidité mais globalement les résultats ophtalmologiques et endocriniens étaient supérieurs. Conclusion.- Des études ont montré que 67 % des IHNF devenaient symptomatiques avec 12 % de risque d'apoplexie pituitaire sur une période de 5 ans. Cet argument allié à l'absence de morbidité ophtalmologique rend raisonnable la proposition d'une chirurgie d'exérèse précoce donnant de meilleurs résultats fonctionnels pour les IHNF asymptomatiques.
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Ce travail concerne les 26 premiers patients opérés à Lausanne de juillet 1995 à avril 1998 d?une gie de réduction de volume pulmonaire pour un emphysème sévère. Il présente leurs actéristiques préopératoires générales, leur évaluation radiologique et cardiologique, ainsi que mesures fonctionnelles pulmonaires. Il examine ensuite la technique opératoire, la période ériopératoire, ainsi que les résultats fonctionnels postopératoires des patients. De plus il présente les entretiens ayant eu lieu avec chaque patient pour connaître son évaluation de l?opération et de ges résultats. Ces informations sont ensuite comparées avec les résultats présents dans la littérature. Le profil préopératoire, la technique opératoire, la période péripopératoire, et les résultats fonctionnels postopératoires sont comparés. Un groupe de patients qui n?a pas répondu au point de vue fonctionnel A la chirurgie est ensuite examiné afin de tenter de définir des critères préopératoires de bonne ou mauvaise réponse, et ceux-ci sont mis en relation avec les données de la littérature. On compare ensuite le groupe de mauvais répondeurs fonctionnels avec le groupe des patients ne s?estimant pas améliorés par l?opération. En faisant une étude statistiques des valeurs fonctionnelles pré et postopératoire, on observe une amélioration significative du VEMS, du volume résiduel, de la PaC02, de la distance parcounie au test de marche de six minutes et de la dyspnée engendrée par le test sur une échelle de Borg. L?amélioration de la Pa02 postopératoire et de la saturation en oxygène pendant le test de marche n?était pas significative statistiquement. On peut voir que ce collectif de patients lausannois est comparable aux autres séries au niveau du profil préopératoire et de la gravité de l?atteinte fonctionnelle, au niveau de la technique opératoire, de la mortalité et morbidité, et des résultats fonctionnels postopératoires. On observe comme différence un volume résiduel moyen préopératoire plus élevé et davantage amélioré en postopératoire que dans la littérature. Cette étude ne met pas en évidence - et c?est également le cas dans la littérature - de critères clairs préopératoires prédictifs d?une bonne réponse à la chirurgie. De même elle n?a pas mis en évidence de concordance entre l?amélioration de la symptomatologie des patients et les résultats fonctionnels postopératoires. 11 serait donc intéressant de poursuivre ce travail par une évaluation prospective plus systématique des patients opérés et de pouvoir la comparer avec les résultats des patients récusés ou refusant la chirurgie de réduction de volume pulmonaire, afin de pouvoir mieux en évaluer les bénéfices à long terme.