Pharmacodynamics of mefloquine and praziquantel combination therapy in mice harbouring juvenile and adult Schistosoma mansoni

Praziquantel (PZQ) is currently the only drug widely used for the treatment of schistosomiasis, but the antimalarial drug mefloquine (Mef) possesses interesting antischistosomal properties. Combination therapy with these two drugs has been suggested as a strategy for transmission control, as PZQ is active against adult worms and Mef is active against schistosomula. To examine the efficacy of combination therapy, Schistosoma mansoni-reinfected mice were separated into seven groups: untreated (I), treated with PZQ in doses of 200 mg/kg (II) or 1,000 mg/kg (III), treated with Mef in doses of 200 mg/kg (IV) or 400 mg/kg (V); each dose was divided equally and given on two consecutive days. Group VI was treated with doses of PZQ + Mef as in groups II and IV, respectively, while group VII was treated with PZQ + Mef as in groups III and V, respectively. PZQ + Mef at the reduced doses of 200 mg/kg each enhanced the therapeutic efficacy over the reduced PZQ dose alone as shown by a very high reduction in the total numbers of mature worms (95% vs. 49%), immature worms (96% vs. 29%) and the complete eradication of immature females, mature females and immature eggs. The reduction in worm burden was associated with the healing of hepatic granulomatous lesions and the normalisation of all liver enzymes. Therefore, the use of Mef with PZQ is more effective than PZQ alone and should be considered for clinical trials in humans as a potential treatment regimen to prevent treatment failures in areas with high rates of schistosomiasis.

[Monument commémoratif de la victoire de 1918 à Soissons, érigé au rond-point des Champs-Élysées] : [photographie de presse] / [Agence Rol]

Référence bibliographique : Rol, 55022

[Monument commémoratif de la victoire de 1918 à Soissons, érigé au rond-point des Champs-Élysées] : [photographie de presse] / [Agence Rol]

Référence bibliographique : Rol, 55014

Italie 1915-1918 : communion nationale ou guerre de classes ?

À l'heure où la fascination esthétisante pour « l'horreur » semble gagner des adeptes en nombre toujours croissant, tant d'un point de vue historiographique que des différents usages publics et politiques qui en sont faits, cette contribution vise à repenser la guerre en tant qu'espace social signifiant. Elle s'inscrit en effet dans des dynamiques sociales et politiques « ordinaires ». Elle ne peut, dans cette optique, faire abstraction de la compréhension de l'ordre social existant avec son lot d'oppression, mais aussi de refus et de révolte. Cette contribution se propose d'envisager, à partir du cas italien, un cas limite trop souvent oublié dans l'historiographie européenne du premier conflit mondial, les pratiques mais aussi les représentations sociales du conflit, afin de saisir ce que la guerre peut apporter à la compréhension de la conflictualité sociale au début du XXe siècle. Mais aussi de chercher à savoir comment les « résistances » ouvertes ou celées qui s'expriment au cours de la guerre faite et vécue transforment le rapport des soldats à leur groupe social.

Somme 1918, environs de Louvrechy [ruines] : [photographie de presse] / [Agence Rol]

Référence bibliographique : Rol, 57259

Allemagne, occupation déc. 1918, Bingen sur Rhin, un remorqueur, sur la montagne la statue colossale représentant la victoire de l'Allemagne en 1870 : [photographie de presse] / [Agence Rol]

Référence bibliographique : Rol, 57263