945 resultados para Mesure du temps
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[Mazarinade. 1649]
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UANL
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Ce Texte Constitue un Survol des Differentes Approches Destines a Mesurer le Progres Technique. Nous Utilisons une Notation Uniforme Tout au Long des Demonstrations Mathematiques et Nous Faisons Ressortir les Hypotheses Qui Rendent L'application des Methodes Proposees Envisageable et Qui En Limitent la Portee. les Diverses Approches Sont Regroupees D'apres une Classification Suggeree Par Diewert (1981) Selon Laquelle Deux Groupes Sont a Distinguer. le Premier Groupe Contient Toutes les Methodes Definissant le Progres Technique Comme le Taux de Croissance D'un Indice des Outputs Divise Par un Indice des Inputs (Approche de Divisia). L'autre Groupe Inclut Toutes les Methodes Definissant le Progres Technique Comme Etant le Deplacement D'une Fonction Representant la Technologie (Production, Cout, Distance). Ce Second Groupe Est Subdivise Entre L'approche Econometrique,La Theorie des Nombres Indices et L 'Approche Non Parametrique. une Liste des Pricipaux Economistes a Qui L'on Doit les Diverses Approches Est Fournie. Cependant Ce Survol Est Suffisamment Detaille Pour Etre Lu Sans Se Referer aux Articles Originaux.
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Rapport de recherche
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Notre recherche tente de comprendre l’évolution de la participation sociale et les nouvelles formes qu’elle prend dans la société canadienne contemporaine. La participation sociale constitue désormais un enjeu important dans les sociétés démocratiques, où la vie sociale est menacée par la logique marchande et où l’action de l’État sollicite de plus en plus l‘engagement social. Nous nous demandons ainsi comment la distribution du temps de participation sociale a évolué chez les Canadiens âgés de 25 à 49 ans, afin de saisir de quelle manière les individus concilient quotidiennement leur vie professionnelle, familiale et civique. Nous avons ainsi analysé la participation sociale à partir de la place qu’elle occupe dans l’organisation de l’emploi du temps quotidien, plutôt qu’à partir de ses déterminants. Au terme de nos analyses, nous pouvons poser deux conclusions majeures. D’abord, l’évolution entre 1992 et 1998, des activités formelles (bénévolat) et des activités informelles (entraide) se caractérise par la baisse du taux de participation. Par contre, il s’est également produit un allongement du temps de participation du bénévolat qui témoigne de l’existence d’un « noyau dur » de bénévoles. Ensuite, c’est la manière spécifique dont les individus organisent leur temps libre qui explique l’engagement social et le temps qui lui est consacré. Ceci nous fait conclure à l’influence réelle mais non totalement déterminante du temps de travail dans le fait de s’engager ou non et de consacrer de plus ou moins longues périodes à la pratique de ces activités.