856 resultados para Linguistic typology
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When developmental vernacular practice is telescoped into industrial activity, the role played by construction workers in the honing of a craft is rapidly bypassed. An almost political act is required to maintain the contribution that the hand makes to the uniformity of result that is demanded by the standard classification of typologies of building and technique. Research into fabric formwork techniques conducted by Alan Chandler utilises the flexibility of the concrete mould to explore the meaning of the making ‘process’ and the workers’ role in relation to the formal ‘result’. Chandler’s ‘Wall One’ exemplifies the exploratory prototype and its potential for variety and the trace of the hand in making. The shift to a mass production typology involved in realising the 325,000 square-metre Heatherwick studio project in Shanghai, presented the problem of how to orchestrate the fabric into a fully industrialised process. Part of the research then became how to make the shift from play to profit - and can anything of craft survive the transition into the international development marketplace? Through managing the inherent variety available to the fabric itself, a fabric based formwork solution for realising a building at the scale of a landscape offered the Chinese form work maker the opportunity to be present within the results of a fully industrialised process – a ghost in the machine.
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Dissertação de Mestrado, Gestão da Água e da Costa, Faculdade de Ciências e Tecnologia, Universidade do Algarve, 2007
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Studies of the linguistic landscape (LL) are concerned with language in its written form, in the public sphere; language that is visible to all through texts such as billboards and other public signs. The LL is such a taken-for-granted part of our everyday experience that its importance as a form of social practice is often overlooked. Taking a mixed methods approach to the case of the linguistic landscape of the ‘Golden Triangle’, an area of tourist resorts which is gradually becoming a residential area in the Algarve, Portugal, I suggest that the discursive construction of a place is partly achieved through the highly visible texts of the LL which may also impact upon the discursive construction of the collective identities of those who inhabit the place.
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Thesis (Master's)--University of Washington, 2015
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This article reports on a study that examined the personal employment paths of six international academics at a British university. To complement previous accounts of difficult migration, it focuses on the successful experiences of such academics, in particular how proficiency in English facilitated their move into employment in higher education (HE), and the linguistic competences and communication strategies they deploy in their daily activities. The article identifies key factors that have facilitated to their academic achievements and contributes to the understanding of the benefits and consequences of skilled migration. In conclusion, it suggests workplace pedagogy and policy responses that could facilitate other international academics' successful experiences in the UK HE sector.
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This study explores the impact of relative size on the intra- and intergroup attitudes of groups who either share a language or have a different language. For that purpose, we examined international attitudes, comparing a small nation, Switzerland, and two larger nations, Germany and France. We found support for the assumption that large neighbouring nations pose a threat to the smaller nation's identity, especially when they are linguistically similar. Consequently, in line with Tajfel's Social Identity Theory (1978), the smaller nation's inhabitants evaluate those of the larger nation less positively, liking them less and perceiving them to be more arrogant than vice versa. By investigating the special case of the French-speaking and the German-speaking Swiss as linguistic groups within their own nation we were able to demonstrate that these groups seek support with the larger-linguistically-similar nation to defend themselves against the more direct in-country threat to their identity. They acknowledge the similarity with the larger nation, yet keep defending their social identity by expressing a dislike for this perceived similarity.
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Notre recherche a pour but de déterminer comment les genres textuels peuvent être exploités dans le design des environnements numériques de travail afin de faciliter l’accomplissement des pratiques textuelles de cadres et de secrétaires dans une municipalité et une administration fédérale canadiennes. À cet effet, le premier objectif consiste à évaluer l’aptitude des environnements numériques de travail à supporter les pratiques textuelles (lecture, écriture et manipulation des textes) de ces employés. Le deuxième objectif est de décrire les rôles des genres textuels au cours des pratiques textuelles. Avec l’exemple du courriel, le troisième objectif vise à examiner comment le genre peut être exploité dans une perspective d’assistance à la réalisation des pratiques textuelles dans les environnements numériques de travail. Cette recherche de nature qualitative comporte une méthodologie en deux étapes. La première étape consiste en un examen minutieux des pratiques textuelles, des difficultés rencontrées au cours de celles-ci, du rôle du genre dans les environnements numériques de travail, ainsi que des indices sollicités au cours de la gestion du courriel. Trois modes de collecte des données qualitatives sont utilisés auprès de 17 cadres et de 17 secrétaires issus de deux administrations publiques : l’entrevue semi-dirigée, le journal de bord et l’enquête cognitive. Les résultats sont examinés à l’aide de stratégies d’analyse de contenu qualitative. La deuxième phase comprend la mise au point d’une chaîne de traitement du courriel, visant à étayer notre réflexion sur le genre textuel et son exploitation dans la conception des environnements numériques de travail. Un corpus de 1703 messages est élaboré à partir d’un échantillon remis par deux cadres gouvernementaux. Les résultats permettent d’abord de dresser un portrait général des pratiques de lecture, d’écriture et de manipulation des textes communes et spécifiques aux cadres et aux secrétaires. L’importance du courriel, qui constitue environ 40% des systèmes notés dans les journaux de bord, est soulignée. Les difficultés rencontrées dans les environnements numériques de travail sont également décrites. Dans un deuxième temps, les rôles du genre au cours des pratiques textuelles sont examinés en fonction d’une matrice tenant à la fois compte de ses dimensions individuelles et collectives, ainsi que de ses trois principales facettes ; la forme, le contenu et la fonction. Ensuite, nous présentons un cadre d’analyse des indices affectant la gestion du courriel qui synthétise le processus d’interprétation des messages par le destinataire. Une typologie des patrons de catégorisation des cadres est également définie, puis employée dans une expérimentation statistique visant la description et la catégorisation automatique du courriel. Au terme de ce processus, on observe des comportements linguistiques marqués en fonction des catégories du courriel. Il s’avère également que la catégorisation automatique basée sur le lexique des messages est beaucoup plus performante que la catégorisation non lexicale. À l’issue de cette recherche, nous suggérons d’enrichir le paradigme traditionnel relevant de l’interaction humain-ordinateur par une sémiotique du genre dans les environnements numériques de travail. L’étude propose également une réflexion sur l’appartenance du courriel à un genre, en ayant recours aux concepts théoriques d’hypergenre, de genre et de sous-genre. Le succès de la catégorisation automatique du courriel en fonction de facettes tributaires du genre (le contenu, la forme et la fonction) offre des perspectives intéressantes sur l’application de ce concept au design des environnements numériques de travail en vue de faciliter l’accomplissement des pratiques textuelles par les employés.
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Cette recherche vise à décrire 1) les erreurs lexicales commises en production écrite par des élèves francophones de 3e secondaire et 2) le rapport à l’erreur lexicale d’enseignants de français (conception de l’erreur lexicale, pratiques d’évaluation du vocabulaire en production écrite, modes de rétroaction aux erreurs lexicales). Le premier volet de la recherche consiste en une analyse d’erreurs à trois niveaux : 1) une description linguistique des erreurs à l’aide d’une typologie, 2) une évaluation de la gravité des erreurs et 3) une explication de leurs sources possibles. Le corpus analysé est constitué de 300 textes rédigés en classe de français par des élèves de 3e secondaire. L’analyse a révélé 1144 erreurs lexicales. Les plus fréquentes sont les problèmes sémantiques (30%), les erreurs liées aux propriétés morphosyntaxiques des unités lexicales (21%) et l’utilisation de termes familiers (17%). Cette répartition démontre que la moitié des erreurs lexicales sont attribuables à une méconnaissance de propriétés des mots autres que le sens et la forme. L’évaluation de la gravité des erreurs repose sur trois critères : leur acceptation linguistique selon les dictionnaires, leur impact sur la compréhension et leur degré d’intégration à l’usage. Les problèmes liés aux registres de langue sont généralement ceux qui sont considérés comme les moins graves et les erreurs sémantiques représentent la quasi-totalité des erreurs graves. Le troisième axe d’analyse concerne la source des erreurs et fait ressortir trois sources principales : l’influence de la langue orale, la proximité sémantique et la parenté formelle entre le mot utilisé et celui visé. Le second volet de la thèse concerne le rapport des enseignants de français à l’erreur lexicale et repose sur l’analyse de 224 rédactions corrigées ainsi que sur une série de huit entrevues menées avec des enseignants de 3e secondaire. Lors de la correction, les enseignants relèvent surtout les erreurs orthographiques ainsi que celles relevant des propriétés morphosyntaxiques des mots (genre, invariabilité, régime), qu’ils classent parmi les erreurs de grammaire. Les erreurs plus purement lexicales, c’est-à-dire les erreurs sémantiques, l’emploi de termes familiers et les erreurs de collocation, demeurent peu relevées, et les annotations des enseignants concernant ces types d’erreurs sont vagues et peu systématiques, donnant peu de pistes aux élèves pour la correction. L’évaluation du vocabulaire en production écrite est toujours soumise à une appréciation qualitative, qui repose sur l’impression générale des enseignants plutôt que sur des critères précis, le seul indicateur clair étant la répétition. Les explications des enseignants concernant les erreurs lexicales reposent beaucoup sur l’intuition, ce qui témoigne de certaines lacunes dans leur formation en lien avec le vocabulaire. Les enseignants admettent enseigner très peu le vocabulaire en classe au secondaire et expliquent ce choix par le manque de temps et d’outils adéquats. L’enseignement du vocabulaire est toujours subordonné à des tâches d’écriture ou de lecture et vise davantage l’acquisition de mots précis que le développement d’une réelle compétence lexicale.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal