734 resultados para Leiomyoma, urinary incontinence, sexual dysfunction, scales, diagnosis, treatment.
Resumo:
Introdução: Os exercícios de fortalecimento dos músculos do pavimento pélvico (EFMPP) são considerados a primeira intervenção no tratamento da incontinência urinária de esforço (IUE), porém os EFMPP são distintos, não existindo evidência sobre os parâmetros de treino. Objetivo: Identificar o protocolo e/ ou os parâmetros de treino dos músculos do pavimento pélvico (MPP) mais eficaz no tratamento da IUE feminina. Método: A pesquisa bibliográfica foi realizada entre janeiro de 1992 a março de 2014 nas bases de dados PubMed, Cochrane Library, PEDro, web of Science e LILACS. Os artigos incluídos eram de língua inglesa, estudos experimentais, no qual comparavam EFMPP com o tratamento placebo, usual ou sem tratamento, com idade compreendida entre os 18 e os 65 anos e diagnóstico de IUE. Os critérios de exclusão abrangeram o diagnóstico de IUE desencadeada por fatores externos ao trato urinário inferior, grávidas, puérperas, prolapso ≥ 2 e outros tipos de IU. A avaliação da qualidade metodológica for realizada através da escala PEDro. Resultados: Sete artigos de elevada qualidade metodológica foram incluídos na presente revisão. A amostra foi constituída por 331 mulheres, com idade média de 44,4 anos, duração média das perdas urinárias de 64 meses e a gravidade da IUE variou entre ligeira a severa. Os programas de EFMPP eram distintos em relação aos parâmetros de treino dos MPP, sendo que alguns estudos incluíram o treino abdominal, supervisão e técnicas adjuvantes. A taxa de curada da quantidade de perda urinária variou entre 28,6 a 80%, enquanto a força dos MPP variou de 15,6% a 161,7%. Conclusão: Na presente revisão sistemática, os EFMPP combinados com palpação digital, biofeedback e cones vaginais parecem ser mais eficazes na redução da quantidade de perda urinária, comparado com os EFMPP isolados ou sem tratamento. Esta revisão permitiu igualmente identificar as 12 semanas de duração da intervenção, 10 repetições por série e diferentes posições, sendo os parâmetros de treino mais consistentes na redução dos sintomas.
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OBJECTIVE: To evaluate the pertinence of prenatal diagnosis in cases of congenital uropathy. STUDY DESIGN: Retrospective evaluation over a period of 6.5 years. METHOD: 93 cases were involved in the comparison of prenatal ultrasonographic diagnosis with neonatal findings, autopsy results, and follow-up data. RESULTS: 33 fetuses had renal parenchymal lesions, 44 had excretory system lesions, and 6 had bladder and/or urethral lesions. Seventy-three pregnancies lead to live births. Eighteen terminations of pregnancy were performed on the parents' request for extremely severe malformations. Two intrauterine deaths were observed, and two infants died in the postnatal period. Prenatal diagnosis was obtained at an average of 27 weeks gestation. Diagnostic concordance was excellent in 82% and partial in 12% of cases with renal parenchymal lesions; the false-positive rate was 6%. For excretory system lesions, concordance was excellent in 87% and partial in 7.4% of cases, with a false-positive rate of 5.6%. Finally, concordance was excellent in 100% of cases of bladder and/or urethral lesions. The overall rate of total concordance was 86%. Partial concordance cases consisted of malformations different from those previously diagnosed, but prenatal diagnosis nevertheless lead to further investigations in the neonatal period and to proper management. The false-positive diagnoses (5.4%) never lead to termination of pregnancy. CONCLUSION: Prenatal diagnosis of congenital uropathy is effective. A third-trimester ultrasonographic examination is necessary to ensure proper neonatal management, considering that the majority of cases are diagnosed at this gestational age.
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L’incontinence urinaire d’effort (IUE) est une condition fréquente en période postnatale pouvant affecter jusqu’à 77% des femmes. Neuf femmes sur dix souffrant d’IUE trois mois après l’accouchement, vont présenter une IUE cinq ans plus tard. Le traitement en physiothérapie de l’IUE par le biais d’un programme d’exercices de renforcement des muscles du plancher pelvien est reconnu comme étant un traitement de première ligne efficace. Les études ont prouvé l’efficacité de cette approche sur l’IUE persistante à court terme, mais les résultats de deux ECR à long terme n’ont pas démontré un maintien de l’effet de traitement. L’effet d’un programme en physiothérapie de renforcement du plancher pelvien intensif et étroitement supervisé sur l’IUE postnatale persistante avait été évalué lors d’un essai clinique randomisé il y a sept ans. Le but principal de la présente étude était d’évaluer l’effet de ce programme sept ans après la fin des interventions de l’ECR initial. Un objectif secondaire était de comparer l’effet de traitement à long terme entre un groupe ayant fait seulement des exercices de renforcement du plancher pelvien et un groupe ayant fait des exercices de renforcement du plancher pelvien et des abdominaux profonds. Un troisième objectif était d’explorer l’influence de quatre facteurs de risques sur les symptômes d’IUE et la qualité de vie à long terme. Les cinquante-sept femmes ayant complétées l’ECR initial ont été invitées à participer à l’évaluation du suivi sept ans. Vingt et une femmes ont participé à l’évaluation clinique et ont répondu à quatre questionnaires, tandis que dix femmes ont répondu aux questionnaires seulement. L’évaluation clinique incluait un pad test et la dynamométrie du plancher pelvien. La mesure d’effet primaire était un pad test modifié de 20 minutes. Les mesures d’effets secondaires étaient la dynamométrie du plancher pelvien, les symptômes d’IUE mesuré par le questionnaire Urogenital Distress Inventory, la qualité de vie mesurée par le questionnaire Incontinence Impact Questionnaire et la perception de la sévérité de l’IUE mesuré par l’Échelle Visuelle Analogue. De plus, un questionnaire portant sur quatre facteurs de risques soit, la présence de grossesses subséquentes, la v présence de constipation chronique, l’indice de masse corporel et la fréquence des exercices de renforcement du plancher pelvien de l’IUE, venait compléter l’évaluation. Quarante-huit pour-cent (10/21) des participantes étaient continentes selon de pad test. La moyenne d’amélioration entre le résultat pré-traitement et le suivi sept ans était de 26,9 g. (écart-type = 68,0 g.). Il n’y avait pas de différence significative des paramètres musculaires du plancher pelvien entre le pré-traitement, le post-traitement et le suivi sept ans. Les scores du IIQ et du VAS étaient significativement plus bas à sept ans qu’en prétraitement (IIQ : 23,4 vs 15,6, p = 0,007) et (VAS : 6,7 vs 5,1, p = 0,001). Les scores du UDI étaient plus élevés au suivi sept ans (15,6) qu’en pré-traitement (11,3, p = 0,041) et en post-traitement (5,7, p = 0,00). La poursuite des exercices de renforcement du plancher pelvien à domicile était associée à une diminution de 5,7 g. (p = 0,051) des fuites d’urine observées au pad test selon une analyse de régression linéaire. Les limites de cette étude sont ; la taille réduite de l’échantillon et un biais relié au désir de traitement pour les femmes toujours incontinentes. Cependant, les résultats semblent démontrer que l’effet du traitement à long terme d’un programme de renforcement des muscles du plancher pelvien qui est intensif et étroitement supervisé, est maintenu chez environ une femme sur deux. Bien que les symptômes d’IUE tel que mesuré par les pad test et le questionnaire UDI, semblent réapparaître avec le temps, la qualité de vie, telle que mesurée par des questionnaires, est toujours meilleure après sept qu’à l’évaluation initiale. Puisque la poursuite des exercices de renforcement du plancher pelvien est associée à une diminution de la quantité de fuite d’urine au pad test, les participantes devraient être encouragées à poursuivre leurs exercices après la fin d’un programme supervisé. Pour des raisons de logistique la collecte de donnée de ce projet de recherche s’est continuée après la rédaction de ce mémoire. Les résultats finaux sont disponibles auprès de Chantale Dumoulin pht, PhD., professeure agrée à l’Université de Montréal.
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But: Cette étude a pour but de comparer : a)la morphologie du plancher pelvien (PP), du col vésical et du sphincter urogénital strié (SUS) par IRM et b) la fonction du PP par palpation digitale (PERFECT scheme) chez les femmes âgées continentes ou avec incontinence urinaire à l’effort (IUE) et mixte (IUM). Méthode: Les femmes ont appris à contracter correctement leur PP et la fonction de leur PP a été évaluée. Une séance d’IRM dynamique 3T a suivi. Résultats: 66 femmes ont participé à l’étude. Les groupes étaient similaires en âge, IMC, nombre d’accouchements vaginaux et d’hystérectomie. La validité et la fidélité des différentes mesures anatomiques utilisées ont été confirmées au début de cette étude. Afin de contrôler l’effet potentiel de la taille du bassin sur les autres paramètres, les femmes ont été appariées par la longueur de leur inlet pelvien. Les femmes avec IUM ont un PP plus bas et un support des organes pelviens plus faible, selon leurs ligne M, angle LPC/Ligne H et hauteur de la jonction urétro-vésicale (UV). Les femmes avec IUE ont un PP similaire à celui des continentes, mais présentent plus d’ouverture du col vésical et un angle UV postérieur plus large au repos que les autres groupes. Il n’y a aucune différence de morphologie du SUS entre les groupes. De plus, selon les résultats du PERFECT scheme, les femmes avec IU ont une force du PP plus faible que les continentes. Les femmes avec IUM montrent aussi une faible élévation des muscles du PP à la contraction. Les femmes avec IUE ont, quant à elle, un problème de coordination à la toux. Conclusion: Les déficits causant l’IUE et l’IUM sont différents, mais supportent tous le rationnel des exercices du PP pour le traitement de l’IUE et l’IUM. Ces résultats supportent le besoin de traitements de rééducation spécifiques aux déficits de chacun des types d’IU.
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Introduction. Provoked vestibulodynia (PVD) is a highly prevalent vulvovaginal pain condition that results in significant sexual dysfunction, psychological distress, and reduced quality of life. Although some intra-individual psychological factors have been associated with PVD, studies to date have neglected the interpersonal context of this condition. Aim. We examined whether partner responses to women's pain experience—from the perspective of both the woman and her partner—are associated with pain intensity, sexual function, and sexual satisfaction. Methods. One hundred ninety-one couples (M age for women = 33.28, standard deviation [SD] = 12.07, M age for men = 35.79, SD = 12.44) in which the woman suffered from PVD completed the spouse response scale of the Multidimensional Pain Inventory, assessing perceptions of partners' responses to the pain. Women with PVD also completed measures of pain, sexual function, sexual satisfaction, depression, and dyadic adjustment. Main Outcome Measures. Dependent measures were women's responses to: (i) a horizontal analog scale assessing the intensity of their pain during intercourse; (ii) the Female Sexual Function Index; and (iii) the Global Measure of Sexual Satisfaction Scale. Results. Controlling for depression, higher solicitous partner responses were associated with higher levels of women's vulvovaginal pain intensity. This association was significant for partner-perceived responses (β = 0.29, P < 0.001) and for woman-perceived partner responses (β = 0.16, P = 0.04). After controlling for sexual function and dyadic adjustment, woman-perceived greater solicitous partner responses (β = 0.16, P = 0.02) predicted greater sexual satisfaction. Partner-perceived responses did not predict women's sexual satisfaction. Partner responses were not associated with women's sexual function. Conclusions. Findings support the integration of dyadic processes in the conceptualization and treatment of PVD by suggesting that partner responses to pain affect pain intensity and sexual satisfaction in affected women.
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La hipercalciuria idiopática (HI) es un trastorno metabólico frecuente, con curso clínico, la mayoría de las veces asintomático. Sin embargo, en algunos pacientes se manifiesta clínicamente con hematuria, polaquiuria, disuria, incontinencia urinaria, enuresis y dolor abdominal o lumbar, los cuales afectan las actividades diarias de los niños y motivan consultas médicas repetitivas, con los costos que esto genera. Se requiere de la sospecha clínica y el conocimiento de la enfermedad para su diagnóstico y tratamiento oportunos. Objetivo. Determinar los factores relacionados con el desarrollo de la forma sintomática de HI, para lo cual se estudiaron: la magnitud de la calciuria, el antecedente familiar de urolitiasis, el género, la edad y la excreción de oxalato de calcio. El propósito final fue ampliar y difundir el conocimiento de la enfermedad dentro de la comunidad médica. Materiales y métodos. Se realizó un estudio analítico de casos y controles para determinar la relación existente entre los factores mencionados y la presencia de síntomas de HI. La población de estudio estuvo compuesta por 60 pacientes con diagnóstico establecido de HI, de la consulta de Nefropediatría de la Fundación Cardioinfantil, con edades entre los 2 y los 13 años. La metodología consistió en un estudio no pareado con 1,4 casos por cada control. Para el análisis estadístico de las asociaciones entre los factores en estudio y la HI sintomática se utilizó la prueba exacta de Fisher y el Ji cuadrado de Pearson con un nivel de significancia del 5% (p<0,05). Para establecer la fuerza de la asociación se calculó la razón de disparidad (OR) y el intervalo de confianza del 95%. Además, se determinaron las variables que explican en conjunto la HI sintomática, controlando las variables de confusión con un modelo de regresión logística incondicional a un nivel de significancia del 5% (p<0,05). Resultados. Se establecieron asociaciones entre los siguientes factores y la presencia de síntomas de HI en niños: el género masculino (p = 0,006; OR = 6,2; IC = 1,6-24,5) y la magnitud de la calciuria (p = 0,003). Con menor diferencia estadística se encontraron el antecedente familiar positivo de urolitiasis (p = 0,018; OR = 4,889; IC = 1,26-19,48) y el incremento en la edad (p = 0,044). La presencia de oxalato de calcio en el uroanálisis no se relacionó con los síntomas de HI (p = 0,2; OR = 0,59; IC = 0,17-1,49). Conclusiones. Los valores elevados de calciuria M(mayor a 6 mg/kg/día) y el género masculino, se asocian con la presencia de síntomas de HI en niños. Adicionalmente, se observaron, con frecuencia, en el grupo de pacientes sintomáticos, la presencia de niños de edades mayores y el antecedente familiar positivo de litiasis renal, aunque no se evidencian diferencias significativas para estos dos factores. El hallazgo de cristales de oxalato de calcio en el uroanálisis no se relacionó con los síntomas de HI.
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Este estudo trata-se de revisão integrativa da literatura com objetivo de sintetizar o conhecimento produzido em artigos sobre os cuidados de enfermagem aos pacientes em pós-operatório de prostatectomia. Para seleção dos artigos foram consultadas cinco bases de dados – SCOPUS, CINAHL, PUBMED, LILACS e Cochrane – sendo incluídos dezenove artigos. Os resultados mostram estudos que se enquadram nos níveis II, IV, V, VI e VII de evidência, a maioria realizada nos Estados Unidos durante os anos de 1999 a 2011. Os cuidados de enfermagem identificados foram agrupados em seis categorias: acompanhamento psicológico, orientações pós-operatórias, tratamento da disfunção erétil, tratamento da incontinência urinária, tratamento da dor e tratamento da hiponatremia. Conclui-se que os estudos com maior nível de evidência identificado recomendam cuidados de enfermagem centrados no acompanhamento psicológico, nas orientações do período pós-operatório e no tratamento da disfunção erétil. Destaca-se ainda que tais recomendações concentram-se, sobretudo, nas ações de apoio emocional e educativo
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A incontinência urinária adquirida é uma condição debilitante e, muitas vezes, incurável que acomete fêmeas castradas e raramente fêmeas inteiras ou machos. A manifestação clínica pode ocorrer em qualquer momento após a gonadectomia e resulta em graves problemas no manejo do paciente. Os mecanismos que desencadeiam a incontinência após ovariectomia envolvem decréscimo na pressão de fechamento uretral, alterações hormonais, aumento na deposição de colágeno na musculatura lisa da bexiga, diminuição na contratilidade do músculo detrusor e redução na resposta aos estímulos elétricos e ao carbachol. O diagnóstico é realizado pelo histórico do animal, pelo exame físico, pelos exames laboratoriais, pelo perfil de pressão uretral, pela ultrassonografia e pelas radiografias abdominais. O tratamento clínico envolve utilização de fármacos -adrenérgicos, estrógenos, análogos de GnRH e agentes antidepressivos. As técnicas cirúrgicas recomendadas correspondem à uretropexia, cistouretropexia, aplicação de colágeno na uretra e colpossuspensão. Melhor compreensão da etiologia, da fisiopatologia, dos métodos de diagnóstico e tratamentos é fundamental em razão do pouco conhecimento e da identificação dessa condição no Brasil.
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A disfunção sexual corresponde a alterações em uma ou mais fases da resposta sexual humana e apresenta maior prevalência na população feminina. Ademais, a participação de alguns fatores como obesidade e níveis dos hormônios esteroidais na disfunção sexual feminina (DSF) permanece incerta. O presente estudo deteve-se na análise da ocorrência de DSF numa população de mulheres portadoras de obesidade, cadastradas no Ambulatório de Cirurgia Bariátrica do Hospital Universitário Onofre Lopes, da Universidade Federal do Rio Grande do Norte, no município de Natal, RN. O estudo foi realizado em uma amostra composta por trinta e uma mulheres, com idade entre 20 e 50 anos, com índice de massa corpórea (IMC) > 30 Kg/m2. A todas as pacientes foi aplicado um questionário composto por uma seção com dados socio-econômicos, e outra abordando a saúde sexual feminina, sendo esta última correspondente ao Female Sexual Function Index (FSFI), para diagnóstico de DSF. A partir dessa caracterização, as pacientes foram reunidas nos grupos CD (pacientes com disfunção, n= 9) e SD (sem disfunção, n= 22). Para a análise do efeito da obesidade na DSF, as pacientes foram reunidas nos grupos 1 (6 pacientes com IMC grau I e II: entre 30 e 40 Kg/m2) e 2 (25 com IMC grau III: acima de 40). Para o estudo da participação dos hormônios esteroidais foram determinadas as concentrações séricas de cortisol, estradiol e dehidroepiandrosterona (DHEA) pelo método de quimiluminescência. A análise estatística dos dados foi realizada usando os testes ANOVA, MANOVA (Pillai), além de análise de Cluster. Para identificar as diferenças entre os domínios do FSFI, foi usado o teste T de Student. A significância considerada para todos os testes foi para p< 0,01. Das pacientes estudadas, 25,8% apresentaram DSF de acordo com o escore total do FSFI. A análise estatística posterior evidenciou que as diferenças ocorreram para os domínios desejo, excitação e orgasmo. Não foi encontrada relação da presença de DSF com os diferentes graus de obesidade ou com os níveis hormonais dos esteróides cortisol, estradiol ou DHEA. Contudo, foi encontrado aumento significativo nos níveis séricos de estradiol para o grupo 1, que corresponde ao de menor índice de IMC. Estes resultados mostram que a prevalência de DSF não diferiu entre os graus I,II e III de obesidade das pacientes deste estudo mas, quando presente, a disfunção ocorre nos domínios desejo, excitação e orgasmo. A maior concentração de estradiol encontrada nas pacientes de menor índice de IMC sugere uma possível relação entre as duas variáveis que precisa ser investigada em estudos futuros.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Alterações anatômicas e fisiológicas da gravidez predispõem gestantes a infecções do trato urinário (ITU). O objetivo deste estudo foi identificar a acurácia do exame de urina simples para diagnóstico de ITU em gestantes de baixo risco. Fez-se uso do estudo de desempenho de teste diagnóstico realizado em Botucatu, SP, com 230 gestantes, entre 2006 e 2008. Os resultados mostram que a prevalência de ITU foi de 10%. A sensibilidade foi 95,6%, especificidade 63,3% e acurácia 66,5% do exame de urina simples, em relação ao diagnóstico de ITU. A análise dos valores preditivos positivo e negativo (VPP e VPN) mostrou que, na vigência de exame de urina simples normal, a chance de haver ITU foi pequena (VPN 99,2%). Frente ao resultado alterado desse exame, a probabilidade de haver ITU foi baixa (VPP 22,4%). Conclui-se que a acurácia do exame de urina simples como meio diagnóstico de ITU foi baixa, sendo indispensável a realização de urocultura para o diagnóstico.
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The "HIV/Aids-Quality of Life" (HAT-Qol) is a specific multifunctional instrument used to measure the life quality of HIV infected persons. It is divided into nine domains: general activity, sexual activity, secrecy about HIV seropositivity, concern about health, financial concern, awareness about HIV, satisfaction with life, issues about medications and belief in the doctor. The current study analyzed the life quality of HIV infected individuals-who attended the DST/Aids Program in Maringa city, Parana state-regarding the use or not of antiretroviral therapy (TARV) and their demographic, epidemiological and clinical characteristics. Data were collected by retrospective analysis from 1,200 medical charts of patients registered in the program. The HAT-Qol instrument was applied before routine medical consultation. One hundred and sixty-nine patients, who had HIV infection confirmed, were divided into two groups, G1 with 118 individuals receiving antiretroviral therapy and G2 with 51 individuals who were not under this therapy.Result analysis, regarding social and demographic characteristics, revealed no difference among responses related to gender, educational degree and sexual option. Age influenced satisfaction with sexual activity and marital status. Regarding HIV awareness, the lowest response index or worst quality of life came from, respectively, men between 50 and 69 years old and patients who did not have regular partners compared with the ones who did. Additionally, it was observed that the time of diagnosis influenced general activities, HIV awareness, concern about health and financial issues, satisfaction with life and topics about medications. The variables were compared in both groups. There was no influence on the use or not of antiretroviral therapy regarding age, sexual activity, HIV diagnosis time and the domains that evaluated general activities, financial concern, awareness of HIV and satisfaction with life. In relation to time of diagnosis, there was an influence only in persons who had been diagnosed two or three years before, in which a lower quality of life was observed among individuals who were not under antiretroviral therapy. It was not possible to compare variables about medication use, HIV plasmatic viral rate ant time of diagnosis, because G2 individuals were not receiving the antiretroviral therapy. Furthermore, no comparison was made regarding marital status and HIV awareness, because there were no married individuals in G2. Thus, the analysis of the results showed that the use of antiretroviral treatment did not influence the life quality of HIV patients studied by the HAT-Qol scale.
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Objectives: Penile fracture is a rare injury, usually resulting from direct trauma to the erect penis during sexual intercourse. Our goal was to evaluate the best diagnostic methods and the late complications following surgical treatment of penile fracture. Material and Methods: We studied retrospectively 11 patients with penile fracture in a period of 10 years (1985-1995). Results: In 55% of the cases, the injury occurred during sexual intercourse. All patients presented with a very suggestive clinical picture (pain, detumescence and hematoma) and only 2 were submitted to further investigation (ultrasonography) to confirm the diagnosis. Only one patient had urethral bleeding and therefore was submitted to retrograde urethrogram, which confirmed urethral injury. All patients were treated by immediate surgery, through a circular subcoronal incision and degloving of the penis to allow a thorough exploration. All patients had a tunica albuginea tear that was promptly repaired, and 2 patients (18%) had associated urethral injury (one had no symptoms) that was also repaired. All patients did very well after surgery and only one had a mild curvature, which did not hinder intercourse during follow-up (18 months). Conclusions: Penile fracture has very typical clinical signs and, therefore, further investigation is usually unnecessary. Early surgical treatment is associated with a low incidence of late complications.
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Aim: To evaluate anti-Müllerian hormone (AMH) levels in patients with clinical and molecular diagnosis of 5α-reductase 2 deficiency. Patients and methods: Data from 14 patients whose age ranged from 21 days to 29 years were analyzed according to age and pubertal stage. Sexual ambiguity was rated as Prader III in 11 patients. LH, FSH, testosterone (T), dihydrotestosterone (DHT) and AMH serum levels were measured in all but two patients, who had been previously submitted to gonadectomy; T and DHT were also measured in 20 age-matched controls. Results: Gonadotropin levels were normal in all but one patient who retained gonads (six of whom had reached puberty) and T/DHT ratio was elevated in all patients when compared to controls. All prepubertal patients had AMH levels < -1 SD for age, while most pubertal patients had AMH levels compatible with pubertal stage. Conclusions: Prepubertal patients with 5α-reductase 2 deficiency have AMH values in the lower part of the normal range. These data indicate that T does not need to be converted to DHT to inhibit AMH secretion by Sertoli cells. © Freund Publishing House Ltd., London.
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The transitional cell carcinoma is usually located in the trigone region of the bladder, and shows nonspecific clinical signs of the lower urinary tract such as hematuria, strangury, pollakiuria and urinary incontinence. The urethral and ureteral obstructions occur in some cases. Etiological factors such as endogenous and iatrogenic have been listed as the cause of disease. The objective of this report is to describe the process and treatment of two cases of transitional cell carcinoma presented simultaneously in two dogs, mother and daughter, that showed hematuria and post-renal azotemia, both with tumor in the trigone of bladder. After partial cystectomy ureteroneocistostomia, the diagnosis of transitional cell carcinoma was confirmed by histopathological analysis of bladder tissue. Patients received firocoxib as adjuvant to surgery. It is concluded that the surgical procedure associated with the use of specific anti-inflammatory COX-2 provided a better quality of life in both patients.