Changing career models and capacity for innovation in professional services

A number of professional sectors have recently moved away from their longstanding career model of up-or-out promotion and embraced innovative alternatives. Professional labor is a critical resource in professional service firms. Therefore, changes to these internal labor markets are likely to trigger other innovations, for example in knowledge management, incentive schemes and team composition. In this chapter we look at how new career models affect the core organizing model of professional firms and, in turn, their capacity for and processes of innovation. We consider how professional firms link the development of human capital and the division of professional labor to distinctive demands for innovation and how novel career systems help them respond to these demands.

Trimming the sails. The comparative political economy of expansionary fiscal consolidations. A Hungarian perspective

Provides a multidisciplinary and systematic analysis of the concept of fiscal consolidations. This book discusses the concept, suggesting that fiscal adjustment can be in trade-off with economic growth if certain conditions are met. Fiscal consolidation has significant short term costs which dampen economic growth. This widely shared consensus in literature on political economy makes fiscal adjustment highly unpopular. Benczes conducts a systematic analysis to find out whether it is possible to have fiscal consolidation and experience economic growth even in the short run.The book provides a clear, multidisciplinary and systematic analysis of the relatively new concept of the so-called expansionary fiscal consolidations. This concept suggests that fiscal adjustment can be in trade-off with economic growth if certain conditions are met. But why do only a few countries and only at certain times experience the expansionary effects, while others not at all? The necessary conditions and circumstances have been totally neglected in the literature, or analyzed only partially at best.Having evolved a theoretical framework, it is tested on a difficult case: Hungary, which has had the highest deficit in the European Union. The main question was whether Hungary has a chance to experience short term growth effects in times of adjustment. ----- Contents: List of Figures List of Tables Acknowledgements 1. Introduction Part One: A critical Assessment of the Concept of Non-Keynesian Effects 2. Stylized Facts of EU Countries’ Major Fiscal Episodes 3. An Expectational View of Fiscal Policy: A Non-Linear Approach to Fiscal Consolidation 4. The Composition of Adjustment and the Structure of Labor Markets: A Linear Approach to Fiscal Consolidation Part Two: Testing the Institutional Conditions of Non-Keynesian Effects in Hungary 5. From Goulash Communism To Neo-Kadarism: An Overview 6. Financial Intermediation in Hungary—a Comparative Perspective 7. The Structure of the Hungarian General Budget—a Decompositional Analysis 8. The Labor Market and Wage Bargaining in Hungary—the (Ir)relevance of a Social Pact 9. Conclusion References Appendices Index

Essays in Macroeconomics

My dissertation consists of three self-contained essays on macroeconomics. Chapter 2 "Churning, firm inter-connectivity, and labor market fluctuations'' studies the implications of firm inter-connectivity and irreversibility of inter-firm cooperation relationships on the business cycle. Chapter 3 "Inter-sector matching efficiency and sectoral comovement'' examines the comovement of sectoral labor markets when there is search friction in the inter-firm matching market. Chapter 4 "Lumpy investment and endogenous investment price'' (Joint work with Linxi Chen) studies the endogenous fluctuation of investment price induced by search friction in the investment goods market and partial irreversibility of capital adjustment. Each of the essays investigates the implication of market frictions, such as search friction and partial irreversibility, to the business cycle from a different perspective.

Work-to-family spillover: Gender differences in Hungary

It is crucial to understand the role that labor market positions might play in creating gender differences in work–life balance. One theoretical approach to understanding this relationship is the spillover theory. The spillover theory argues that an individual’s life domains are integrated; meaning that well-being can be transmitted between life domains. Based on data collected in Hungary in 2014, this paper shows that work-to-family spillover does not affect both genders the same way. The effect of work on family life tends to be more negative for women than for men. Two explanations have been formulated in order to understand this gender inequality. According to the findings of the analysis, gender is conditionally independent of spillover if financial status and flexibility of work are also incorporated into the analysis. This means that the relative disadvantage for women in terms of spillover can be attributed to their lower financial status and their relatively low access to flexible jobs. In other words, the gender inequalities in work-to-family spillover are deeply affected by individual labor market positions. The observation of the labor market’s effect on work–life balance is especially important in Hungary since Hungary has one of the least flexible labor arrangements in Europe. A marginal log-linear model, which is a method for categorical multivariate analysis, has been applied in this analysis.

Essays on optimal fiscal and monetary policies

Cette thèse se compose de trois articles sur les politiques budgétaires et monétaires optimales. Dans le premier article, J'étudie la détermination conjointe de la politique budgétaire et monétaire optimale dans un cadre néo-keynésien avec les marchés du travail frictionnels, de la monnaie et avec distortion des taux d'imposition du revenu du travail. Dans le premier article, je trouve que lorsque le pouvoir de négociation des travailleurs est faible, la politique Ramsey-optimale appelle à un taux optimal d'inflation annuel significativement plus élevé, au-delà de 9.5%, qui est aussi très volatile, au-delà de 7.4%. Le gouvernement Ramsey utilise l'inflation pour induire des fluctuations efficaces dans les marchés du travail, malgré le fait que l'évolution des prix est coûteuse et malgré la présence de la fiscalité du travail variant dans le temps. Les résultats quantitatifs montrent clairement que le planificateur s'appuie plus fortement sur l'inflation, pas sur l'impôts, pour lisser les distorsions dans l'économie au cours du cycle économique. En effet, il ya un compromis tout à fait clair entre le taux optimal de l'inflation et sa volatilité et le taux d'impôt sur le revenu optimal et sa variabilité. Le plus faible est le degré de rigidité des prix, le plus élevé sont le taux d'inflation optimal et la volatilité de l'inflation et le plus faible sont le taux d'impôt optimal sur le revenu et la volatilité de l'impôt sur le revenu. Pour dix fois plus petit degré de rigidité des prix, le taux d'inflation optimal et sa volatilité augmentent remarquablement, plus de 58% et 10%, respectivement, et le taux d'impôt optimal sur le revenu et sa volatilité déclinent de façon spectaculaire. Ces résultats sont d'une grande importance étant donné que dans les modèles frictionnels du marché du travail sans politique budgétaire et monnaie, ou dans les Nouveaux cadres keynésien même avec un riche éventail de rigidités réelles et nominales et un minuscule degré de rigidité des prix, la stabilité des prix semble être l'objectif central de la politique monétaire optimale. En l'absence de politique budgétaire et la demande de monnaie, le taux d'inflation optimal tombe très proche de zéro, avec une volatilité environ 97 pour cent moins, compatible avec la littérature. Dans le deuxième article, je montre comment les résultats quantitatifs impliquent que le pouvoir de négociation des travailleurs et les coûts de l'aide sociale de règles monétaires sont liées négativement. Autrement dit, le plus faible est le pouvoir de négociation des travailleurs, le plus grand sont les coûts sociaux des règles de politique monétaire. Toutefois, dans un contraste saisissant par rapport à la littérature, les règles qui régissent à la production et à l'étroitesse du marché du travail entraînent des coûts de bien-être considérablement plus faible que la règle de ciblage de l'inflation. C'est en particulier le cas pour la règle qui répond à l'étroitesse du marché du travail. Les coûts de l'aide sociale aussi baisse remarquablement en augmentant la taille du coefficient de production dans les règles monétaires. Mes résultats indiquent qu'en augmentant le pouvoir de négociation du travailleur au niveau Hosios ou plus, les coûts de l'aide sociale des trois règles monétaires diminuent significativement et la réponse à la production ou à la étroitesse du marché du travail n'entraîne plus une baisse des coûts de bien-être moindre que la règle de ciblage de l'inflation, qui est en ligne avec la littérature existante. Dans le troisième article, je montre d'abord que la règle Friedman dans un modèle monétaire avec une contrainte de type cash-in-advance pour les entreprises n’est pas optimale lorsque le gouvernement pour financer ses dépenses a accès à des taxes à distorsion sur la consommation. Je soutiens donc que, la règle Friedman en présence de ces taxes à distorsion est optimale si nous supposons un modèle avec travaie raw-efficace où seule le travaie raw est soumis à la contrainte de type cash-in-advance et la fonction d'utilité est homothétique dans deux types de main-d'oeuvre et séparable dans la consommation. Lorsque la fonction de production présente des rendements constants à l'échelle, contrairement au modèle des produits de trésorerie de crédit que les prix de ces deux produits sont les mêmes, la règle Friedman est optimal même lorsque les taux de salaire sont différents. Si la fonction de production des rendements d'échelle croissant ou decroissant, pour avoir l'optimalité de la règle Friedman, les taux de salaire doivent être égales.

Essays in Market Design

In this dissertation, I study three problems in market design: the allocation of resources to schools using deferred acceptance algorithms, the demand reduction of employees on centralized labor markets, and the alleviation of traffic congestion. I show how institutional and behavioral considerations specific to each problem can alleviate several practical limitations faced by current solutions. For the case of traffic congestion, I show experimentally that the proposed solution is effective. In Chapter 1, I investigate how school districts could assign resources to schools when it is desirable to provide stable assignments. An assignment is stable if there is no student currently assigned to a school that would prefer to be assigned to a different school that would admit him if it had the resources. Current assignment algorithms assume resources are fixed. I show how simple modifications to these algorithms produce stable allocations of resources and students to schools. In Chapter 2, I show how the negotiation of salaries within centralized labor markets using deferred acceptance algorithms eliminates the incentives of the hiring firms to strategically reduce their demand. It is well-known that it is impossible to eliminate these incentives for the hiring firms in markets without negotiation of salaries. Chapter 3 investigates how to achieve an efficient distribution of traffic congestion on a road network. Traffic congestion is the product of an externality: drivers do not consider the cost they impose on other drivers by entering a road. In theory, Pigouvian prices would solve the problem. In practice, however, these prices face two important limitations: i) the information required to calculate these prices is unavailable to policy makers and ii) these prices would effectively be new taxes that would transfer resources from the public to the government. I show how to construct congestion prices that retrieve the required information from the drivers and do not transfer resources to the government. I circumvent the limitations of Pigouvian prices by assuming that individuals make some mistakes when selecting routes and have a tendency towards truth-telling. Both assumptions are very robust observations in experimental economics.

Essays on optimal fiscal and monetary policies

Cette thèse se compose de trois articles sur les politiques budgétaires et monétaires optimales. Dans le premier article, J'étudie la détermination conjointe de la politique budgétaire et monétaire optimale dans un cadre néo-keynésien avec les marchés du travail frictionnels, de la monnaie et avec distortion des taux d'imposition du revenu du travail. Dans le premier article, je trouve que lorsque le pouvoir de négociation des travailleurs est faible, la politique Ramsey-optimale appelle à un taux optimal d'inflation annuel significativement plus élevé, au-delà de 9.5%, qui est aussi très volatile, au-delà de 7.4%. Le gouvernement Ramsey utilise l'inflation pour induire des fluctuations efficaces dans les marchés du travail, malgré le fait que l'évolution des prix est coûteuse et malgré la présence de la fiscalité du travail variant dans le temps. Les résultats quantitatifs montrent clairement que le planificateur s'appuie plus fortement sur l'inflation, pas sur l'impôts, pour lisser les distorsions dans l'économie au cours du cycle économique. En effet, il ya un compromis tout à fait clair entre le taux optimal de l'inflation et sa volatilité et le taux d'impôt sur le revenu optimal et sa variabilité. Le plus faible est le degré de rigidité des prix, le plus élevé sont le taux d'inflation optimal et la volatilité de l'inflation et le plus faible sont le taux d'impôt optimal sur le revenu et la volatilité de l'impôt sur le revenu. Pour dix fois plus petit degré de rigidité des prix, le taux d'inflation optimal et sa volatilité augmentent remarquablement, plus de 58% et 10%, respectivement, et le taux d'impôt optimal sur le revenu et sa volatilité déclinent de façon spectaculaire. Ces résultats sont d'une grande importance étant donné que dans les modèles frictionnels du marché du travail sans politique budgétaire et monnaie, ou dans les Nouveaux cadres keynésien même avec un riche éventail de rigidités réelles et nominales et un minuscule degré de rigidité des prix, la stabilité des prix semble être l'objectif central de la politique monétaire optimale. En l'absence de politique budgétaire et la demande de monnaie, le taux d'inflation optimal tombe très proche de zéro, avec une volatilité environ 97 pour cent moins, compatible avec la littérature. Dans le deuxième article, je montre comment les résultats quantitatifs impliquent que le pouvoir de négociation des travailleurs et les coûts de l'aide sociale de règles monétaires sont liées négativement. Autrement dit, le plus faible est le pouvoir de négociation des travailleurs, le plus grand sont les coûts sociaux des règles de politique monétaire. Toutefois, dans un contraste saisissant par rapport à la littérature, les règles qui régissent à la production et à l'étroitesse du marché du travail entraînent des coûts de bien-être considérablement plus faible que la règle de ciblage de l'inflation. C'est en particulier le cas pour la règle qui répond à l'étroitesse du marché du travail. Les coûts de l'aide sociale aussi baisse remarquablement en augmentant la taille du coefficient de production dans les règles monétaires. Mes résultats indiquent qu'en augmentant le pouvoir de négociation du travailleur au niveau Hosios ou plus, les coûts de l'aide sociale des trois règles monétaires diminuent significativement et la réponse à la production ou à la étroitesse du marché du travail n'entraîne plus une baisse des coûts de bien-être moindre que la règle de ciblage de l'inflation, qui est en ligne avec la littérature existante. Dans le troisième article, je montre d'abord que la règle Friedman dans un modèle monétaire avec une contrainte de type cash-in-advance pour les entreprises n’est pas optimale lorsque le gouvernement pour financer ses dépenses a accès à des taxes à distorsion sur la consommation. Je soutiens donc que, la règle Friedman en présence de ces taxes à distorsion est optimale si nous supposons un modèle avec travaie raw-efficace où seule le travaie raw est soumis à la contrainte de type cash-in-advance et la fonction d'utilité est homothétique dans deux types de main-d'oeuvre et séparable dans la consommation. Lorsque la fonction de production présente des rendements constants à l'échelle, contrairement au modèle des produits de trésorerie de crédit que les prix de ces deux produits sont les mêmes, la règle Friedman est optimal même lorsque les taux de salaire sont différents. Si la fonction de production des rendements d'échelle croissant ou decroissant, pour avoir l'optimalité de la règle Friedman, les taux de salaire doivent être égales.

Diferencias regionales en las estructuras de ingresos laborales en Colombia

Dada la persistencia de las diferencias en ingresos laborales por regiones en Colombia, el presente artículo propone cuantificar la magnitud de este diferencial que es atribuida a la diferencia en estructuras de mercado laboral, entendiendo esta última como la diferencia en los retornos a las características de la fuerza laboral. Para ello se propone el uso de un método de descomposición del tipo Oaxaca- Blinder y se compara a Bogotá –la ciudad con mayores ingresos laborales- con otras ciudades principales. Los resultados obtenidos al conducir el ejercicio de descomposición muestran que las diferencias en estructura están a favor de Bogotá y que estas explican más de la mitad de la diferencia total, indicando que si se quieren reducir las disparidades de ingresos laborales entre ciudades no es suficiente con calificar la fuerza laboral y que es necesario indagar por las causas que hacen que los retornos a las características difieran entre ciudades.

Markets, marketing and production issues for aquaculture in East Africa: the case of Uganda

Aquaculture is currently responsible for an insignificant proportion of total fish production in Uganda. However, given the increasing demand for fresh fish in urban and peri-urban araes, and threats to the supply of fish from natural catch fisheries, the potential exists for a strong market in aquaculture. Small-scale fish farmers located relatively close to markets or all-season roads, and who can supply consistent and high quality produce, will have the widest range of marketing opportunities, and will likely be within the area of operation of potential traders and intermediaries that deliver fish to markets. Fish farmers that are not close to roads, or produce unreliable quantities and variable quality products may face high transaction costs of marketing their product, and decreasing net returns to production. The authors found that significant on-farm labor, and access to input markets are important factors leading to positive net returns to fish production. Areas with high population density and relatively low wages will be well suited to labor intensive aquaculture. The authors concluded that aquaculture development has good potential in certain areas of Uganda and should therefore be pursued as a potential development pathway. However, policy makers should consider the importance of the price of fresh fish relative to the cost of labor, as well as other factors including the importance of smallholder credit and access to extension services, when directing investments in aquaculture technology.

Core Labor Rights

The working paper’s main objective is to explore the extent to which non-compliance to international labor rights is caused by global competition. From the perspective of institutional economics, compliance with core labor rights is beneficial for sustainable development. Nonetheless, violations of these rights occur on a massive scale. The violators usually blame competitive pressures. A number of studies have come to the conclusion that non-compliance does not provide for a competitive edge, thereby denying any economic rationale for non-compliance. While we sympathize with this conclusion, we find that these studies suffer from faulty assumptions in the design of their regression analyses. The assumption of perfect markets devoid of power relations is particularly unrealistic. While workers' rights promise long-term benefits, they may incur short-term production cost increases. On the supply side, the production sites with the highest amount of labor rights violations are characterized by a near perfect competitive situation. The demand side, however, is dominated by an oligopoly of brand name companies and large retailers. Facing a large pool of suppliers, these companies enjoy more bargaining power. Developing countries, the hosts to most of these suppliers, are therefore limited in their ability to raise labor standards on their own. This competitive situation, however, is the very reason why labor rights have to be negotiated internationally. Our exploration starts with an outline of the institutionalist argument of the benefits of core labor rights. Second, we briefly examine some cross-country empirical studies on the impact of trade liberalization (as a proxy for competitive pressures). Third, we develop our own argument which differentiates the impact of trade liberalization along the axes of labor- and capital-intensive production as well as low and medium skill production. Finally, we present evidence from a study on the impact of trade liberalization in Indonesia on the garment industry as an example of a low skill, laborintensive industry on the one hand, and the automobile as an example for a medium skill, capital-intensive industry on the other hand. Because the garment industry’s workforce consists mainly of women, we also discuss the gender dimension of trade liberalization.

Transitional labour markets : a social investment and risk mitigation strategy for social policy

Drawing on transitional labor market (TLM) theory, this introductory chapter highlights major themes, overviews the contributions to this volume and suggests a future agenda for policy makers. The focus of applied research projects has been the impact of post-modem social transformations on systems of social protection, looking through the lens of the labor market and shifts in household and family structure. The Transitional Labor Market project uses the TLM model as a means of developing new thinking on how flexibility and innovation might be paired with social investment and new forms of social protection. TLM theory emphasizes the importance of institutions and of the links between different institutions which frequently operate as policy silos, rather than integrated systems to buffer risks and support capability and enhance employability. The great advantage of the TLM model is that it draws attention to the right places for strategic reform. It does not offer a standard set of institutions to facilitate transitions however.

Does globalization weaken labor unions in developing countries?

For a developing economy with a given urban wage rate, globalization in capital markets strengthens labor unions. This result hinges on the fixed urban wage rate, which leads to a constant capital–labor ratio in the urban sector. Globalization via capital inflows not only enhances the employment effect of unionization but also reduces the rent-shifting related loss in production inefficiency to domestic capital, lending a support to labor unions for developing economies. This result is contrary to the common belief that labor unions tend to be weakened during the globalization process observed after 1980s in many developed economies.

Labor legislation and the size of informal sector in Brazil

This paper studies the increase in the rate of informal workers in the Brazilian economy that occurred between 1985 and 1999. We develop an overlapping generations model with incomplete markets in which agents are ex-post heterogeneous. We calibrate it to match some features of the Brazilian economy for 1985. We conduct a policy experiment which reproduces the 1988 constitution reforms that increased the retirement benefits and labor costs in the formal sector. We show that these reforms can explain the increase in informal labor. Then, we conduct a policy experiment and analyze its impact on the Brazilian economy.