330 resultados para InPouchTMTF – Feline
Resumo:
La leptospirose est une zoonose à distribution mondiale dont la prévalence chez le chat varie géographiquement de 4.8% à 35%. Bien que l’exposition féline à Leptospira spp. soit rapportée dans des études sérologiques, les conséquences cliniques de cette maladie chez le chat sont peu connues. Le but principal de cette étude était de comparer le statut sérologique et de porteur (PCR urinaire) de Leptospira spp. entre des chats sains et des chats atteints de maladie rénale (insulte rénale aigue et maladie rénale chronique de stades IIb, III et IV). Une étude préliminaire pour valider la sensibilité et la spécificité analytiques de la PCR de Leptospira spp. réalisée par le Laboratoire de Diagnostic Moléculaire de la FMV sur l’urine de chat a été effectuée. La validation in vitro a démontré que la technique de PCR est efficace pour déterminer la présence de leptospires pathogènes dans l’urine du chat. Dans le cadre de l’étude principale, 251 chats ont été recrutés entre janvier 2010 et mars 2012,. De ceux-ci, 240 ont été inclus et divisés en 2 groupes (chats sains (C=125) et chats atteints de maladie rénale (MR=115) en se basant sur un examen physique ainsi que sur des résultats d’hématologie, de biochimie et d’analyse d’urine. Tous les chats recrutés ont également été examinés sérologiquement par test de micro-agglutination pour la présence d’anticorps contre Leptospira spp. (résultat considéré positif si ≥1 :100) et par PCR pour la présence de Leptospira spp. dans l’urine. Le pourcentage prédit de séropositivité pour Leptospira spp. était significativement plus élevé chez les chats atteints de maladie rénale (13,7%) que chez les chats sains (5%) (p=0,02). Les sérovars impliqués étaient Pomona (n=16), Bratislava (n=8) et Grippotyphosa (n=1). De plus, les chats séropositifs pour Pomona présentaient des titres significativement plus élevés que pour les autres sérovars (p=0,04). L’excrétion de Leptospira spp. a été confirmée par PCR dans l’urine de huit chats. Des 26 chats séropositifs, quatre (C=2, MR=2) se sont également révélés PCR positifs. La prévalence a été plus élevée chez les chats du groupe MR (5.3%; 6/113) lorsque comparée à celle du groupe C (1.6%; 2/125), mais cette différence ne s’est pas révélée statistiquement significative (C=0,9% , MR= 5,5% ; p = 0,09). L’âge, le sexe et le milieu de vie (urbain versus rural) n’ont pas influencé le statut sérologique ou d’excrétion pour Leptospira spp. Le pourcentage prédit de séropositivité était significativement plus élevée chez les chasseurs (p<0.01) et pendant les mois de juin à août (p=0.02). La présence d’un autre chat à la maison a également significativement augmenté ce pourcentage (p<0.01), mais la présence d’un chien ne l’a pas influencé. Lors de l’évaluation du PCR par le modèle GGE, seules les variables « contact avec raton laveur » et « contact avec mouffettes » sont ressorties statistiquement significatives (p≤0.03). Le rôle que joue Leptospira spp. comme agent étiologique de maladie rénale chez le chat demeure incertain. Toutefois, la différence significative de statut sérologique entre les chats sains et les chats atteints de maladie rénale suggère que la leptospirose pourrait être une cause sous-diagnostiquée de maladie rénale chez cette espèce. Dans cette étude, plusieurs porteurs asymptomatiques ont été identifiés, ce qui suggère que l’espèce féline puisse être un acteur sous-estimé dans la transmission de la bactérie aux humains.
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La prévalence de l’arthrose féline augmente fortement avec l’âge atteignant plus de 80% des chats de plus de 11 ans. L'arthrose induit une douleur chronique s’exprimant par des changements de comportements et une diminution de la mobilité. Il n'existe aucun outil validé pour évaluer la douleur chronique associée à l’arthrose chez le chat. Conséquemment, aucun traitement ciblant cette douleur n’a pu être validé. Notre hypothèse de recherche est que la douleur arthrosique chez le chat induit des handicaps fonctionnels, des changements neurophysiologiques et un état d'hypersensibilité qu'il faut évaluer pour quantifier de manière fiable cette douleur et ses répercussions sur la qualité de vie de l'animal. Nos objectifs étaient 1) de développer des outils adaptés aux chats mesurant les handicaps fonctionnels grâce à des outils cinématiques, cinétiques et de suivi de l'activité motrice ; 2) de caractériser les changements fonctionnels et neurophysiologiques secondaires à la douleur arthrosique et de tester avec ces outils un traitement analgésique à base d'anti-inflammatoire non stéroïdien ; 3) de développer une technique adaptée aux chats pouvant caractériser la présence du phénomène de sensibilisation centrale à l'aide d'une évaluation de la sommation temporelle mécanique ; 4) de tester la possibilité de mesurer le métabolisme glucidique cérébral par tomographie d’émission par positrons comme marqueur des changements supraspinaux secondaires à la chronicisation de la douleur. Grâce au développement d’outils de mesure de douleur chronique objectifs, sensibles et répétables nous avons caractérisé la douleur chez les chats arthrosiques. Ils présentent des signes de boiterie quantifiée par une diminution de l’amplitude de l’articulation ou par une diminution de la force verticale d’appui au sol et une diminution de l’activité motrice quotidienne. Ces deux derniers outils ont permis de démontrer qu’un anti-inflammatoire non stéroïdien (le méloxicam) administré pendant quatre semaines réduit la douleur arthrosique. De plus, grâce au développement de tests sensoriels quantitatifs et à l'utilisation d'imagerie cérébrale fonctionnelle, nous avons démontré pour la première fois que la douleur arthrosique conduisait à des modifications du système nerveux central chez le chat. Particulièrement, les chats arthrosiques développent le phénomène de sensibilisation centrale mis en évidence par un seuil de retrait aux filament de von Frey diminué (mesure réflexe) mais aussi par une facilitation de la sommation temporelle mécanique (mesure tenant compte de la composante cognitive et émotionnelle de la douleur). L'augmentation du métabolisme cérébral dans le cortex somatosensoriel secondaire, le thalamus et la substance grise périaqueducale, souligne aussi l'importance des changements liés à la chronicisation de la douleur. Un traitement analgésique adapté à l’arthrose permettra d’améliorer la qualité de vie des chats atteints, offrira une option thérapeutique valide aux praticiens vétérinaires, et profitera aux propriétaires qui retrouveront un chat actif et sociable. La découverte de l'implication du phénomène de sensibilisation central combiné à l'investigation des changements cérébraux secondaires à la douleur chronique associée à l'arthrose par imagerie fonctionnelle ouvre de nouvelles avenues de recherche chez le chat (développement et/ou validation de traitements adaptés à l'état d'hypersensibilité) et les humains (potentiel modèle naturel de douleur chronique associée à l'arthrose).
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L’amyloïdose, une maladie progressive et incurable, implique une vaste panoplie de pathologies et de pathogénèses, qui est expliquée par la grande variabilité biologique et structurale des protéines responsables de la formation des dépôts d’amyloïde. L’amyline (polypeptide amyloïde des îlots pancréatiques, IAPP) est une protéine très susceptible de subir des changements de conformation impliquant les feuillets bêta et conférant aussi des propriétés physicochimiques distinctes. Cette protéine prend alors une forme fibrillaire et se dépose dans les îlots de Langerhans chez les humains atteints de diabète de type 2 ou d’insulinome. Ces dépôts d’amyloïde pancréatique (AIAPP) ont été décrits chez certaines espèces animales telles que les félins domestiques, les grands félins, le raton laveur et les primates non humains. La formation de dépôts d’amyloïde contribue à la pathogénèse du diabète de type 2, mais les mécanismes qui induisent la conversion de l’amyline (IAPP) en amyloïde (AIAPP) ne sont pas complètement compris. Les hypothèses du projet sont que certaines variations présentes dans les séquences peptidiques de l’IAPP provenant de différentes espèces animales jouent un rôle critique pour la formation de fibrilles et que plusieurs composés chimiques aromatiques/phénoliques sont capables d’abroger la formation de dépôts d’amyloïde. Le projet de recherche consiste donc à caractériser la propension des différentes isoformes animales d’IAPP à former de l’amyloïde in vitro afin d’identifier les acides aminés jouant un rôle clé dans cette transformation structurale et ultimement d’inhiber la formation d’amyloïde pancréatique. Le projet se divise en deux volets principaux. Le premier consiste à identifier les différentes séquences peptidiques de l’IAPP retrouvées chez les espèces animales. L’objectif est d’identifier les acides aminés jouant un rôle clé dans la formation d’amyloïde. Le gène de l’IAPP a été séquencé chez plus d’une quarantaine d’espèces. Le potentiel d’agrégation des séquences obtenues a été simulé à l’aide d’outils bioinformatique. Une librairie de 23 peptides a été commandée afin de procéder à des analyses physicochimiques in vitro permettant d’évaluer le potentiel amyloïdogénique (test fluorimétrique à la thioflavine T, essai de liaison au rouge Congo, dichroïsme circulaire, microscopie électronique à transmission) et cytotoxique (sur une lignée cellulaire provenant d’insulinome : INS-1). Les analyses effectuées à partir de la librairie constituée de 23 peptides ont permis d’identifier trois séquences ne formant pas d’amyloïde et qui proviennent des espèces animales suivantes : le tamarin lion doré (Leontopithecus rosalia), le grand dauphin (Tursiops truncatus) et l’alpaga (Vicugna pacos). Un site potentiellement critique est le segment 8-20 présentant le motif NFLVH qui ne forme plus d’amyloïde lorsqu’il est remplacé par le motif DFLGR ou KFLIR. Les acides aminés 29P, 14K et 18R sont également impliqués dans l’inhibition de la transformation structurale en fibrille. La dernière partie du projet consiste à inhiber la formation de l’amyloïde en utilisant des composés chimiques commercialisés (hypoglycémiants, anti-inflammatoires non stéroïdiens) ou nouvellement synthétisés dans notre laboratoire (les aryles éthyles urées). Un criblage d’une soixantaine de composés chimiques a été conduit dans cette étude. Leur efficacité a été testée sur l’IAPP humaine, qui possède un fort potentiel amyloïdogénique. Les techniques utilisées sont les mêmes que celles exploitées précédemment. L’essai de liaison croisée photo-induite ("photo-induced cross-linking of unmodified proteins", PICUP) a été réalisé afin d’étudier les formes intermédiaires (monomères, oligomères). Un total de 11 composés chimiques a démontré un potentiel à inhiber l’agrégation des fibrilles. Pour la classe des hypoglycémiants, le glyburide, le répaglinide et la troglitazone ont montré l’activité thérapeutique la plus élevée pour retarder et réduire la formation de fibrilles. Les anti-inflammatoires antiamyloïdogènes actifs incluaient le diclofenac, le méloxicam, le phénylbutazone, le sulindac et le ténoxicam. Les aryles étyles urées les plus intéressantes étaient la EU-362 et la EU-418. Tous ces composés ont conféré une protection cellulaire contre l’activité cytotoxique des fibrilles. Les molécules actives possèdent des éléments structuraux communs tels des substituants donneurs d’électrons (alcool, amine, halogène) sur un noyau benzène. En conclusion, ce projet de recherche a permis de caractériser l’IAPP chez diverses espèces animales, dont plusieurs chez lesquelles elle n’avait pas encore été décrite, de déterminer les sites jouant un rôle clé dans sa transformation en amyloïde et, ultimement, de tester le potentiel thérapeutique de nouveaux agents antiamyloïdogènes dans le diabète de type 2. Nous espérons que ce projet ouvrira ainsi la porte à de nouvelles stratégies de traitement.
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A Dirofilariose é uma doença parasitária, provocada por um nemátode, Dirofilaria immitis que, não obstante ser considerada rotineiramente como diagnóstico diferencial em canídeos, é bastante subdiagnosticada em felinos. Nestes, a infecção caracteriza-se por uma baixa carga parasitária e microfilarémia rara ou transitória, tornando o diagnóstico num desafio clínico, não só pela sintomatologia inespecífica, como pelas limitações dos meios de diagnóstico. Por exemplo, em Portugal ainda não é comercializado o teste de detecção de anticorpos contra D. immitis. O objectivo deste estudo foi estimar a prevalência de D. immitis em felinos por pesquisa de antigénios, na sub-região do Baixo Vouga, recorrendo ao teste SNAP® Feline Triple® Test (Idexx). Para o efeito foi colhida uma amostra de setenta e dois gatos, sintomáticos e assintomáticos. Esta zona possui uma prevalência de Dirofilariose em cães assintomáticos de 9,3%. Nenhum dos animais testados apresentou microfilarémia no teste de gota fresca. A detecção sérica de antigénios de D. immitis foi de 1,4%, resultado que poderá alertar a comunidade veterinária para o risco de gatos manifestarem esta doença, bem como o dever de implementar uma correcta profilaxia, sobretudo por se tratar de uma doença severa e mortal para os felídeos e pelos riscos que representa para a Saúde Pública, uma vez que se trata de uma zoonose.
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A insuficiência renal crónica (IRC) é uma das doenças renais que afecta com mais incidência os animais de companhia, sendo a doença renal frequentemente mais diagnosticada no gato. O objetivo deste estudo consistiu determinar a distribuição de ocorrência dos diferentes níveis de estadiamento em pacientes diagnosticados com doença renal crónica, identificar os sinais mais comuns na apresentação clínica, avaliar os parâmetros bioquímicos e clínicos abrangidos no estadiamento e substadiamento, caracterizar os diversos estadios de doença de acordo com as características individuais (sexo, raça e idade), e determinar a existência de relação entre os parâmetros anteriores com o desenvolvimento e duração temporal de doença. O estudo contemplou uma amostra aleatória de 100 gatos com Insuficiência Renal Crónica (IRC) apresentados à consulta ou internados no Hospital Veterinário do Restelo, no período compreendido de Abril de 2011 a Maio de 2012 inclusive. Os animais foram estadiados e subestadiados segundo os valores propostos pela International Renal Interest Society (IRIS). O estudo serviu ainda, para compreender algumas limitações associadas aos exames complementares necessários ao estadiamento e subestadiamento da doença, que podem limitar um diagnóstico precoce. No estudo foi possível verificar que da distribuição de faixas etárias, os geriátricos são mais afectados, assim como o sinal clínico mais apresentado pelos pacientes foi PU/PD, seguido de anorexia e vómito. A maioria dos felinos encontra-se no estádio II (azotémia renal ligeira), vindo o número de indivíduos a diminuir com o aumento do grau dos estadios de doença.
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O Hipertiroidismo Felino é uma endocrinopatia emergente em felinos geriátricos nos últimos 20 anos. É caracterizada pela elevada produção de hormonas tiróideias, originando sinais clínicos multisistémicos por vezes inespecíficos, tornando o seu diagnóstico um desafio. O diagnóstico é estabelecido maioritariamente com base no aumento da concentração sérica de tiroxina (T4) total e no quadro clínico. O tratamento pode ser realizado através de três modalidades distintas, o maneio médico, a tiroidectomia e a radioterapia. A sua etiologia permanece desconhecida, sendo considerada actualmente uma doença multifactorial, com elevada incidência e prevalência em diversos Países, como EUA, Reino Unido e Alemanha. A sua incidência em Portugal é desconhecida. Actualmente os factores de risco mais preponderantes são a idade geriátrica, e o contacto com químicos goitrogénicos presentes no alimento ou no ambiente. A raça europeu comum apresenta maior predisposição para o desenvolvimento da doença, as raças Himalaia e Siâmes apresentam menor risco. O presente estudo foi realizado com os objectivos de determinar a incidência de hipertiroidismo felino na região de Aveiro entre Outubro de 2010 e Janeiro de 2012 e os seus potenciais factores de risco. A incidência de hipertiroidismo em animais com idade ≥ 8 anos foi 7,69% e 9,84% em animais com idade ≥ 10 anos. Gatos mais geriátricos, assim como animais do sexo masculino apresentam maior predisposição ao desenvolvimento da doença.
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O registo oncológico é uma ferramenta de trabalho de valor inquestionável no estudo epidemiológico das neoplasias numa dada população. Em Portugal e apesar da classe veterinária reconhecer o seu valor, ainda não existe nenhum registo oncológico veterinário e este tema têm sido tratado com pouca relevância. O tema da dissertação deste Mestrado Integrado pretende contribuir para o estudo epidemiológico da oncologia felina, através da apresentação de uma distribuição de lesões do foro neoplásico. A recolha de dados reportou-se a um período de três anos (2008-2010), a partir de material fornecido pelo laboratório de histopatologia da DNAtech. De um total de 992 amostras da espécie felina, nesse período de tempo, 707 (71%) foram referentes a lesões do foro neoplásico, deste universo, 285 (38,9%) reportaram-se ao grupo de tumores da glândula mamária, 226 (30,9%) aos tumores mesenquimatosos da pele e de tecidos moles; 91 (12,4%) aos tumores epiteliais e melanocíticos da pele; 52 (7,1%) aos tumores do aparelho digestivo; 40 (5,5%) aos tumores do sistema hematopoiético, 16 (2,2%) aos tumores que afectaram o olho e ouvido; 5 (0,7%) ao aparelho urinário; 4 (0,5%) ao aparelho respiratório e, finalmente com menor frequência 13 (1,7%) foram classificados em outros grupos e sistemas (osso e articulações, aparelho endócrino, aparelho reprodutor e indeterminados). Observou-se uma proeminência nos tumores de origem maligna (75%), assim como para os tumores do sexo feminino (66%), o grupo de animais com 10 anos foi aquele que apresentou maior número de tumores. A diferente distribuição das neoplasias felinas observadas neste estudo, comparadas com os registos existentes noutros países enfatiza a necessidade da criação do nosso próprio registo oncológico.
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A Doença Renal Crónica (DRC) é de natureza insidiosa, progressiva e irreversível e uma grande causa de morbilidade e mortalidade em gatos. O comportamento natural da espécie felina fica comprometido no meio doméstico, originando situações de stress que desempenham um papel importante na patogénese da doença crónica. A literatura sugere que a activação contínua do sistema nervoso simpático desencadeia uma série de processos fisiológicos que se traduzem por último no aparecimento de fibrose renal, contribuindo assim para a progressão da DRC. Esta dissertação pretende avaliar essa relação. Para tal, foram analisados questionários que permitissem avaliar as condições em que viviam uma amostra de 139 gatos e realizados painéis hematológicos e bioquímicos a uma sub-amostra para verificar as correlações existentes. Ainda que não tenha sido possível concluir que a presença de um parâmetro individual possa ser apontada como causa directa do desenvolvimento de DRC, podemos identificar um conjunto de factores ambientais causadores de stress como prováveis factores de risco para a degradação desta doença e a sua transição para fases mais avançadas. Desta forma, a implementação de estratégias de enriquecimento ambiental MEMO (Multimodal Environmental Modification) não só visa melhorar a qualidade de vida destes animais como se pode revelar uma chave de sucesso na prevenção e maneio de doenças crónicas.
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Introdução: Os sarcomas associados aos locais de inoculação têm vindo a ganhar destaque na clinica veterinária devido à sua frequência e dificuldade de tratamento. A obtenção de fatores de prognóstico é uma ferramenta essencial para determinar a terapêutica mais apropriada e auxiliar na determinação da sobrevida nos diferentes casos. Objetivo: Estudar uma população de 26 gatos diagnosticados com sarcomas associados aos locais de inoculação, que foram submetidos a tratamento cirúrgico. Material e Métodos: É um estudo retrospetivo de casos que ocorreram entre o ano 2005 e 2011, onde treze casos procedem do Hospital Veterinário do Porto, e treze casos correspondem a clínicas localizadas na zona de Lisboa, Amadora e Margem Sul. Foram avaliados fatores como idade, sexo, raça, localização, índice mitótico, presença de tecido necrosado, margens cirúrgicas, estadiamento pré-cirúrgico com tomografia computadorizada, tempo de recidiva local e sobrevida global. Resultados: Tendo em conta a nossa baixa amostra nenhum dos resultados foi totalmente conclusivo, foi obtida uma sobrevida global dos animais operados de 1120 dias. Discussão/Conclusão: Apesar dos resultados não serem conclusivos, o estudo reforça a importância da avaliação pré-cirúrgica para poder implementar uma terapêutica que garanta a maior sobrevida possível. É necessário um estudo mais controlado dos diferentes fatores e com uma amostra mais significativa para a obtenção de resultados mais conclusivos.
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Foram avaliados no Hospital Veterinário da Arrábida (HVA) em Azeitão, entre o período de 1 de Outubro de 2010 a 28 de Fevereiro de 2011, 64 animais em emergência, dos quais 21 pertenciam à espécie felina e 43 à espécie canina. Procedeu-se à medição dos níveis de lactato sérico tipo A durante a triagem nos 64 animais, com o objectivo de se estabelecer uma correlação com o prognóstico. Todos os animais entraram com o Síndrome de Resposta Inflamatória Sistémica (SRIS) e alguns apresentaram Sepsis. Da análise da população total, observou-se que para níveis de lactato sanguíneo entre os 2,5 e os 5 mmol/L, a taxa de mortalidade foi de 4%, já para níveis de lactato entre os 5 e os 7 mmol/L esta subiu para os 25 % e finalmente para níveis de lactato maiores que 7 mmol/L a taxa de mortalidade atingiu os 72%. A morbilidade foi definida com base na média do número de dias de internamento e complicações associadas de cada animal, sendo que para níveis de lactato entre os 0 e 2,5 mmol/L a espécie canina apresentou 2 dias e a felina apresentou 0, uma vez que não houve casos. Para níveis de lactato sanguíneo entre os 2,5 e 5 mmol/L os cães exibiram 2,3 e os gatos 2,8 dias. Entre 5 e 7 mmol/L os cães exibiram 3dias e os gatos 3,6. Para níveis séricos maiores que 7 mmol/L os cães apresentaram 6,1 dias enquanto que os gatos exibiram 4,3.
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O interesse pela Osteoartrite, ou Doença Degenerativa das Articulações em felinos, é relativamente recente. É um assunto pouco investigado e sub-diagnosticado na clínica de animais de companhia no nosso país. O objectivo deste estudo é o de determinar a incidência de sinais radiográficos da doença numa amostra aleatória de gatos domésticos. Foi, deste modo, realizado um estudo transversal numa amostra de 50 gatos, sem sinais aparentes de doença ortopédica, inseridos em 4 faixas etárias (0-5 anos, 6-10,11-15 e 16-20 anos). Realizaram-se cerca de 16 projecções radiográficas em cada paciente, observando e analisando as articulações dos esqueletos apendicular e axial. Nenhum dos animais foi sedado para as projecções radiográficas. Foi ainda feita uma análise estatística para investigar uma possível relação entre os dados dos pacientes, análises bioquímicas, hemograma, I-STAT e urianálise e a severidade da doença. Este estudo permitiu mostrar que 74% dos animais possuíam evidência radiográfica da doença. As articulações mais afectadas em ordem decrescente foram a escapulo-umeral, a úmero-radio-ulnar, a tarso-metatarso-falângica e a coxo-femoral. Foram encontradas relações estatisticamente significativas com a idade e com valores alterados de glucose e eosinófilos. Foi possível concluir que a Doença Degenerativa das Articulações é uma doença comum nos gatos domésticos e requer mais investigação.
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A gengivo-estomatite crónica felina é uma inflamação complexa crónica, com severidade e intensidade variáveis. Apesar de não estar definida a sua etiopatogenia, parece haver uma relação entre a inflamação e a ocorrência de lesões de reabsorção dentária, enquanto causa ou enquanto consequência da doença. O tratamento para as duas doenças é inespecífico, mas baseia-se na extração dentária, contornada ou não com tratamentos médicos. Este estudo teve como objetivo determinar a ocorrência de lesões de reabsorção dentária em gatos com gengivo-estomatite crónica e avaliar a existência de uma possível associação entre um padrão de estomatite crónica e a presença de lesões de reabsorção dentária. O objetivo secundário consistiu na determinação da percentagem de sucesso e o grau de satisfação dos proprietários, após a intervenção cirúrgica. Foram incluídos no estudo 27 gatos. Os critérios de inclusão consistiram no diagnóstico de genvivo-estomatite crónica, realização de um exame radiográfico intraoral completo de todos os dentes, seguido de tratamento cirúrgico, com extrações dentárias e, finalmente, a resposta, por parte dos proprietários, a um questionário. A ocorrência de lesões de reabsorção dentária neste estudo foi de 66,67%. Não foi possível estabelecer nenhuma associação entre a gengivo-estomatite crónica felina e o desenvolvimento de lesões de reabsorção dentária. Os padrões ulcerativos, proliferativos e o de estomatite caudal na gengivo-estomatite crónica felina mostraram risco acrescido para lesões de reabsorção dentária, mas sem significado estatístico. 70,37% dos animais atingiu a cura clínica e 29,63% obteve melhoria global, num período médio de 2 meses. O grau de satisfação dos proprietários obteve uma média de 4,52 valores, numa escala de 1 a 5. Apesar da prevalência elevada de lesões de reabsorção dentária, não foi possível identificar a gengivo-estomatite crónica felina, enquanto fator de risco para a sua ocorrência. À semelhança de estudos anteriores, a gengivo-estomatite crónica felina responde a tratamento cirúrgico com extrações dentárias.
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Inflammatory bowel disease (IBD) is a common gastrointestinal disorder of cats with no known aetiological agent. Previous work has suggested that the faecal microbiota of IBD cats is significantly different from that of healthy cats, including significantly lower bifidobacteria, bacteroides and total counts in IBD cats and significantly lower levels of sulfate-reducing bacteria in healthy cats. Prebiotics, including galactooligosaccharides (GOS), have been shown to elicit a bifidogenic effect in humans and other animals. The purpose of the current study was to examine the impact of a novel GOS supplementation on the faecal microbiota of healthy and IBD cats during a randomized, double-blind, cross-over feeding study. Eight oligonucleotide probes targeting specific bacterial populations and DAPI stain (total bacteria) were used to monitor the feline faecal microbiota. Overall, inter-animal variation was high; while a trend of increased bifidobacterial levels was seen with GOS supplementation it was not statistically significant in either healthy or IBD cats. No significant differences were observed in the faecal microbiota of IBD cats and healthy cats fed the same diet. Members of the family Coriobacteriaceae (Atopobium cluster) were found to be the most abundant bacteria in the feline microbiota.
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Aims: To investigate the faecal microbiota of geriatric cats, as aging affects the nutrient digestibility and metabolic function of the feline intestine. Methods and results: 20 geriatric cats were randomly assigned to two groups that were fed different foods. Coriobacteriaceae, Clostridium cluster XIV, bifidobacteria, and lactic acid bacteria were the dominant faecal bacterial groups, accounting for ∼40% of total bacteria. Clostridium cluster IX was less predominant (0.5% of total bacteria), while the remaining bacterial populations enumerated only accounted for 0.2% of total bacteria. Highly diverse microbial profiles were demonstrated for geriatric cats with denaturing gradient gel electrophoresis, although a few common bands were evident. Some differences were seen in the feline faecal microbiota between animal groups at the same time or over time for individual animals. However, no obvious clustering based on animal group or sample time was indicated. Conclusions: geriatric cats harboured a complex faecal microbiota and ∼41% of total bacteria have been detected with the probes employed. Significance and impact of study: First molecular-based study examining faecal microbiota of geriatric felines. Knowledge of the microbiota associated with ageing in cats may allow improved development of foods specific for the needs of senior cats.
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Photodynamic therapy (PDT) using a haematoporphyrin derivative (Photogem (R), General Physics Institute and clustes Ltda) as photosensitizer and light emitting diodes (LEDs) as the light source was evaluated in 12 cats with cutaneous squamous cell carcinoma. Lesions were illuminated with LEDs, (300 J/cm for 30 min) 24 h after the administration of the photosensitizer. Clinical responses were classified as complete disappearance of the tumour with total re-epithelialization; partial response (a reduction greater than 50%); and no response (less than 50% reduction). Tumours localized to the pinna treated with one (n = 3) or two (n = 4) applications of PDT yielded no response. Highly invasive tumours of the nose and nasal planum also showed no response, after two treatments (n = 2). A combination of PDT and surgery was performed in three cases. Two cats showed partial response and one complete response with one application of therapy 30 days after nasal surgery. Small and noninfiltrative lesions (n = 3) of the nasal planum showed a PR with one application (n = 2) and a CR with two applications (n = 1). This study shows that PDT using Photogem (R) and LEDs can provide local control of low-grade feline squamous cell carcinoma. The addition of PDT to surgery in more invasive cases may help prevent recurrence.