999 resultados para Histoire contemporaine suisse
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Journal des voyages du protonotaire de Noailles (François de Noailles, plus tard évêque de Dax) en Angleterre, 1554-1555 (fol. 22). — Pièces sur le droit de dévolution en Brabant (fol. 85). — « L'ordre tenu au service faict... pour feu Monsr de Gheldres », sept. 1538 (fol. 143). — Mémoire sur la famille des rois de Danemark et sur divers points de généalogie, envoyé en 1626 par le fils aîné du prince d'Anhalt, plus tard Christiern II, prince d'Anhalt-Bernbourg (fol. 154). — Lettre originale de M. de Maillet, datée du Caire, 17 sept. 1693 (fol. 178), suivie d'un Mémoire sur quelques anciens usages des Égyptiens comparés aux usages actuels (fol. 181). — Mémoires sur les armes que doit porter Philippe V, roi d'Espagne (fol. 222). — « Harangue de M. Servien à MM. les États de Hollande » (fol. 235). — Protocole des souverains, etc., dans leurs lettres à Louis XIII (fol. 303). — « L'Abscheid et résolution faicte par les trois Ligues grises de la journée tenue en la ville de Coire, le treiziesme jour de janvier 1567 » (fol. 349).
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La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l'Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU).
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Cette étude s’organise autour d’une articulation : celle entre un médium (la photographie), une ville (Beyrouth), et les événements qui ont marqué son passé récent. Le thème des rapports entre la photographie et l’histoire, avec la pluralité de sens qui le décrit, vient, en arrière-fond de ces questions, délimiter l’horizon de cette étude ; le lien entre voir et savoir, antiquement aux sources de la connaissance historique (Hartog, Loraux), en représente la ligne de fuite. En premier plan, la relation photographique et historienne à l’événement constitue l’objet de cette recherche dont le propos est d’identifier dans la photographie une référence à l’histoire considérée en tant qu’écriture. Concrètement, cet argument se déplie sur deux mouvements. Il exige, dans un premier temps, une série d’analyses théoriques visant à étudier le potentiel de connaissance et le caractère formel de la photographie en qualité de représentation événementielle. En partant des expérimentations des avant-gardes (Lugon, Baqué), jusqu’au jumelage entre la photographie et la presse, il s’agira de montrer la part de lisibilité qui appartient aux narrations photographiques (Barthes, Lavoie). Ensuite, on prendra en considération le travail opéré par l’historien lors de l’opération historiographique visant à produire, autour de l’événement, une représentation historique (de Certeau, Ricœur, Ginzburg). Outre faire ressortir le caractère de visibilité qui appartient à l’écriture historienne, ce passage sera aussi l’occasion de produire une étude comparée de la photographie et de l’histoire (Kracauer) autour de notions ponctuelles, comme celles d’empreinte, d’indice et de témoignage. Le moteur de ce premier mouvement est la notion d’événement. Abordée d’un point de vue phénoménologique (Zarader, Marion, Dastur, Diano), elle nous permettra d’observer la photographie et l’histoire d’après la génétique de leur construction. Finalement, Beyrouth et son histoire façonnées par les images constituent le cadre à l’intérieur duquel s’organise le deuxième mouvement. Les analyses des œuvres de Sophie Ristelhueber (Beyrouth photographies, 1984), Robert Frank (Come again, 1991) et Lamia Joreige (Beyrouth, autopsie d’une ville, 2010) sont conçues comme autant d’espaces dialogiques entre la photographie, l’épistémologie de l’histoire et les événements historiques qu’elles représentent. Le propos est de faire ressortir le basculement qu’elles mettent en scène : de la chronique vers l’écriture d’histoire.