944 resultados para Eletric car
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Référence bibliographique : Rol, 60260
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Daniel (Jehan), dit maistre Mîtou. Pronostication nouvelle (1533)
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A student crashes a car through the main entrance of Brock University and ransacks the office of the University President. The Buick La Sabre is driven through the glass doors of the Schmon Tower in the early morning, just as staff are beginning to report for work. The occupant of the vehicle proceeds to the tower's thirteenth floor, where he overturns furniture in the President's offices and breaks windows. University officials find him sitting in the President's chair, claiming he is God or Jesus.
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Frank Chapman Jr. [?] in a touring car, beside the Palmetto Grove house, Covina, California, August, 1909.
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Chapman family members in a touring car outsdie a residence, possibly in Covina, California, October, 1909.
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A photograph of Dorothy Rungeling sitting in a car parked beside a plane. There is a boy in the car next to her, likely her son Barry. According to her story in Air Facts (reprinted in Bozeman Daily Chronicle), this may be the day back in 1948 when she first went up in an airplane, According to the story, she was with her husband and son taking photographs for ads for their car dealership when she was persuaded by her son to take a turn in the airplane.
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A photograph of four women all in hats standing next to a car.
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A photograph of a car with the door open on a gravel drive.
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A photograph of four women standing next to a car.
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A photograph of Percy Band posing next to a car.
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A man on the sideboard of his car reaching over the side of the vehicle. The top is down on the vehicle and it is in a field.
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Certificate for 6 shares of common capital stock in Gove Motor Car Company, Detroit, Michigan to Hamilton K. Woodruff, June 13, 1921.
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Certificate for 2 shares of preferred capital stock in Gove Motor Car Company, Detroit, Michigan to Hamilton K. Woodruff, June 13, 1921.
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Cette thèse est une recherche pluridisciplinaire sur le concept du pardon interpersonnel. Elle cherche à circonscrire la portée et la dynamique du pardon, entre autres en répondant à la question Pourquoi pardonner ? Jusqu’à récemment on trouvait peu d’écrits sur le pardon. Mais les deux dernières décennies ont vu un foisonnement de travaux de recherche sur le sujet de la part de psychologues éveillés à ses bienfaits thérapeutiques. Parallèlement, des philosophes et des théologiens se sont aussi intéressés à la question et ont commencé à publier leurs réflexions. Deux hypothèses marquent le parcours de notre recherche. La première porte sur la signification de la deuxième partie de l’énoncé biblique en Luc 23, 34 « Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Elle avance que le « motif de l’ignorance » que cette parole affirme a une portée universelle et soutient que l’offenseur est en état d’ignorance inconsciente lorsqu’il fait le mal. Le pardon des offenses serait donc le pardon de cette ignorance inconsciente. La seconde hypothèse conjecture que le pardon interpersonnel s’inscrit dans une dynamique spirituelle même s’il a quitté ses amarres religieuses. Nous avançons que la relation pardon-spiritualité est significative et que sa compréhension peut aider à mieux saisir l’essence d’un pardon devenu séculier et à en permettre l’éclosion. Pour établir la valeur de cette hypothèse, nous devons étudier la dynamique d’une démarche de pardon de même qu’à déterminer le statut actuel de la spiritualité. La thèse se divise en trois parties. La première partie expose la pensée d’auteurs significatifs dans chacune des principales disciplines concernées par le pardon : philosophie, théologie, psychologie et spiritualité. Il y est question d’offense pardonnable ou impardonnable, de pardon conditionnel ou inconditionnel, de corrélats du pardon comme l’oubli, la colère, la culpabilité, le repentir et des résultats d’études empiriques psychothérapeutiques sur le pardon. Cette première partie se termine par une réflexion sur la spiritualité de façon à voir dans quelle mesure le pardon devient une dynamique spirituelle. La deuxième partie est consacrée à l’examen de l’hypothèse concernant le sens et la portée du « car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Dans un premier temps on fait appel à l’expertise exégétique pour situer l’authenticité et la portée de ce passage. Nous explorons ensuite la pensée philosophique à travers l’histoire pour comprendre le véritable sens du libre-arbitre et son impact sur la conception de la faute. La remise en cause philosophique du libre-arbitre nous ramènera à la thèse socratique selon laquelle « Nul n’est méchant volontairement ». La théorie mimétique de René Girard vient démontrer que les persécuteurs sont fondamentalement inconscients de ce qu’ils font et la théologienne Lytta Basset identifie le fantasme de la connaissance du bien et du mal comme accroissant cette ignorance qui s’ignore. La troisième partie de la thèse intègre les réflexions et découvertes des deux premières parties, et les situent dans un parcours qui va de l’impardonnable à la guérison, tout en les conceptualisant avec une matrice de verticalité et d’horizontalité qui schématise leurs interactions. Nous découvrons que si « car ils ne savent pas ce qu’ils font » fournit la réponse logique à la question Pourquoi pardonner ?, il existe aussi une deuxième voie qui conduit au pardon, l’amour. L’amour est la clé du pardon basé sur le message évangélique, alors que l’empathie est celle de l’approche psychothérapeutique. Enfin, la comparaison entre le « pardon psychothérapeutique » et le « pardon évangélique » nous fait conclure qu’il y a deux modes d’accès majeurs au pardon : la raison et l’amour.