273 resultados para Bonheur criminel
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"The principal works of Rosa Bonheur": p.85-89.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La présente étude explore la trajectoire de vie d’un détenu condamné à une peine à perpétuité qui bénéficie d’une libération conditionnelle totale afin d’identifier laquelle ou lesquelles des cinq grandes conceptualisations théoriques du désistement criminel permettent le mieux d’expliquer sa trajectoire de désistement. Pour atteindre cet objectif, une méthodologie qualitative de type exploratoire a été privilégiée. Un homme purgeant une peine à perpétuité dans la collectivité a été rencontré en contexte d’entretiens afin de restituer en profondeur son histoire de vie et cerner, à la lumière des théories recensées, les concepts applicables à son désistement criminel. Une série de neuf entretiens d’environ une heure et demie a été réalisée. Le récit de vie de monsieur P est présenté et analysé pour illustrer l’applicabilité des principales conceptualisations théoriques du désistement criminel qui ont été recensées dans le présent mémoire. L’analyse des données recueillies a permis de faire ressortir l’importance de considérer le concept identitaire dans le processus de désistement et le changement psychologique qui l’accompagne. La discussion aborde quelques pistes d’interventions susceptibles de soutenir le travail des membres du personnel qui œuvrent auprès des délinquants qui purgent de longues peines. Celles-ci prennent en compte les défis posés par la clientèle particulière des détenus à perpétuité et cherchent à maximiser leur réintégration sociale lors de leur mise en liberté.
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La présente étude explore la trajectoire de vie d’un détenu condamné à une peine à perpétuité qui bénéficie d’une libération conditionnelle totale afin d’identifier laquelle ou lesquelles des cinq grandes conceptualisations théoriques du désistement criminel permettent le mieux d’expliquer sa trajectoire de désistement. Pour atteindre cet objectif, une méthodologie qualitative de type exploratoire a été privilégiée. Un homme purgeant une peine à perpétuité dans la collectivité a été rencontré en contexte d’entretiens afin de restituer en profondeur son histoire de vie et cerner, à la lumière des théories recensées, les concepts applicables à son désistement criminel. Une série de neuf entretiens d’environ une heure et demie a été réalisée. Le récit de vie de monsieur P est présenté et analysé pour illustrer l’applicabilité des principales conceptualisations théoriques du désistement criminel qui ont été recensées dans le présent mémoire. L’analyse des données recueillies a permis de faire ressortir l’importance de considérer le concept identitaire dans le processus de désistement et le changement psychologique qui l’accompagne. La discussion aborde quelques pistes d’interventions susceptibles de soutenir le travail des membres du personnel qui œuvrent auprès des délinquants qui purgent de longues peines. Celles-ci prennent en compte les défis posés par la clientèle particulière des détenus à perpétuité et cherchent à maximiser leur réintégration sociale lors de leur mise en liberté.
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Résumé: Le défi vital que la Révélation pose à la philosophie légitime la question de leurs rapports possibles. La raison considère d’abord l’absence de rapport en distinguant radicalement ce qui relève de chacune. Mais l’élan fondamental orienté vers le divin qui anime cette faculté, la rend naturellement théologique. Pour éviter le scepticisme, incompatible avec son dynamisme naturel, la raison finit par dévaloriser la Révélation. Cette attitude signifie l’unicité de l’autorité théologique de la raison, alors naturellement divine. Développée à partir du XVIIIème siècle, elle culmine avec l’homme démiurgique des XIX et XXème siècles. Mais, ne pouvant justifier l’universalité de ses élaborations idéologiques, la raison hésite entre le scepticisme ou le totalitarisme, deux renoncements à l’exercice philosophique. L’acceptation du soutien lumineux de la Révélation, qui suppose l’humble reconnaissance des limites de la raison, ne nuit pas à cet exercice, mais le féconde, et, seule, en permet l’épanouissement. Eclairée par la Révélation, la philosophie contribue au bonheur suprême des hommes, qui demeure son intention fondamentale.
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Ce mémoire porte sur la réception, par des lectrices de la génération X, de cinq oeuvres autofictionnelles écrites par les auteures québécoises Marie-Sissi Labrèche ( Borderline 2000 et La brèche 2003), Nelly Arcan (Putain 2001 et Folle 2004) et Mélikah Abdelmoumen (Le dégoût du bonheur 2001), lesquelles appartiennent à cette même génération. Leurs récits ont suscité un certain engouement public et obtenu un écho considérable dans la sphère médiatique et dans le milieu de la recherche universitaire. Les observateurs notent, de façon générale, que les narratrices autodiégétiques, alter ego des auteures, sont brutalement imparfaites, névrosées, mal dans leur peau, sexuellement soumises, assujetties aux désirs des hommes, et qu'elles ne parviennent pas à s'épanouir comme êtres humains, mais surtout, comme femmes. D'une part, les héroïnes rompent avec les représentations largement véhiculées dans les médias et dans la littérature québécoise contemporaine. D'autre part, leur profil correspond aux discours populaires sur la génération X, fréquemment qualifiée de génération sacrifiée, désabusée. Ma recherche, exploratoire, se fonde sur quatre approches théoriques : théorie des genres littéraires, théories de la réception, études féministes et gender studies, sociologie des générations. J'ai tenu cinq entretiens collectifs auprès de seize Québécoises de la génération X. J'ai réuni ces lectrices, qui s'étaient d'elles-mêmes intéressées aux récits, en petits groupe [i.e. groupes] de trois ou quatre participantes. Le compte-rendu et l'analyse de leurs discussions m'ont permis d'observer la portée sociale des récits éminemment personnels de Labrèche, d'Arcan et d'Abdelmoumen. Une interrogation m'a habitée du début à la fin de ma démarche : pourquoi et comment ces récits"parlent-ils", intellectuellement et émotionnellement, aux lectrices de la génération X? Je dégage de mon analyse quelques hypothèses interprétatives. D'abord, les lectrices ont du mal à distinguer les auteures et les narratrices. Elles tendent à appréhender les récits autofictionnels comme des autobiographies et elles procèdent à une lecture littérale des oeuvres. Ensuite, plus de la moitié des lectrices s'identifient, à différents degrés, aux narratrices. Comme ces dernières, les participantes à ma recherche affirment qu'elles ressentent une certaine pression sociale liée aux normes de beauté et de féminité et à l'hypersexualisation de l'espace public. En cela, leurs positions se rapprochent de celles du courant féministe radical. Cependant, les lectrices refusent d'être cantonnées dans un rôle de victime. Elles reprochent aux narratrices de s'autodétruire. Les femmes doivent, selon les participantes, se responsabiliser et se montrer critiques envers les modèles qui leur sont offerts. Enfin, les lectrices reconnaissent dans les héroïnes certains traits associés à la génération X. Elles attribuent en partie la souffrance des narratrices au contexte social dans lequel ces dernières évoluent. Mais elles estiment que cette souffrance est surtout tributaire de carences familiales. Les discussions des lectrices reflètent en quelque sorte leur propre appartenance à la génération X. Ainsi, l'importance qu'elles accordent à la sphère privée, par rapport à la sphère publique, constitue une des particularités des X qui ressort clairement des entretiens. Par ailleurs, leurs observations sont teintées d'un certain individualisme. Bref, à la lumière de mes résultats, je conclus que les récits autofictionnels de Marie-Sissi Labrèche, de Nelly Arcan et de Mélikah Abdelmoumen ont une certaine portée sociale, mais que leur écho résonne davantage sur le plan individuel, chez les lectrices qui s'identifient personnellement aux narratrices. Cela dit, les participantes semblent toutes avoir été portées à se questionner et à réfléchir, pendant et après leur lecture, sur l'identité féminine dans la société actuelle.
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Diderot est davantage un humaniste et un non-conformiste qui se préoccupe beaucoup de la stabilité et du confort de l‘existence humaine. Il croit que l‘homme est né pour vivre en société et qu‘il doit être heureux. Toute cette philosophie ressort de ses oeuvres dont l‘objectif est celui d‘aider les hommes à atteindre le bonheur: il s‘agit donc d‘une littérature engagée. La verve satirique de Diderot est le fil directeur d‘une oeuvre variée et diverse qui risque de décourager le lecteur paresseux. L‘élément satirique rassemble les articles de L‟Encyclopédie, les Salons et les oeuvres fictives de Diderot, comme par exemple, Le Neveu de Rameau, Jacques le Fataliste et son Maître et La Religieuse. Bien que L‟Encyclopédie soit une entreprise scientifique, Diderot cache, dans plusieurs articles, pour tromper la censure, des attaques virulentes contre la morale, la religion et ses institutions. Il critique aussi les superstitions et les croyances don‘t s‘entourent les religions. Dans les Salons, Diderot rédige des appréciations sur les tableaux de quelques peintres, parus dans plusieurs expositions. Mais Diderot ne les décrit pas en tant que technicien, il s‘en sert pour faire une parodie de ces peintures, utilisant très souvent un langage grossier et un style gaillard. La satire est le lien entre la non-fiction et la fiction. Dans ses oeuvres romanesques on trouve la satire sociale et littéraire : Diderot y met en question le genre romanesque traditionnel, par conséquent Le Neveu de Rameau, Jacques le Fataliste et son Maître et La Religieuse se caractérisent par un décousu apparent et désordonné – c‘est la forme amusante dont Diderot se sert pour révéler aux lecteurs que les romans traditionnels les trompent. La forme désorganisée sert aussi à montrer le manque de liberté dont l‘homme jouit – l‘homme n‘est qu‘un guignol manipulé par le destin. En effet, en « déconstruisant » le roman, Diderot oblige le lecteur à réfléchir sur la condition humaine et l‘illusion romanesque de telle façon que le lecteur ne sait plus ce qui est faux et ce qui est vrai, surtout dans le cas de La Religieuse.
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«Le souper» constitue le XIIème chapitre du roman de Voltaire, Zadig – Le monde comme il va (1747). On y trouve plusieurs aspects qui font le charme des contes de l’époque, tels que la fantaisie, l’imagination, le voyage, la couleur locale, l’humour, la satire… Le héros, Zadig, se mouvemente dans un cadre exotique (l’Arabie), il vit des situations bizarres, comiques et parodiques. Mais Voltaire ne veut pas tout simplement amuser le lecteur, il a une thèse à défendre, par conséquent il invite le lecteur à lire dans les entre-lignes. Voltaire essaie de montrer satiriquement que l’homme croit dominer les événements, mais en effet, il n’est qu’un jouet des forces qui le dépassent. Zadig est toujours dans la quête du bonheur qui semble impossible: quand il croit que finalement il est heureux, la destinée lui tend un piège. Dans «Le souper», Voltaire continue à exposer ses philosophies et c’est pourquoi il choisit le banquet qui est très propre à la confrontation d’idées. Il y rassemble plusieurs hommes de différentes nationalités et cultures et qui ont une grande diversité de points de vue, en ce qui concerne les superstitions et les préjugés. La discussion devient animée et anecdotique et elle sert à illustrer la thèse de Voltaire, selon laquelle l’homme est médiocre et ignorant, le fanatisme est dangereux et mène à la violence, et le hasard joue un rôle primordial dans notre vie. Dans «Le souper», chaque convive tente d’imposer ses convictions, en méprisant celles des autres, ce qui donne une image accablante de la condition humaine. Cependant, Zadig, en faisant usage de sa raison et de son esprit critique, réussit à réconcilier tout le monde, et quand il semble que «tout va bien dans le meilleur des mondes», il lui arrive une catastrophe: on veut brûler Zadig à petit feu, car il venait de détruire une ancienne tradition- «le bûcher du veuvage», ce qui illustre et justifie le scepticisme de Voltaire par rapport à la Providence.
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Soit La peste soit En attendant Godot traitent de l‘absurde de la condition humaine et de la quête du salut. La vie se présente sans avenir et comme un enchaînement de scènes pénibles qui se ressemblent. L‘humanité veut désespérément atteindre le bonheur et préserver sa dignité, mais, malgré tout effort, rien ne change : c‘est la terrible stabilité du monde. Presque tous les personnages manquent d‘identité. Ce sont des prisonniers de leur propre existence; des guignols manipulés arbitrairement par le destin; des victimes de la gratuité de la grâce divine. Les personnages, le temps, l‘espace, le langage, les silences, tout y sert à exprimer l‘absurde de la condition humaine. Dans ces deux oeuvres, l‘air est plein de cris de révolte. Les plaintes deviennent le langage naturel de l‘humanité souffrante, parce que, après tout, ni Godot ni le salut n‘arrivent jamais.