996 resultados para Beaumarchais, Mme. Marie Thérèse Amélie (Willermaula) Caron de, 1751-1816.


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Issued also under title: Memoirs of Madame de Staël and Madame Roland.

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Plant oxylipins are a large family of metabolites derived from polyunsaturated fatty acids. The characterization of mutants or transgenic plants affected in the biosynthesis or perception of oxylipins has recently emphasized the role of the so-called oxylipin pathway in plant defense against pests and pathogens. In this context, presumed functions of oxylipins include direct antimicrobial effect, stimulation of plant defense gene expression, and regulation of plant cell death. However, the precise contribution of individual oxylipins to plant defense remains essentially unknown. To get a better insight into the biological activities of oxylipins, in vitro growth inhibition assays were used to investigate the direct antimicrobial activities of 43 natural oxylipins against a set of 13 plant pathogenic microorganisms including bacteria, oomycetes, and fungi. This study showed unequivocally that most oxylipins are able to impair growth of some plant microbial pathogens, with only two out of 43 oxylipins being completely inactive against all the tested organisms, and 26 oxylipins showing inhibitory activity toward at least three different microbes. Six oxylipins strongly inhibited mycelial growth and spore germination of eukaryotic microbes, including compounds that had not previously been ascribed an antimicrobial activity such as 13-keto-9(Z),11(Z),15(Z)- octadecatrienoic acid and 12-oxo-10,15(Z)-phytodienoic acid. Interestingly this first large-scale comparative assessment of the antimicrobial effects of oxylipins reveals that regulators of plant defense responses are also the most active oxylipins against eukaryotic microorganisms, suggesting that such oxylipins might contribute to plant defense through their effects both on the plant and on pathogens, possibly through related mechanisms. © 2005 American Society of Plant Biologists.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Le Programme des aides familiales résidantes (PAFR) a été en vigueur de 1992 jusqu’au 30 novembre 2014. Il s’agit d’un programme fédéral canadien par lequel des femmes originaires des Philippines en majorité et ayant obtenu un diplôme d’études postsecondaires migraient partout au Canada. Sous ce programme, celles-ci se retrouvaient avec un statut de migrante temporaire. Elles avaient la possibilité d’obtenir leur résidence permanente après avoir complété 24 mois de travail en tant qu’aides familiales. Elles devaient travailler au domicile privé d’un employeur dont le nom était inscrit sur leur permis de travail, chez qui elles avaient aussi l’obligation de résidence. En travaillant en tant qu’aides familiales résidantes, ces femmes étaient et sont toujours placées dans une situation de déqualification professionnelle inévitable qui semble se prolonger à long terme. Cette situation est notamment attribuable à la non-reconnaissance de leurs qualifications étrangères ainsi qu’à la structure du PAFR. Cette recherche porte donc sur le parcours de requalification professionnelle de ces migrantes, que certaines utilisent comme stratégie pour remédier à cette situation. En plus de s’intéresser à leur période de travail en tant qu’aides familiales résidantes, cette recherche étudie le parcours de requalification professionnelle en quatre étapes : la décision de participer à la formation ; le choix de l’orientation professionnelle ; le déroulement des études ; l’accès à un emploi correspondant à la formation. L’objectif est de connaître l’impact qu’aura le passage de celles-ci par le PAFR, sur leur parcours de requalification. Les résultats obtenus à l’aide de onze entretiens semi-dirigés, avec des femmes étant venues à Montréal par le programme, montrent qu’à long terme, le diplôme obtenu localement peut améliorer une situation professionnelle, mais ce n’est pas une garantie. Des obstacles comme l’isolement ainsi que l’impossibilité pour ces femmes de se construire un capital financier et social persistent et affectent toutes celles ayant migré sous le programme, qu’elles aient fait un retour aux études ou non.

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Le Programme des aides familiales résidantes (PAFR) a été en vigueur de 1992 jusqu’au 30 novembre 2014. Il s’agit d’un programme fédéral canadien par lequel des femmes originaires des Philippines en majorité et ayant obtenu un diplôme d’études postsecondaires migraient partout au Canada. Sous ce programme, celles-ci se retrouvaient avec un statut de migrante temporaire. Elles avaient la possibilité d’obtenir leur résidence permanente après avoir complété 24 mois de travail en tant qu’aides familiales. Elles devaient travailler au domicile privé d’un employeur dont le nom était inscrit sur leur permis de travail, chez qui elles avaient aussi l’obligation de résidence. En travaillant en tant qu’aides familiales résidantes, ces femmes étaient et sont toujours placées dans une situation de déqualification professionnelle inévitable qui semble se prolonger à long terme. Cette situation est notamment attribuable à la non-reconnaissance de leurs qualifications étrangères ainsi qu’à la structure du PAFR. Cette recherche porte donc sur le parcours de requalification professionnelle de ces migrantes, que certaines utilisent comme stratégie pour remédier à cette situation. En plus de s’intéresser à leur période de travail en tant qu’aides familiales résidantes, cette recherche étudie le parcours de requalification professionnelle en quatre étapes : la décision de participer à la formation ; le choix de l’orientation professionnelle ; le déroulement des études ; l’accès à un emploi correspondant à la formation. L’objectif est de connaître l’impact qu’aura le passage de celles-ci par le PAFR, sur leur parcours de requalification. Les résultats obtenus à l’aide de onze entretiens semi-dirigés, avec des femmes étant venues à Montréal par le programme, montrent qu’à long terme, le diplôme obtenu localement peut améliorer une situation professionnelle, mais ce n’est pas une garantie. Des obstacles comme l’isolement ainsi que l’impossibilité pour ces femmes de se construire un capital financier et social persistent et affectent toutes celles ayant migré sous le programme, qu’elles aient fait un retour aux études ou non.