126 resultados para Alopex lagopus


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Determining the manner in which food webs will respond to environmental changes is difficult because the relative importance of top-down vs. bottom-up forces in controlling ecosystems is still debated. This is especially true in the Arctic tundra where, despite relatively simple food webs, it is still unclear which forces dominate in this ecosystem. Our primary goal was to assess the extent to which a tundra food web was dominated by plant-herbivore or predator--rey interactions. Based on a 17-year (1993-2009) study of terrestrial wildlife on Bylot Island, Nunavut, Canada, we developed trophic mass balance models to address this question. Snow Geese were the dominant herbivores in this ecosystem, followed by two sympatric lemming species (brown and collared lemmings). Arctic foxes, weasels, and several species of birds of prey were the dominant predators. Results of our trophic models encompassing 19 functional groups showed that <10% of the annual primary production was consumed by herbivores in most years despite the presence of a large Snow Goose colony, but that 20-100% of the annual herbivore production was consumed by predators. The impact of herbivores on vegetation has also weakened over time, probably due to an increase in primary production. The impact of predators was highest on lemmings, intermediate on passerines, and lowest on geese and shorebirds, but it varied with lemming abundance. Predation of collared lemmings exceeded production in most years and may explain why this species remained at low density. In contrast, the predation rate on brown lemmings varied with prey density and may have contributed to the high-amplitude, periodic fluctuations in the abundance of this species. Our analysis provided little evidence that herbivores are limited by primary production on Bylot Island. In contrast, we measured strong predator-prey interactions, which supports the hypothesis that this food web is primarily controlled by top-down forces. The presence of allochthonous resources subsidizing top predators and the absence of large herbivores may partly explain the predominant role of predation in this low-productivity ecosystem.

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Les caractéristiques physiques d’un site de nidification peuvent influencer la probabilité qu’il soit utilisé et l’issue des tentatives de nidification. La buse pattue (Buteo lagopus) construit un imposant nid, qui peut être réutilisé plusieurs années, en bordure des falaises et des versants en Arctique. Ces habitats escarpés sont perturbés par des mouvements de masse pouvant entraîner la destruction de sites critiques pour la reproduction des buses. Nous avons d’abord examiné l’effet de plusieurs variables environnementales et de la réutilisation d’un nid sur la reproduction de la buse pattue. Ensuite, nous avons évalué la vulnérabilité des nids aux mouvements de masse et identifié les facteurs environnementaux associés à la persistance des nids. L’étude s’est déroulée à l’île Bylot (Nunavut) de 2007 à 2015. La probabilité qu’un nid soit utilisé par un couple augmentait avec la distance du nid actif le plus proche, la présence d’un surplomb au-dessus du nid et la densité des lemmings. Les nids accessibles aux renards et orientés vers le nord étaient associés à un moins bon succès reproducteur. Celui-ci était aussi positivement relié à la densité estivale de lemmings et négativement relié aux précipitations. Nos résultats suggèrent que les caractéristiques physiques du site de nidification offrant un microclimat favorable et une protection contre les prédateurs reflètent des sites de haute qualité. Le succès reproducteur était similaire entre les nouveaux nids et ceux préexistants, suggérant que la construction d’un nid n’entraîne pas de coût sur la reproduction à court terme. Parmi les 82 nids connus, près du tiers ont été détruits par des mouvements de masse et parmi ceux encore intacts, la majorité sont à risque modéré et haut de l’être. La probabilité de destruction était élevée pour les nids construits sur des sédiments non consolidés et positivement associée aux fortes précipitations. La hausse anticipée des précipitations due aux changements climatiques est susceptible d’augmenter la vulnérabilité des nids aux mouvements de masse ce qui pourrait ultimement réduire la disponibilité de sites appropriés pour la reproduction de ce rapace.