Outdoor group portrait of attendees of the International Meeting of the World Union for Progressive Judaism; London.

Includes Rabbi Leo Baeck, E.L. Ehrlich of Basel, Herbert Strauss of Bern, and Rabbi Eugen Messinger of Bern

The Soviet Union and the International Brigades, 1936-1939

The International Brigades are typically viewed as a fighting force whose impetus came from the Comintern, and thus from within the walls of the Kremlin. If the assumption is essentially correct, the broader relation between Stalin’s USSR and the IB has received little attention. This chapter constitutes an empirically-based study of the Soviet role not only in the formation of the IB, but of the Red Army’s collaboration with IB units, and Moscow’s role in the climax and denouement of the brigadistas’ Spanish experience. This study’s principal conclusion is twofold: First, that the creation and sustenance of the IB was part of Stalin’s goal of linking the Loyalist cause with that of the Soviet Union and international communism, a component of a larger geo-strategic gamble which sought to create united opposition to the fascist menace, one which might eventually bring Moscow and the West into a closer alliance. The second conclusion is that the IB, like the broader projection of Soviet power and influence into the Spanish theater, was an overly ambitious operational failure whose abortive retreat is indicative of the basic weakness of the Stalinist regime in the years prior to the Second World War.

Le contrôle des pratiques anticoncurrentielles au sein des marchés de l'Union Européenne, des États-Unis et du Canada : perspectives d'un droit antitrust international

"Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Maîtrise en droit des affaires"

Réflexions critiques sur l'avènement de l'union civile boiteuse en droit international privé québécois

[À l'origine dans / Was originally part of : Fac. Droit - Coll. facultaire - Droit international]

Right to asylum and border control : implications of european union policies on access to EU territory of people in need of international protection

Depuis plusieurs années, les États membres de l’Union européenne (UE) se soumettent à des politiques restrictives, en matière d’asile, qui les contraignent à respecter leur engagement de protéger les personnes qui fuient la persécution. Plusieurs politiques de dissuasion de l’UE sont controversées. Certaines ont d’abord été élaborées dans différents États, avant que l’UE ne mette en place une politique commune en matière d’asile. Certaines des ces politiques migratoires ont été copiées, et ont un effet négatif sur la transformation des procédures d’asile et du droit des réfugiés dans d’autres pays, tel le Canada. En raison des normes minimales imposées par la législation de l’UE, les États membres adoptent des politiques et instaurent des pratiques, qui sont mises en doute et sont critiquées par l’UNHCR et les ONG, quant au respect des obligations internationales à l'égard des droits de la personne. Parmi les politiques et les pratiques les plus critiquées certaines touchent le secteur du contrôle frontalier. En tentant de remédier à l’abolition des frontières internes, les États membres imposent aux demandeurs d’asile des barrières migratoires quasi impossibles à surmonter. Les forçant ainsi à s’entasser dans des centres de migration, au nord de l’Afrique, à rebrousser chemin ou encore à mourir en haute mer.