High speed DSC (hyper-DSC) as a tool to measure the solubility of a drug within a solid or semi-solid matrix

Conventional differential scanning calorimetry (DSC) techniques are commonly used to quantify the solubility of drugs within polymeric-controlled delivery systems. However, the nature of the DSC experiment, and in particular the relatively slow heating rates employed, limit its use to the measurement of drug solubility at the drug's melting temperature. Here, we describe the application of hyper-DSC (HDSC), a variant of DSC involving extremely rapid heating rates, to the calculation of the solubility of a model drug, metronidazole, in silicone elastomer, and demonstrate that the faster heating rates permit the solubility to be calculated under non-equilibrium conditions such that the solubility better approximates that at the temperature of use. At a heating rate of 400°C/min (HDSC), metronidazole solubility was calculated to be 2.16 mg/g compared with 6.16 mg/g at 20°C/min. © 2005 Elsevier B.V. All rights reserved.

Hyper-random Phenomena: Definition and Description

The paper is dedicated to the theory which describes physical phenomena in non-constant statistical conditions. The theory is a new direction in probability theory and mathematical statistics that gives new possibilities for presentation of physical world by hyper-random models. These models take into consideration the changing of object’s properties, as well as uncertainty of statistical conditions.

Au-delà de la textualité : l'hyper[texte] comme médium

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Validation de l'échographie haute fréquence pour l'évaluation des lésions d'ostéoarthrose

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Étude de l'association entre la fréquence cardiaque au repos et la survie

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Effets de l'entraînement physique sur la tolérance à l'effort maximal, l'incompétence chronotrope et la fréquence cardiaque de récupération

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Étude de la modulation autonome de la fréquence cardiaque en sommeil quantifiée par analyse spectrale

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Au-delà de la textualité : l'hyper[texte] comme médium

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Validation de l'échographie haute fréquence pour l'évaluation des lésions d'ostéoarthrose

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Étude de l'association entre la fréquence cardiaque au repos et la survie

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Effets de l'entraînement physique sur la tolérance à l'effort maximal, l'incompétence chronotrope et la fréquence cardiaque de récupération

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Étude de la modulation autonome de la fréquence cardiaque en sommeil quantifiée par analyse spectrale

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Broad balmer wings in BA Hyper/Supergiants distorted by diffuse interstellar bands: five examples in the 30 Doradus Region from the VLT-Flames Tarantula Survey

Extremely broad emission wings at Hβ and Hα have been found in VLT-FLAMES Tarantula Survey data for five very luminous BA supergiants in or near 30 Doradus in the Large Magellanic Cloud. The profiles of both lines are extremely asymmetrical, which we have found to be caused by very broad diffuse interstellar bands (DIBs) in the longward wing of Hβ and the shortward wing of Hα. These DIBs are well known to interstellar but not to many stellar specialists, so that the asymmetries may be mistaken for intrinsic features. The broad emission wings are generally ascribed to electron scattering, although we note difficulties for that interpretation in some objects. Such profiles are known in some Galactic hyper/supergiants and are also seen in both active and quiescent Luminous Blue Variables (LBVs). No prior or current LBV activity is known in these 30 Dor stars, although a generic relationship to LBVs is not excluded; subject to further observational and theoretical investigation, it is possible that these very luminous supergiants are approaching the LBV stage for the first time. Their locations in the HRD and presumed evolutionary tracks are consistent with that possibility. The available evidence for spectroscopic variations of these objects is reviewed, while recent photometric monitoring does not reveal variability. A search for circumstellar nebulae has been conducted, with an indeterminate result for one of them.

L'impact du glissement en fréquence lors de l'accélération directe d'électrons par le faisceau laser

L’accélération directe d’électrons par des impulsions ultrabrèves de polarisation radiale fortement focalisées démontre un grand potentiel, notamment, pour la production de paquets d’électrons ultrabrefs. Plusieurs aspects de ce schéma d’accélération restent toutefois à être explorés pour en permettre une maîtrise approfondie. Dans le cadre du présent mémoire, on s’intéresse à l’ajout d’une dérive de fréquence au champ de l’impulsion TM01 utilisée. Les expressions exactes des composantes du champ électromagnétique de l’impulsion TM01 sont établies à partir d’une généralisation du spectre de Poisson. Il s’agit, à notre connaissance, du premier modèle analytique exact pour la description d’une impulsion avec une dérive de fréquence. Ce modèle est utilisé pour étudier l’impact du glissement en fréquence sur le schéma d’accélération, grâce à des simulations “particule test” unidimensionnelles, considérant en premier lieu une énergie constante par impulsion, puis un champ maximum constant. Les résultats révèlent que le glissement en fréquence diminue le gain en énergie maximum atteignable dans le cadre du schéma d’accélération à l’étude ; une baisse d’efficacité de plusieurs dizaines de pourcents peut survenir. De plus, les simulations mettent en évidence certaines différences reliées à l’utilisation d’impulsions avec une dérive vers les basses fréquences ou avec une dérive vers les hautes fréquences : il se trouve que, pour un glissement en fréquence de même grandeur, l’impulsion avec une dérive vers les basses fréquences conduit à un gain en énergie cinétique maximum plus élevé pour l’électron que l’impulsion avec une dérive vers les hautes fréquences.