932 resultados para honey bee


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数据分配是研究数据如何分布到多个物理节点的NP-Complete问题.给出数据分配算法的数学模型,提出基于时序片段评价的数据分配算法——DATE.该算法利用数据在短时域访问量分布不均的特点,将多目标优化问题转化为单一目标求解,采用蜜蜂算法(collective Honey bee behavior)调整参数并反馈算法结果,以实现系统负载均衡.随机实验结果表明,DATE相比于同类Random,roundrobin,Bubba算法在系统总时段均衡ET、系统时段内均衡值ES、系统最大波峰值EM 3个指标中表现更优.

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一、蜜蜂嗅觉学习记忆应用基础研究特殊气味的探测在刑侦工作中意义重大,常用的警犬探测和仪器分析都有其局限之处。蜜蜂嗅觉灵敏,且学习记忆能力突出,具有为刑侦工作所用的潜力。基于此,我们希望通过训练蜜蜂将其对糖水奖励的伸喙反应与指定气味建立条件反射的原理,配合适当的训练方法,达到利用蜜蜂探测危险气味的目的。在实验中,我们首先比较了不同喂养方式的蜜蜂在气味学习中的差别。由于低浓度气味无法直接使蜜蜂建立条件化,我们采用了逐渐降低气味浓度的方法,成功训练蜜蜂对低浓度(3.6×10-7) 醋酸气味建立了条件反射。结果如下: 1)自然放养与人工孵化两种不同喂养方式的蜜蜂,各两组,分别学习醋酸CS+/薄荷CS-,或柠檬CS+/薄荷CS-的气味配对。以“获得(CS+),巩固(CS-/CS+ CS+/CS- CS-/CS+),检测,干净空气假阳性检测”的顺序操作。结果显示自然放养蜜蜂对醋酸气味没有偏好(第一次给醋酸气味伸喙率:6%),学习醋酸气味能力较低(24小时后检测正确率:66%, n=25),相对应,该类蜜蜂对柠檬气味显示出明显偏好(第一次给柠檬气味伸喙率:41%,P< 0.01),而学习效果(检测正确率:50%,n=20)与醋酸组相近(P>0.05)。人工孵化的蜜蜂对醋酸气味学习能力较自然放养蜜蜂大大提高(检测正确率:96%, n=32, P<0.01),同时对柠檬的学习结果(检测正确率:80%, n=32)也明显提高(0.01

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La malnutrition est identifiée comme l’un des facteurs potentiellement responsables des mortalités élevées de colonies d’abeilles des dernières années au Québec. Pour contrer cela, les apiculteurs donnent des suppléments de pollen à leurs colonies, mais les impacts d’une telle pratique à diverses périodes sont méconnus. Les effets de la disponibilité du pollen sur le développement de colonies d’abeilles ont été mesurés pendant 3 différentes périodes : au printemps, durant la pollinisation de la canneberge et à la fin de l’été. À chacune des périodes correspondait une expérience distincte utilisant 40 colonies. Pour chaque expérience, des conditions d’abondance de supplément de pollen et de restriction de pollen naturel étaient créées chez les colonies pendant un mois selon un plan d’expérience factorielle 2x2. L’élevage du couvain et la récolte de miel ont été mesurés jusqu’à la fin de l’été (début de l’été suivant pour l’expérience de fin d’été). Au printemps, les colonies restreintes en pollen naturel ont élevé 18% moins de couvain (p<0.05) pendant la période de restriction et 11% de moins à la fin de l’été alors que l’utilisation du supplément n’a eu aucun effet (p>0.05). Les colonies supplémentées durant la pollinisation des canneberges ont élevé moins de couvain (p<0.05) à la fin de l’été. Pour l’expérience de fin d’été, les colonies supplémentées ont eut une meilleure reprise printanière (p<0.05) de l’élevage du couvain (60% de plus) alors qu’une restriction en pollen naturel avait un effet négatif (p>0.05). Les récoltes de miel ont été augmentées (p<0.05) de 1,3 kg pendant la pollinisation de la canneberge alors qu’elles ont été diminuées (p<0.05)par une restriction en pollen naturel de 4,2 kg à la fin de l’été et de 15 kg au printemps.

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Le parasite Varroa destructor provoque depuis plus de 30 ans la perte de nombreuses colonies à travers le monde. L’utilisation d’acaricides de synthèse s’est avérée inefficace au Canada et ailleurs dans le monde à la suite de la sélection de varroas résistants. Dans ce contexte, il est devenu impératif de trouver de nouveaux moyens pour contrôler cette peste apicole. Ce travail original de recherche a pour but de déterminer les paramètres fondamentaux d’une lutte intégrée contre la varroase fondée sur l’utilisation périodique de différents pesticides organiques (l’acide oxalique, l’acide formique et le thymol) associée à des seuils d’interventions. Les seuils d’intervention ont été déterminés à l’aide de régressions linéaires entre les taux de parasitisme par V. destructor et la formance zootechnique des colonies d’abeilles mellifères (production de miel et force des colonies). Un total de 154 colonies d’abeilles du Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD) ont été suivies de septembre 2005 à septembre 2006. Les seuils calculés et proposés à la suite de cette recherche sont de 2 varroas par jour (chute naturelle) au début mai, 10 varroas par jour à la fin juillet et de 9 varroas par jour au début septembre. L’efficacité des traitements organiques avec l’acide oxalique (AO), l’acide formique (AF) et le thymol a été vérifiée en mai (avant la première miellée) en juillet (entre deux miellées), en septembre (après la miellée et pendant le nourrissage des colonies) et en novembre (avant l’hivernage). L’acide oxalique a été appliqué en utilisant la méthode d’égouttement (4% d’AO p/v dans un sirop de sucrose 1 :1 p/v). L’acide formique a été appliquée sous forme de MiteAwayII™ (tampon commercial imbibé d’AF 65% v/v placé sur le dessus des cadres à couvain), Mitewipe (tampons Dri-Loc™ 10/15cm imbibés de 35 mL d’AF 65% v/v placés sur le dessus des cadres à couvain) ou Flash (AF 65% coulé directement sur le plateau inférieur d’une colonie, 2 mL par cadre avec abeilles). Le thymol a été appliqué sous forme d’Apiguard™ (gélose contenant 25% de thymol p/v placée sur le dessus des cadres à couvain). Les essais d’efficacité ont été réalisés de 2006 à 2008 sur un total de 170 colonies (98 appartenant au CRSAD et 72 appartenant au privé). Les résultats montrent que les traitements de printemps testés ont une faible efficacité pour le contrôle des varroas qui sont en pleine croissance durant cette période. Un traitement avec l’AF à la mi-été permet de réduire les taux de parasites sous le seuil en septembre mais il y a risque de contaminer la récolte de miel avec des résidus d’AF. Les traitements en septembre avec le MiteAwayII™ suivis par un traitement à l’acide oxalique en novembre (5 mL par égouttement entre chaque cadre avec abeilles, 4% d’AO p/v dans un sirop de sucrose 1 :1 p/v) sont les plus efficaces : ils réduisent les niveaux de varroase sous le seuil de 2 varroas par jour au printemps. Nos résultats montrent également que les traitements réalisés tôt en septembre sont plus efficaces et produisent des colonies plus fortes au printemps comparativement à un traitement réalisé un mois plus tard en octobre. En conclusion, ce travail de recherche démontre qu’il est possible de contenir le développement de la varroase dans les ruchers au Québec en utilisant une méthode de lutte intégrée basée sur une combinaison d’applications d’acaricides organiques associée à des seuils d’intervention.

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This survey study aimed at identifying the factors influencing the success of animal husbandry cooperatives in Southwest Iran. Using a questionnaire, the data were collected from 95 managing directors of the cooperatives who were chosen through a multi-stage stratified random sampling method. This study showed an essential need for a systemic framework to analyze the cooperatives’ success. The results showed that the “Honey Bee”, “Cattle (dairy)”, and “Lamb” cooperatives were the most successful among different kinds of the cooperatives. Also, among individual attributes, “interest”, “technical knowledge”, and “understanding the concept of cooperative”; among economic variables, “income” and “current investment”; and among external factors, “market access” have significant correlation with the success while structural variables have no significant relation. Furthermore, among all the factors, four variables (“interest”, “understanding the concept of cooperative”, “market access”, and “other incomes”) can explain the variations of the success.

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Competition for floral resources is a key force shaping pollinator communities, particularly among social bees. The ability of social bees to recruit nestmates for group foraging is hypothesized to be a major factor in their ability to dominate rich resources such as mass-flowering trees. We tested the role of group foraging in attaining dominance by stingless bees, eusocial tropical pollinators that exhibit high diversity in foraging strategies. We provide the first experimental evidence that meliponine group foraging strategies, large colony sizes and aggressive behavior form a suite of traits that enable colonies to improve dominance of rich resources. Using a diverse assemblage of Brazilian stingless bee species and an array of artificial ""flowers"" that provided a sucrose reward, we compared species` dominance and visitation under unrestricted foraging conditions and with experimental removal of group-foraging species. Dominance does not vary with individual body size, but rather with foraging group size. Species that recruit larger numbers of nestmates (Scaptotrigona aff. depilis, Trigona hyalinata, Trigona spinipes) dominated both numerically (high local abundance) and behaviorally (controlling feeders). Removal of group-foraging species increased feeding opportunities for solitary foragers (Frieseomelitta varia, Melipona quadrifasciata and Nannotrigona testaceicornis). Trigona hyalinata always dominated under unrestricted conditions. When this species was removed, T. spinipes or S. aff. depilis controlled feeders and limited visitation by solitary-foraging species. Because bee foraging patterns determine plant pollination success, understanding the forces that shape these patterns is crucial to ensuring pollination of both crops and natural areas in the face of current pollinator declines.

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Stingless bees of the genus Partamona are distributed from southern Mexico to southern Brazil. This genus has been subject to different approaches to solve questions concerning general biology, taxonomy, systematics and biogeography, but population studies applying molecular techniques are inexistent. We analyzed the genetic structure of P. helleri across its geographic distribution along the coastal Atlantic tropical rainforest in Brazil. Ten mtDNA haplotypes were observed in 47 colonies of P. helleri of which some were exclusive and others shared among geographic sub-groups. Statistical analysis showed high genetic differentiation between geographic areas sampled. Fragmentation of the Atlantic forest during Pleistocene glaciations is discussed as a possible cause of the present haplotype distribution and frequency.

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We see today many efforts to quantify biodiversity in different biomes. It is very important then to develop and to apply other methodologies that allow us to assess biodiversity. Here we present an example of application of three tools with this goal. We analyzed two populations of Plebeia remota from two distinct biomes that already showed several differences in morphology and behavior. Based on these differences, it has been suggested that the populations of Cunha and Prudentopolis do not represent a single species. In order to verify the existence or absence of gene flow between these two groups, we characterized the patterns of mtDNA through RFLP, the patterns of wing venation through geometric morphometry, and the cuticular hydrocarbons through gas chromatography-mass spectrometry. We used bees collected in these two locations and also from colonies which have being kept for around 9 years at Sao Paulo University. We found six different haplotypes in these specimens, of which three of them occurred exclusively in the population of Cunha and three only in the Prudentopolis population. The fact that the populations do not share haplotypes suggests no maternal gene flow between them. The two populations were differentiated by the pattern of the wing veins. They also had different mixtures of cuticle hydrocarbons. Furthermore it was shown that the colonies kept at the university did not hybridize. These two groups may constitute different species. We also show here the importance of using other methodologies than traditional taxonomy to assess and understand biodiversity, especially in bees.

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Sea anemones contain a variety of biologically active substances. Bunodosoma caissarum is a sea anemone from the Cnidaria phylum, found only in Brazilian coastal waters. The aim of the present work was to study the biological effects of PLA(2) isolated from the sea anemone B. caissarum on the isolated perfused kidney, the arteriolar mesenteric bed and on insulin secretion. Specimens of B. caissarum were collected from the Sao Vicente Channel on the southern coast of the State of São Paulo, Brazil. Reverse phase HPLC analysis of the crude extract of B. caissarum detected three PLA(2) proteins (named BcPLA(2)1, BCPLA(2)2 and BcPLA(2)3) found to be active in B. caissarum extracts. MALDI-TOF mass spectrometry of BcPLA(2)1 showed one main peak at 14.7 kDa. The N-terminal amino acid sequence of BcPLA(2)1 showed high amino acid sequence identity with PLA(2) group III protein isolated from the Mexican lizard (PA23 HELSU, HELSU, PA22 HELSU) and with the honey bee Apis mellifera (PLA(2) and 1POC_A). In addition, BcPLA(2)1 also showed significant overall homology to bee PLA(2). The enzymatic activity induced by native BCPLA(2)1 (20 mu g/well) was reduced by chemical treatment with p-bromophenacyl bromide (p-BPB) and with morin. BcPLA(2)1 strongly induced insulin secretion in presence of high glucose concentration. In isolated kidney, the PLA(2) from B. caissarum increased the perfusion pressure, renal vascular resistance, urinary flow, glomerular filtration rate, and sodium, potassium and chloride levels of excretion. BcPLA(2)1, however, did not increase the perfusion pressure on the mesenteric vascular bed. In conclusion, PLA(2), a group III phospholipase isolated from the sea anemone B. caissarum, exerted effects on renal function and induced insulin secretion in conditions of high glucose concentration. (C) 2009 Elsevier Ltd. All rights reserved.

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1. The comparison of molecular exclusion cromatography profiles of venoms from sting apparatuses of Apis mellifera ligustica, Apis mellifera adansonii and Africanized honey-bees in Sephadex G-100 revealed both qualitative and quantitative differences.2. The venoms from A.m. ligustica and A.m. adansonii presented, respectively, three and two peaks characteristic of each sub-species, while Africanized honey-bee was characterized by the absence of eight peaks common to the former.3. The polypeptides with M(r) in the range from 100,000 to 7500 da correspond respectively to 62.0%, 66.6% and 68.7% of total proteins from the venon of A.m. ligustica, A.m. adansonii and Africanized honey-bees, while the peptidic fraction with M(r) range from 4100 to 2000 da corresponds to 11.4%, 32.4% and 10.2% of venom protein, respectively.

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A ocorrência da doença apícola cria giz, em colônias de abelhas Apis mellifera no apiário do Departamento de Zootecnia da Universidade Federal de Santa Maria (UFSM), RS, Brasil, foi constatada em 2004. Foram coletadas amostras de crias de abelhas duras e mumificadas em favos falhados nas colônias com pequena população. Essas amostras foram analisadas no Laboratório de Fitopatologia do Departamento de Defesa Fitossanitária da UFSM, onde se observou a presença de estruturas fúngicas com formação típica do fungo Ascosphaera apis, conhecido como causador da doença cria giz. Até então não existiam notificações da presença dessa doença na região central do Estado do Rio Grande do Sul, o que pode caracterizar um avanço dessa enfermidade para o interior, a partir de regiões próximas à fronteira com o Uruguai e a Argentina.

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