857 resultados para fur farms
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The Fur Council of Canada is an association that represents people working in all sectors of the Canadian fur trade, including trappers, processors, designers, manufacturers and retail furriers. The association aims to “promote, defend and enhance the professional, economic, social and moral interests of our members”. The Council supports fair trading practices for the benefit of producers and artisans; the responsible use of renewable resources; partnerships between the fur trade and other sectors of the Canadian and international fashion industry; and innovative use of fur by young designers.
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An act to consolidate and amend the laws for protection of game and fur-bearing animals in Ontario (1 double-sided page of printed material), 1871.
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Copy (photocopied) of newspaper clipping entitled “Canada’s First Social Club” about the Beaver Club at the North-West Fur Company, Montreal. This item has been taped together. Text is not affected, n.d.
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UANL
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L’utilisation d’antimicrobiens chez les animaux de consommation est une source de préoccupation importante pour la santé publique à travers le monde en raison de ses impacts potentiels sur l’émergence de micro-organismes résistants aux antimicrobiens et sur la présence de résidus antimicrobiens néfastes dans la viande. Cependant, dans les pays en développement, peu de données sont disponibles sur les pratiques d’utilisation des antimicrobiens à la ferme. Par conséquent, une étude épidémiologique transversale a été menée de juin à août 2011 dans des élevages de poulets de chair situés dans le sud du Vietnam, ayant pour objectifs de décrire la prévalence d’utilisation des antimicrobiens ajoutés à l’eau de boisson ou aux aliments à la ferme, et de tester les associations entre les caractéristiques des fermes et la non-conformité avec les périodes de retrait recommandés sur l’étiquette des produits. Un échantillon d’accommodement de 70 fermes a été sélectionné. Les propriétaires des fermes ont été interrogés en personne afin de compléter un questionnaire sur les caractéristiques des fermes et les pratiques d’utilisation d’antimicrobiens. Au cours des 6 mois précédant les entrevues, il a été rapporté que la colistine, la tylosine, l’ampicilline, l’enrofloxacine, la doxycycline, l’amoxicilline, la diavéridine et la sulfadimidine ont été utilisés au moins une fois dans les fermes échantillonnées, avec une fréquence descendante (de 75.7% à 30.0%). D’après deux scénarios de risque basés sur la comparaison de la période de retrait recommandée sur l’étiquette du produit et celle pratiquée à la ferme, de 14.3% à 44.3% des propriétaires de ferme interrogés n’ont pas respecté la période de retrait recommandée sur l’étiquette au moins une fois au cours des 6 derniers mois, et ce pour au moins un antimicrobien. Les facteurs de risque associés (p<0.05) avec une non-conformité avec la période de retrait recommandée sur l’étiquette pour au moins un des deux scénarios sont les suivants : élever des oiseaux qui n’appartiennent pas tous à des races d’origine asiatique, vacciner contre la bronchite infectieuse, avoir utilisé plus de 6 différents antimicrobiens à la ferme au cours des 6 derniers mois, et utiliser un mélange d’aliments fait maison et commerciaux. Nos résultats soulignent l’importance d’utiliser les antimicrobiens de façon judicieuse et en respectant les temps de retrait officiels, afin de protéger le consommateur contre les risques pour la santé causés par une exposition à des niveaux nocifs de résidus antimicrobiens.
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La régulation de l’homéostasie du fer est cruciale chez les bactéries. Chez Salmonella, l’expression des gènes d’acquisition et du métabolisme du fer au moment approprié est importante pour sa survie et sa virulence. Cette régulation est effectuée par la protéine Fur et les petits ARN non codants RfrA et RfrB. Le rôle de ces régulateurs est d’assurer que le niveau de fer soit assez élevé pour la survie et le métabolisme de Salmonella, et assez faible pour éviter l’effet toxique du fer en présence d’oxygène. Les connaissances concernant le rôle de ces régulateurs ont été principalement obtenues par des études chez S. Typhimurium, un sérovar généraliste causant une gastro-entérite chez les humains. Très peu d’informations sont connues sur le rôle de ces régulateurs chez S. Typhi, un sérovar humain-spécifique responsable de la fièvre typhoïde. Le but de cette étude était de déterminer les rôles de Fur, RfrA et RfrB dans l’homéostasie du fer et la virulence de Salmonella, et de démontrer qu’ils ont une implication distincte chez les sérovars Typhi et Typhimurium. Premièrement, Fur, RfrA et RfrB régulent l’homéostasie du fer de Salmonella. Les résultats de cette étude ont démontré que Fur est requis pour la résistance au stress oxydatif et pour une croissance optimale dans différentes conditions in vitro. La sensibilité du mutant fur est due à l’expression des petits ARN RfrA et RfrB, et cette sensibilité est beaucoup plus importante chez S. Typhi que chez S. Typhimurium. Également, Fur inhibe la transcription des gènes codant pour les sidérophores en conditions riches en fer, tandis que les petits ARN RfrA et RfrB semblent être importants pour la production d’entérobactine et de salmochélines chez S. Typhi lors de conditions pauvres en fer. Ensuite, ces régulateurs affectent la virulence de Salmonella. Fur est important pour la motilité de Salmonella, particulièrement chez S. Typhi. Fur est nécessaire pour l’invasion des deux sérovars dans les cellules épithéliales, et pour l’entrée et la survie de S. Typhi dans les macrophages. Chez S. Typhimurium, Fur ne semble pas impliqué dans l’interaction avec les macrophages. De plus, les petits ARN RfrA et RfrB sont importants pour la multiplication intracellulaire de Salmonella dans les macrophages pour les deux sérovars. Finalement, la protéine Fur et les petits ARN RfrA et RfrB régulent l’expression de l’opéron fimbriaire tcf, absent du génome de S. Typhimurium. Un site de liaison putatif de la protéine Fur a été identifié dans la région promotrice de tcfA chez S. Typhi, mais une régulation directe n’a pas été confirmée. L’expression de tcf est induite par le fer et par Fur, et est inhibée par les petits ARN RfrA et RfrB. Ainsi, ces régulateurs affectent des gènes de virulence qui sont retrouvés spécifiquement chez S. Typhi. En somme, ce projet a permis de démontrer que les régulateurs de l’homéostasie du fer de Salmonella peuvent affecter la résistance de cette bactérie pathogène à différents stress, notamment le stress oxydatif, la croissance en conditions de carence en fer ainsi que la virulence. Ces régulateurs jouent un rôle distinct chez les sérovars Typhi et Typhimurium.
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Vibrio are important during hatchery rearing. aquaculture phase and post-harvest quality of shrimps. Vibrio spp are of concern to shrimp farmers and hatchery operators because certain species can cause Vibriosis. Vibrio species are of concern to humans because certain species cause serious diseases.With the progress in aquaculture, intensive systems used for shrimp aquaculture create an artificial environment that increases bacterial growth. To maintain the productivity of such an intensive aquaculture, high inputs of fish protein have to be employed for feeding together with high levels of water exchange and the massive use of antibiotics/ probiotics / chemicals. It seems that the combination of these conditions favours the proliferation of vibrios and enhances their virulence and disease prevalence. The risk of a microbial infection is high, mainly at larval stages. The effect and severity are related to Vibrio species and dose, water, feed, shrimp quality and aquaculture management.Consumption of seafood can occasionally result in food-bome illnesses due to the proliferation of indigenous pathogens like Vibrio.Of the l2 pathogenic Vibrio species, 8 species are known to be directly food associated. Strict quality guidelines have been laid by the importing nations, for the food products that enter their markets. The microbiological quality requirement for export of frozen shrimp products is that V.cholerae, V.parahaemolyticus and V. vulnificus should be absent in 25g of the processed shrimp (Export Inspection Council of India, 1995). The mere presence of these pathogenic Vibrios is sufficient for the rejection of the exported product.The export rejections cause serious economic loss to the shrimp industry and might harm the brand image of the shrimp products from the countiy.There is a need for an independent study on the incidence of different pathogenic vibrios in shrimp aquaculture and investigate their biochemical characteristics to have a better understanding about the growth and survival of these organisms in the shrimp aquaculture niche. PCR based methods (conventional PCR, duplex PCR, multiplex-PCR and Real Time PCR) for the detection of the pathogenic Vibrios is important for rapid post-harvest quality assessment. Studies on the genetic heterogeneity among the specific pathogenic vibrio species isolated from shrimp aquaculture system provide; valuable information on the extent of genetic diversity of the pathogenic vibrios, the shrimp aquaculture system.So the present study was undertaken to study the incidence of pathogenic Vibrio spp. in Penaeus monodon shrimp hatcheries and aquaculture farms, to carry out biochemical investigations of the pathogenic Vibrio spp isolated from P. monodon hatchery and. aquaculture environments, to assess the effect of salt (NaCl) on the growth and enzymatic activities of pathogenic Vibrio spp., to study the effect of preservatives, and chemicals on the growth of pathogenic Vibrio spp. and to employ polymerase chain reaction (PCR) methods for the detection of pathogenic V ibrio spp.Samples of water (n=7) and post-larvae (n=7) were obtained from seven Penaeus monodon hatcheries and samples of water (n=5), sediment (n=5) and shrimp (n=5) were obtained from five P. monodon aquaculture farms located on the East Coast of lndia. The microbiological examination of water, sediment, post-larvae and shrimp samples was carried out employing standard methods and by using standard media.The higher bacterial loads were obtained in pond sediments which can be attributed to the accumulation of organic matter at the pond bottom which stimulated bacterial growth.Shrimp head. (4.78 x 105 +/- 3.0 x 104 cfu/g) had relatively higher bacterial load when compared to shrimp muscle 2.7 x 105 +/- 1.95 x 104 cfu/g). ln shrimp hatchery samples, the post-larvae (2.2 x 106 +/- 1.9 x 106 cfu/g) had higher bacterial load than water (5.6 x 103 +/- 3890 cfu/ml).The mean E.coli counts were higher in aquaculture pond sediment (204+/-13 cfu/g) and pond water (124+/-88 cfu/ml). Relatively lower Escherichia coli counts were obtained from shrimp samples (12+/-11 to 16+/-16.7 cfu/g). The presence of E.coli in aquaculture environment might have been from the source water. E.coli was not detected in hatchery waters and post-larvae.
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Of 33 phages isolated from various shrimp farms in Kerala, India, six were segregated to have broad spectrum lytic efficiency towards 87 isolates of Vibrio harveyi with cross-infecting potential to a few other important aquaculture pathogens. They were further tested on beneficial aquaculture micro-organisms such as probiotics and nitrifying bacterial consortia and proved to be noninfective. Morphological characterization by transmission electron microscopy (TEM) and molecular characterization by RAPD and SDS-PAGE proved them distinct and positioned under Caudovirales belonging to Myoviridae and Siphoviridae
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Zusammenfassung: Ziel der Arbeit war ein Methodenvergleich zur Beurteilung der Milchqualität unterschiedlicher Herkünfte. Am Beispiel von Milchproben aus unterschiedlicher Fütterung sowie an Milchproben von enthornten bzw. horntragenden Kühen wurde geprüft, welche der angewendeten Methoden geeignet ist, die Vergleichsproben zu unterscheiden (Differenzierungsfähigkeit der Methoden) und inwieweit eine Qualitätsbeurteilung möglich ist (hinsichtlich Milchleistung, Fett-, Eiweiß-, Lactose- (=F,E,L), Harnstoff-gehalt und Zellzahl (=SCC), Säuerungseigenschaften (=SE), Fettsäuremuster (=FS-Muster), Protein- und Metabolit-Zusammensetzung (=Pr&M), Fluoreszenz-Anregungs-Spektroskopie-Eigenschaften (=FAS) und Steigbild-Merkmalen). Zusätzlich wurde vorab die Steigbildmethode (=SB-M) für das Produkt Rohmilch standardisiert und charakterisiert, um die Reproduzierbarkei der Ergebnisse sicherzustellen. Die Untersuchungen zur SB-M zeigten, dass es Faktoren gibt, die einen deutlichen Einfluß auf die Bildmerkmals-Ausprägung aufweisen. Dazu gehören laborseitig die Klimabedingungen in der Kammer, die Verdünnungsstufe der Probe, die Standzeiten der Vorverdünnung (Reaktionen mit der Luft, Alterung usw.), und tagesspezifisch auftretende Effekte, deren Ursache unbekannt ist. Probenseitig sind sehr starke tierindividuelle Effekte auf die Bildmerkmals-Ausprägung festzustellen, die unabhängig von Fütterung, Alter, Laktationsstadium und Genetik auftreten, aber auch Fütterungsbedingungen der Kühe lassen sich in der Bildmerkmals-Ausprägung wiederfinden. Die Art der Bildauswertung und die dabei berücksichtigten Bildmerkmale ist von großer Bedeutung für das Ergebnis. Die im Rahmen dieser Arbeit untersuchten 46 Probenpaare (aus den Fütterungsvergleichen (=FV) und zur Thematik der Hörner) konnten in 91% der Fälle korrekt gruppiert werden. Die Unterschiede konnten benannt werden. Drei FV wurden auf drei biologisch-dynamischen Höfen unter Praxis-Bedingungen durchgeführt (on-farm-Experimente). Es wurden jeweils zwei vergleichbare Gruppen à mindestens 11 Kühen gebildet, die im Cross-Over-Design gefüttert wurden, mit Probennahme am 14. und 21. Tag je Periode. Es wurden folgende FV untersucht: A: Wiesenheu vs. Kleegrasheu (=KG-Heu), B: Futterrüben (=FuR) vs. Weizen (Ergänzung zu Luzernegrasheu ad lib.), C: Grassilage vs. Grasheu. Bei Versuch A sind die Futtereffekte am deutlichsten, Gruppeneffekte sind gering. Die Milch der Wiesenheu-Variante hat weniger CLA’s und n3- FS und mehr mittellangkettige FS (MCT-FS), das Pr&M-Muster weist auf „Gewebereifung und Ausdifferenzierung“ vs. bei KG-Heu „Nährstoff-fülle, Wachstum und Substanz-Einlagerung und die SB zeigen fein ausdifferenzierte Bildmerkmale. Bei Versuch B sind die Futtereffekte ähnlich groß wie die Gruppeneffekte. Bei vergleichbarer Milchleistung weist die Milch der FuR-Variante höhere F- und E-Gehalte auf, sie säuert schneller und mehr, das FS-Muster weist auf eine „intensive“ Fütterung mit vermehrt MCT- FS, und die Pr&M-Untersuchungen charakterisieren sie mit „Eisentransport und Fetttröpfchenbildung“ vs. bei Weizen „mehr Abwehr-, Regulations- und Transportfunktion“ /. „mehr Lipidsynthese“. Die SB charakterisieren mit „große, kräftige Formen, verwaschen“ vs. „kleine, ausdifferenzierte Bildmerkmal“ für FuR vs. Weizen. Die FAS charakterisiert sie mit „Saftfutter-typisch“ vs. „Samentypisch“. Versuch C weist die geringsten Futtereffekt auf, und deutliche Gruppen- und Zeiteffekte. Milchleistung und F,E,L-Gehalte zeigen keinen Futtereffekt. Die Milch der Heu-Variante säuert schneller, und sie weist mehr SCT und MCT- FS auf. Pr&M-Untersuchungen wurden nicht durchgeführt. Die SB charakterisieren bei Heumilch mit „fein, zart, durchgestaltet, hell“, bei Silagemilch mit „kräftig, wäßrig-verwaschen, dunkler“. Die FAS kann keine konsistenten Unterschiede ermitteln. Der Horn-Einfluß auf die Milchprobe wurde an 34 Probenpaaren untersucht. Von 11 Höfen wurden je zwei möglichst vergleichbare Gruppen zusammengestellt, die sich nur im Faktor „Horn“ unterscheiden, und im wöchentlichen Abstand drei mal beprobt. F,E,L, SCC und SE der Proben sowie die FAS-Messungen weisen keine konsistenten signifikanten Unterschiede zwischen den Horn-Varianten auf. Pr&M weisen bei den untersuchten Proben (von zwei Höfen) auf Horneffekte hin: bei Eh eine Erhöhung von Immun-Abwehr-Funktionen, sowie einer Abnahme phosphorylierter C3- und C6-Metabolite und Beta-Lactoglobulin. Mit den SB ließen sich für die gewählten Merkmale (S-Größe und g.B.-Intensität) keine Horneffekte feststellen. FS, Pr&M-Muster sowie Harnstoffgehalt und SB (und z.T. Milchleistung) zeigten je FV ähnliche Effekt-Intensitäten für Futter-, Gruppen- und Zeiteffekte, und konnten die Cross-Over-Effekte gut wiedergeben. F- und E-Gehalte konnten neben tierindividuellen Effekten nur in FV B auch Futtereffekte aufzeigen. In FV C zeigten die SE der Proben den deutlichsten Futtereffekt, die anderen Methoden zeigten hier vorrangig Gruppen-Effekte, gefolgt von Futter- und Zeiteffekten. Die FAS zeigte den SB vergleichbare Ergebnisse, jedoch weniger sensibel reagierend. Die Interpretation von Qualitätsaspekten war bei konsistent differenzierbaren Proben (FV A, B, C) am fundiertesten mit Hilfe der FS möglich, da über die Synthese von FS und beeinflussende Faktoren schon vielfältige Erkenntnisse vorliegen. Das Pr&M-Muster war nach einer weiteren Methodenentwicklung bei der Deutung von Stoffwechselprozessen sehr hilfreich. Die FAS konnte z.T. eine zu der Fütterungsvariante passende Charakterisierung liefern. Für die SB-M fehlt es noch an Referenzmaterial, um Angaben zu Qualitätsaspekten zu machen, wenngleich Probenunterschiede aufgezeigt und Proben-Eigenschaften charakterisiert werden konnten.
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Organic agriculture in developing countries has increased in past decades especially due to the high demand of organic products in developed countries. The rate of conversion to organic production in Nepal, however, is observed much slower than expected. This study investigates factors that determine the conversion to organic production using Nepalese tea producers as a case study. A survey of 181 farmers was conducted in the Ilam and Panchthar district of Nepal, among which 86 were organic farmers and 95 were conventional farmers. A discriminant analysis was used to identify socio-economic characteristics that distinguish conventional and organic farmers. Results from the estimated discriminant function suggest that farmers located in a distance from regional markets, older in age, better trained, affiliated with institutions and having larger farms are more likely to adopt organic production. Similarly, a factor analysis shows that environmental awareness, bright market prospects, observable economic benefit and health consciousness are the major factors influencing farmers’ decisions on the conversion to organic production. While planning programs for the development of the organic tea sector in Nepal, policy makers should consider the support of farmers’ institutions, provision of training to farmers and raise farmers’ awareness about the environmental, economic and health benefits of organic farming.
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Agricultural systems with conventional tillage and intensive use of agrochemicals, especially those on high slopes and with shallow soils, have the potential to release pollutants. This study aimed at evaluating the soil, water and nutrient lost via agricultural runoff in large plots (small catchments) under conventional and organic farming of vegetables as well as under forest (control) system in a Cambisol in the Campestre catchment. Samples of runoff were collected biweekly for one year through a Coshocton wheel. The soil and water losses from the conventional farming were 218 and 6 times higher, respectively, than forest. Under organic farming the soil and water losses were 12 and 4 times higher, respectively, than forest. However the soil losses (0.5 to 114 kg ha^(−1) year^(−1)) are considered low in agronomy but environmentally represent a potential source of surface water contamination by runoff associated pollutants. The concentrations and losses of all forms of phosphorus (P) were higher in the conventional system (9.5, 0.9 and 0.3 mg L^(−1) of total P for conventional, organic and forest systems, respectively), while the organic system had the highest concentrations and losses of soluble nitrogen (4.7, 38.6 and 0.4 mg L^(−1) of NO_3-N, respectively). The percentage of bioavailable P was proportionally higher in the organic system (91% of total P lost was as bioavailable P), indicating greater potential for pollution in the short term.
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Facing growth in demand, dairy production in peri-urban areas of developing countries is changing rapidly. To characterise this development around Bamako (Mali), this study establishes a typology of dairy production systems with a special focus on animal genetic resources. The survey included 52 dairy cattle farms from six peri-urban sites. It was conducted in 2011 through two visits, in the dry and harvest seasons. The median cattle number per farm was 17 (range 5-118) and 42% of farmers owned cropland (8.3 +/- 7.3 ha, minimum 1 ha, maximum 25 ha). Feeding strategy was a crucial variable in farm characterisation, accounting for about 85% of total expenses. The use of artificial insemination and a regular veterinary follow-up were other important parameters. According to breeders’ answers, thirty genetic profiles were identified, from local purebreds to different levels of crossbreds. Purebred animals raised were Fulani Zebu (45.8%), Maure Zebu (9.2%), Holstein (3.0%), Azawak Zebu (1.3%), Mere Zebu (0.5%) and Kuri taurine (0.1%). Holstein crossbred represented 30.5% of the total number of animals (19.0% Fulani-Holstein, 11.2% Maure-Holstein and 0.3% Kuri-Holstein). Montbéliarde, Normande and Limousin crossbreds were also found (6.6%, 0.7% and 0.3%, respectively). A multivariate analysis helped disaggregate the diversity of management practices. The high diversity of situations shows the need for consideration of typological characteristics for an appropriate intervention. Although strongly anchored on local breeds, the peri-urban dairy systems included a diversity of exotic cattle, showing an uncoordinated quest of breeders for innovation. Without a public intervention, this dynamic will result in an irremediable erosion of indigenous animal genetic resources.
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Crear un holograma, hacer burbujas cuadradas o extraer ADN de alimentos son algunos de los más de cien experimentos que se proponen en esta publicación. Además del aprendizaje de las ciencias, garantiza el interés, la diversión y el disfrute del descubrimiento. Algunos experimentos deben realizarse bajo supervisión de un adulto. Está ilustrado con ilustraciones antiguas.
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Na sequência da integração da energia eólica em larga escala foram estabelecidos códigos de rede pelos vários operadores de sistema, exigindo que os parques eólicos permaneçam em serviço durante e após a ocorrência de defeitos na rede a montante. Nos parques eólicos equipados com sistemas de velocidade constante este requisito pode ser assegurado pela instalação, no ponto de interligação à rede, de equipamento de compensação dinâmica de potência reactiva, controlado como fonte de tensão, sendo as funções de controlo baseadas em medidas efectuadas no ponto de interligação relativamente às componentes directas da tensão e da corrente. Como a adopção deste tipo de soluções externas é adequada ao funcionamento do sistema em regime equilibrado, este artigo foca a avaliação do desempenho da solução no caso da ocorrência de defeitos assimétricos. Os resultados obtidos através das simulações dinâmicas evidenciam o aparecimento de sobre tensões nas fases não afectadas pelo defeito que poderão colocar o parque eólico fora de serviço.