390 resultados para coopération hégémonique


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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Le principe de coopération est considéré depuis longtemps comme l’une des pierres angulaires du droit international, toutefois, l’existence d’une obligation de coopérer en droit international reste encore controversée. Les ressources en eau, à cause de leur fluidité et de leurs multiples usages, démontrent toujours l’interdépendance humaine. En matière de cours d’eau transfrontaliers, la Convention de New York inclut explicitement dans son texte l’obligation générale de coopérer comme l’un de ses trois principes fondamentaux. Il nous incombe alors de voir quelle obligation de coopérer les États souverains s’imposent dans leurs pratiques ? Pour répondre à cette question, nous procédons tout d’abord à une étude positiviste du contenu normatif de l’obligation de coopérer. Nous constatons que l’incorporation de la notion de l’obligation de coopérer dans le principe de la souveraineté est une tendance manifeste du droit international qui a évolué du droit de coexistence composé principalement des règles d’abstention, au droit de coopération qui comporte essentiellement des obligations positives de facere, dont la plus représentative est l’obligation de coopérer. Néanmoins, il n’existe pas de modèle unique d’application pour tous les États, chaque bassin disposant de son propre régime coopératif. Pour mesurer l’ampleur des régimes coopératifs, nous étudions cinq paramètres : le champ d’application, les règles substantielles, les règles procédurales, les arrangements institutionnels et le règlement des différends. Quatres modèles de coopération ressortent : le mécanisme consultatif (l’Indus), le mécanisme communicateur (le Mékong), le mécanisme de coordination (le Rhin) et le mécanisme d’action conjointe (le fleuve Sénégal). Pour ce qui est de la Chine, il s’agit de l’État d’amont en voie de développement le plus important dans le monde qui a longtemps été critiqué pour son approche unilatérale dans le développement des eaux transfrontières. Nous ne pouvons pas cependant passer sous silence les pratiques de coopération qu’elle a développées avec ses voisins. Quelle est son interprétation de cette obligation générale de coopérer ? Notre étude des pratiques de la Chine nous aide, en prenant du recul, à mieux comprendre tous les aspects de cette obligation de coopérer en droit international. Afin d’expliquer les raisons qui se cachent derrière son choix de mode de coopération, nous introduisons une analyse constructiviste qui est plus explicative que descriptive. Nous soutenons que ce sont les identités de la Chine qui ont déterminé son choix de coopération en matière de cours d’eau transfrontaliers. Notre étude en vient à la conclusion que même s’il y a des règles généralement reconnues, l’obligation de coopérer reste une règle émergente en droit international coutumier. Ses modes d’application sont en réalité une construction sociale qui évolue et qui peut varier énormément selon les facteurs culturels, historiques ou économiques des États riverains, en d’autres mots, selon les identités de ces États. La Chine est un État d’amont en voie de développement qui continue à insister sur le principe de la souveraineté. Par conséquent, elle opte pour son propre mécanisme consultatif de coopération pour l’utilisation des ressources en eau transfrontalières. Néanmoins, avec l’évolution de ses identités en tant que superpuissance émergente, nous pouvons probablement espérer qu’au lieu de rechercher un pouvoir hégémonique et d’appliquer une stratégie unilatérale sur l’utilisation des ressources en eau transfrontalières, la Chine adoptera une stratégie plus coopérative et plus participative dans l’avenir.

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Le but principal de cette recherche était d'identifier l'impact de rencontres à caractère expérientiel auprès de parents d'élèves du premier cycle du primaire sur la relation de coopération avec l'enseignant. Les données ont été recueillies auprès d'un échantillon de vingt-deux parents. À quatre reprises durant l'année scolaire, les parents ont été invités à participer à des rencontres à caractère expérientiel, en vue de leur permettre d'acquérir de nouvelles connaissances et de nouvelles habiletés par le biais d'expériences et de réflexions personnelles. Le sujet des rencontres avait préalablement été choisi par les parents et il était basé sur les questions et les besoins qu'ils avaient manifestés en lien avec le sujet. Les objectifs de ces rencontres étaient d'établir les conditions favorables pour mener une rencontre expérientielle de qualité, de vérifier l'impact qu'elles pouvaient avoir auprès du parent dans l'accompagnement de son enfant, auprès du parent dans sa relation avec l'enseignant, et auprès de l'enseignant dans sa relation avec le parent. À la fin de chaque rencontre, un document était remis aux parents afin qu'ils aient des outils pour soutenir leur enfant quant au sujet abordé. De plus, un questionnaire d'évaluation était rempli par les parents afin de vérifier l'impact de ces rencontres au regard des objectifs mentionnés. Finalement, une entrevue individuelle a été réalisée auprès de deux parents afin qu'ils témoignent de leur expérience.

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L'approche coopérative ayant été définie comme celle favorisant la concertation des partenaires dans la poursuite de cibles communes, la reconnaissance mutuelle du champ de compétence par rapport aux objectifs poursuivis ainsi qu'un équilibre du pouvoir, chacun exerçant une influence sur son partenaire, selon son champ de compétence, nous sommes appelé à nous poser plusieurs questions auxquelles il serait utile de répondre au cours de cette recherche. 1. Quels sont les différents modèles en relation d'aide qui ont marqué et influencé les différents intervenants en relation d'aide, plus particulièrement les animateurs et les animatrices de stages au B.E.P.P.? 2. Quelles sont les caractéristiques et les particularités du modèle de relation d'aide coopérative ainsi que les facteurs de coopération qui y sont rattachés? 3. Quelles sont les principales composantes de la pratique professionnelle en animation de stages et en quoi privilégient-elles dans leur fonctionnement les valeurs rattachées à la coopération? 4. La présence des facteurs de coopération dans la pratique professionnelle de l'animateur et de l'animatrice de stages engendre-t-elle un niveau de satisfaction élevé chez les stagiaires vivant une relation coopérative avec leur animateur ou animatrice de stages? 5. Subséquemment, ces dits facteurs de coopération introduits dans la pratique professionnelle de l'animateur et de l'animatrice de stages favorisent-ils l'atteinte des objectifs de formation du stagiaire? 6. Quels sont les facteurs de coopération les plus perceptibles et les plus définis dans une pratique professionnelle de type coopératif en animation de stages et pouvant engendrer la satisfaction des stagiaires et faciliter l'atteinte de leurs objectifs de formation?

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Le but de la présente recherche est d'analyser les relations nouées entre la C.E.E. - ensemble intégré de pays riches - et un pays pauvre, la Tunisie. Les relations entre pays riches et pays pauvres- sujet de l'heure sont évaluées selon 2 points de vue. Certains y voient une continuation de l'ère coloniale avec tout ce que cela comporte de dominations et de dépendance désavantageuse pour les plus démunis. D'autres y découvrent plutôt une interdépendance basée sur l'égalité des partenaires. La situation politico-économique mondiale nous fait opter pour le premier choix. Les relations entre les pays se caractérisent par l'assujettissement des pays pauvres au profit des pays industrialisés riches. Ces derniers ayant été les instigateurs de la période coloniale, nous comprenons alors l'affirmation selon laquelle cette période continue…

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Le principe de coopération est considéré depuis longtemps comme l’une des pierres angulaires du droit international, toutefois, l’existence d’une obligation de coopérer en droit international reste encore controversée. Les ressources en eau, à cause de leur fluidité et de leurs multiples usages, démontrent toujours l’interdépendance humaine. En matière de cours d’eau transfrontaliers, la Convention de New York inclut explicitement dans son texte l’obligation générale de coopérer comme l’un de ses trois principes fondamentaux. Il nous incombe alors de voir quelle obligation de coopérer les États souverains s’imposent dans leurs pratiques ? Pour répondre à cette question, nous procédons tout d’abord à une étude positiviste du contenu normatif de l’obligation de coopérer. Nous constatons que l’incorporation de la notion de l’obligation de coopérer dans le principe de la souveraineté est une tendance manifeste du droit international qui a évolué du droit de coexistence composé principalement des règles d’abstention, au droit de coopération qui comporte essentiellement des obligations positives de facere, dont la plus représentative est l’obligation de coopérer. Néanmoins, il n’existe pas de modèle unique d’application pour tous les États, chaque bassin disposant de son propre régime coopératif. Pour mesurer l’ampleur des régimes coopératifs, nous étudions cinq paramètres : le champ d’application, les règles substantielles, les règles procédurales, les arrangements institutionnels et le règlement des différends. Quatres modèles de coopération ressortent : le mécanisme consultatif (l’Indus), le mécanisme communicateur (le Mékong), le mécanisme de coordination (le Rhin) et le mécanisme d’action conjointe (le fleuve Sénégal). Pour ce qui est de la Chine, il s’agit de l’État d’amont en voie de développement le plus important dans le monde qui a longtemps été critiqué pour son approche unilatérale dans le développement des eaux transfrontières. Nous ne pouvons pas cependant passer sous silence les pratiques de coopération qu’elle a développées avec ses voisins. Quelle est son interprétation de cette obligation générale de coopérer ? Notre étude des pratiques de la Chine nous aide, en prenant du recul, à mieux comprendre tous les aspects de cette obligation de coopérer en droit international. Afin d’expliquer les raisons qui se cachent derrière son choix de mode de coopération, nous introduisons une analyse constructiviste qui est plus explicative que descriptive. Nous soutenons que ce sont les identités de la Chine qui ont déterminé son choix de coopération en matière de cours d’eau transfrontaliers. Notre étude en vient à la conclusion que même s’il y a des règles généralement reconnues, l’obligation de coopérer reste une règle émergente en droit international coutumier. Ses modes d’application sont en réalité une construction sociale qui évolue et qui peut varier énormément selon les facteurs culturels, historiques ou économiques des États riverains, en d’autres mots, selon les identités de ces États. La Chine est un État d’amont en voie de développement qui continue à insister sur le principe de la souveraineté. Par conséquent, elle opte pour son propre mécanisme consultatif de coopération pour l’utilisation des ressources en eau transfrontalières. Néanmoins, avec l’évolution de ses identités en tant que superpuissance émergente, nous pouvons probablement espérer qu’au lieu de rechercher un pouvoir hégémonique et d’appliquer une stratégie unilatérale sur l’utilisation des ressources en eau transfrontalières, la Chine adoptera une stratégie plus coopérative et plus participative dans l’avenir.

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Le concept de coopération est souvent utilisé dans le domaine de l’éthique et de la politique pour illustrer et comprendre l’alignement des comportements associatifs entre les êtres humains. En lien avec ce concept, notre recherche portera sur la première question de savoir si Kim Sterelny (2003) réussit à produire un modèle théorique permettant d’expliquer les origines et les mécanismes de la coopération humaine. Notre recherche portera aussi sur la deuxième question de savoir s’il arrive à se servir de ce modèle pour infirmer la thèse de la modularité massive. Ainsi, ce mémoire traitera successivement du problème de la coopération, de la théorie de la sélection de groupe, du déclencheur écologique de la coopération des hominidés, des notions de coalition, d’exécution et d’engagement et finalement de la thèse de la modularité massive. Par l’examen de ces sujets, nous souhaitons démontrer que Sterelny n’arrive qu’à fournir une esquisse probable des origines et du développement de la coopération humaine et que sa critique de la thèse de la modularité massive n’arrive pas à infirmer cette dernière.

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Le concept de coopération est souvent utilisé dans le domaine de l’éthique et de la politique pour illustrer et comprendre l’alignement des comportements associatifs entre les êtres humains. En lien avec ce concept, notre recherche portera sur la première question de savoir si Kim Sterelny (2003) réussit à produire un modèle théorique permettant d’expliquer les origines et les mécanismes de la coopération humaine. Notre recherche portera aussi sur la deuxième question de savoir s’il arrive à se servir de ce modèle pour infirmer la thèse de la modularité massive. Ainsi, ce mémoire traitera successivement du problème de la coopération, de la théorie de la sélection de groupe, du déclencheur écologique de la coopération des hominidés, des notions de coalition, d’exécution et d’engagement et finalement de la thèse de la modularité massive. Par l’examen de ces sujets, nous souhaitons démontrer que Sterelny n’arrive qu’à fournir une esquisse probable des origines et du développement de la coopération humaine et que sa critique de la thèse de la modularité massive n’arrive pas à infirmer cette dernière.

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Australian educators are currently engaging with wide-ranging, national early childhood reform that is reshaping early childhood education and care. The Australian reform agenda reflects many of the early childhood policy directions championed by bodies such as the Organisation for Economic Cooperation and Development and the United Nations Children's Education Fund, and is based on the dual discourse of (i) starting strong and (ii) investing in the early years. However, despite its traction in policy rhetoric and policy there is little empirical evidence of how reform is being played out. This paper reports on research undertaken in collaboration with the Queensland Office for Early Childhood Education and Care to generate sector feedback on one element of the reform agenda, the implementation of universal preschool in Queensland. The study aimed to determine the efficacy of the new policy in supporting the provision of 'approved preschool programs' within long day care services. Drawing together the views and experiences of a range of stakeholders, including peak organisations, service providers, directors, preschool teachers and government policy officers, it provides a situated case study of the implementation of universal preschool, and offers empirical evidence of how this policy is being played out at the local level. The paper identifies the opportunities and challenges in implementing universal preschool in Queensland that may have bearing on early childhood reform in Australia as well as other countries. Discussion of key findings is set within an overview of the ECEC policy agenda in Australia, with a particular focus on the commitment to universal preschool. Les éducateurs australiens s’engagent présentement dans une vaste réforme nationale de la petite enfance qui remodèle l'éducation et l’accueil de la petite enfance. Le programme de la réforme australienne reflète plusieurs des orientations en politique de la petite enfance soutenues par des organismes comme l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et le Fonds des Nations Unies pour les enfants (UNICEF). Il s’appuie sur le double discours de (i) un bon départ et de (ii) l’investissement dans les premières années. Cependant, en dépit de son attrait en rhétorique de politique et en politique il y a peu de données empiriques sur la façon dont la réforme se déroule. Cet article rend compte de la recherche entreprise en collaboration avec le bureau de l'éducation et l’accueil à la petite enfance du Queensland afin d’obtenir une rétroaction du secteur sur un élément de la réforme, la mise sur pied du préscolaire universel dans le Queensland. L'étude visait à déterminer l'efficacité de la nouvelle politique pour soutenir la disposition «programmes préscolaires approuvés» dans les services de garde à temps plein. En regroupant les perspectives et les expériences d'une gamme d’intervenants, y compris d’importantes organisations, des prestataires de service, des directeurs, des enseignants du préscolaire et des fonctionnaires de politique gouvernementale, elle constitue une étude de cas localisée de l'exécution la mise sur pied du préscolaire universel, et fournit des données empiriques sur la façon dont cette politique se met en place au niveau local. L’article identifie les opportunités et les défis liés à l’implantation du préscolaire universel au Queensland, qui pourraient avoir une portée sur la réforme de petite enfance en Australie ainsi que dans d'autres pays. La discussion des principaux résultats est faite en lien avec un aperçu global de la politique d'éducation et d’accueil de la petite enfance en Australie, avec un accent particulier sur l'engagement envers le préscolaire universel. Los educadores australianos actualmente están involucrados en una amplia reforma de la educación temprana nacional que está revolucionando la educación preescolar y los servicios de cuidado. El programa de reforma Australiana refleja muchas de las direcciones políticas relacionadas con la infancia temprana incitadas por organismos como la Organización de Cooperación y Desarrollo Económicos y el Fondo Educacional Infantil de las Naciones Unidas, y se basa en el doble discurso de (i) empezando fuertemente e (ii) invertir en los primeros años. Sin embargo, a pesar de su política de tracción en retórica y política, hay pocos datos empíricos de cómo la reforma se está llevando a cabo. Este documento informa sobre las investigaciones llevadas a cabo en colaboración con la Oficina de Queensland de Educación tempana y cuidados, para generar comentarios del sector, sobre uno de los elementos de la agenda de reforma, la aplicación del preescolar universal en Queensland. El estudio tiene como objetivo determinar la eficacia de la nueva política para apoyar la prestación de "programas preescolares aprovados" dentro se los servicios de guardería y cuidado. Reuniendo los puntos de vista y las experiencias de una serie de interesados, entre ellos algunas organizaciones cumbre, proveedores de servicios, los directores, los maestros preescolares y oficiales de política y gobierno, se logra un estudio simulado de la implementación del preescolar universal, y ofrece evidencia empírica de cómo esta política se está llevando a cabo en el plano local. El documento identifica las oportunidades y desafíos en la implementación del preescolar universal en Queensland, que puede repercutir en la reforma de la indancia temprana en Australia, así como en otros países. La discusión de los resultados claves se encuentra en el interior de una visión de la agenda política de ECEC en Australia, con un enfoque particular en el compromiso con el preescolar universal.

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Résumé: Le travail collaboratif s’invite à présent partout, et est identifié dans des domaines aussi multiples que variés. Dans le monde de l’entreprise, de la prise en charge médico-sociale, de l’éducation / formation, de la recherche, de l’économie, de la politique, de la gestion de carrière… etc. Ce travail vise dans un premier temps à décliner ce qu’est la collaboration, ses caractéristiques, ses contextes d’utilisation, et la façon dont elle se différencie des autres formes d’organisation (coopération et compétition notamment). Dans un deuxième temps, il réexamine la question de la nouveauté du travail collaboratif à la lumière des résultats obtenus. S’il est assez évident que les « ingrédients », les attributs du travail collaboratif ne sont pas nouveaux (le développement informatique mis à part), il semble en revanche que les combinaisons rencontrées et les domaines d’application génèrent de nouvelles questions. Pour finir, en s’inspirant des termes associés à collaboration, il considère quelques-uns des nouveaux enjeux dans la sphère professionnelle.

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Investiga-se, neste trabalho, a partir de uma análise de gênero, os discursos dos movimentos espírita e anarquista acerca das mulheres, no período de 1889 a 1922, no Rio de Janeiro, especificamente no que se refere a uma possível relação entre eles. No período de análise, ambos os movimentos encontravam-se em constituição no Brasil, lutando por legitimação e reconhecimento social, sendo seus seguidores perseguidos, presos e patologizados por seus discursos questionadores da ordem vigente. Entretanto, mais que seu sucesso ou não na transformação social, o que aqui se propõe é uma investigação acerca das formas pelas quais esses movimentos podem ter se relacionado e seus discursos, especialmente no caso da mulher, podem tê-los aproximado. Ou seja, questionar a oposição religião e política, e inserir uma análise de gênero em campos nos quais essa ferramenta é, ainda, raramente utilizada. Investigar como se apresentavam as questões de gênero nas práticas desses movimentos, tentando resgatar os fios que compõem a trama histórica dos mesmos, procurando entender a legitimação do espiritismo brasileiro no circuito religioso e a desqualificação do anarquismo no circuito dos movimentos políticos. As razões que justificam a escolha do espiritismo e do anarquismo para este trabalho devem-se, sobretudo, a uma singularidade: ambos apresentavam discursos sobre a mulher destoantes dos hegemônicos. Em seus pressupostos, encontra-se uma postura diferenciada em relação à mulher, na qual a ideia da igualdade entre os sexos assume um papel relevante, não seguindo a tendência de atribuir às mulheres um lugar de submissão e silêncio. Espíritas e anarquistas se posicionaram contrários aos discursos que tentavam manter a legitimidade da submissão da mulher ao homem. Contudo, verifica-se que, no Brasil, tanto o espiritismo quanto o anarquismo construíram discursos próprios ao contexto brasileiro, indo ao encontro dos pressupostos hegemônicos naquele período, sobretudo, acerca da mulher e das relações de gênero. Através de uma análise da história dos movimentos espírita e anarquista, notadamente, de sua chegada e difusão no campo social brasileiro, constata-se que a historiografia produziu um discurso que legitimou a exclusão das mulheres desses movimentos naquele momento, produzindo uma trama ainda bastante marcada pelo silenciamento das práticas femininas. A perspectiva teórico-metodológica deste trabalho se insere no campo da historiografia, mais especificamente da nova história: história cultural, história das mulheres e das relações de gênero, com atenção às produções da historiografia contemporânea sobre o período e as implicações de suas análises para as conclusões difundidas sobre a ausência feminina nesses movimentos.

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Trabalho de Dissertação apresentado à Universidade Fernando Pessoa como parte dos requisitos para a obtenção do grau de Mestre em Cooperação Internacional e Desenvolvimento