902 resultados para ban on grazing
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Przedmiotem artykułu jest problem ochrony prawa do prywatności w polskim procesie karnym w kontekście relacjonowania przebiegu rozprawy głównej przez media. Analizie zostały poddane zarówno warunki dopuszczalności relacjonowania rozprawy, przedmiot ingerencji, jak i podmioty, których prawo do prywatności może być naruszone w toku relacjonowania rozprawy głównej przez media. Prawo do prywatności jest współcześnie chronione nie tylko przez normy prawa cywilnego, ale również przez prawo konstytucyjne, stąd obowiązek przestrzegania i poszanowania prawa do prywatności ciąży także na organach prowadzących postępowanie karne. Jak wynika z zamieszonych w artykule rozważań, możliwe jest pogodzenie pozornie sprzecznych celów procesu karnego z koniecznością poszanowania prawa do prywatności, a sfera prywatna jednostek podlega ochronie również w procesie karnym. Wśród zagrożeń dla efektywnej ochrony prawa od prywatności należy jednak wskazać brak sankcji za złamanie zakazu publikacji danych osobowych czy wizerunku, którego nie przewidują ani normy prawa karnego ani prawa prasowego.
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Tese de Doutoramento, Ciências do Mar, da Terra e do Ambiente, Faculdade de Ciências e Tecnologia, Universidade do Algarve, 2015
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La réserve générale interdite de partage entre les membres est un avoir obligatoire, impartageable tout au long de l’existence de la coopérative et sujet à la «dévolution désintéressée en cas de liquidation ou de dissolution». Cette réserve fonctionne comme un levier de soutien au développement de la coopérative et du mouvement coopératif dans son ensemble. Le principe de l’impartageabilité de la réserve est l’interdiction faite à toutes les coopératives du Québec de partager la réserve générale entre tous les membres et l’interdiction de la diminuer, notamment par l’attribution d’une ristourne tout au long de l’existence de la coopérative. En effet, l’impartageabilité de la réserve se fonde sur l’idée que la coopérative n’a pas pour but l’accumulation des capitaux afin de les répartir entre les membres, mais il s’agit de la création d’un capital collectif qui bénéficie à tous les adhérents présents et futurs. Si le concept de l’impartageabilité de la réserve interdit donc le partage de la réserve tout au long de l’existence de la coopérative, cette même interdiction prend le nom de la dévolution désintéressée de l’actif net au moment de la disparition de la coopérative. Cette dévolution désintéressée signifie l’interdiction faite à toutes les coopératives non financières de partager le solde de l’actif lors de la disparition (dissolution ou liquidation) de la coopérative à l’exception des coopératives agricoles qui peuvent décider dans ce cas, de distribuer le solde de l’actif aux membres sans qu’on sache les raisons de cette exception. Par ailleurs, l’impartageabilité de la réserve est considérée comme un simple inconvénient juridique pour les membres et a connu quelques réécritures dans les législations sur les coopératives sans qu’on connaisse vraiment les raisons de ces modifications. L’objectif de notre thèse est d’engager une discussion critique autour du questionnement central suivant : au regard du cadre juridique actuel sur les coopératives, le principe de l’impartageabilité de la réserve doit être maintenu comme tel dans la Loi sur les coopératives, ou être tout simplement supprimé, comme dans la société par actions, où il est inexistant sans que cette suppression ne porte atteinte à la notion juridique de la coopérative? Plus précisément, quel est ce cadre juridique et quels sont les motifs qui peuvent plaider en faveur du maintien ou de la suppression du principe de l’impartageabilité de la réserve? Pour répondre à cette question, cette thèse se divise en deux parties. La première partie explore le cadre juridique des coopératives non financières au Québec en comparaison avec certains concepts juridiques issus d’autres législations. Elle étudie les fondements juridiques sous-jacents à l’impartageabilité de la réserve en droit québécois des coopératives non financières. La deuxième partie réalise une discussion critique autour de l’histoire du principe de l’impartageabilité de la réserve (ch. 3), des différents arguments juridiques disponibles (ch. 4) et d’hypothèses articulées autour des effets concrets disponibles (ch. 5). Elle explore ces dimensions au soutien du maintien ou non de l’impartageabilité de la réserve de la législation actuelle sur les coopératives non financières. Bien que la recherche effectuée conduise à une réponse nuancée, l'ensemble des résultats milite plutôt en faveur du maintien du principe de l'impartageabilité de la réserve. Au préalable, l’observation des fondements juridiques des concepts sous-jacents à l’impartageabilité de la réserve en droit québécois des coopératives non financières a permis de comprendre les concepts sous-jacents à ce principe avant de répondre à la question autour de son maintien ou de sa suppression de la législation actuelle sur les coopératives. La discussion réalisée a permis de souligner l’importance d’une réalité de base assez évidente : ce principe permet de préserver la réserve, utile au développement de la coopérative et du mouvement coopératif dans son ensemble. De plus, ce principe de l’impartageabilité de la réserve s’inscrit dans le cadre de la vocation sociale de la coopérative, qui n’a pas pour but la maximisation du profit pécuniaire. L’impartageabilité de la réserve s’inscrit également dans le cadre de la cohérence du droit québécois des coopératives avec la notion de coopérative telle que définie par le mouvement coopératif québécois et l’ACI tout en répondant aux finalités historiques d’équité entre les générations et de solidarité. Enfin, même si la discussion des arguments tirés des illustrations de données comptables et de quelques entretiens réalisés avec certains membres actifs du mouvement coopératif ne permet pas de mener à toute conclusion ferme, il ressort que l’impartageabilité de la réserve ne freinerait pas la tendance à la hausse des investissements et du chiffre d’affaires des coopératives non financières. Cette interdiction constituerait même un mécanisme d’autofinancement de la coopérative et un symbole de solidarité.
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La réserve générale interdite de partage entre les membres est un avoir obligatoire, impartageable tout au long de l’existence de la coopérative et sujet à la «dévolution désintéressée en cas de liquidation ou de dissolution». Cette réserve fonctionne comme un levier de soutien au développement de la coopérative et du mouvement coopératif dans son ensemble. Le principe de l’impartageabilité de la réserve est l’interdiction faite à toutes les coopératives du Québec de partager la réserve générale entre tous les membres et l’interdiction de la diminuer, notamment par l’attribution d’une ristourne tout au long de l’existence de la coopérative. En effet, l’impartageabilité de la réserve se fonde sur l’idée que la coopérative n’a pas pour but l’accumulation des capitaux afin de les répartir entre les membres, mais il s’agit de la création d’un capital collectif qui bénéficie à tous les adhérents présents et futurs. Si le concept de l’impartageabilité de la réserve interdit donc le partage de la réserve tout au long de l’existence de la coopérative, cette même interdiction prend le nom de la dévolution désintéressée de l’actif net au moment de la disparition de la coopérative. Cette dévolution désintéressée signifie l’interdiction faite à toutes les coopératives non financières de partager le solde de l’actif lors de la disparition (dissolution ou liquidation) de la coopérative à l’exception des coopératives agricoles qui peuvent décider dans ce cas, de distribuer le solde de l’actif aux membres sans qu’on sache les raisons de cette exception. Par ailleurs, l’impartageabilité de la réserve est considérée comme un simple inconvénient juridique pour les membres et a connu quelques réécritures dans les législations sur les coopératives sans qu’on connaisse vraiment les raisons de ces modifications. L’objectif de notre thèse est d’engager une discussion critique autour du questionnement central suivant : au regard du cadre juridique actuel sur les coopératives, le principe de l’impartageabilité de la réserve doit être maintenu comme tel dans la Loi sur les coopératives, ou être tout simplement supprimé, comme dans la société par actions, où il est inexistant sans que cette suppression ne porte atteinte à la notion juridique de la coopérative? Plus précisément, quel est ce cadre juridique et quels sont les motifs qui peuvent plaider en faveur du maintien ou de la suppression du principe de l’impartageabilité de la réserve? Pour répondre à cette question, cette thèse se divise en deux parties. La première partie explore le cadre juridique des coopératives non financières au Québec en comparaison avec certains concepts juridiques issus d’autres législations. Elle étudie les fondements juridiques sous-jacents à l’impartageabilité de la réserve en droit québécois des coopératives non financières. La deuxième partie réalise une discussion critique autour de l’histoire du principe de l’impartageabilité de la réserve (ch. 3), des différents arguments juridiques disponibles (ch. 4) et d’hypothèses articulées autour des effets concrets disponibles (ch. 5). Elle explore ces dimensions au soutien du maintien ou non de l’impartageabilité de la réserve de la législation actuelle sur les coopératives non financières. Bien que la recherche effectuée conduise à une réponse nuancée, l'ensemble des résultats milite plutôt en faveur du maintien du principe de l'impartageabilité de la réserve. Au préalable, l’observation des fondements juridiques des concepts sous-jacents à l’impartageabilité de la réserve en droit québécois des coopératives non financières a permis de comprendre les concepts sous-jacents à ce principe avant de répondre à la question autour de son maintien ou de sa suppression de la législation actuelle sur les coopératives. La discussion réalisée a permis de souligner l’importance d’une réalité de base assez évidente : ce principe permet de préserver la réserve, utile au développement de la coopérative et du mouvement coopératif dans son ensemble. De plus, ce principe de l’impartageabilité de la réserve s’inscrit dans le cadre de la vocation sociale de la coopérative, qui n’a pas pour but la maximisation du profit pécuniaire. L’impartageabilité de la réserve s’inscrit également dans le cadre de la cohérence du droit québécois des coopératives avec la notion de coopérative telle que définie par le mouvement coopératif québécois et l’ACI tout en répondant aux finalités historiques d’équité entre les générations et de solidarité. Enfin, même si la discussion des arguments tirés des illustrations de données comptables et de quelques entretiens réalisés avec certains membres actifs du mouvement coopératif ne permet pas de mener à toute conclusion ferme, il ressort que l’impartageabilité de la réserve ne freinerait pas la tendance à la hausse des investissements et du chiffre d’affaires des coopératives non financières. Cette interdiction constituerait même un mécanisme d’autofinancement de la coopérative et un symbole de solidarité.
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Le 6 février 2015, la Cour suprême du Canada a rendu un jugement historique, unanime et anonyme. Dans l’arrêt Carter c. Canada (Procureur général), la Cour reconnaît que l’interdiction mur à mur de l’aide médicale à mourir porte atteinte aux droits constitutionnels de certaines personnes. En effet, les adultes capables devraient pouvoir demander l’aide d’un médecin pour mettre fin à leur vie s’ils respectent deux critères : consentir clairement et de façon éclairée à quitter ce monde et être affecté de problèmes de santé graves et irrémédiables leur causant des souffrances persistantes et intolérables. Or, cette décision constitue un renversement juridique, car un jugement inverse avait été rendu en 1993. En effet, vingt-deux ans auparavant, la Cour suprême avait jugé à cinq contre quatre que l’interdiction du suicide assisté était constitutionnelle. Dans l’arrêt Rodriguez c. Colombie-Britannique, la majorité avait statué que la protection du caractère sacré de la vie dans toute circonstance, tant pour les personnes vulnérables que pour les adultes capables, était une raison suffisante pour ne pas accorder de dérogation aux articles du Code criminel qui concernent le suicide assisté. Les juges majoritaires craignent alors que toute ouverture à l’aide au suicide entraine un élargissement progressif des critères d’admissibilité, ce que plusieurs appellent l’argument du « doigt dans l’engrenage ». Dans le cadre de ce mémoire, le renversement juridique Rodriguez-Carter sera analysé à la lumière du débat entre H. L. A. Hart et Ronald Dworkin. Alors que le premier défend une nouvelle version du positivisme modéré, le second offre une théorie nouvelle et innovatrice, nommée l’interprétativisme. L’objectif est simple : déterminer laquelle de ces deux théories explique le mieux le renversement juridique canadien concernant l’aide médicale à mourir. L’hypothèse initiale soutient que les deux théories pourront expliquer ledit renversement, mais que l’une le fera mieux que l’autre.
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This study focuses on the learning and teaching of Reading in English as a Foreign Language (REFL), in Libya. The study draws on an action research process in which I sought to look critically at students and teachers of English as a Foreign Language (EFL) in Libya as they learned and taught REFL in four Libyan research sites. The Libyan EFL educational system is influenced by two main factors: the method of teaching the Holy-Quran and the long-time ban on teaching EFL by the former Libyan regime under Muammar Gaddafi. Both of these factors have affected the learning and teaching of REFL and I outline these contextual factors in the first chapter of the thesis. This investigation, and the exploration of the challenges that Libyan university students encounter in their REFL, is supported by attention to reading models. These models helped to provide an analytical framework and starting point for understanding the many processes involved in reading for meaning and in reading to satisfy teacher instructions. The theoretical framework I adopted was based, mainly and initially, on top-down, bottom-up, interactive and compensatory interactive models. I drew on these models with a view to understanding whether and how the processes of reading described in the models could be applied to the reading of EFL students and whether these models could help me to better understand what was going on in REFL. The diagnosis stage of the study provided initial data collected from four Libyan research sites with research tools including video-recorded classroom observations, semi-structured interviews with teachers before and after lesson observation, and think-aloud protocols (TAPs) with 24 students (six from each university) in which I examined their REFL reading behaviours and strategies. This stage indicated that the majority of students shared behaviours such as reading aloud, reading each word in the text, articulating the phonemes and syllables of words, or skipping words if they could not pronounce them. Overall this first stage indicated that alternative methods of teaching REFL were needed in order to encourage ‘reading for meaning’ that might be based on strategies related to eventual interactive reading models adapted for REFL. The second phase of this research project was an Intervention Phase involving two team-teaching sessions in one of the four stage one universities. In each session, I worked with the teacher of one group to introduce an alternative method of REFL. This method was based on teaching different reading strategies to encourage the students to work towards an eventual interactive way of reading for meaning. A focus group discussion and TAPs followed the lessons with six students in order to discuss the 'new' method. Next were two video-recorded classroom observations which were followed by an audio-recorded discussion with the teacher about these methods. Finally, I conducted a Skype interview with the class teacher at the end of the semester to discuss any changes he had made in his teaching or had observed in his students' reading with respect to reading behaviour strategies, and reactions and performance of the students as he continued to use the 'new' method. The results of the intervention stage indicate that the teacher, perhaps not surprisingly, can play an important role in adding to students’ knowledge and confidence and in improving their REFL strategies. For example, after the intervention stage, students began to think about the title, and to use their own background knowledge to comprehend the text. The students employed, also, linguistic strategies such as decoding and, above all, the students abandoned the behaviour of reading for pronunciation in favour of reading for meaning. Despite the apparent efficacy of the alternative method, there are, inevitably, limitations related to the small-scale nature of the study and the time I had available to conduct the research. There are challenges, too, related to the students’ first language, the idiosyncrasies of the English language, the teacher training and continuing professional development of teachers, and the continuing political instability of Libya. The students’ lack of vocabulary and their difficulties with grammatical functions such as phrasal and prepositional verbs, forms which do not exist in Arabic, mean that REFL will always be challenging. Given such constraints, the ‘new’ methods I trialled and propose for adoption can only go so far in addressing students’ difficulties in REFL. Overall, the study indicates that the Libyan educational system is underdeveloped and under resourced with respect to REFL. My data indicates that the teacher participants have received little to no professional developmental that could help them improve their teaching in REFL and skills in teaching EFL. These circumstances, along with the perennial problem of large but varying class sizes; student, teacher and assessment expectations; and limited and often poor quality resources, affect the way EFL students learn to read in English. Against this background, the thesis concludes by offering tentative conclusions; reflections on the study, including a discussion of its limitations, and possible recommendations designed to improve REFL learning and teaching in Libyan universities.
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Changes in grassland management intended to increase productivity can lead to sequestration of substantial amounts of atmospheric C in soils. Management-intensive grazing (MiG) can increase forage production in mesic pastures, but potential impacts on soil C have not been evaluated. We sampled four pastures (to 50 cm depth) in Virginia, USA, under MiG and neighboring pastures that were extensively grazed or bayed to evaluate impacts of grazing management on total soil organic C and N pools, and soil C fractions. Total organic soil C averaged 8.4 Mg C ha(-1) (22%) greater under MiG; differences were significant at three of the four sites examined while total soil N was greater for two sites. Surface (0-10 cm) particulate organic matter (POM) C increased at two sites; POM C for the entire depth increment (0-50 cm) did not differ significantly between grazing treatments at any of the sites. Mineral-associated C was related to silt plus clay content and tended to be greater under MiG. Neither soil C:N ratios, POM C, or POM C:total C ratios were accurate indicators of differences in total soil C between grazing treatments, though differences in total soil C between treatments attributable to changes in POM C (43%) were larger than expected based on POM C as a percentage of total C (24.5%). Soil C sequestration rates, estimated by calculating total organic soil C differences between treatments (assuming they arose from changing grazing management and can be achieved elsewhere) and dividing by duration of treatment, averaged 0.41 Mg C ha(-1) year(-1) across the four sites.
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Dendrocalamus strictus and Bambusa arundinacea are monocarpic, gregariously flowering species of bamboo, common in the deciduous forests of the State of Karnataka in India. Their populations have significantly declined, especially since the last flowering. This decline parelleis increasing incidence of grazing, fire and extraction in recent decades. Results of an experiment in which the intensities of grazing and fire were varied, indicate that while grazing significantly depresses the survival of seedlings and the recruitment of new eulms of bamboo clumps, fire appeared to enhance seedling survival, presumably by reducing competition of lass fire-resistant species. New shoots of bamboo are destroyed by insects and a variety of herbivorous mammals. In areas of intense herbivore pressure, a bamboo clump initiates the production of a much larger number of new culrm, but results in many fewer and shorter intact culms. Extraction renders the new shoots more susceptible to herbivore pressure by removal of the protective covering of branches at the base of a bamboo clump. Hence, regular and extensive extraction by the paper mills in conjuction with intense grazing pressure strongly depresses the addition of new culms to bamboo clumps. Regulation of grazing in the forest by domestic livestock along with maintenance of the cover at the base of the clumps by extracting the culms at a higher level should reduce the rate of decline of the bamboo stocks.
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SUMMARY Seasonal conditions in the pre to post natal period and selected periods before and during wool growth were described using climatic measures and estimates of the quality and quantity of pasture on offer derived from a validated pasture production model (GRASP). The variation in greasy and clean fleece weight, yield, staple length, fibre diameter, neck and side wrinkle score of Merinos grazing Mitchell grass in north west Queensland was explained in terms of these pasture and climatic measures and animal characteristics such as reproductive status, age and skin area. Multiple regression equations predicting clean and greasy fleece weight from the proportion of days in the wool growth period that the green pool in the pasture was less than one kg/ha, the percentage utilisation of the pasture, age, reproductive status and skin area of the ewes explained 87% and 79% of the variation respectively. Equations with similar predictors explained 58-85% of the variation of the other components. The inclusion of pasture conditions in the pre to post natal period did not significantly improve the predictions of the animal’s later performance. 22nd Biennial Conference.
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Supplements containing urea or biuret were fed in the dry season to yearling and two year old pregnant heifers grazing native spear grass pastures in north Queensland. Liveweight change and survival during the dry season and fertility in the following year were measured. In the first experiment during a relatively favourable dry season, supplementation significantly (P<0.01) reduced liveweight loss in yearling heifers (5 vs. 32 kg). In the following year during a drought, supplement significantly (P<.01) reduced liveweight loss in yearling heifers (32 vs. 41 kg) and significantly (P <0.01) reduced mortalities (23.5% vs. 5.2%) in pregnant and lactating heifers. The supplement had no significant effect on subsequent fertility in either experiment. 14th Biennial Conference.
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A strategy comprising a winter/spring protein supplement, rumen modifier and hormonal growth promotant (Compudose 400) was used in either the first year (Tl), second year (T2), or in both years (T1+2) following weaning in Brahman cross steers as a means of increasing liveweight gain up to 2.5 years of age. T2 produced the heaviest final liveweight (544.7 kg) and highest overall liveweight gain (366.7 kg), but these were not significantly different from T1 (538.6 kg; 360.9 kg), or T1+2 (528.7 kg; 349.3 kg). However, final liveweight and overall liveweight gains of T1 and T2 but not T1+2 were significantly greater than for untreated (C) steers (504.9 kg; 325.2 kg, both P < 0.05). Regardless of the strategy imposed, liveweight and liveweight gain were enhanced, however final liveweights in each treatment were below the preferred minimum target liveweight (570-580 kg) for premium export markets. Treatment in both years gave no benefit over treatment in 1 year only. 19th Biennial Conference. 5-9 July 1992. LaTrobe University, Melbourne.
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Planned grazing systems are being introduced to beef cattle enterprises across the marginal cropping lands of Queensland, as they are on more extensive grazing properties. Systems range from continuous grazing with opportunistic summer rest periods to cell systems with more than 60 paddocks. The aim of planned grazing is to increase production, improve sustainability and increase economic viability from both the pastured and cropping lands of a property. Managing the more intensive grazing systems on native or sown pastures with strategic summer and winter forage crops is a challenge under the variable rainfall conditions. Under favourable conditions, integrating summer and winter crops with summer-growing grass-based pastures offers a wider range of options for breeding, finishing and marketing cattle. The integration of pasture grazing systems with opportunistic forage cropping systems on marginal cropping lands is discussed, and a current research project assessing grazing systems is described.
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Rainfall variability is a challenge to sustainable and pro. table cattle production in northern Australia. Strategies recommended to manage for rainfall variability, like light or variable stocking, are not widely adopted. This is due partly to the perception that sustainability and profitability are incompatible. A large, long-term grazing trial was initiated in 1997 in north Queensland, Australia, to test the effect of different grazing strategies on cattle production. These strategies are: (i) constant light stocking (LSR) at long-term carrying capacity (LTCC); (ii) constant heavy stocking (HSR) at twice LTCC; (iii) rotational wet-season spelling (R/Spell) at 1.5 LTCC; (iv) variable stocking (VAR), with stocking rates adjusted in May based on available pasture; and (v) a Southern Oscillation Index (SOI) variable strategy, with stocking rates adjusted in November, based on available pasture and SOI seasonal forecasts. Animal performance varied markedly over the 10 years for which data is presented, due to pronounced differences in rainfall and pasture availability. Nonetheless, lighter stocking at or about LTCC consistently gave the best individual liveweight gain (LWG), condition score and skeletal growth; mean LWG per annum was thus highest in the LSR (113 kg), intermediate in the R/Spell (104 kg) and lowest in the HSR(86 kg). MeanLWGwas 106 kg in the VAR and 103 kg in the SOI but, in all years, the relative performance of these strategies was dependent upon the stocking rate applied. After 2 years on the trial, steers from lightly stocked strategies were 60-100 kg heavier and received appreciable carcass price premiums at the meatworks compared to those under heavy stocking. In contrast, LWG per unit area was greatest at stocking rates of about twice LTCC; mean LWG/ha was thus greatest in the HSR (21 kg/ha), but this strategy required drought feeding in four of the 10 years and was unsustainable. Although LWG/ha was lower in the LSR (mean 14 kg/ha), or in strategies that reduced stocking rates in dry years like the VAR(mean 18 kg/ha) and SOI (mean 17 kg/ha), these strategies did not require drought feeding and appeared sustainable. The R/Spell strategy (mean 16 kg/ha) was compromised by an ill-timed fire, but also performed satisfactorily. The present results provide important evidence challenging the assumption that sustainable management in a variable environment is unprofitable. Further research is required to fully quantify the long-term effects of these strategies on land condition and profitability and to extrapolate the results to breeder performance at the property level.
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Steer liveweight gains were measured in an extensive grazing study conducted in a Heteropogon contortus (black speargrass) pasture in central Queensland between 1988 and 2001. Treatments included a range of stocking rates in native pastures, legume-oversown native pasture and animal diet supplement/spring-burning pastures. Seasonal rainfall throughout this study was below the long-term mean. Mean annual pasture utilisation ranged from 13 to 61%. Annual liveweight gains per head in native pasture were highly variable among years and ranged from a low of 43 kg/steer at 2 ha/steer to a high of 182 kg/steer at 8 ha/steer. Annual liveweight gains were consistently highest at light stocking and decreased with increasing stocking rate. Annual liveweight gain per hectare increased linearly with stocking rate. These stocking rate trends were also evident in legume-oversown pastures although both the intercept and slope of the regressions for legume-oversown pastures were higher than that for native pasture. The highest annual liveweight gain for legume-oversown pasture was 221 kg/steer at 4 ha/steer. After 13 years, annual liveweight gain per unit area occurred at the heaviest stocking rate despite deleterious changes in the pasture. Across all years, the annual liveweight advantage for legume-oversown pastures was 37 kg/steer. Compared with native pasture, changes in annual liveweight gain with burning were variable. It was concluded that cattle productivity is sustainable when stocking rates are maintained at 4 ha/steer or lighter (equivalent to a utilisation rate around 30%). Although steer liveweight gain occurred at all stocking rates and economic returns were highest at heaviest stocking rates, stocking rates heavier than 4 ha/steer are unsustainable because of their long-term impact on pasture productivity.
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The diet selected in autumn by steers fistulated at the oesophageous was studied in a subset of treatments in an extensive grazing study conducted in a Heteropogon contortus pasture in central Queensland between 1988 and 2001. These treatments were a factorial array of three stocking rates (4, 3 and 2 ha/steer) and three pasture types (native pasture, legume-oversown native pasture and animal diet supplement/spring-burning native pasture). Seasonal rainfall throughout this study was below the long-term mean and mean annual pasture utilisation ranged from 30 to 61%. Steers consistently selected H. contortus with levels decreasing from 47 to 18% of the diet as stocking rate increased from 4 ha/steer to 2 ha/steer. Stylosanthes scabra cv. Seca was always selected in legume-oversown pastures with diet composition varying from 35 to 66% despite its plant density increasing from 7 to 65 plants/m(2) and pasture composition from 20 to 50%. Steers also selected a diet containing Chrysopogon fallax, forbs and sedges in higher proportions than they were present in the pasture. Greater availability of the intermediate grasses Chloris divaricata and Eragrostis spp. was associated with increased stocking rates. Bothriochloa bladhii was seldom selected in the diet, especially when other palatable species were present in the pasture, despite B. bladhii often being the major contributor to total pasture yield. It was concluded that a stocking rate of 4 ha/steer will maintain the availability of H. contortus in the pasture.