998 resultados para WIttgenstein, Ludwig
Resumo:
O presente artigo pretende destacar a tese de que a natureza para Feuerbach é um existente autônomo e independente e possui primazia ante o espírito. Para ele, a natureza material, que existe, em sua diferencialidade qualitativa, independente do pensar, é diante do espírito o original, o fundamento não deduzível, imediato, não criado, de toda existência real, que existe e consiste por si mesmo. Feuerbach opõe a natureza ao espírito, pois ele a entende não como um puro outro, que só por meio do espírito foi posto como natureza, mas como o primeiro, a realidade objetiva, material, que existe fora do entendimento e é dada ao homem, por meio de seus sentidos, como fundamento e essência de sua vida. Trata-se, pois, primeiro daquela essência (luz, ar, água, fogo, plantas, animais etc.) sem a qual o homem não pode nem ser pensado nem existir. A natureza é, para Feuerbach, a pluralidade de todos os objetos e essências que realmente são. Sob esta condição, é possível conceber a natureza como a garantia da exterioridade mesma, como que um existente fora de nós, que nada sabe de si e é em si e por si mesmo; por conseguinte, ela não deve ser vista como aquilo que ela não é, isto é, nem como divina, nem como humana. A natureza sempre existiu, quer dizer, ela existe por si e tem seu sentido apenas em si mesma; ela é ela mesma, ou seja, nenhuma essência mística, pois, por trás dela, não se esconde nenhum absoluto, nada humano, nada divino, transcendental ou ideal.
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No Teeteto, em uma tentativa de definir o conhecimento, Platão trata da unidade e da complexidade segundo um modelo de análise dos complexos em elementos simples não analisáveis. Wittgenstein, no parágrafo 46 das Investigações Filosóficas, cita esse argumento do Teeteto, introduzindo uma crítica à sua própria noção de objeto, no Tractatus. Nosso tema será um exame das noções de elemento e composto, apresentadas no Teeteto e retomadas no Sofista, tendo como horizonte a aproximação, feita por Wittgenstein, entre o objeto do Tractatus e o elemento do Teeteto
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UANL
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Cette thèse aborde la question de la valeur de la littérature contemporaine, en posant la question de la puissance de la création langagière. Dans la mesure où l’humanisme tombe en désuétude avec la fin de l’hégémonie médiatique de l’imprimerie, et où le capitalisme contemporain assigne à la culture un rôle économique et récréatif, la « littérature » se retrouve sans « critère final » pour penser sa puissance non économique. En d’autres termes, quels sont les effets intermédiaux de la création langagière livresque qui survivent à l’humanisme tout en résistant à la communication récréative? Il en va bien sûr de la nature même de la « création littéraire ». Le premier chapitre explore les liens entre l’humanisme et l’imprimerie à partir d’un concept de fongibilité, et introduit un ensemble de concepts clé. Le deuxième chapitre présente un autre ensemble de concepts (dont le geste vertical), cette fois pour penser le langage en termes de pouvoir et de puissance. Le troisième chapitre aborde le « capitalisme civilisationnel » en termes intermédiaux. On y réfléchit sur la saturation, la séparation et la fenestration, notamment à partir d’une éthique du jeu. Le quatrième chapitre traite de la question de la plasticité. Enfin, les cinquième et sixième chapitres forment deux exemples – des exemples de puissance – à partir des oeuvres de Valère Novarina (Lumières du corps) et de David Foster Wallace (Infinite Jest). Le corpus théorique se compose d’éléments puisés d’une part dans l’oeuvre de Walter Benjamin et de Giorgio Agamben, selon un matérialisme messianique, et d’autre part dans celle de Gilles Deleuze. Certaines considérations sont également tenues sous l’influence de Michel Foucault et de Ludwig Wittgenstein.
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Dans Literal Meaning, François Recanati cherche à montrer que ce qui est dit lorsqu’une phrase est prononcée correspond à un contenu fondamentalement pragmatique. À cet effet, il propose deux arguments généraux qui consistent à faire valoir que ce qui est dit est indéterminé si l'on s'en tient aux règles de la sémantique. Le premier de ces deux arguments tente d’établir que dans bien des cas, le contenu sémantique supposément associé à une phrase ne correspond pas à ce qui est dit. Le second est plutôt une élaboration de la thèse wittgensteinienne suivant laquelle la signification des types linguistiques est indéterminée. Pour ma part, je soutiens que si nous adoptons effectivement une conception wittgensteinienne de la signification, certains des exemples supposés illustrer le premier de ces deux arguments peuvent et doivent être critiqués.
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Le présent mémoire porte sur la question de la mort de Dieu dans la philosophie allemande du XIXe siècle. Plus précisément elle entend mettre en lumière le rôle qu’un auteur comme Ludwig Feuerbach (1804-1872) a pu jouer dans la réception d’un tel événement pour la philosophie de cette époque. On observe en effet chez Hegel et Nietzsche, certainement les deux philosophes les plus importants à s’être intéressés au thème de la mort de Dieu, deux manières tout à fait différentes, voire antinomiques, d’interpréter un tel événement. Ce qui fera dire à certains auteurs comme Deleuze et Foucault notamment, qu’entre Hegel et Nietzsche il ne saurait y avoir qu’une coupure radicale tant leurs compréhensions de la mort de Dieu diffère. Un tel geste trahit cependant un certain arbitraire qui empêche de comprendre la genèse philosophique d’un tel déplacement, entre Hegel et Nietzsche, dans la manière d’aborder la mort de Dieu. C’est ici que l’étude de la philosophie feuerbachienne s’avère fructueuse, car si elle demeure dans un dialogue critique par rapport à la conception hégélienne de la mort de Dieu, sa réponse opère cependant un déplacement qui anticipe certains aspects de la pensée nietzschéenne. C’est à partir de l’analyse de sa critique de la religion chrétienne et de l’anthropologie philosophique nouvelle qui l’y oppose que l’on sera en mesure de saisir la nature de ce déplacement feuerbachien.
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In order to explain Wittgenstein’s account of the reality of completed infinity in mathematics, a brief overview of Cantor’s initial injection of the idea into set- theory, its trajectory (including the Diagonal Argument, the Continuum Hypothesis and Cantor’s Theorem) and the philosophic implications he attributed to it will be presented. Subsequently, we will first expound Wittgenstein’s grammatical critique of the use of the term ‘infinity’ in common parlance and its conversion into a notion of an actually existing (completed) infinite ‘set’. Secondly, we will delve into Wittgenstein’s technical critique of the concept of ‘denumerability’ as it is presented in set theory as well as his philosophic refutation of Cantor’s Diagonal Argument and the implications of such a refutation onto the problems of the Continuum Hypothesis and Cantor’s Theorem. Throughout, the discussion will be placed within the historical and philosophical framework of the Grundlagenkrise der Mathematik and Hilbert’s problems.
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Ein Werkkatalog Glötzles, seine Bilder im Dom in Salzburg, eine nazarenische Fortsetzung eines barocken Programms zwischen 1882 und 1892
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Se presentan resultados parciales de un proyecto de investigación concebido con el objetivo de analizar los regímenes de verdad sobre la educación matemática del campo, considerando como referencial teórico el área de las etnomatemáticas en sus entrecruzamientos con el pensamiento de Michel Foucault y las formulaciones de Ludwig Wittgenstein en su obra Investigaciones filosóficas. El material de investigación es constituido por informes de entrevistas, realizadas por estudiantes de un curso de pedagogía, con educadores del campo del sur del país sobre cuestiones vinculadas a la educación matemática. El análisis del material empírico hizo emerger el enunciado que dice de la importancia del uso de materiales concretos en las clases de matemáticas. El artículo problematiza esa verdad que circula en el pensamiento educacional brasileño contemporáneo, en el orden del discurso de la educación matemática.
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Transcripción del acuerdo que firman las universidades de Ludwig-Maximilians de Munich y la de Zagreb sobre cooperación científica, donde a través de once clausulas, se fijan los objetivos de su cooperación y la extensión de los mismos: conferencias de los científicos de ambas universidades en la universidad de acogida; participación en reuniones científicas y congresos; estancias de estudio para lectores de germanística y yugoslavística; estancias de estudio y ayudas especializadas; intercambio de informaciones sobre las especialidades e intercambio de libros de texto, bibliografía especializada y publicaciones universitarias. Como anexo, existe un acuerdo complementario que incluye el programa de trabajo y financiación para la cooperación científica entre la Universidad de Munich y la de Zagreb, que comprende siete clausulas más sobre intercambio de información y trabajos científicos entre ambas.