818 resultados para Violence against Civilian
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Domestic violence is now widely acknowledged as being a significant social, health and legal issue. At both a national and transnational level governments have sought to develop strategies built upon prevention, support for victims and holding perpetrators to account through criminal justice sanctions. However, the current paradigm that informs the policy response to most perpetrators of domestic violence has failed to deliver the outcomes required, in terms of a reduction in levels of recidivism or the improved safety of women and children. It is argued that holding men to account through external controls has failed and that interventions should support men to take responsibility for their own behaviour.
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Violence against women is a serious criminal and public health issue with devastating consequences for women, families and society. To date, little international research has been given to understanding the needs of older women, who are experiencing domestic violence; that is, physical, sexual, emotional or financial abuse carried out by a spouse or partner. This study fills a significant gap in the literature as the needs of older women who have experienced a lifetime of domestic violence in Northern Ireland are unknown. Health professionals, service providers and policy makers often assume that violence stops at age 55 and there is a noticeable lack of literature, research and guidelines on the issue. The greatest challenge for health visitors is that abuse remains hidden, with women remaining silent and finding it difficult to speak openly or seek help.
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The article focuses on the recent developments as regards domestic violence within the context of the Council of Europe. Since 2007 the European Court of Human Rights has issued a series of important judgments in cases involving domestic violence. The most recent of these is Rumor v. Italy, in which the Court issued its judgment on 27 May 2014. The article analyses this case in the context of the Court’s previous jurisprudence on domestic violence. In addition, on 1 August 2014 the Council of Europe Convention on preventing and combating violence against women and domestic violence entered into force, and the article will include a number of reflections on the potential held by this Convention. No violation of the European Convention on Human Rights was found in Rumor, however the question of whether Italy would have been in breach of the provisions of the new Convention, to which it is a party, had this Convention been in force at the time of the relevant events, will be examined.
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La transmission intergénérationnelle de la violence envers les enfants et les perceptions reliées aux expériences personnelles de violence dans l’enfance ont été peu étudiées auprès de la population générale et encore moins auprès des pères. L’objectif de la présente étude est de déterminer le lien entre, d’une part, la fréquence rapportée de la violence physique sévère vécue dans l’enfance et la légitimité perçue de cette violence et d’autre part, la violence physique mineure et psychologique envers les enfants au sein de la famille actuelle de 204 pères québécois. Les données sont issues de l’enquête sur la violence familiale dans la vie des enfants du Québec réalisée en 2004 par l’Institut de la Statistique du Québec. Il y a un lien significatif entre la fréquence rapportée de la violence physique sévère vécue dans l’enfance et sa légitimité perçue, ainsi qu’avec la violence envers les enfants dans la famille actuelle des pères. Les pères rapportant avoir souvent ou très souvent vécu de la violence physique sévère dans l’enfance ont actuellement des enfants qui vivent plus de violence psychologique que ceux qui en ont parfois vécu. Plus les pères considèrent la violence physique sévère vécue dans l’enfance comme méritée, plus leurs enfants vivent de la violence psychologique. Enfin, les enfants des pères qui considèrent la violence subie comme parfois méritée vivent moins de violence physique mineure que ceux des pères qui la considèrent comme souvent ou très souvent méritée. Les implications pour la recherche et la pratique sont discutées.
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La violence contre les policiers a des répercussions importantes à la fois chez les policiers et pour les administrateurs de la police. En 2005, le taux canadien de voies de fait contre la police a atteint son plus haut sommet en plusieurs décennies, faisant état d’une situation préoccupante. Plusieurs provinces canadiennes connaissent d’ailleurs une hausse marquée de la violence contre leurs policiers depuis plusieurs années. Cette étude vise donc à examiner et à comprendre l’évolution du phénomène de violence contre les policiers au Canada par l’identification de facteurs qui pourraient expliquer les variations du taux de voies de fait contre les policiers. La méthode d’analyse privilégiée dans le cadre de cette étude est une analyse transversale de séries chronologiques regroupées (pooled time series) qui traite des données portant sur les dix provinces canadiennes pour une période allant de 1986 à 2006. Les résultats indiquent que plusieurs facteurs ont un impact sur la violence dont sont victimes les policiers : la proportion de la population âgée entre 15 et 24 ans, la proportion d’hommes de 15 ans et plus, la proportion de la population vivant dans une région urbaine, la proportion de gens divorcés, les taux résiduels de crimes de violence et de crimes rattachés aux drogues, et le nombre d’évasions et de personnes en liberté sans excuse. La présence croissante de policières, qui fait encore l’objet de débats, semble quant à elle réduire le nombre de voies de fait contre la police, quoique l’impact de ce facteur soit de faible portée. Au Québec, la une hausse importante du taux de voies de fait contre les policiers pourrait s’expliquer par la hausse de plusieurs facteurs identifiés comme jouant un rôle dans le phénomène, bien qu’il ne faille pas écarter qu’un changement dans la reportabilité puisse entrer en ligne de compte.
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En s’inscrivant dans la perspective du féminisme intersectionnelle et en mobilisant des méthodes mixtes, cette recherche tente de mieux comprendre la violence domestique envers les femmes au Mexique, à la fois à travers une analyse du discours des féministes mexicaines et d’une analyse statistique multidimensionnelle de données d’enquête identifiant les facteurs institutionnels, économiques et socioculturels associés au risque de vivre de la violence domestique. Cette thèse se démarque des réflexions féministes traditionnelles faites au Mexique puisqu’elle approche les rapports de genre en lien avec d’autres systèmes d’oppression et de subordination, fondés notamment sur les rapports de classe et l’ethnicité. Ainsi, elle appréhende la violence faite aux femmes en lien avec le patriarcat, sans réduire ce dernier à quelques indicateurs sociodémographiques et comportementaux mesurés au niveau individuel, mais en tenant compte du contexte d’inégalité de genre au niveau régional. Ce faisant, la recherche tente de réconcilier les deux grandes perspectives théoriques qui expliquent la violence conjugale, soit les approches de la violence familiale (qui s’attardent à des facteurs au niveau microsocial) et les approches féministes (qui mettent l’accent sur la structure patriarcale, c’est-à-dire le contexte plus large des inégalités de genre). Les résultats des entretiens réalisés avec des féministes représentant les trois branches du féminisme mexicain (féminisme hégémonique, populaire et autochtone) ont révélé les fractures existantes à l’intérieur du mouvement féministe au Mexique (antagonisme entre l’institutionnalisation et l’autonomie du mouvement féministe). De façon générale, l’analyse des entretiens a montré que l’engagement des féministes envers la cause des femmes est en accord avec les «idéaux types» des trois branches du féminisme mexicain. Les féministes hégémoniques mettent surtout l’accent sur la structure patriarcale de la société mexicaine et sur les inégalités de genre lorsqu’il s’agit de trouver des causes à la violence faite aux femmes. Pour les féministes du secteur populaire, la violence faite aux femmes s’explique autant par les inégalités de genre, que par les effets du système économique capitaliste. Le discours des femmes autochtones semble, quant à lui, tenir davantage compte de l’articulation des rapports de genre, des rapports ethniques, ainsi que des rapports socio-économiques. Néanmoins, nous constatons que les féministes de la branche hégémonique et populaire semblent de plus en plus sensibles à l’entrecroisement de systèmes de domination et d’oppression. Par ailleurs, l’analyse multiniveau effectuée à partir des données de l’Enquête nationale portant sur la dynamique des relations dans les ménages (2006), a révélé plusieurs résultats importants qui méritent d’être soulignés. D’abord on constate que les différences de prévalence des violences entre les municipalités mexicaines sont en grande partie expliquées par leur composition sociale, c’est-à-dire par des caractéristiques des femmes et de leur couple (niveau micro), plutôt que par des différences entre le niveau des inégalités de genre dans les municipalités mexicaines mesurées par l’ISDH (Indice Sexospécifique du Développement Humain). Les résultats des analyses montrent que les femmes autochtones ont en général des taux de violences moins élevés que les femmes métisses (groupe majoritaire). Enfin, en ce qui a trait à la relation entre le contexte d’inégalité de genre et la violence conjugale, les résultats suggèrent que plus l’ISDH d’une municipalité est élevée, plus il y a de femmes qui subissent les formes de violences. Cela va à l’encontre des postulats habituels des théories féministes et suggèrent que les progrès récents de la situation de la femme en matière de santé, d’éducation et de revenu n’ont pas bouleversé les rapports de genre encore très patriarcales qui continuent à privilégier la suprématie des hommes (Casique, 2004).
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Cette recherche-action participative s’inscrit dans un paradigme féministe intersectionnelle. Elle présente la façon dont sept jeunes femmes de la rue (18-23 ans) de Québec ont fait l’expérience de la violence structurelle et ont déployé des stratégies pour y faire face. Elle s’articule autour d’une définition de la violence structurelle inspirée de celle proposée par Farmer, Bourgois, Scheper-Hugues et al. (2004) qui la présentent comme étant le processus à la racine des inégalités sociales et de l’oppression vécue par différents groupes sociaux. Ce processus s’opère dans trois dimensions complémentaires soit : 1) la domination symbolique, 2) la violence institutionnelle et 3) la violence quotidienne. Une analyse de contenu thématique a permis de dégager l’expérience des participantes dans chacune de ces dimensions. L’analyse de la domination symbolique a montré que les participantes ont été perçues à travers le prisme de quatre visions ou préjugés : 1) l’image de la jeune délinquante (Bad girl), 2) le discours haineux envers les personnes assistées sociales, 3) la culture du viol et 4) l’hétéronormativité. Les différentes expériences de violence quotidienne et institutionnelle vécues par les participantes peuvent être mises en lien avec ces manifestations de la domination symbolique. Les participantes ont expérimenté la violence institutionnelle à travers leurs trajectoires au sein des services de protection de l’enfance, durant leurs démarches pour obtenir un emploi, un logement ou du soutien financier de la part des programmes offerts par l’État et pendant leurs demandes d’aide auprès d’organismes communautaires ou d’établissements du réseau de la santé et des services sociaux. L’analyse de l’expérience des participantes a permis de révéler deux processus imbriqués de façon cyclique de violence structurelle : l’exclusion et le contrôle social. La plupart des stratégies ii expérimentées par les participantes pour combler leurs besoins fondamentaux les ont exposées au contrôle social. Le contrôle social a exacerbé les difficultés financières des participantes et a accru leur crainte de subir de l’exclusion. Bien que la violence structurelle expérimentée par les participantes se situe à la croisée des rapports de pouvoir liée au genre, à la classe sociale, à l’âge et à l’orientation sexuelle, il se dégage que la domination masculine s’est traduite dans le quotidien des participantes, car l’exclusion et le contrôle social ont créé des contextes où elles ont été susceptibles de subir une agression sexuelle ou de vivre de la violence de la part d’un partenaire intime. L’analyse de la dimension intersubjective de la grille d’analyse de Yuval-Davis (2006) montre la présence de certains rapports de pouvoir liés à la classe sociale au sein même de la population des jeunes de la rue. Cette analyse souligne également la difficulté des participantes à définir les contours de la violence et d’adopter des rapports égalitaires avec les hommes. Enfin, le processus de recherche-action participative expérimenté dans le cadre de cette thèse a été analysé à partir des critères de scientificité présentés par Reason et Bradbury (2001). L’élaboration de deux projets photos, choisis par le groupe en guise de stratégie de lutte contre la violence structurelle, a contribué à ouvrir le dialogue avec différents acteurs concernés par la violence structurelle envers les jeunes femmes de la rue et s’est inscrit dans une perspective émancipatoire.
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Background: Violence against women is associated with serious health problems, including adverse maternal and child health. Antenatal care (ANC) midwives are increasingly expected to implement the routine of identifying exposure to violence. An increase of Somali born refugee women in Sweden, their reported adverse childbearing health and possible links to violence pose a challenge to the Swedish maternity health care system. Thus, the aim was to explore ways ANC midwives in Sweden work with Somali born women and the questions of exposure to violence. Methods: Qualitative individual interviews with 17 midwives working with Somali-born women in nine ANC clinics in Sweden were analyzed using thematic analysis. Results: The midwives strived to focus on the individual woman beyond ethnicity and cultural differences. In relation to the Somali born women, they navigated between different definitions of violence, ways of handling adversities in life and social contexts, guided by experience based knowledge and collegial support. Seldom was ongoing violence encountered. The Somali-born women’s’ strengths and contentment were highlighted, however, language skills were considered central for a Somali-born woman’s access to rights and support in the Swedish society. Shared language, trustful relationships, patience, and networking were important aspects in the work with violence among Somali-born women. Conclusion: Focus on the individual woman and skills in inter-cultural communication increases possibilities of overcoming social distances. This enhances midwives’ ability to identify Somali born woman’s resources and needs regarding violence disclosure and support. Although routine use of professional interpretation is implemented, it might not fully provide nuances and social safety needed for violence disclosure. Thus, patience and trusting relationships are fundamental in work with violence among Somali born women. In collaboration with social networks and other health care and social work professions, the midwife can be a bridge and contribute to increased awareness of rights and support for Somali-born women in a new society.
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Recent statistical data confirms that domestic violence is a structural problem of exceptional gravity. We analyze the frequent legislative changes in Brazil since 2000 as a result of social pressure for protection of abused women. Only the Law 11.340 of 2006 was well received by lawyers, judges and the public opinion. We present the innovations and peculiarities of this statute and the allegations on unconstitutionality. We discuss cases of judicial review of this law and reject the arguments of unconstitutionality. That notwithstanding, we argue that penalization decisions is the wrong way from a criminological point of view because they do not take into consideration the desires and needs of the victims.
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The goal of this study is to describe the experience of female victims of domestic violence, who forfeited the lawsuits against their aggressors. The interviews were oriented by the question: What was your experience of forfeiting the denunciation of your aggressor? Three themes emerged from the convergence of the testimonies: time passed from the aggression to the denunciation and then to the forfeiting; the partner, the family, the women's precinct; reflecting about the experience, which described the studied phenomenon. The women expressed ambiguous feelings for their aggressor: affection, anger, humiliation and fear. They recognize that they are dominated and humiliated, but notions of justice and equality between spouses do not appear in the testimonies. Forfeiting can be understood in the context of the reproduction of the traditional family structure, conditioned to economic and social factors. Results highlight implications about the role of the Women's Precinct and the healthcare institutions in the care for women who were victims of domestic violence.
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This study represents a collaborative effort by the Economic Commission for Latin America and the Caribbean (ECLAC) Subregional Headquarters for the Caribbean and the United Nations Development Fund for Women (UNIFEM) to assess these actions with the aim of informing the future work of these agencies around gender-based violence. An important dimension of the mandate of the ECLAC Subregional Headquarters for the Caribbean is the provision of strategic thinking and information to governments for policy formulation. This is accomplished through technical assistance and through research activities. At the Third Economic Commission for Latin America and the Caribbean/Caribbean Development and Cooperation Committee (ECLAC/CDCC) Ministerial Conference on Women held in October 1999, violence against women was identified as a barrier to achieving gender equality. The recommendations spoke not only of the need to extend services to victims, but also to take actions based on an understanding of the root causes of violence. This study forms one component in a scope of work in which the ECLAC Subregional Headquarters for the Caribbean has been engaged since 1999.
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This study investigates the influence of neighbourhood socioeconomic conditions on women's likelihood of experiencing intimate partner violence (IPV) in Sao Paulo, Brazil. Data from 940 women who were interviewed as part of the WHO multi-country study on women's health and domestic violence against women, and census data for Sao Paulo City, were analyzed using multilevel regression techniques. A neighbourhood socioeconomic-level scale was created, and proxies for the socioeconomic positions of the couple were included. Other individual level variables included factors related to partner's behaviour and women's experiences and attitudes. Women's risk of IPV did not vary across neighbourhoods in Sao Paulo nor was it influenced by her individual socioeconomic characteristics. However, women in the middle range of the socioeconomic scale were significantly more likely to report having experienced violence by a partner. Partner behaviours such as excessive alcohol use, controlling behaviour and multiple sexual partnerships were important predictors of IPV. A women's likelihood of IPV also increased if either her mother had experienced IPV or if she used alcohol excessively. These findings suggest that although the characteristics of people living in deprived neighbourhoods may influence the probability that a woman will experience IPV, higher-order contextual dynamics do not seem to affect this risk. While poverty reduction will improve the lives of individuals in many ways, strategies to reduce IPV should prioritize shifting norms that reinforce certain negative male behaviours. (C) 2012 Elsevier Ltd. All rights reserved.